[Monde] Football AMSUD + Mexique

Discussion dans 'Les Championnats' démarrée par Mac'sous, 19 Juillet 2012.

  1. Suix

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    Le Brésil, bel horizon




    Invité : When Saturday Comes – En dehors du mythique Petkovic et récemment de Seedorf, peu de grands joueurs européens ont tenté l'aventure du foot brésilien. Cela pourrait changer.




    Un nouvel article de When Saturday Comes traduit sur les Cahiers du football, issu du numéro de janvier. Titre original: New Adventures.

    * * * ​
    Un calendrier très dense, des versements de salaires irréguliers au sein de clubs en difficultés financières, des terrains bosselés, un public et des médias très exigeants: voila quelques-unes seulement des raisons pour lesquelles les joueurs européens ont résisté à la tentation de jouer au Brésil. Aucune n'a été suffisante pour dissuader Clarence Seedorf, en juillet dernier, de rejoindre Botafogo en signant un contrat qui changera peut-être la donne.


    Si tu vas à Rio...


    Les deux parties, à ce jour, se déclarent pleinement satisfaites, même si Botafogo, septième, a échoué près d'une place qualificative pour la Copa Libertadores qui lui échappe depuis seize ans. "Nous n'avons pas vingt-cinq stars dans l'équipe, a déclaré Seedorf en octobre, mais travailler ici est très facile. Les jeunes sont vraiment ouverts et ont envie d'apprendre."


    Il est apparu que Seedorf, qui a par moment exprimé sa frustration envers ses coéquipiers, était finalement plus prêt pour Botafogo que Botafogo pour lui. Deux prestations brillantes contre Cruzeiro et les Corinthians, huit buts en championnat n'ont pas pu compenser l'absence d'un bon avant-centre ni la fragilité de la défense locale. Son professionnalisme sans concession ne le range pas dans la catégorie des revenants Romario, Ronaldinho ou Adriano, qui s'entraînaient selon leur bon vouloir dans leurs clubs cariocas respectifs.




    Cela n'a pas été complètement un saut dans l'inconnu pour Seedorf, dont l'épouse Luviana a grandi à Rio dans une famille de supporters de Botafogo. En parallèle à son contrat de deux ans, le Néerlandais cherche à développer des intérêts commerciaux dans une ville qui bénéficie des investissements relatifs à la Coupe du monde et aux Jeux olympiques. Rio a aussi offert de la visibilité à la Fondation Seedorf, une organisation caritative créée en 2005 pour promouvoir l'importance sociale du sport dans la vie des enfants.


    "Pet" sounds


    Seedorf reste cependant à quelque distance du panthéon de "Fogo" où résident des déités comme Garringha, Nilton Santos et Jairzinho, dont les statues se dressent devant l'entrée ouest du Engenhao, le stade du club depuis 2007. Assez loin même de Dejan Petkovic. Le Serbe, ancien de l'Étoile rouge de Belgrade et du Real Madrid, a connu l'exceptionnel destin de devenir une idole à la fois pour Flamengo et Vasco de Gama au début des années 2000. Revenu à Flamengo en 2009, a priori seulement pour une sorte de tournée d'adieux, il avait mystifié son monde en renouant avec sa meilleure forme pour conduire les Rouge et Noir vers leur premier titre national depuis 1992.

    La maîtrise du Portugais a aidé "Pet" et Seedorf à s'intégrer au sein d'effectifs monolingues. Petkovic, en rejoignant le Brésil après ses échecs en Espagne, avait fait un pari, n'ignorant pas que ses chances d'être de nouveau sélectionné (il avait connu sept sélections avec a Yougoslavie, n'en connaîtra aucun avec la Serbie) seraient réduites. Seedorf, lui, après une carrière qui lui a fait connaître l'Ajax, la Sampdoria, le Real et des deux formations milanaises, pouvait se permettre de privilégier la qualité de vie à un plus gros chèque dans le Golfe.

    Les Européens ont exercé une influence majeure au cours des premières décennies du football brésilien, au travers de Britanniques comme Harry Welfare, un attaquant qui inscrivit 163 buts en 166 matches pour Fluminense, entre 1913 et 1924 – on lui prête aussi l'importation du une-deux dans le jeu brésilien – ou Sidney Pullen, qui remporta six championnats de l'État de Rio et évolua même en sélection auriverde. Plus récemment, le succès de Petkovic avait amorcé une vague de joueurs en provenance des Balkans, mais ses compatriotes Miodrag Andjelkovic (Fluminense, Coritiba) et homonyme Vladimir Petkovic (Botafogo) ne firent pas vraiment sensation au cours de brefs séjours il y a une dizaine d'années.


    Regain de lumière


    En attendant les prochaines spéculations sur l'avenir de Beckham, le seul nom européen d'un joueur majeur lié à un club brésilien a été celui de Florent Malouda, qui a un temps suscité l'intérêt de Santos. En revanche, le pays a toujours été un pôle d'attraction pour les meilleurs joueurs de tout le continent sud-américaine. L'an passé, Diedo Forlan a rejoint l'Internacional trois décennies après les succès de son père à Sao Paulo, tandis que la filière argentine a compté Andrès d'Alessandro, ou encore Caroles Tevez et Javier Mascherano – dont le court passage aux Corinthians en 2005/06 avait suscité la controverse.

    Tout cela pourrait changer si le Brésil continue de prospérer pendant que les économies européennes souffrent, d'autant que les entreprises locales sont désireuses de financer quelques grands noms. Le titre de Fluminense s'est aussi construit avec les investissements de la compagnie d'assurances Unimed, qui a dépensé plus d'un million d'euros par mois pour assurer la présence de Deco, Fred et Thiago Neves.

    Les Européens qui voudront marcher dans les pas de Clarence Seedorf devront probablement accepter la sous-exposition médiatique dont Petkovic a fait l'expérience, le championnat brésilien et la Coupe Libertarores n'ayant pas le même retentissement que les grands matches européens. La Coupe du monde 2014 pourrait marquer un tournant, avec des salaires compétitifs et des infrastructures rénovées qui inspireront d'autres esprits aventureux.
     
  2. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Voyage en Hernánie[/h] Passe en retraite - Hernán Crespo a mis fin il y a quelques semaines à une carrière semée d'exploits portant une signature inimitable.




    Hernán Crespo a annoncé en novembre dernier qu’il arrêtait sa carrière de joueur professionnel, après un dernier contrat avec le club indien de Barasat qu’il n’a pu vraiment honorer à cause de l’annulation de la Bengal Premier League Soccer. Les projets actuels de l’ex-attaquant argentin sont de passer ses diplômes d’entraineur et de commencer à exercer dès juillet 2013 si l’opportunité se présente. On l’a récemment vu au Camp des Loges observer les séances de Carlo Ancelotti, le coach qui l’avait soutenu lors de six premiers mois difficiles à Parme en 1996. Avec le temps et ses cheveux grisonnants, il ressemble à un crooner italien et garde quelque chose de cet artiste errant qui promenait ci et là son élégance footballistique.


    Nomadisme


    Crespo n’a en effet pas été l’homme d’un seul club, d’une seule ville. Parti de River Plate à l’âge de vingt-et-un ans, il aura connu quatre autres cités que Buenos Aires, effectuant même des allers-retours [1] ou retournant à Parme en 2010 avant son aventure asiatique avortée. Un nomadisme qui n’est pas sans rappeler un autre attaquant de sa génération, Christian Vieri – avec lequel il a d’ailleurs fait un amusant chassé-croisé, et qui s’explique en grande partie par la concurrence qu'il a dû affronter – celles de Didier Drogba à Chelsea ou d’Ibrahimovic à l’Inter. La dernière saison avec un rendement digne de ses débuts remonte à 2006/07, avec 14 buts en 29 matches de Serie A sous le maillot nerazzurro. En sélection d’Argentine, il a également pâti de la longévité de Batistuta et de l’explosion de Milito.


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    Cela lui vaudra d’être sur le banc durant les Coupes du monde 1998 et 2002 et de rater celle de 2010. Mais qu’à cela ne tienne: son talent fut assez grand pour accomplir de belles choses. Comme devenir le deuxième meilleur buteur de l’Albiceleste [2], capocannoniere en 2000/01 avec 26 réalisations, champion dans tous les pays où il a évolué, l’un des éléments essentiels de la belle mais inachevée équipe d’Argentine du mondial 2006 et un véritable homme de finales. Et accessoirement, l’un des plus gros transferts de l’histoire [3]. À sa façon, Hernán Crespo incarne l’élégance des grands joueurs de la période fin 90s-début 2000.


    Force et élégance


    Quand Zlatan Ibrahimovic l'a rencontré, il ne lui a pas demandé qui il était: “Quand je jouais à l’Ajax, tu étais déjà à l’Inter et tu étais Crespo. Un buteur.” Le 2 novembre 2004, un jeune Argentin membre du centre de formation du FC Barcelone l’attend devant le vestiaire après une rencontre de Ligue des champions entre le club blaugrana et le Milan AC. Lionel Messi lui demande son maillot et lui déclare son admiration. Hernán Crespo est ainsi un modèle pour deux des plus talentueux joueurs de la génération actuelle. Une inspiration peu surprenante concernant un attaquant de classe complet, élégant et spectaculaire.

    D’un gabarit idéal pour ce poste (1,84 m pour 81 kg), Crespo détonait par son sens du placement – souvent à la tombée pour reprendre de volée un ballon détourné, un timing qui en faisait un remarquable joueur de tête et de surface, un équilibre lui permettant de protéger son ballon, se retourner et effectuer de jolies acrobaties. Son apparente sobriété cachait une grande qualité technique, qu’il aimait bien afficher avec ses frappes des deux pieds et ses fameuses talonnades – dont celle, décisive, au profit de Cambiasso face à la Serbie-et-Monténégro en 2006, pour ce qui reste l’une des plus belles actions collectives de l’histoire de la Coupe du monde.

    Crespo n’était pas de ces attaquants égoïstes et pouvait apporter une vraie valeur ajoutée à un collectif. Il l’a été au sein de doublettes de haut vol (Chiesa, Saviola) et de cette Argentine de José Pekerman, à qui on a encore du mal à pardonner le remplacement de son attaquant et de Riquelme lors du quart de finale du Mondial 2006 [4]. Crespo, c’étaient un peu Batistuta, Trezeguet et Papin chez le même joueur.




    Un homme de finales


    Et comme ces trois-là, il affichait une belle joie lorsqu’il marquait. Même s’il n’évoluait pas à un poste particulièrement exposé à ce genre de sanctions, il n’a jamais été expulsé de toute sa carrière professionnelle, un signe de son implication dans le jeu et de sa propension à ne jamais se détourner de son rôle d’attaquant. Un rôle qu’il pense suffisant le 25 mai 2005 lorsqu’il inscrit un doublé en première mi-temps de la finale de la C1 face à Liverpool qui permet au Milan AC de mener 3-0. Le second but est empreint de sa classe: lancé en profondeur par une exquise passe de Káká, il surprend Dudek d’un piqué subit de l’extérieur du pied droit. Liverpool reviendra au score et remportera la compétition aux tirs au but. Une couronne qui s’échappe, comme la médaille d’or des Jeux olympiques d’Atlanta dont Crespo a été le meilleur buteur, celui qui a donné l’avantage insuffisant du 2-1 à ses coéquipiers face au Nigéria en finale.

    Hernán a donc assisté à ces deux matches historiques du côté des perdants, tout en les marquant de son empreinte. Il n'entre cependant pas dans la catégorie des losers éternels puisqu’en cette même année 1996, il remporte la Copa Libertadores avec River Plate face à América Cali en inscrivant un doublé lors du match retour à Buenos Aires. Après une défaite à l’aller (0-1), Crespo permet au club argentin de glaner son second titre continental grâce à deux buts de joueur de surface, déjà à l’affût des bons coups et doté d’une détente verticale impressionnante. Il fera de même trois ans plus tard, lorsqu’il profitera d’une passe en retrait de Laurent Blanc mal ajustée pour lancer vers sa seconde Coupe de l’UEFA la magnifique (et survitaminée) équipe de Parme composée alors de Thuram, Buffon, Cannavaro, Veron, Boghossian et autres Fuser ou Dino Baggio.

    Il s’agit là des deux titres les plus prestigieux que Hernán Crespo aura glanés au cours de sa carrière de joueur. Celle-ci fut belle, mais elle aurait pu être grande si elle avait été agrémentée d’un parcours plus significatif en Coupe du monde et de choix plus pertinents ou de circonstances plus favorables lors de sa seconde moitié. Sur un banc, il aura peut-être l'occasion de prendre certaines revanches.


    [1] Il quitte l’Inter pour Chelsea en 2003 et y reviendra en prêt en 2006. Après deux saisons, il signe un nouveau contrat avec le club lombard et y reste jusqu’en 2009.
    [2] Crespo a inscrit 35 buts en 64 sélections. C’est Gabriel Batistuta qui détient le record, avec 56 réalisations en 78 capes.
    [3] 56 millions d’euros.
    [4] Lire “L’Argentine nous a laissé tomber”, les Cahiers du football #27.
     
  3. Debjam

    Debjam Well-Known Member

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    Riquelme de retour a Boca !!
     
  4. Suix

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    [h=1]Del Piero à Flamengo[/h]
    Selon Tuttosport, Alessandro Del Piero pourrait s'engager avec le club brésilien de Flamengo.
    Sûrement lassé par les très mauvais résultats sportifs du FC Sydney, et par le faible niveau du Championnat australien, Alessandro Del Piero pourrait déjà quitter l'Océanie, et rejoindre le club brésilien de Flamengo. Selon Tuttosport, ce dernier serait, par l’intermédiaire de Zico, en pleine négociation avec Pinturicchio, et l'entourage de l'ancien capitaine de la Juve se serait même déjà envolé pour le Brésil afin de débuter les négociations. Affaire à suivre donc.
     
  5. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Riquelme retourne au bercail[/h]
    L'international argentin Juan Roman Riquelme est revenu sur sa décision de ne plus porter le maillot de Boca Juniors, sept mois après la cruelle défaite en finale de la Copa Libertadores contre Corinthians, a annoncé vendredi le club de Buenos Aires.


    "La direction du club a approuvé le retour du joueur. Il a ressenti l'envie de revenir jouer pour l'équipe, tout en sachant qu'il ne sera pas le sauveur", a déclaré le président de Boca Juniors, Daniel Angelici. "Il est à la disposition de notre entraîneur qui a accepté son retour et il reprendra l'entraînement lundi", a poursuivi le dirigeant. Agé de 34 ans, Riquelme avait annoncé en juillet 2012 qu'il ne souhaitait pas honorer les deux dernières années de son contrat. L'ancien joueur du FC Barcelone (2002-03) et de Villarreal (2003-07), sélectionné à 68 reprises en équipe d'Argentine, avait du mal à accepter la défaite de son équipe en finale de la Copa Libertadores contre les Corinthians de Sao Paulo et ne cachait plus sa mésentente avec l'entraîneur alors en poste, Julio Cesar Falcioni. L'Argentin Carlos Bianchi, revenu comme entraîneur à Boca Juniors en janvier, avait d'entrée tenté de convaincre le milieu offensif, de réintégrer l'équipe. Il a finalement obtenu satisfaction après un mois d'efforts et sous la pression des supporteurs.
     
  6. Suix

    Suix Guest

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    Reprise contrastée pour V. Sarsfield



    Champion de l'Ouverture, Velez Sarsfield a démarré vendredi soir par une victoire le tournoi de Clôture du Championnat d'Argentine en s'imposant (1-0) sur la pelouse d'Argentinos Juniors, grâce à une frappe de 30 mètres de Lucas Pratto à la 45e... +22. Ce minutage inhabituel n'a rien d'étonnant quand on sait qu'une panne d'éclairage a interrompu la rencontre dès la 12e minute pendant plus d'une demi-heure... Mauvaise nouvelle de la soirée pour l'équipe de Buenos Aires : co-meilleur buteur de la première partie de saison (13 réalisations), son attaquant Facundo Ferreyra s'est donné une grave blessure à la cheville. L'autre match de la soirée, Union Santa Fé - Arsenal (1-1), a lui aussi été retardé par des projecteurs fantaisistes.
     
  7. Suix

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    [h=1]Boca miraculé[/h]

    Mené 0-2 à la Bombonera après 9 minutes de jeu, Boca Juniors a renversé la situation pour finalement s'imposer (3-2) contre Quilmes, samedi soir, lors de la 1re journée du tournoi de clôture du Championnat d'Argentine. Le boulet est passé tout près : alors que Boca était revenu à 2-2, une faute dans la surface du défenseur Matias Caruzzo a entraîné son expulsion et un penalty... stoppé par Agustin Orion (78e). Trois minutes plus tard, à dix contre onze, l'autre central de Boca, Guillermo Burdisso, déjà auteur du but égalisateur, a inscrit le but décisif d'une reprise de volée sur corner (81e). Ce scénario à rebondissement a été suivi des tribunes par Juan Roman Riquelme, de retour à Boca après 7 mois de retrait. Vendredi, le champion du tournoi d'Ouverture, Velez Sarsfield, avait dominé Argentinos Juniors sur la plus courte des marges (1-0)
     
  8. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Le PSG et Milan à la lutte pour un Colombien ?[/h]
    Toujours en quête de jeunes talents très prometteurs, comme Lucas et Verratti, le club parisien tenterait d'obtenir un jeune attaquant colombien.
    Selon Sky Sport, le Paris Saint-Germain et le Milan AC voudraient signer le jeune attaquant colombien Miguel Angel Borja, âgé de 20 ans. Prêté à Cortulua par le Deportivo Cali, celui qui est surnommé "Borjagol" a récemment fait sensation en signant un triplé contre la Bolivie en Copa Sudamericana U20.
     
  9. ilhies62

    ilhies62 Well-Known Member

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    J'ai vu le match, un scénario de fou avec une grosse ambiance à la Bombonera, hate de revoir Riquelme.
     
  10. Totti.99

    Totti.99 Not best in the world !

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    Le but de la victoire signé Guillermo Burdisso est énorme. :cool:

    [video=youtube;tihEoWMe7nU]http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=tihEoWMe7nU[/video]
     
  11. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Miguel Borja (Cali) dans le viseur[/h]
    A en croire Sky Sports 24, le club parisien surveillerait de très près l'attaquant colombien Miguel Borja.
    Le joueur de 20 ans, qui évolue au Deportivo Cali, est surveillé par d'autres écuries européennes dont l'Udinese et l'AC Milan.
     
  12. ilhies62

    ilhies62 Well-Known Member

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    Match très moyen de Boca hier pour son entré en lice en copa libertores, défaite 1-2 contre Toluca , une prestation collective très moyenne. Orion le gardien de Boca a encore réalisé des exploits pour permettre à son équipe de conserver l'avantage , il arrete un deuxiéme penalty en 3 jours.

    Carusso fait beaucoup de faute en défense central , Cellay n'a pas l'air à l'aise à droite , je le prèfere en défense central , Acosta est prometteur c'est une fusée sur le coté, el "Tanque " Silva marque sur pénalty mais n'a pas fait un match extraordinaire.

    Mais ca n'a pas suffis les Mexicains reviennent dans le match en seconde période et marque par 2 fois.
    Viatri aurait pu égaliser dans les dernières seconde d'une belle frappe qui s'est écrasé sur le poteau.
    Sinon Riquelme pourrait effectuer son grand retour sur les pelouses ce week end en championnat.
     
  13. Suix

    Suix Guest

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    Qu'est qu'il vaut le petit Borja, les spécialistes ?
     
  14. kornOm

    kornOm Anti virus anigo et SL

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    grave c'était une purge ce match,

    il vaut quoi Paredes, le petit meneur de 18 piges de Boca ?
     
  15. Buldo

    Buldo Guest

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  16. Totti.99

    Totti.99 Not best in the world !

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    Ouais, puis Toluca a part Benitez l'attaquant international paraguayen c'est vraiment très mauvais et encore y loupe un pénalty sur une grossière faute de Caruzzo complètement à l'ouest, tout comme Cellay seulement le niveau pour être une doublure.

    Pour Acosta c'est plus un tout jeune joueur 24ans et déjà une expérience en Europe avec Seville et Santander, mais y confirme ce que je pensais de lui, c'est un excellent joueur pour le championnat argentin, mais qui aura jamais le physique pour s'imposer en Europe.
    Paredes certainement l'un des joueurs les plus prometteur du club, s'ils le grillent pas y va surement aller très loin ce joueur et le retour de Riquelme va lui faire un bien fou.
     
    Dernière édition: 16 Février 2013
  17. Buldo

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    En gros on s'en fou de Ronaldo ?:shock::innocent::pensif:
     
  18. Totti.99

    Totti.99 Not best in the world !

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    Il pique la place de Gignac sans problème avec un physique pareil. :cool:

    Sinon, pas étonnant de le voir retrouver la forme. Il peut enfin ce soigner tranquille, faut pas oublier qui souffre d’hypothyroïdie et en étant footballeur c'est pas possible de prendre le traitement vu que s'est considérées comme des produits dopant.

    C'est plus facile de faire du sport sans douleurs. (PSV de merde...) :wink:
     
  19. Suix

    Suix Guest

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    Pas de réponse ou vous avez zappé ?
     
  20. kornOm

    kornOm Anti virus anigo et SL

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    ah je savais pas ça,

    c'est vrai qu'il est impressionnant sur la tof !
     

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