Foutus Vannetais ! Aller perdre à Saint Ouen, alors qu'un match pour la montée se profilait à domicile contre Nîmes (remake de 2008 )... La saison des rendez-vous manqués.
Le Gazelec peut être champion en battant Niort, et dans le meme temps Nimes ne bat pas Vannes... Les corses sont à la fête en ce moment !
Les clubs du Languedoc à l'honneur cette saison. Montpellier champion, Nimes remonte en L2, Uzes monte en National (3 divisions gagnées en 5 ans depuis la création du club).
S'il y a des fans du Sporting Toulon, voici une vidéo du Manager Général : [video]http://www.dailymotion.com/ActuSport83#video=xrwycw[/video]
Ce n'est pas un système a la con, il y a tout simplement quatre groupes de CFA... Tu trouverais plus intelligent de priver de montée un vainqueur de groupe, pour sauver le 17e de national ?
Allez Epinal , vous avez loupé la montée de peu, l'année prochaine il y a moyenb d'aller la chercher !!
[h=1]Quevilly : contrôle positif pour Diarra ![/h] Héros la saison dernière de l'épopée de l'US Quevilly en Coupe de France, Zanke Diarra a été contrôlé positif à la corticoïde après la finale perdue contre Lyon le 28 avril. Après avoir examiné le dossier, la commission d'appel de la Fédération française de football a décidé mercredi de le suspendre pour un an. Convié à réagir sur RMC, le frère d'Alou Diarra a tenté de clamer son innocence malgré la gravité des faits qui lui sont reprochés. "Quand je suis revenu de mes vacances, j'ai trouvé un courrier dans ma boite aux lettres. Je ne comprends pas. Je n'ai rien pris d'anormal. J'étais enrhumé et j'avais une micro déchirure avant la finale. C'est le docteur du club qui m'a donné les médicaments. Je ne sais même pas ce que j'ai pris, a lâché le milieu de terrain de 26 ans. J'ai confiance. Je pense que cette décision va être rectifiée. J'ai décidé de faire appel, c'est un malentendu. J'espère que cette histoire va vite se terminer."
NAT - Metz [h=1]J. Carrasso : «C'est presque un nouveau club»[/h] Ce mardi, France Football vous propose un reportage au coeur du choc du National, qui a opposé vendredi dernier Metz à Créteil (3-1). Forts d'un début de saison parfait, Johann Carrasso et ses partenaires entendent bien poursuivre sur leur lancée et restaurer l'image d'un club historique du foot français. Entretien. «Johann, certains clubs ont du mal à digérer une descente, mais ce n'est pas le cas de Metz, qui compte six victoires après six journées de National... C'est vrai, mais il y a quand même eu beaucoup de changements au club. Il y a eu plus de vingt départs, une dizaine d'arrivées... Il y a eu un renouvellement, que ce soit au niveau de l'effectif, du staff ou des dirigeants. C'est presque un nouveau club. Et pour l'instant, ça fonctionne plutôt bien. Comment jugez-vous le niveau de votre équipe ? Honnêtement, il y a un très bon niveau. On a pu le voir contre Sedan (3-2) ou Tours (1-0), deux équipes de Ligue 2 qu'on a su battre en Coupe de la Ligue. De ce que j'ai vu, cette équipe aurait le potentiel pour faire quelque chose d'intéressant en Ligue 2. On a une équipe très complète qui peut largement tenir la route. «Le staff nous rentre dans la gueule quand il faut» Quels sont les dangers qui vous guettent après un tel départ ? On doit éviter la routine négative, ne pas jouer facile. Chaque semaine, on se remet en question, c'est essentiel. On est très bien parti, mais on n'a rien fait. Tant qu'on n'aura pas atteint notre objectif, on ne lâchera rien ! Albert Cartier et son adjoint José Jeunechamps encadrent parfaitement le groupe. Ils nous rentrent dans la gueule quand il le faut, malgré ces victoires. Vous qui découvrez le National, quel est votre regard sur ce Championnat particulier ? Je suis assez surpris par le jeu. On a rencontré Boulogne (2-1) et Vannes (2-1) d'entrée, qui viennent du monde pro. Il y a eu des matches un peu plus particuliers contre Luzenac (1-0) ou Le Poiré-sur-Vie (2-0), où ça recherche plus le physique, le contact. Mais c'est un Championnat qui joue quand même au ballon, je suis agréablement surpris. Ce n'est pas que des longs ballons, ça c'est fini ! Avez-vous senti à votre arrivée que vous rejoigniez un club historique ? Oui, déjà quand on arrive dans les vestiaires, on tombe sur des images de certains grands joueurs passés par Metz. On sait les belles années qu'a connues le club, donc c'est assez triste de le retrouver à ce niveau-là. Et puis au niveau de la ferveur, on se sent énormément poussé par les supporters. Ils répondent présent à chaque match, et je pense que ça va aller crescendo. «Il a eu un grand changement au club, pour ne pas dire un nettoyage» Ce parcours ressemble à celui de Bastia il y a deux ans, non ? J'espère qu'au aura le même avenir ! Il y a eu un gros changement au niveau du club, pour ne pas dire un nettoyage. Tout a été renouvelé, les jeunes sortant du centre de formation poussent le club vers le haut... Et encore une fois, on se sent vraiment poussé par les supporters. Au final, le vrai-faux repêchage en Ligue 2 au détriment du Mans ne vous a donc pas porté préjudice... On n'a pas été perturbé, même si on se posait quand même des questions. Ce qu'on a regretté, c'est le manque de communication vis-à-vis des joueurs. On était quand même directement concerné, mais on ne suivait ce qui se passait qu'à travers les journaux. On s'était préparé aux deux cas de figure, mais quand on nous dit à deux jours avant la reprise de la Ligue 2 qu'on y est, et puis finalement non, même si on ne s'était pas vraiment projeté, ça fait réfléchir. Ensuite, on a su répondre présent dès qu'il a fallu en National.»