Ce même El Arabi qui manque le but du K.O, 5 minutes plus tard, sa tête passant à quelques centimètres du poteau...
Le Cap Vert en trublion Trublion de la CAN, le Cap Vert a tenu le Maroc en échec mercredi soir (1-1). Tout reste ouvert dans ce groupe A, légèrement dominé par l'Afrique du Sud. Le Cap-Vert de Ryan Mendes ne s'est pas encore incliné dans la CAN cette saison. (Reuters) Il s’appelle Platini, évolue en D2 portugaise à Santa Clara mais il est rentré dans l’histoire du Cap Vert en inscrivant le premier but de l’histoire des insulaires à la CAN. Lancé par le Lillois Ryan Mendes, l’attaquant a piqué son ballon au-dessus du gardien adverse pour ouvrir le score contre le Maroc ce mercredi soir (36e). Auteurs d’un bon nul en ouverture face à l’organisateur sud-africain (0-0), les Requins Bleus ont tenu le choc contre le Maroc (1-1). Dominant notamment la première période grâce à un contrôle de l’entrejeu, ils ont éteint les velléités offensives des Fennecs, qui s’étaient présentés avec une formation remplie d’attaquants. Le Cap Vert à un succès des quarts ! Cela a déséquilibré le Maroc, qui a souffert face à l’impact insulaire. Sans El Kaoutari, il a vu Mendes menacer son portier sur coup franc (22e) puis Platini se retourner pour envoyer une frappe dangereuse, détournée par Lamyaghri. N’ayant pas réussi à cadrer un seul tir avant la pause, le Maroc a tenté des choses : Belghazouani, Chafni et El Arabi sont entrés en jeu. C’est le dernier nommé, passé par Caen, qui a permis aux siens de se sortir de ce mauvais pas. A la 78e, l’excellent Barrada l’a trouvé en retrait et il s’est appliqué pour battre Vozinha. S’il bat l’Angola dans quelques jours, le Cap Vert se qualifiera obligatoirement pour les quarts ! Ce serait une belle récompense pour une petite équipe qui a sorti le Cameroun en éliminatoires. C.O.
[h=1]«Ils sont magnifiques»[/h] Proche de se qualifier pour les quarts suite à sa victoire contre l'Angola (2-0), l'Afrique du Sud respire. Le Cap Vert, lui, croit à l'exploit après ses deux nuls. i Gordon Igesund (sélectionneur de l'Afrique du Sud): «Je suis très heureux mais on est à un stade de la compétition où il nous faut voir match après match. Je veux remercier le public, il a été derrière nous pour la première fois et ça a fait la différence. J'avais dit aux joueurs que je croyais en eux et ils ont été magnifiques. On a très bien défendu.» Gustavo Ferrin (sélectionneur de l'Angola): «J'ai aligné le même milieu de terrain que contre le Maroc mais on n'a pas réussi à trouver Manucho. L'Afrique du Sud a mieux joué mais cette équipe n'avait pas besoin d'être aidée par l'arbitre. Il y a eu des incidents alarmants comme nous faire commencer la seconde période à dix alors qu'on avait demandé à faire un changement, cela ne justifie pas notre défaite mais il faudra se pencher sur ces incidents.» Pour le sélectionneur du Cap Vert, «les joueurs ont bien travaillé et ont démontré qu'ils avaient les qualités pour évoluer dans les meilleurs clubs du monde.»Lucio Antunes (sélectionneur du Cap Vert): «On a fait un nouveau match nul mais on a encore une chance de se qualifier. Je suis très heureux du résultat, qui est très bon pour le Cap Vert. Les joueurs ont bien travaillé et ont démontré qu'ils avaient les qualités pour évoluer dans les meilleurs clubs du monde.» Rachid Taoussi (sélectionneur du Maroc): «On n'a pas sous-estimé notre adversaire mais on a commis des erreurs individuelles grossières surtout en première période. On a mis du temps à nous adapter à notre adversaire mais en seconde période, on a montré de belles choses qui sont sources d'espoirs pour la suite et le prochain match.» AFP
Y'en a qui ont eu le temps de jeter un oeil sur le Cap Vert? Et par la même occasion de voir Ryan à l'oeuvre? Moi pas, mais j'ai un pote qui m'a dit que ça jouait pas mal du tout.
Je ne l'ai pas vu (ou alors dans un zapping qui ne me permet pas de porter un jugement affiné). Il paraît que sa passe sur le but est superbe.
De même juste un rapide résumé mais trop light pour se faire un jugement. Même si le mien sur Mendes est déjà fait depuis un p'tit moment!
C'est une question sur leur niveau, inutile de répondre ainsi... Bah oui c'est bien pour ça que je saute sur l'occasion pour savoir si y'a du monde qui a suivi un peu leurs matchs.
On va dire que c'était un peu agressif et un eu à côté de la plaque, mais bon on en a vu d'autres donc c'est pas un souci.
Ouais nan! Loin de moi l'envie d'agresser les gens au réveil à propos de la CAN lol. Je disais donc, j'ai vu ces deux matchs du C-V, et j'étais loin du régal footballistique. Voilà, rien contre toi ou ton ami, pas de soucis.
Un air de revanche Ghana-Mali, 3e match du groupe B ce jeudi à Port Elizabeth (16h00), sera une revanche de la petite finale de la CAN 2012 perdue (0-2) par les Black Stars. Seydou Keita et le Mali espèrent refaire le coup de la CAN 2012 contre le Ghana. (Reuters) Déjà sous pression ! Tenu en échec (2-2) lors de son premier match contre la RD Congo, dimanche, après avoir pourtant mené 2-0, le Ghana doit se ressaisir face au Mali, leader du groupe B après son court succès (1-0) sur le Niger. L'objectif : garder intactes ses chances de qualification. Le risque : laisser le champ libre à la RDC de Claude Le Roy qui affrontera dans la foulée (19h00) un Niger qui lui est a priori inférieur. Paradoxalement, l'absence de plusieurs leaders offensifs (les frères Ayew, Kevin-Prince Boateng) n'a pas nui au rendement des Ghanéens qui ont surtout souffert derrière face à la vitesse et la technique des attaquants congolais. C'est donc une opération rachat qui leur est réclamée dans une poule beaucoup plus compliquée que prévu. Outre la RD Congo, il faudra en effet compter sur le Mali, dont les joueurs ne semblent guère perturbés par le conflit en cours dans leur pays. Carteron compte sur Maïga Au contraire, le succès contre le Niger, acquis de haute lutte grâce à leur leader Seydou Keita, semble avoir boosté leur moral. La méfiance est donc de mise chez les Ghanéens. D'autant que Patrice Carteron récupère le joueur de West Ham Modibo Maïga, considéré comme «un élément fondamental en attaque» par le sélectionneur malien et forfait pour le premier match en raison d'une blessure à la cuisse. (Avec AFP)
[h=1]Le Ghana joue sa survie[/h] Le Ghana doit se ressaisir face au Mali, leader du groupe B de la CAN-2013, pour sauvegarder intactes ses chances de qualification et ne pas laisser le champ libre à la RD Congo de Claude Le Roy, a priori supérieure au Niger, jeudi à Port Elizabeth. Ghana-Mali: attention danger Les Black Stars ont subi une douche froide d'entrée en concédant le nul contre la RD Congo, après avoir pourtant mené 2-0 (2-2), affichant des lacunes défensives indignes d'un favori pour le titre. Paradoxalement, l'absence de plusieurs leaders offensifs (les frères Ayew, Kevin-Prince Boateng) n'a pas nui au rendement des Ghanéens qui ont surtout souffert derrière face à la vitesse et la technique des attaquants congolais. C'est donc une opération rachat qui leur est réclamée dans une poule beaucoup plus compliquée que prévu. Outre la RD Congo, il faudra en effet compter sur le Mali, dont les joueurs ne semblent guère perturbés par le conflit en cours dans leur pays. Au contraire, le succès contre le Niger (1-0), acquis de haute lutte grâce à leur leader Seydou Keita, semble avoir boosté leur moral. La méfiance est donc de mise chez les Ghanéens, battus par les Aigles lors de la petite finale de la CAN-2012 (2-0). D'autant que Patrice Carteron récupère le joueur de West Ham Modibo Maïga, considéré comme "un élément fondamental en attaque" par le sélectionneur malien et forfait pour le premier match en raison d'une blessure à la cuisse. RD Congo-Niger: simple formalité pour les Léopards? Claude Le Roy n'a rien perdu de sa science infuse du continent. Cinq ans après avoir atteint les demi-finales avec le Ghana, le Français a démontré qu'il était un meneur d'hommes hors pair en tenant la dragée haute aux Black Stars avec la RD Congo (2-2), qu'il avait déjà menée en quart de finale en 2006 à la surprise générale. Pour sa 7e CAN, le champion d'Afrique 1988 n'est pas venu pour faire de la figuration. Le Niger, qui n'a pas inscrit le moindre point de toute son histoire en Coupe d'Afrique, n'a théoriquement pas les armes pour rivaliser avec la RDC et peut trembler avant de se frotter à la doublette magique Mputu-Mbokani. Son seul espoir: parier sur la discipline, le physique et l'engagement. Une recette qui a failli fonctionner face au Mali avant le coup de grâce donné par Keita. Mais avec un gardien (Daouda), expert dans les sorties aériennes ratées, et un attaquant (Maazou) à la technique frustre et sacré "Ballon de plomb 2011", la tâche paraît très délicate.
Et l'histoire continue avec le Maroc...tant qu'on aura pas nettoyé la Fédé et l'EN, y aura jamais rien...et c'est tant mieux comme ça
Il a fait un bon match , il a joué comme électron libre . Beaucoup d'engagement de sa part , vraiment un bon match .