Handball Feminin/Masculins

Discussion dans 'Les sports collectifs' démarrée par Yankee84, 18 Décembre 2006.

  1. Croconico

    Croconico Well-Known Member

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    c'est exactement ce que je dis.
    tu crois que la slovénie et la serbie actuelle se seraient retrouvés en finale d'un championnat d'europe dans des conditions normales.
    le handball est certainement le sport collectif dans lequel le fait d'évoluer à domicile a le plus d'impact dans tous les sens du terme.
     
  2. ascde3

    ascde3 La "caution marseillaise"

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    C'est vrai que ça se vérifie souvent
    Le seul vrai contre-exemple ces dernières années et l'une des plus grosses performances réalisées par les Experts (si on doit en sortir une des autres) à mon goût c'est la victoire en finale en Croatie en 2009 devant le public Croate. Putain quelle finale
     
    Dernière édition: 17 Janvier 2013
  3. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Pivot, les choses changent[/h] Bertrand Gille absent, Cédric Sorhaindo et Grégoire Detrez sont les deux pivots des Bleus au Mondial. Le premier a un statut de leader à assumer. Le second doit enfin tenir un rôle. Pour corser la situation, les deux traînent une petite blessure.


    Cédric Sorhaindo a un statut de pivot titulaire à assumer. (L'Equipe)

    [​IMG]


    «Pour l’instant, on fait comme si on avait deux pivots». Claude Onesta positivait jeudi soir, veille du match contre l’Allemagne, le dernier des Bleus au premier tour du Mondial. Cédric Sorhaindo et Grégoire Detrez, les deux spécialistes du poste, sont légèrement touchés, une entorse à la cheville pour le premier, une béquille pour le second. Ce jeudi, aucun des deux n’est forfait. Mais aucun des deux n’a clairement dit qu’il jouerait. Jérôme Fernandez, qui avait fait une pige à ce poste contre les Argentins, s’est entraîné comme s’il allait jouer pivot. «Il n’y a pas beaucoup de joueurs avec 350 sélections qui se prêtent à des choses qui ne vont pas les mettre en valeur, a commenté Claude Onesta. C’est suffisamment généreux pour être noté.» Le patron des Bleus refuse, en tout cas, de faire venir un remplaçant : «Personne n’est blessé au point d’envisager cela».


    Sorhaindo : «Oublier que je suis un jeune joueur»La situation est néanmoins inconfortable. C’est d’autant plus embêtant que les pivots allaient être scrutés en Espagne, en raison de l’absence du taulier, Bertrand Gille. Lequel laisse en plus planer un doute sur la suite de sa carrière internationale. En Espagne, le n°1, c’est Cédric Sorhaindo. A Barcelone, où il joue depuis trois ans, il a passé un cap. «On me donne plus de responsabilités, notamment un très grand rôle en défense, dit-il. Et, en équipe de France, on m’a demandé d’oublier que je suis un jeune joueur, d’être déterminant».

    Sorhaindo avoue ne pas chercher le feu des projecteurs. Il y sera pourtant confronté si Bertrand Gille se retire. «Les choses arriveront toutes seules, répond-il. Il y aura toujours la peur de mal faire. Mais je ferai avec.»


    Detrez : «L'impression de faire tactiquement ce qu'il faut faire»Grégoire Detrez, lui, fait partie des joueurs qui n'ont pas encore trouvé leurs marques dans ce Mondial. Claude Onesta avait relevé que le pivot de Chambéry se mettait pas mal de pression, et l’intéressé a confirmé que cela lui arrivait souvent. «Mais je n’ai pas l’impression d’avoir fait chuter le niveau de l’équipe, a-t-il déclaré. C’est mon premier Mondial. C’est quelque chose que j’ai longtemps attendu.» A 31 ans, Detrez a en effet souvent manqué le wagon Bleu. «Mais je n’en ai jamais souffert, dit-il. Je pouvais comprendre.» Aujourd’hui, il a un rôle à tenir, dans une équipe «où la performance individuelle compte. Mais, moi, c’est quelque chose que je connais pas. Dans les clubs que j’ai connu, la perf’ individuelle n’est pas une prérogative. Ici, je suis en échec au shoot. Mais j’ai l’impression de faire tactiquement ce qu’il faut faire.»

    Olivier PAQUEREAU, à Granollers
     
  4. ascde3

    ascde3 La "caution marseillaise"

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    Non mais je rêve Karaboué...c'est pas possible sérieux
     
  5. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Une relance de merde, des exclusions stupides et 2 pénos manqués.Tout ça dans les dernières minutes...hum hum..

    Tout ça avec Omeyer mais surtout Dinart et Fernandez (catastrophiques tous les 2) sur le banc.Kara a été énormissime par contre.Va falloir que certains se bougent s'ils veulent aller loin.

    On devrait jouer l'Islande en 1/8èmes et du coup se taper la partie de tableau la plus dure (Espagne, Danemark...).

    Pffff...
     
  6. guitou180

    guitou180 Well-Known Member

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    Et pourtant... l'équipe "moribonde" d'Allemagne qui nous place un petit +2... J'espère qu'ils vont se les sortir du c.. pour le reste de la compétition et qu'ils vont être vexé parce que face au Danemark par exemple on va se prendre une belle roustasse.
     
  7. ascde3

    ascde3 La "caution marseillaise"

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    Point positif les quelques pétards d'Accambray si ça peut lui donner un peu de confiance on prend

    Mais c'est un scandale la dernière action et c'est d'autant plus un scandale que de finir 2ème est pas du tout anecdotique vu le calendrier qui attend l'équipe désormais
     
  8. bumpa

    bumpa Le capitaine, l'aboyeur

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  9. Suix

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    France-Islande en huitièmes

    La France, 2e du groupe A, affrontera l'Islande, 3e du groupe B, dimanche en 8e de finale du Mondial, disputé en Espagne.

    La victoire du Danemark sur la Macédoine en soirée (33-30) signifie que cette dernière finit 4e de la poule B, laissant la 3e place à l'Islande. La France avait auparavant laissé filer la 1re place de son groupe en s'inclinant devant l'Allemagne (30-32).

    Les deux équipes se connaissent bien. L'Islande avait infligé à la France sa seule défaite (29-30) des JO de Londres cet été, en phase de poules. Mais depuis, les Islandais ont perdu l'icône Olafur Stefansson, parti à la retraite.
     
  10. Suix

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    France-Allemagne (30-32) - Onesta: "On a pris un coup sur la tête"


    Pour la première fois depuis 2007, la France a perdu contre l'Allemagne (30-32). Fragilisés par leur défense, les Bleus ont deux jours pour corriger le tir avant d'affronter l'Islande en huitièmes de finale.


    [​IMG]AFP


    Ce France-Allemagne devait être un match référence. Celui sur lequel les Bleus comptaient s'appuyer pour se rapprocher un peu plus d'un troisième sacre planétaire consécutif, et qui devait leur apporter, en plus de la première place du groupe A, de nouvelles certitudes. Finalement, ce "premier test (a été) manqué", selon Claude Onesta. Un constat partagé par l'ensemble des joueurs.

    "On a abordé le match en se disant qu'on voulait atteindre notre meilleur niveau et on l'a raté complètement", ajoute le sélectionneur. Passablement énervé tout au long de la seconde période, Onesta n'a pu que reconnaître la supériorité allemande : "En face, une bonne équipe sans pression a fait ce que l'on craignait, à savoir qu'elle a haussé son niveau." Ce que la France n'a pas été capable de reproduire. Auteur de huit buts, seul Nikola Karabatic a confirmé son excellent début de compétition. Esseulé, le n°13 tricolore est resté l'unique satisfaction du côté d'Experts, trop souvent individualistes dans les moments-clés. Au grand dam de Jérôme Fernandez : "Quand on prend beaucoup de buts et que chacun essaie de faire son truc dans son coin..."

    Omeyer : "Un nouveau tournoi commence"

    Souvent abandonnés par une défense apathique, symbolisée par un Didier Dinart hors du coup, les gardiens tricolores ont particulièrement souffert face à la puissance de frappe allemande. "On n'a tout simplement pas été performant, à commencer par moi", juge Daouda Karaboué (5 arrêts sur 21 tirs, 23% de réussite), titularisé de nouveau en seconde période. "On s'est fait enfoncer par les tireurs allemands. La défense ne leur a pas posé assez de problèmes", regrette Thierry Omeyer (2 sur 18, 11%).

    Apathiques et donc, souvent en retard, les Bleus n'ont jamais pu enrayer les offensives germaniques. Au retour des vestiaires, ils n'ont cessé de courir après le score. Même si Omeyer préfère retenir que "l'on s'est battu pendant soixante minutes alors qu'on aurait pu lâcher quand l'Allemagne avait cinq buts d'avance."

    "On a pris un coup sur la tête, on est déstabilisé", déplore Onesta. "Mais j'espère que l'expérience accumulée nous permettra de revenir à notre meilleur niveau". Dimanche, c'est finalement l'Islande qui se présentera face aux Experts. En cas de qualification, ceux-là retrouveront la Croatie ou l'hôte espagnol.

    Une finale avant l'heure. "L'un ou l'autre, c'est pareil. Ça ne change pas grand-chose", estime Fernandez. Narcisse acquiesce: "Même si on avait gagné aujourd'hui (vendredi), je ne suis pas sûr que la suite aurait été plus facile." A Omeyer le mot de la fin : "Dimanche, c'est un nouveau tournoi qui commence". Jusqu'à preuve du contraire, les doubles tenants du titre sont encore loin d'avoir rendu leur trône.


    Eurosport - François-Xavier RALLET avec Lilian HUBERT, correspondance spéciale à Barcelone
     
  11. Croconico

    Croconico Well-Known Member

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    Je me demande comment vont jouer l'Espagne et la Croatie ce soir maintenant. Exaeco avec 4 victoires en 4 matchs. L'Espagne devant au ga. Le premier va se taper France et Danemark sur le chemin de la finale. Le second verra le premier, la France et la Danemark de l'autre côté du tableau. Avec Allemagne, Russie et Serbie comme principaux adversaires.
     
  12. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    J'ai l'impression que les espagnols ont lâché le match non ? :lol:

    Défaite face aux croates 27-25 et du coup ces derniers seront dans la partie de tableau de la France et du Danemark.
     
  13. ascde3

    ascde3 La "caution marseillaise"

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    Venant des sportifs espagnols je me fais aucune illusion quant à leur fair-play la fourberie qui les caractérise à surement peser un minimum dans cette défaite pour se taper la partie de tableau plus simple et espérer atteindre la finale
     
  14. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Hand - D1 - Toulouse : Karaboué pas prolongé[/h]

    Quelques jours après l'annonce de sa retraite internationale, Daouda Karaboué sait désormais qu'il ne sera plus Toulousain l'an prochain. Le président du Fénix, Philippe Dallard, a confirmé qu'il ne proposerait pas de nouveau contrat à son gardien de 37 ans : «Nous avons des choix économiques et sportifs à faire». Selon nos informations, Toulouse s'active actuellement pour remplacer l'international français afin d'épauler le jeune Wesley Pardin. Par ailleurs, Damien Kabengélé, qui a traîné le club aux prud'hommes pour une somme due par l'ancienne direction «ne sera pas conservé», explique le président toulousain. La semaine dernière, Toulouse avait prolongé Valentin Porte, sélectionné pour le Mondial avec l'équipe de France.
     
  15. Suix

    Suix Guest

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    L'Islande, toute une histoire !

    L'équipe de France a souvent croisé l'Islande dans les grands rendez-vous internationaux. La série continue puisque les deux formations s'affrontent en 8es de finale du Mondial (20h15).


    La France et l'Islande, c'est toute une histoire. Elles s'étaient affrontés au précédent Mondial, et pour des rendez-vous encore plus marquants. (L'Equipe)

    [​IMG]


    Un petit pays, une bonne nation de handball et une sacrée histoire avec l’équipe de France. Ainsi pourrait-on définir l’Islande, qui se dresse sur la route des Bleus dimanche (20h15) à Barcelone. C’est face à elle que tout a commencé, il y a vingt-et-un ans, aux Jeux de... Barcelone. Les Français l’emportaient face aux insulaires et décrochaient la médaille de bronze olympique à la surprise générale. «J’y étais», sourit Michaël Guigou. Tout gamin, l’ailier gauche des Experts était allé voir le match avec sa maman. Ensuite, il y a eu le Mondial 1995 gagné par les Bleus. Pour la première fois, une équipe de France remportait un titre mondial dans un sport collectif. Ça se passait... en Islande. «Et il y a aussi la prépa qu’on a fait là-bas avant l’Euro 2006, poursuit Guigou. C’est la première grande victoire de notre génération. Sans oublier le 24-32 en 2007. Ça, c’est la plus grosse raclée que j’ai jamais prise avec l’équipe de France !»

    Aron Palmarsson, la nouvelle star


    Daniel Narcisse, lui, se rappelle de la finale des Jeux en 2008, quand la France est pour la première fois devenue championne olympique de hand. Au-delà de l’émotion, il se souvient de l’aspect tactique : «C’était un match dangereux. L’Islande avait éliminé la Pologne et l’Espagne. C’était bien de les avoir joués sur la fin. Nous ne les avons pas pris à la légère ce jour-là, ce qui avait été l’erreur des autres formations auparavant.» Cinq ans plus tard, l’équipe a bien évidemment changé. L’arrière droit Olafur Stefansson n’est plus là. Alexander Petersson et Arnor Atlason, eux, ne sont pas en Espagne. La nouvelle star, c’est Aron Palmarsson, le demi-centre de Kiel. «Il tient l’équipe à lui tout seul dans les moments décisifs», raconte Cédric Sorhaindo. «Depuis les JO, il a encore haussé son niveau de jeu», renchérit Guigou.


    La France a perdu contre l'Allemagne ; l'Islande s'est inclinée contre la Russie et le DanemarkLors du 1er tour du Mondial, si on retient que la France a cédé face à l’Allemagne pour son premier test, il faut noter que les Islandais sont un peu dans la même situation, ayant perdu face à la Russie puis au Danemark. «L’Islande a un jeu comme l’Allemagne, avec des shooteurs et une bonne relation avec le pivot, reprend Guigou. Elle va se servir de notre match de vendredi pour jouer de la même manière». La défaite contre les Allemands n’inquiète pas les Français. Guigou encore : «Dans l’ensemble, tout marche à peu près bien. Mais ça n’est pas suffisant.» Pour Nikola Karabatic, l’équipe n’est pas devenue moins forte. «Aux JO, c’était la même qu’à l’Euro 2012.» En six mois, les Bleus étaient passés d’une onzième place continentale à l’or olympique.

    Olivier PAQUEREAU, à Barcelone
     
  16. Croconico

    Croconico Well-Known Member

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    en même temps, ils ont pas tord! les croates auraient du en faire autant!
    quels cons! te retrouver dans la partie de tableau de la meilleure équipe de l'histoire et du champion d'europe en titre alors que tu pouvais aborder sereinement l'autre partie de tableau avec l'allemagne comme plus sérieux concurrent.
     
  17. Suix

    Suix Guest

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    Yyyyyyyyyyyyyyyyyyyeeeeeeeeeeeeeeeeeeeessssssssssssssssssssssssssss !! En 1/4, au suivant ...
     
  18. ascde3

    ascde3 La "caution marseillaise"

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    Un grand Karabatic

    Mention très bien au côté gauche Honrubia en 1ère puis Guigou en 2 ème toujours aussi propre

    Allez on attend la Croatie désormais
     
  19. Suix

    Suix Guest

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    L'orgueil des champions

    L'équipe de France a fait la différence dans les dernières minutes pour battre l'Islande (30-28 ), dimanche, se qualifier pour les quarts de finale et se rassurer.


    Battus par l'Allemagne en épilogue du premier tour, Nikola Karabatic et les Bleus ont réagi contre l'Islande pour se qualifier en quarts de finale du Mondial espagnol, dimanche à Barcelone. (L'Equipe)

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    A l’issue de son premier match couperet, l’équipe de France n’a pas eu la tête tranchée. Deux jours après avoir perdu contre l’Allemagne (32-30), les Bleus ont réagi contre l'Islande (30-28 ) et gagné le droit de poursuivre l’aventure en terre espagnole. Et, si tout n’a pas été parfait dans leur jeu, les champions olympiques se sont quelque peu rassurés. «C’est une petite bouffée d’air», a ainsi commenté William Accambray. Peu utilisé jusqu’à présent, l’arrière gauche de Montpellier a été l'un des hommes déterminants dans le succès des Bleus, très actif sur son côté, marquant cinq fois, rapide, agressif. «C’est le genre de match que j’aime, a-t-il déclaré. Quand il y a de la tension, de l’enjeu, du stress.» Car la bataille a bien eu lieu.

    Honrubia énorme en première période

    A quatre minutes de la fin, l’équipe de France ne comptait qu’un but d’avance. Contrairement à ce qui avait été vu deux jours plus tôt, les Bleus ont cette fois tenu leur adversaire dès le début de la rencontre. Samuel Honrubia a été énorme pendant cette première période, en inscrivant la moitié des buts tricolores, et avec une efficacité devant la cage (7/8) qui n’est qu’une confirmation de ce qu'on a vu depuis le début du Mondial. Mais les Islandais, à la recherche eux aussi d’un match référence dans ce Mondial, après des défaites contre la Russie et le Danemark, n’ont jamais renoncé.

    La délivrance avec Karabatic, Abalo et Guigou




    Sous la houlette d’Aron Palmarsson, leur meilleur joueur, ils ont su surprendre l’équipe de France avec des montées de balle très rapides. Résultat : les Bleus n’ont jamais pu garder leur distance au tableau d’affichage. Le 15-12 (29e), sur un but de Cédric Sorhaindo, a vite été gommé. Même chose en seconde période. Les Bleus ont eu quatre unités d’avance (25-21, 46e) mais Borir Olafsson (trois buts) et Vignir Svavarsson ont relancé l’Islande. Et c’est finalement un boulet de canon de Nikola Karabatic (56e) qui a délivré les Français, suivi dans la foulée d’une interception de Luc Abalo et de deux buts d'un Michaël Guigou rageur. L’ailier gauche de Montpellier, qui alterne avec Samuel Honrubia, a lui aussi fait du bon boulot (6/6) dimanche soir.
    «Tout le monde la voulait, cette victoire» (Daniel Narcisse)«On a vu que tout le monde la voulait, cette victoire, a déclaré Daniel Narcisse. Nous avons réussi à mettre du doute dans la tête des joueurs adverses. Et le niveau de jeu monte pour le prochain tour.» Cédric Sorhaindo a, lui, préféré évoquer «une victoire en demi-teinte. C’est bien mais il manque encore un petit quelque chose». Qualifiés pour les quarts de finale, mercredi à Saragosse, les Français attendent désormais de connaître leur adversaire. Ça sera la Croatie ou le Bélarus, qui s’affrontent lundi.

    Olivier PAQUEREAU, à Barcelone
     
  20. ascde3

    ascde3 La "caution marseillaise"

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    L'Espagne vient de déchirer la Serbie finaliste du dernier Euro 31-20 dans une salle surchauffée
     

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