Handball Feminin/Masculins

Les Bleus toujours plus hauts ?

L'équipe de France débute samedi le Mondial, contre la Tunisie (20h45), à Granollers. Objectif : décrocher un cinquième titre, un record dans l'épreuve.


Jérôme Fernandez parle du nouveau défi des Bleus. (L'Equipe)




L’équipe de France en a relevé des défis : le titre olympique, qui lui échappait jusque-là, en 2008, le triplé JO-Monde-Europe, en 2010, une deuxième médaille d’or aux Jeux, l’été dernier... Cette année, les Bleus visent un nouveau titre de champion du monde. Ce serait le cinquième après ceux des Barjots (1995), des Costauds (2001) et des Experts (2009, 2011). Et ce serait un record. Pour l’instant, les Français le partagent avec la Roumanie et la Suède, également quatre fois titrées. «C’est un nouveau défi, une nouvelle page qu’on va essayer d’écrire, a déclaré Jérôme Fernandez, le capitaine. Si on parvient à gagner, on en parlera le 27 janvier prochain (jour de la finale, ndlr). Pour l’instant, on va vivre la compétition de la meilleure des manières. Plus on sera performant tôt et plus on emmagasinera de la confiance et plus on sera dangereux.»


Le début des adieux ?

Traduisez : marquer les esprits dès samedi soir face à la Tunisie, le premier adversaire des Experts, à Granollers lors du 1er tour. Mais Jérôme Fernandez prévient : «Par tradition, c’est une équipe qui nous donne beaucoup de fil à retordre. En plus, avant, il y a pas mal de joueurs expérimentés. Là, nous en connaissons moins». Claude Onesta, le sélectionneur des Bleus, rappelle, lui, le contexte d’un début de compétition : «Il est toujours difficile de jouer une équipe qui n’a pas forcément fixé le 27 janvier comme rendez-vous suprême de son tournoi. La Tunisie est très agressive. Et nous, on a tendance à balbutier nos départs.» Ensuite, toujours à Granollers, là où l’équipe de France avait débuté son parcours aux Jeux Olympiques de 1992, qui devait la mener jusqu’à la médaille de bronze, il y aura, face à eux, le Monténégro, l’Argentine et le Brésil, puis, à Barcelone, l’Allemagne. Ensuite, vraisemblablement, ça sera la Russie ou la Macédoine en 8es, avant un éventuel quart de finale de feu contre l’Espagne ou la Croatie.

L’équipe de France n’a plus rien à prouver avec l’avalanche de titres gagnée ces dernières années. Ce Mondial sera l’occasion d’apprécier une dernière fois sous le maillot bleu Didier Dinart. Guillaume Gille a déjà dit stop. Bertrand, son frangin, hésite. Et Jérôme Fernandez entretient aussi le suspense : «Depuis quelques temps, je considère les tournois auxquels je participe comme le dernier. C’est le cas de celui-là aussi. Mais je me sens bien en cet instant. Et j’ai envie de vivre ce moment-là.» Le tout dit en souriant.

Olivier PAQUEREAU, à Granollers

 

[h=1]La patience est une vertu[/h] Longtemps accrochée par la Tunisie, samedi, l'équipe de France est néanmoins parvenue à s'imposer (30-27), pour son entrée en lice dans le Mondial.


Face à une équipe de Tunisie de grande qualité, l'équipe de France remporte son premier match du tournoi (30-27). (L'Equipe)




Si la Tunisie avait battu la France, ça aurait été totalement mérité. Il a manqué cinq minutes aux joueurs entraînés par Alain Portes pour réaliser l’exploit, et «deux, trois joueurs en plus», dixit ce dernier. Au lieu de ça, le réalisme des Bleus a finalement parlé (30-27). Mais, comme d’habitude, les champions olympiques et champions du monde ont débuté laborieusement une grande compétition. Six minutes, ça a été le temps nécessaire pour ouvrir la marque. On a ensuite cru les Français lancés, à 8-5 (15e). Mais il n’en a rien été.
Mosbah Sanai, l’arrière gauche tunisien, a trompé quatre fois d’affilée Thierry Omeyer en autant de minutes. Et, à la pause, la Tunisie était devant (14-13). Pas de quoi s’affoler, certes. Mais, plus surprenant, l’adversaire des Bleus n’a pas montré de signes de faiblesse dans la suite des débats. Un but de Kamel Alouini lui a même donné trois unités d’avance (21-18, 41e)... La salle, majoritairement française, s'est retrouvée muette.


La base arrière des Tunisiens a été monstrueuse, rentrant vingt-quatre des vingt-sept buts de son équipe. Les envolées de Wael Jallouz, futur arrière gauche de Kiel, n’avaient rien à envier à celles de Daniel Narcisse. Mais l’équipe de Tunisie a aussi été très indisciplinée, jouant à sept reprises en infériorité numérique. Narcisse, lui, a été un des éléments déterminants du succès français. Ménagé en début de match, il est entré en jeu après la pause et a remis les Bleus à flots par ses attaques fulgurantes. Daouda Karaboué, également aligné au retour des vestiaires, a signé plusieurs arrêts décisifs. Et Samuel Honrubia, qui n’a lui aussi disputé que la seconde période, a aussi eu son mot à dire dans la victoire française avec ses trois buts marqués. Luc Abalo, à l’aise sur son aile droite, a, lui, signé un 6/7, après avoir bien débuté son match. En fin de partie, la défense a su couper l’élan des arrières tunisiens, provoquant plusieurs pertes de balle. Et les Bleus ont su développer leur jeu rapide.
Dans les ultimes minutes, l’équipe de France a ainsi infligé un 5-0 à son adversaire. Mise K.-O., la Tunisie a finalement vu son rêve s’envoler. (30-27) Mais la jeune génération d’Alain Portes a montré qu’il fallait compter sur celle dans ce groupe A. Elle affrontera l’Allemagne dimanche (17h20), en espérant faire de nouveau sensation. Ensuite on reverra l’équipe de Claude Onesta, cette fois face au Monténégro (19h30). En souhaitant la voir monter en puissance avant les cinq dernières minutes.

Olivier PAQUEREAU, à Granollers

 

Gros match des tunisiens encore une fois, face aux allemands cette fois.

Victoire 25-23.

 

le aux armes dans les tribunes :lol:

 

[h=1]Pas un match, une démonstration[/h] Le Monténégro n'a pas existé face à l'équipe de France (32-20), dimanche à Granollers. Claude Onesta en a profité pour faire tourner son effectif.


Samuel Honrubia s'est régalé face au Monténégro avec un 5/5 devant le but. (L'Equipe)




Les journées se suivent et ne se ressemblent pas. Samedi, ça a été (très) dur contre la Tunisie. Dimanche ça a été (trop) facile face au Monténégro (32-20). Les Français ont pris les commandes du tableau d’affichage à la cinquième minute et ne l’ont plus rendu. Le pic a été atteint en seconde période avec seize unités d’avance, sur le but de Timothey N’Guessan, son premier pour lui dans ce championnat du monde. D’un côté, il y avait une équipe qui détient les titres olympique et mondial. De l’autre, une jeune nation, indépendante depuis seulement sept ans, qui ne disputait que son deuxième grand tournoi. «On voulait faire un match très sérieux. On a fait un match très sérieux, a commenté Claude Onesta, le sélectionneur de l’équipe de France. A partir du moment où on a respecté l’équipe du Monténégro, nous avons mis en oeuvre une rencontre de qualité.»

Les seize Tricolores retenus pour le Mondial ont tous posé un pied sur le terrain. Les cadres (Karabatic, Fernandez, Narcisse) ont été ménagés. Dans le festival fourni par les Bleus, on retiendra le sans-faute devant le but de Samuel Honrubia. Sur sa lancée de son match contre la Tunisie, l'ailier gauche du Paris-SG a planté cinq buts en autant d’occasions, en première période. Cédric Sorhaindo s’est lui aussi régalé face aux portiers monténégrins. Entré en jeu en seconde période, Daouda Karaboué a barré la route aux tireurs adverses, détournant onze frappes (sur vingt, 55% de réussite), récoltant ainsi les faveurs du public et communiant à plusieurs reprises avec eux. «Il y a le résultat évidemment mais on essaie aussi de donner du spectacle, a confié le gardien de but de Toulouse, intouchable sur les dix premières minutes de son match. On avait l’impression d’être à domicile.» Pas faux. La sono du palais des sports de Granollers ayant rendu l’âme, les paroles de la Marseillaise ont retenti... depuis les travées, lors des hymnes.

«Je suis content de la victoire, a poursuivi Claude Onesta. On avait eu un match difficile contre la Tunisie, qui a depuis continué son chemin (succès contre l’Allemagne, ndlr). Je suis également satisfait d’avoir eu la possibilité de faire les remplacements souhaités. Le Monténégro a su rester dans un bon état d’esprit. Le match n’a ainsi pas été dangereux pour les joueurs.» Lundi sera une journée de repos pour les six formations du groupe A. L’équipe de France sera ensuite opposé au Brésil mardi (20h45).

Olivier PAQUEREAU, à Granollers

 

belle génération, l'équipe tunisienne.

première compétition pour les croates sans balic 10 ans après le sacre mondial.

ça sent le france-espagne en final.

 

Je reviens là dessus, alors apparemment la piste Veszprem est très chaude.Ils sont prêts à prendre les 2 frangins Karabatic et Kavticnik.

L'agent de NK a rencontré les dirigeants de Barcelone également.

 

Ce qui est un peu surprenant dans ce cas là, c'est que la direction est quasiment prête à se mettre ses supporters à dos, car tu as personne pour demander le départ de Kara.

L'arrivée d'Omeyer est un élément non négligeable dans la volonté de Niko de vouloir rester aussi, mais si après les dirigeants en ont décidé autrement...
Les jeunes poussent en effet: Arvin-Berod, Grebille...

Et pour les recrues, il te semble bien :wink:

J'y crois pas trop sincèrement. Par contre je mets une TRES grosse pièce sur le Barca encore une fois.

 

La Croatie qui met +9 à la Hongrie belle perf. Finalement y'a ptet moyen d'aller chercher une médaille même sans Balic.

 

La France bat le Brésil (27-22) et se qualifie pour les huitièmes de finale



L'équipe de France a signé une troisième victoire en trois matches en battant le Brésil (27-22) lors du Mondial espagnol. Les Bleus sont mathématiquement qualifiés pour pour les huitièmes de finale avant d'affronter l'Argentine mercredi.

 

J'ai pas vu le match ils ont joué comment?

 

Pas d'enjeu, aucun risque, je n'ai pas regardé j'ai pris l'option football.

 

Réponse dans l'interview d'Onesta:



Claude Onesta n’a pas apprécié la prestation de ses joueurs, laborieux mardi soir à Granollers lors de leur troisième match du Mondial face au Brésil (27-22). Le sélectionneur, qui parle de suffisance, attend une réaction contre l’Argentine.


Quelle est votre analyse de ce match ?
Je sors de ce match fatigué parce que c’était long, inintéressant et pénible. On ne va pas en rajouter. Quand on ne fait pas le minimum pour être capable de réaliser un match sérieux je pense qu’on a ce type de prestation. Avec des gens qui pensent qu’en se faisant juste quelques passes ils vont arriver à battre facilement l’adversaire. Pas d’engagement physique, pas d’intensité, pas de rigueur dans les choix. La défense a tenu le choc en première période puis elle a fini par se mettre au niveau de l’attaque… Il n’y a pas grand-chose à dire, une heure c’est long quand c’est comme ça.


Vous reprochez à vos joueurs d’être tombés dans la facilité ?
Je n’aurai même pas besoin de discours.
Oui, mais ce n’est pas que ça. On change les joueurs à la mi-temps, on en met d’autres, on peut imaginer que ceux qui entrent peuvent avoir retenu la leçon de ce qu’ils ont vu en première période. Mais non ils font la même chose que les autres. C’est sûrement dans l’approche et sur ce qu’il représentait. On n’a pas préparé ce match comme il le fallait visiblement, et je me mets dedans. On se dit quand même qu’on ne va pas les mettre tous les jours sous pression, tous les jours les pousser au cul. On espère à chaque fois qu’ils seront capables de mettre eux-mêmes le niveau d’exigence suffisamment haut. Là on ne fait pas ce qu’il faut. En attaque on a joué en marchant. On se jette les ballons parce qu’on pense que l’adversaire est bête au point de se faire piéger par la feinte. On ne peut pas tirer beaucoup d’enseignements de ce match si ce n’est qu’il n’y avait pas de volonté ni d’engagement. Juste la volonté de ne pas se faire mal, de ne pas se mettre en danger.


L’adversaire de demain (mercredi, l’Argentine, présente un profil un peu similaire. Allez-vous devoir hausser le ton ?
Je n’aurai même pas besoin de discours. Je pense que la honte va suffire. Quand vous êtes sur le terrain pendant un match comme ça vous ne le vivez pas bien non plus. Donc vous êtes frustrés, un peu gênés vis-à-vis de ce que vous réalisez. Demain le niveau d’exigence va être tout de suite plus élevé parce qu’on ne va pas vouloir donner la même image de l’équipe. Sauf qu’on aimerait que ça arrive de manière régulière, pas en réaction.

(sport.orange.fr)

 

ah oui ok quand même!!! Onesta exagère toujours un peu, mais la ils ont vraiment pas du etre au top!!!

 

On se dirige vers:

groupe a:
france
tunisie
allemagne
brésil

groupe b:
danemark
russie
islande
macédoine

groupe c:
serbie ou slovénie
serbie ou slovénie
pologne
belarus

groupe d:
espagne ou croatie
espagne ou croatie
hongrie
egypte ou algérie

tableau des 1/8ème de finale probable: dans l'ordre.

danemark-brésil
hongrie-serbie ou slovénie

islande-tunisie
espagne ou croatie-belarus

pologne-espagne ou croatie
france-macédoine

allemagne-russie
serbie ou slovénie-egypte ou algérie.


ce qu'on peut voir c'est que le vainqueur de croatie-espagne déterminera beaucoup de choses.
le vainqueur aura un quart de tableau avec le belarus en 1/8ème et l'islande ou la tunisie en 1/4.
alors que le second se retrouvera avec la pologne en 1/8ème et la france en 1/4.

 

[h=1]Avec sérieux cette fois[/h] L'équipe de France a nettement dominé l'Argentine (35-23), montrant un meilleur visage que celui affiché la veille face au Brésil.


Samuel Honrubia a été le meilleur marqueur des Bleus face à l'Argentine. (L'Equipe)




Contre le Brésil, les Bleus avaient joué au ralenti. Mercredi, face à l’Argentine, ils ont appuyé d’entrée sur l’accélérateur et les Gladiatores, un peu plus expérimentés tout de même que leur voisin brésilien, ont explosé d’entrée. Après dix minutes de jeu, ils n’avaient ainsi toujours pas marqué (7-0)... Thierry Omeyer a livré une première période identique à celle disputée contre le Brésil. Il s’est ensuite assis sur le banc avec la satisfaction du devoir accompli : treize ballons repoussés sur dix-neuf tirs, 68% de réussite. Mais c’est en attaque que les Experts se sont cette fois fait le plus plaisir. Samuel Honrubia a été monstrueux sur l’aile gauche avec des contre-attaques bien maîtrisées, et un total de sept buts en autant de tentatives. Depuis le début du tournoi, l’ailier du Paris-SG n’a raté qu’un seul de ses shoots (18/19).
Samuel Honrubia et Michaël Guigou impressionnants sur l'aile gaucheL’aile gauche française est du reste bien parée.

En seconde période, Michaël Guigou a pris le relais avec autant de succès, inscrivant six buts. Nikola Karabatic a lui aussi brillé devant la cage, réalisant un sans-faute (5/5). Luc Abalo et Valentin Porte ont également montré de belles choses sur l’aile droite. Hormis Cédric Sorhaindo, légèrement blessé à une cheville mardi, tous les joueurs de champ sont entrés sur le terrain. Ils ont tous marqué, sauf Didier Dinart et Grégoire Detrez. Ce dernier n’a pas su tirer son épingle du jeu au poste de pivot, en l’absence de Sorhaindo. Pour ne rien arranger à sa situation, il a prématurément abandonné ses coéquipiers, touché à une cuisse. Pas de quoi rassurer le Chambérien mal à l’aise depuis le début du tournoi. Jérôme Fernandez s’est, du coup, offert une pige en tant que pivot. «C’est un poste que j’aime beaucoup, a-t-il rigolé. Claude (Onesta) m’avait prévenu que je pourrai y jouer ce soir.»


«Intéressant pour la suite de la compétition»Distancé à la pause (19-6), les Argentins ont ensuite réagi, pendant que les Bleus baissaient en intensité. Pablo Simonet a fait oublier ses frères Diego et Sebastian, préservés avant le match décisif contre la Tunisie, accablant Daouda Karaboué et terminant la rencontre avec huit buts à son actif. Mais, avec douze unités d’écart à l’arrivée, les Experts sont cette fois restés sereins tout au long de la partie. «On voulait montrer un nouveau visage et retrouver le plaisir de jouer, a déclaré Daniel Narcisse. Il y a eu pas mal de choses positives. C’est intéressant pour la suite de la compétition.» La suite, ce sera vendredi face à l’Allemagne, à Barcelone.

Olivier PAQUEREAU, à Granollers

 

Espagne-Croatie méritera le coup d'oeil ça c'est clair

Et désolé pour vous mais je vous préfère surtout sans Balic mais pas que. L'Espagne c'était emmerdant y'a 1 an ou 2 ça l'est encore plus chez eux cette année.

Et puis les France-Espagne en 1/4 ces derniers temps je pense qu'on a assez donné, les forces en présence sont différentes de celles des 2 autres sports mais bon en étant superstitieux ils seraient capable de le faire aussi pour mettre fin au règne des doubles champions du monde :lol:

 

Balic jouait plus vraiment un role majeur non plus dans l'équipe qu'a pris les médailles de bronze au dernier championnat d'europe et jo.
L'Espagne me ferait pas tellement peur si c'était ailleurs mais en hand, on sait tous ce que évoluer à domicile veut dire. Serbie organisatrice du dernier championnat d'europe finaliste. Quand c'était la Slovénie finaliste. Quand c'est la croatie qu'organise le mondial finaliste. Quand l'Allemagne organise le mondial, champion du monde. Quand la France organise le mondial, champion du monde.
Donc quand une nation référence comme l'Espagne organise un mondial de hand, c'est pas pour sortir en 1/4 c'est clair.

 

Oué enfin bon...
[video=dailymotion;x14nh2]http://www.dailymotion.com/video/x14nh2_handball-les-5-dernieres-minutes_sport#.UPevF2f2grI[/video]
...on sait pourquoi ils ont été champions du monde en 2007, les teutons!!!

 

Attention au Danemark aussi qui est en train d'écraser tout le monde das une poule pas facile.
En 1/8ème on va avoir soit la Macédoine soit l'Islande, en espérant avoir la Macédoine. Par contre en quart ca sera soit l'Espagne soit la Croatie ....