Formule 1 : A fond, à fond, à fond et puis... j'ai fait gravier

Discussion dans 'Les sports mécaniques' démarrée par Anonyme13, 13 Mars 2006.

  1. Nadal

    Nadal Eternel optimiste

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    bah rien compris à ce qu'il disait à cause du bruit de fond des moteurs....
    justement, je sais qu'il est assez impertinant dans ses commentaires et j'etais curieux de l'entendre
     
  2. Rdp49

    Rdp49 Guest

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    Villeneuve, si tu lis (écoute) un peu entre les lignes, il a un vrai franc parler

    Je kiffais le Malbranque de Tf1, peut être parce que c'est un tifoso, pour moi il y a pas photo
     
  3. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Les horaires TV du Grand Prix de Malaisie[/h][​IMG]
    Aussitôt le Grand Prix d’Australie terminé, la Formule 1 a déjà les yeux rivés sur la Malaisie, tant l’épreuve d’ouverture de la saison 2013 a apporté plus de questions que de réponses concernant la hiérarchie actuelle.

    Retrouvez ci-dessous le programme TV complet des diffusions et rediffusions pour ce deuxième Grand Prix de la saison, avec les horaires pour la France (Canal +) et la Belgique (La Deux) :

    Vendredi 22 mars :



    Essais libres 1 à 2h50 (Canal + Sport).
    Essais libres 2 à 6h50 (Canal + Sport).

    Samedi 23 mars :



    Essais libres 3 à 5h50 (Canal + Sport).
    Qualifications à 8h45 (Canal + Sport).
    Qualifications à 8h55 (La Deux).
    Qualifications (rediffusion) à 13h25 (La Deux).
    Qualifications (rediffusion) à 14h30 (Canal + Sport).

    Dimanche 24 mars :



    "La grille" à 8h15 (Canal +).
    "Warm up" à 8h30 (La Deux).
    Course à 8h55 (Canal + et La Deux).
    Course (rediffusion) à 13h30 (La Deux).
    Course (rediffusion) à 13h55 (Canal + Sport).
    "Formula One" à 18h05 (Canal +, en clair).

    Lundi 25 mars :



    Course (rediffusion) à 10h25 (Canal + Sport).
    "Formula One" (rediffusion) à 12h25 (Canal + Sport).

    Mercredi 27 mars :



    "Les spécialistes F1" à 19h40 (Canal + Sport).

    Le grand film du Grand Prix de Malaisie à 20h45 (Canal + Sport).
    "Les spécialistes F1" (rediffusion) à 23h45 (Canal + Sport).
     
  4. anonymous_050120232

    anonymous_050120232 Well-Known Member

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    Va falloir s'attendre à ce qu'il taille des costards à Ferrari, l'ami Jacques...
     
  5. Suix

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    [h=1]Lotus en liquidation ?[/h][​IMG] Il s'agit de la société Lotus Group, et non pas du Lotus F1 Team (vainqueur du premier Grand Prix de la saison), mais des informations indiquent la possible mise en liquidation du constructeur britannique.


    Après la folle ambition de son ex-directeur général Dany Bahar, le groupe Lotus affiche plus de 400 millions de dollars de dettes et des créanciers ont introduit une demande en liquidation judiciaire dans le but de récupérer une partie de leurs factures impayées.


    Selon une porte-parole de Lotus Group, l'affaire se serait déjà réglée à l'amiable et l'activité continuerait, même si l'on sait que l'assemblage des modèles Lotus produits à Hethel tourne au ralenti depuis des mois...


    Une éventuelle faillite de Lotus Group PLC (qui comprend Lotus Cars, Lotus Engineering et Lotus Racing), actuellement contrôlé par un fonds d'investissement malais, n'aurait pas de conséquence pour le Lotus F1 Team, détenteur de la licence pour l'exploitation du nom Lotus en Formule 1 jusqu'en 2017, si ce n'est en termes d'image.
     
  6. Suix

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    [h=1]Revenus en hausse pour les équipes[/h][​IMG]
    Si les nouveaux Accords Concorde ne sont pas encore entérinés par la FIA, ils sont de mise entre les écuries de F1 et le détenteur des droits commerciaux CVC Capital Partners (à l'exception du onzième team, Marussia).


    Les comptes de la FOM, rendus publics fin 2012, font état du paiement d'un total de 750 millions de dollars aux équipes selon une clé de répartition compliquée, intégrant le classement des constructeurs ainsi que l'historique de chaque concurrent. Cela représente environ 50% des recettes générées par la F1 l'an dernier.


    D'après les nouveaux accords entrant en ligne de compte pour la période 2013-2020, le pourcentage devrait monter à 63% des revenus cette année soit près de 900 millions de dollars à répartir entre les dix (onze ?) équipes engagées. Une manne bienvenue au moment où le marché du sponsoring subit les effets de la crise.


    Cette meilleure répartition de la richesse en F1 est significative si l'on tient compte qu'il y a cinq ans à peine les teams se partageaient 250 millions de dollars seulement. L'augmentation est proche de 400% et les revenus globaux devraient encore augmenter à l'avenir en fonction du nombre de Grands Prix et de la hausse des droits de télévision.
     
  7. Suix

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    [h=1]Lotus ne veut pas entendre parler du titre[/h][​IMG]
    Lotus ne pouvait pas espérer plus belle manière de débuter sa campagne, après son succès obtenu le week-end dernier, en Australie, lors du Grand Prix d’ouverture de la saison de Formule 1.

    Le team principal de l’écurie basée à Enstone, Eric Boullier, refuse toutefois que l’on place son équipe parmi les favorites à la couronne mondiale 2013.


    Quand il lui a été demandé si la victoire de Kimi Räikkönen signifiait que Lotus était en mesure de remporter le championnat cette saison, Boullier a répondu : "Non."


    "La seule chose qui me préoccupe, c’est que nous devenions une équipe de pointe. Il est trop tôt pour dire que nous sommes la meilleure équipe. Toutefois, si chaque année nous sommes en mesure de remporter des courses, alors nous pouvons construire sur cette dynamique pour, peut-être, redevenir champions."
     
  8. Suix

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    [h=1]Ferrari inquiète pour 2014[/h][​IMG]
    On le sait, Ferrari utilise actuellement la soufflerie de Toyota, à Cologne, en attendant la fin des travaux de modernisation de son propre tunnel.

    En octobre, lorsque ce chantier colossal sera terminé, les aérodynamiciens de la Scuderia réintégreront leur soufflerie à Maranello.

    Cette transition risque de compliquer la conception de sa monoplace 2014, de l'aveu même du designer en chef de Ferrari, Nikolas Tombazis :

    “Changer de soufflerie présente toujours des risques, explique l'ingénieur grec. Dans un monde idéal, nous aurions déjà fini cette mise à jour et nous serions en train de travailler à l’usine dans une soufflerie en laquelle nous aurions pleinement confiance.”
    “[La situation actuelle] n’est pas la solution idéale, mais, l’un dans l’autre, retarder cette décision n’aurait fait que reporter le problème à plus tard. Il nous a semblé capital de [lancer ces travaux] le plus tôt possible, malgré le défi de taille que représente la transition 2013-2014.”

    Tombazis admet que la modernisation du tunnel était devenue indispensable, les installations commençant à dater:

    “Nous n’avons jamais caché que nous allions procéder à une sérieuse mise à jour. Celle-ci représente une grosse charge de travail, mais nous ne pouvons plus y échapper, même si cela fait peser sur nos épaules une pression supplémentaire : rester aux avant-postes en utilisant une soufflerie externe tout en gérant la modernisation de notre soufflerie. Nos installations n’étaient plus au niveau de celles de nos concurrents.”

    La soufflerie de la Scuderia est installée dans le complexe de Maranello , où un nouveau bâtiment est en cours de construction, qui rassemblera tous les départements de l’activité F1 du Cheval cabré.
     
  9. Suix

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    [h=1]McLaren présente ses excuses à Red Bull[/h]


    Fin de l’épilogue entre McLaren et Red Bull. L’équipe de Woking a finalement présenté des excuses publiques à sa rivale autrichienne, qui estimait – à raison – que la mauvaise course de Mark Webber au Grand Prix d’Australie était à mettre à l’actif de l’écurie britannique.


    C’est une filiale de McLaren (McLaren Electronic System) qui fournit aux équipes l’unité de contrôle électronique, le boîtier standardisé par la FIA.


    Celui-ci a été modifié en vue de son adaptation au moteur V6 turbo pour 2014, mais le système manque encore de fiabilité et Webber en a fait les frais, perdant le KERS dans le tour de formation (ce qui s’est traduit par un mauvais départ) et toutes les données de télémétrie.


    "L’unité de contrôle électronique en elle-même a fonctionné sans incident à Melbourne, mais il y a eu un problème de software qui a nécessité de redémarrer tous les systèmes durant le tour de formation de Mark Webber", a indiqué McLaren Electronic System dans un communiqué.


    "Cela a perturbé sa préparation pour le départ de la course, et pour cela nous présentons nos excuses à Mark et à l’équipe. Nous allons travailler ensemble pour nous assurer que cela ne se reproduise plus."
     
  10. Suix

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    [h=1]«Rien n'est acquis»[/h] Même si Lotus a idéalement lancé sa saison, avec la victoire de Kimi Räikkönen en Australie, ses dirigeants estiment qu'il est encore bien trop tôt pour faire d'elle une candidate aux titres.


    Lotus arrivera-t-elle à réaliser la même performance en Malaisie ? (L'Equipe)

    [​IMG]





    En 2012, Lotus avait attendu le 18e Grand Prix pour s'imposer, à Abu Dhabi grâce à Kimi Räikkönen. En 2013, c'est allé beaucoup plus vite pour l'écurie anglaise, qui a remporté le week-end dernier le premier Grand Prix de la saison, en Australie, encore une fois grâce au Finlandais. Un succès qui pose d'emblée Lotus comme un poids lourd du plateau. Mais Eric Boullier veut garder la tête froide, et n'oublie pas, d'une part, que cette victoire a été acquise dans des circonstances particulières, et d'autre part que Romain Grosjean n'a lui pris que la 10e place.

    «Mon seul objectif est de devenir une top team, explique le patron de Lotus. En commençant la saison de cette manière, nous démontrons notre potentiel mais c'est encore trop tôt pour dire que nous allons jouer le titre. Déjà, la saison dernière, il arrivait sur certains Grands Prix que nous nous mettions en position de rattraper le leader en fin de course grâce à une meilleure gestion des pneus. Et nous avons travaillé dur afin de conserver ce point fort cette année, tout en essayant de gommer nos points faibles. Avec les pneus 2013, qui semblent se dégrader plus vite, cela nous met dans une position différente.» Comprendre meilleure. Mais reste à savoir si ce cas de figure peut se répéter.


    Pour James Allison, le directeur technique, rien n'est moins sûr : «La voiture est bien équilibrée, c'est clair, mais nous ne sommes pas sûrs de pouvoir faire la même chose - nous arrêter une fois de moins -, à chaque course, tout en gardant un rythme aussi compétitif. La voiture est bonne, les deux pilotes nous ont affirmé qu'ils se sentaient bien à bord, mais rien n'est acquis. La différence entre les deux arrêts de Kimi (Räikkönen) et les trois de Romain (Grosjean) à Melbourne est infime. Sur un tour lancé, nous sommes logiquement la troisième ou la quatrième écurie la plus rapide, ce qui devrait nous valoir une place entre 5 et 8 sur la grille. Mais nous pouvons en effet espérer que la voiture se montre bien plus compétitive en course sur de nombreux circuits


    Rédaction
     
  11. Suix

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    [h=1]Grosjean en quête de podium[/h][​IMG]
    Après un Grand Prix décevant en Australie, alors que son équipier Kimi Räikkönen offrait la victoire à Lotus, Romain Grosjean veut rebondir en Malaisie ce week-end.


    Le Français, qui a quitté le paddock de Melbourne fâché, sans participer aux célébrations de son écurie, espère être en mesure de se battre pour un podium sur le tracé de Sepang.


    "Ce qui s’est passé en Australie est décevant car tout semblait bien aller après les qualifications disputées dans la matinée, mais quelque chose n’allait pas sur ma voiture durant la course", a commenté Grosjean.

    "Je me suis assis avec mes ingénieurs pour analyser d’où venait le problème et j’espère que je serai en mesure d’obtenir de meilleurs résultats à l’avenir. La voiture était vraiment bonne tout au long du week-end à Melbourne, mais parfois quelque chose n’allait pas. La course m’a semblé longue et difficile. Nous savons que le circuit de l’Albert Park peut être difficile à comprendre et la météo ne nous a certainement pas aidés."


    "C’était très frustrant et je suis déçu pour l’équipe et pour moi-même car je voulais entamer ma saison par une solide performance. Mais je vais voir avec mes ingénieurs ce que nous pouvons faire pour rebondir ce week-end. Nous travaillerons dur pour obtenir le meilleur résultat possible, comme toujours. Si la voiture vaut un podium, alors je veux terminer dans le top 3."
     
  12. Suix

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    [h=1]Bianchi veut poursuivre sur sa lancée[/h][​IMG]

    Après des débuts plus que prometteurs le week-end dernier en Australie, reléguant son équipier Max Chilton à une trentaine de secondes à l’arrivée, Jules Bianchi veut poursuivre sur sa lancée en Malaisie.

    "Cela m’a fait du bien de passer quelques jours en Australie pour me remettre de ma première course de Formule 1, a confié le Niçois. J’ai eu à faire face à pas mal de nouveautés, c’était la première fois que je disputais une course sur une si longue distance."


    "J’ai eu un bon débriefing avec mes ingénieurs et je suis désormais tourné vers la Malaisie. J’ai travaillé ce circuit dans le simulateur et je pense que je vais apprécier le tracé de Sepang. Je sais que ce ne sera pas facile avec la chaleur et l’humidité, mais je suis préparé à affronter ces conditions."


    "Même si mes débuts en Formule 1 se sont bien passés, il reste encore des domaines dans lesquels je peux m’améliorer. J’aurai un peu plus de temps ce week-end pour réfléchir à ce que je dois faire pour continuer à aller de l’avant. J’espère obtenir un autre bon résultat à l’issue de la course de dimanche."
     
  13. Suix

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    [h=1]Banqueroute à Sotchi ?[/h][​IMG]
    Voici un mois, le maire de Sotchi Anatoly Pakhomov indiquait que les travaux en vue de l'aménagement du circuit de Formule 1 sur le site olympique de la station balnéaire au bord de la Mer Noire suivaient leurs cours et que la course aurait bien lieu en novembre 2014, une date qui n'a pas manqué d'interpeller en s'interrogeant sur la météo à cette période de l'année.


    On apprend maintenant que la société 'Formula Sochi' (sans 't' en anglais), promoteur du Grand Prix, a été déclarée en situation de banqueroute, liquidée par son principal bailleur de fonds, la région de Krasnodar. En cause : un montage financier trop fragile et d'éventuelles malversations...


    La compagnie Omega, en charge des travaux, a cependant assuré que la construction continuait et son responsable Dmitry Erofeev a indiqué à l'agence Izvestia que la liquidation de 'Formula Sochi' n'aurait pas de conséquence fâcheuse pour l'aboutissement du projet.


    Il est vrai que le maire de Sotchi, un proche du président Poutine, avait déclaré le mois dernier que la ville n'aurait pas le droit à l'erreur dans ce dossier prestigieux. Mais avec les Jeux Olympiques d'hiver, probablement prioritaires pour les autorités locales (ils auront lieu en février prochain), le premier Grand Prix de Russie pourrait être repoussé en 2015. Affaire à suivre !
     
  14. Suix

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    [h=1]Villeneuve critique Vettel[/h]




    Sebastian Vettel (Red Bull) a beau être le triple champion en titre, il n'a pas encore convaincu l'ancien champion du monde Jacques Villeneuve. Le Canadien a critiqué le mental de l'Allemand dans un entretien au magazine Auto Bild Motorsport paru mercredi. «Vettel est super rapide mais commet des fautes quand il est sous pression. S'il est en tête, tout va bien, mais quand les choses se passent un peu moins bien, il ne contrôle pas toujours ses nerfs, a estimé Villeneuve. La différence avec Fernando Alonso et Lewis Hamilton est qu'ils se battent toujours. Peu importe la place qu'ils occupent et si la voiture est bonne, ils se donnent toujours à fond. Sur ce plan, Vettel ne m'impressionne pas.» (Avec AFP)
     
  15. Suix

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    [h=1]Hamilton égratigne encore un peu plus McLaren[/h][​IMG]

    Le divorce serait-il consommé entre Lewis Hamilton et son ancienne équipe McLaren ?

    Ces dernières semaines, le pilote britannique n'a cessé d’égratigner l’écurie basée à Woking au travers de ses nombreuses déclarations dans la presse.
    Et ce mercredi, en marge du Grand Prix de Malaisie de ce week-end, le Champion du monde 2008 en a de nouveau rajouté une couche…


    "Martin (Whitmarsh, le team principal de McLaren, ndlr) a été fantastique quand j’étais chez McLaren. Il a été très ouvert, me permettant d’être moi-même, mais je ressentais tout de même cette emprise au-dessus de moi… C’est très difficile à expliquer", a commenté Hamilton à la chaîne britannique Sky Sports.


    "J’ai passé un très bon moment là-bas, mais je voulais relever un nouveau défi et ici, chez Mercedes, l’environnement est totalement différent de celui qu'il y avait chez McLaren. Je ne ressens pas cette emprise au-dessus de moi, je suis libre. C’est comme quand vous quittez le cocon familial pour gagner votre indépendance. J’ai quitté mon cocon sportif et le défi de rejoindre Mercedes représente mon indépendance."


    Hamilton ajoute que McLaren a une vision trop "clinique" de la Formule 1 et qu’il ne pourrait être plus heureux chez Mercedes.
    "Cela fait longtemps que je suis en Formule 1, a-t-il poursuivi. C’était si clinique que cela en devenait ennuyeux. Je veux être avec des personnes qui ont une autre vision de la F1. J’ai plus à offrir qu’être un simple pilote de course. Je ne pourrais être plus heureux."


    "Je suis vraiment heureux de la décision que j’ai prise. J’estime avoir fait le bon choix d’un point de vue personnel et, à mesure que l’on progresse dans la saison, j’espère que les gens commenceront à voir que c’était la bonne décision à prendre."
     
  16. Suix

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    [h=1]Grand Prix de Malaisie : le circuit à la loupe[/h][​IMG]

    Chaleur étouffante, forte humidité, risques de précipitations, voire d’orages : le Grand Prix de Malaisie constitue l’un des challenges les plus éprouvants de la saison pour les voitures, mais aussi et surtout pour les pilotes. Ceux-ci doivent en effet endurer des températures proches des 50°C dans leur cockpit et perdent environs quatre kilos durant la course. Une bonne préparation physique est donc essentielle pour le défi que représente Sepang et certaines précautions sont à prendre. "On va tous souffrir un peu mais tous les pilotes sont logés à la même enseigne, explique Jean-Éric Vergne. Ici, on boit entre 4 et 5 litres d’eau par jour pour éviter la déshydratation."


    Pourtant, à en juger par les conditions rencontrées l’an dernier, ce n’est pas l’eau qui manque sur le territoire malais. Souvenez-vous de ce déluge qui avait momentanément suspendu la course avant de nous offrir un magnifique duel entre Fernando Alonso et Sergio Pérez. En 2009, un autre torrent avait tout bonnement mis fin à la course au 33ème tour et désigné Jenson Button, alors leader, comme étant le vainqueur. Il n’avait toutefois pu empocher que la moitié des points, alors qu’il avait, a priori, course gagnée au volant de sa Brawn GP.


    Le climat est donc un facteur déterminant de ce week-end, d’autant que la fin d’après-midi est traditionnellement le moment où les averses se font les plus menaçantes et que le départ sera justement donné à 16 heures, heure locale. Le taux d’humidité avoisine les 80% et les températures ambiantes dépassent généralement les 30°C. Des conditions extrêmes sur un circuit, qui plus est, exigeant.

    Chicanes à haute vitesse et gros freinages



    "Sepang comporte des virages à haute vitesse parmi les meilleurs de tout le calendrier, déclare Lewis Hamilton. C'est un endroit très particulier : ce n'est pas un circuit 'stop and go'. C'est une piste fluide, très rapide, qui réclame de soigner les enchaînements. Il faut beaucoup d'adhérence à l'arrière, un très bon équilibre et une voiture qui puisse escalader les vibreurs sans abîmer les pneus. Ce n'est jamais un compromis facile à trouver."


    Le circuit de Sepang est fait de contrastes entre chicanes à haute vitesse et gros freinages, notamment à l’approche de la chicane de Pangkor Laut (T1) ou de l’épingle d’Hairpin (T15). "Ma partie favorite, c’est l’enchaînement des virages 5 et 6, précise Hamilton. Le défi est toujours excitant avec la chaleur et l’humidité."


    Cette chicane rapide s’aborde en effet aux environs des 250 km/h (T5) et il est essentiel de bien négocier la sortie du second virage, un droit rapide (Genting, T6), pour aborder la ligne droite qui suit à vitesse suffisante (jusqu’à 280 km/h). Le même type d’enchaînement gauche-droite se retrouve d’ailleurs un peu plus loin (T12-T13), en amont de la ligne droite de Penang. Celui-ci est plus rapide encore et il est immédiatement suivi d’un gros freinage (T14), un prélude à l’une des plus fortes accélérations du circuit, à l’issue de laquelle on peut atteindre une vitesse de 302 km/h.


    "C’est une piste très large et il y a plusieurs trajectoires différentes que l’on peut prendre dans certains virages, donc c’est possible d’y dépasser", explique Mark Webber. Tous ces virages rapides sont autant de possibilités de dépassement, sans parler des deux longues lignes droites de près de 900 mètres, dont celle de départ et d’arrivée où se trouve l'une des deux zones de DRS du circuit.


    Enfin, rappelons malgré tout que ce tracé de Sepang, devenu un classique depuis son inauguration en 1999, est l’œuvre d’un certain Hermann Tilke. Ce circuit est en effet la toute première création de l'architecte allemand et l’une de ses plus belles, selon bon nombre de pilotes. Pour l’anecdote, la piste a été construite sur un ancien… marécage ! Certains se plaindraient ainsi que la piste s’enfonce d’année en année. Sepang sombrera-t-il un jour ? Wait and see…
     
  17. Suix

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    [h=1]Button inspiré par Alonso et Ferrari[/h][​IMG]

    Après avoir vécu un week-end difficile à Melbourne, où il n’a inscrit que deux points avec sa McLaren, Jenson Button a fait référence à la saison 2012 de Fernando Alonso et Ferrari comme preuve qu’il est toujours possible d’inverser la tendance en Formule 1.


    "Il y a cet aspect des choses qui est très positif, a déclaré Button. Fernando était à une seconde et demie de notre rythme au début de la saison dernière et a presque gagné le titre."


    "Donc, oui, c’est possible pour une équipe de pointe de combler son déficit. Quant à savoir si nous sommes dans la même situation qu’eux, je ne sais pas."


    L’approche radicalement différente adoptée par McLaren dans le développement de sa MP4-28 n’a pas payé jusqu’à présent. Toutefois, le pilote britannique est confiant quant aux capacités de l’écurie de Woking à reprendre pied, malgré le travail conséquent qui se profile.


    "Il y a toujours des forces et des faiblesses et après il faut voir si ce sont les forces ou les faiblesses qui l’emportent, a-t-il ajouté. Mais il est clair que nous ne sommes pas là où nous aimerions être en ce début de saison. Pour nous, beaucoup de choses ont changé sur la voiture durant l’hiver, alors que, pour la plupart des autres équipes, ce ne fut pas le cas. Elles ont poursuivi le développement de la monoplace qu’elles avaient déjà l’an dernier."


    "Nous concernant, nous avons opté pour une approche différente. À l’heure actuelle, nous ne sommes évidemment pas contents du résultat, mais nous espérons le devenir. Ce n’était que la première course et la saison est encore longue."


    "S’il y a une équipe capable de sortir de cette posture difficile, c’est bien McLaren. Je crois fermement en McLaren et, ce qui est encourageant pour moi, c’est de voir les gars travailler d’arrache-pied. Je sais que nous allons rapidement sortir de cette situation difficile", a conclu Button.
     
  18. Suix

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    [h=1]«Un circuit très chaud»[/h] Seul pilote français à avoir marqué un point lors du GP d'Australie en ouverture de saison dimanche dernier, Romain Grosjean (Lotus) a expliqué ce jeudi que le prochain GP, en Malaisie, est «l'un des plus durs de la saison», à cause de la chaleur.


    Romain Grosjean appréhende les fortes chaleures du circuit de Malaisie. (L'Equipe)

    [​IMG]




    «Romain Grosjean, qu'espérez-vous de ce week-end en Malaisie?
    C'est l'un des Grands Prix les plus durs de la saison, pour les pilotes, les machines, les mécaniciens. Les gourdes à bord des voitures sont tout de suite très chaudes, à cause de la chaleur ambiante et des éléments électroniques dans le cockpit. Par rapport à l'an dernier, on a changé la position de la gourde dans la voiture et on est passé de 80 à 50 degrés (pour la température de l'eau). Il faut faire attention à ne pas se laisser déshydrater. Il faut s'habituer à l'humidité, et de préférence avoir une voiture facile à conduire.

    [h=2][/h] Que vous inspire votre 10e place en Australie, avec le recul ?
    Quand son coéquipier (Räikkönen) gagne la course et qu'on finit 10e en étant exténué, ce n'est pas agréable, mais il y a une explication rationnelle. On a analysé ma voiture après la course et quelque chose était différent de ce qui était prévu à l'origine, donc on va reprendre les réglages de Kimi et voir ce vendredi où on en est par rapport à nos simulations. La hiérarchie de Melbourne peut évoluer ici. On sait d’ailleurs que les quatre premiers GP (Australie, Malaisie, Chine, Bahreïn) ne sont pas les plus représentatifs de ce qui va se passer après.

    Comment se présente ce début de saison 2013, avec les nouveaux pneus ?
    Contrairement à ce que certains disent, il n'y a pas tellement de différence par rapport à l'an dernier dans la manière de gérer les pneus. Il y a un capital de gomme à la surface des pneus, d'environ 3 mm, et si on glisse trop, au bout d'un moment, il n'y a plus d'adhérence. Mon style de pilotage est toujours aussi agressif sur un tour de qualifications, mais je dois être assez intelligent pour préserver mes pneus en course. Alors qu'à Melbourne il fallait surtout faire attention aux pneus avant, ici, ce sont les pilotes qui prendront le plus soin de leurs pneus arrière qui iront le plus loin».

    AFP
     
  19. Suix

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    Ce qu'il faut savoir...

    Le deuxième Grand Prix de la saison se déroule ce week-end à Sepang. La chaleur et la pluie devraient être au rendez-vous. Les infos essentielles avant de filer en Malaisie...


    Sebastian Vettel sur la piste de Sepang. (Reuters)

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    Pas le temps de souffler


    Les écuries ont à peine eu le temps de se remettre de leurs émotions australiennes qu'elles enchaînent directement avec le GP de Malaisie. Le temps de parcourir les 6300 km qui séparent les deux pays et tout le monde s'est déjà remis au travail à Sepang. Ainsi, les pilotes qui se sont loupés à Melbourne n'auront pas le temps de ruminer. Il n'y aura pas moins de six enchaînements de cette sorte cette saison. S'ils sont fatigants physiquement et mentalement, ils évitent aux écuries de repasser par leur base et font ainsi économiser de l'argent.

    Ça va être chaud

    Si les pilotes ont été surpris par l'automne australien, sa pluie et ses températures assez faibles, ils ne devraient pas retrouver les mêmes conditions en Malaisie. Quoique, les averses, c'est fort possible. Mais il fera en revanche beaucoup plus chaud, au moins 30°. Ce qui risque de changer pas mal de choses, notamment au niveau des pneumatiques. Les Red Bull, qui avaient justement souffert du froid, relatif, à Melbourne, pourraient donc être bien plus compétitives.

    Pirelli sort les durs



    Pour faire face aux conditions extrêmes de Sepang, «tant en termes de météo que de surface de piste», comme le rappelle Paul Hembery, directeur de Pirelli Motorsport, la manufacturier italien a décidé de lancer son pneu dur, de couleur orange, dans la course, en plus du medium déjà vu en Australie. «Cette couleur (au lieu de l’argent) a été choisie pour faciliter la distinction avec les mediums blancs à la télévision, ajoute-t-il. Le choix fait pour la Malaisie est le même que celui de l’an dernier mais les mélanges en eux-mêmes offrent davantage de performance et disposent d’un niveau de dégradation volontairement supérieur cette année.» De quoi réserver encore quelques surprises aux écuries.

    Pour Vettel, tout sera différent


    Légèrement déçu par sa troisième place à Mebourne, alors qu'il s'était élancé en pole, Sebastian Vettel (Red Bull) pense que le GP de Malaisie ne se déroulera pas de la même manière : «Ce que nous avons vu à Melbourne, c'était juste un avant-goût, mais cela ne suffit pas pour établir une hiérarchie. La Malaisie offre un circuit totalement différent et des conditions de course totalement différentes. Tout dépend de la manière dont vous gérez les pneus, mais nous aurons également des gommes différentes.» Reste à savoir si le résultat final sera, lui aussi, différent...

    Opération rachat pour McLaren

    En difficultés en Australie, 9e place pour Jenson Button, 11e pour Sergio Perez, McLaren a déjà la pression en Malaisie. Même si en externe, on refuse de trop s'affoler, à l'intérieur de l'écurie anglaise, ça doit sérieusement bouillir. Le choix de concevoir une monoplace innovante alors que le réglement n'a quasiment pas changé à l'intersaison, se révèle pour le moment désastreux. «Nous manquons d'appuis, nous manquons de stabilité, ce n'est pas seulement une ou deux choses qui ne marchent pas», expliquait le Mexicain après Melbourne. «Mais on peut se dire que cela ne pourra être que mieux en Malaisie», ajoutait-il sans ironie.

    Fabrice BOSSET
     
  20. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    [h=1]Grosjean a trouvé l’origine de ses problèmes[/h][​IMG]
    Romain Grosjean
    est revenu sur les raisons de sa contre-performance lors du récent Grand Prix d’Australie.


    Dimanche dernier, le pilote tricolore avait quitté le paddock de Melbourne très énervé après n’avoir pu faire mieux qu’une lointaine dixième place, alors que son équipier Kimi Räikkönen avait offert la victoire à Lotus.


    Après avoir mené plusieurs analyses, Lotus n'a trouvé aucun défaut sur la monoplace de son pilote. Le problème vient plutôt des réglages.


    "Nous avons trouvé des petites choses qu'ils nous manquaient. Les réglages n’étaient pas exactement ceux que nous pensions", a expliqué Grosjean ce jeudi à Sepang.


    "Ce n’était pas un problème de réglages à proprement parler, mais quelque chose n’a tout simplement pas été pour une raison ou une autre. Il n’y avait pas d’appui. J’ai débuté ma course avec beaucoup de sous-virage et je l’ai terminée avec un survirage important. J’espère que nous avons réglé le problème et que nous retrouverons plus d’appui ce week-end."


    Grosjean promet de rebondir pour ce deuxième Grand Prix de la saison, d’autant plus que les fortes températures devraient bien convenir à sa Lotus.


    "Quand vous tombez d’un cheval, vous voulez vous remettre en selle dès que possible, et il est bon d’avoir une course ce week-end, a-t-il commenté. Il me tarde de piloter la voiture lors de la première séance d’essais libres de demain et de constater que tout est de retour à la normale."


    "A Melbourne, nous étions très rapides sur un tour lancé, comme mon meilleur temps signé lors de la troisième séance d’essais libres l’a démontré. Il n’y a aucune raison qui justifie que nous soyons une seconde et demie plus lents en qualifications et je ne pense pas que ce sera à nouveau le cas ici."
     

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