Formule 1 : A fond, à fond, à fond et puis... j'ai fait gravier

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perez 7 ème. grosjean à 5sec de rosberg, vettel 2ème

 

à 18 tours, webber, vettel, hamilton, rosberg , massa, grosjean, perez, hulkenberg, raikkonen. grosjean plus rapide que massa et rosberg.

c'est bon ca. vettel à des soucis avec sa boite. webber gère ces pneus qui se dégradent à vitesse grand v

 

Quelle erreur d'alonso, j'ai pas compris qu'il rentre pas.
Ca sent le souffre en tout cas chez mercedes et red bull, ces passes d armes entre equipiers peuvent laisser du dégat.

Vergne je pense sanctionné, Hulkenberg peut etre aussi.
En tout cas magnifique l arret aux stands de Hamilton chez McLaren

 

l'arret a stand d'hamilton, oui il avait la tête ou ?

et celui de button aussi, pas mal dans le genre.

 

Vergne dans les points, c'est bien mon gars. Alonso ... bref.

 

A voir si Vergne aura une pénalité par rapport a cette course ( +20 secondes) ou sur la prochaine grille de depart

 

[h=1]Webber en colère[/h] Le GP de Malaisie ne devrait pas arranger les relations entre Sebastian Vettel et Mark Webber. L'Australien n'a pas apprécié que son coéquipier ne respecte pas les consignes.


Mark Webber et Sebastian Vettel se sont tourné le dos sur le podium après un Grand Prix tumultueux entre les deux pilotes Red Bull. (L'Equipe)







Si Sebastian Vettel s'est imposé dimanche à Sepang, la 27e victoire de sa carrière, il n'est pas certain que son écurie célèbre cette victoire avec de grandes effusions. Après son attaque risquée, et réussie, sur son coéquipier, au 45e tour, pour prendre les commandes de la course, son stand lui a indiqué par radio que sa manoeuvre était «stupide». Juste après l'arrivée, Mark Webber est allé voir Sebastian Vettel pour lui indiquer qu'il n'avait pas respecté une consigne. Sur le podium, les deux pilotes se sont ignorés, et lors de l'interview par Martin Brundle, l'Australien a raconté sa version des événéments.

«Après le dernier arrêt, l'écurie m'a averti que la course était gelée et j'ai donc baissé le régime moteur afin de rallier l'arrivée tranquillement, a-t-il expliqué. J'aime la compétition et je veux aussi me battre, mais l'écurie a pris une décision dont on parle toujours avant le début de la course : faire attention aux pneus et veiller à ramener les voitures à l'arrivée. Mais Sebastian a pris ses propres décisions, et comme d'habitude, il sera protégé. C'est ainsi que ça se passe. Je suis déçu de la manière dont les choses se sont passées et du résultat de cette course.» Quelques instants avant, Vettel avait indiqué que si problèmes il y avait, ils seraient réglés en interne. Webber a préféré les exposer à la face du monde.

Vettel s'excuse : «J'avais un bon rythme et après avoir mis des nouveaux pneus mediums, j'étais très rapide. C'était une belle lutte mais j'ai fait une grosse erreur aujourd'hui. Nous aurions dû conserver nos positions jusqu'à l'arrivée. Je n'ai pas fait exprès d'ignorer les consignes, mais je me suis loupé. J'ai pris la première place à Mark, qui est clairement déçu : je veux être honnête et je m'excuse auprès de lui. J'ai pris beaucoup de risques pour le dépasser, et j'aurais dû mieux me comporter. Je ne pense pas que ça le réconfortera, mais je peux vous assurer que je ne l'ai pas fait délibérément.»


Rédaction

 

[h=1]Rosberg : "J'ai joué le jeu pour Mercedes"[/h]

A l'inverse de Sebastian Vettel trahissant les consignes de son équipe, Nico Rosberg s'est incliné derrière Lewis Hamilton en respectant les ordres de Ross Brawn à la radio.


"J'étais plus rapide que Lewis depuis la mi-course, peut-être ai-je pris davantage soin de mes pneus, a déclaré le pilote allemand. De plus, nous étions limite en consommation et il ne fallait pas aller chercher la limite en fin de course."


"Je me suis donc rapproché de Lewis sans vraiment l'attaquer. C'est toujours un peu frustrant de passer à côté d'un podium, mais c'était important pour Mercedes de finir troisième et quatrième en marquant de gros points. Les Red Bull ont été dominatrices et nous n'avions rien à gagner en nous battant ou en nous gênant, j'ai donc obtempéré sans état d'âme."


Niki Lauda, le président de Mercedes F1, s'est réjoui de cette attitude au micro de RTL : "Bel exemple d'esprit d'équipe que celui démontré par Nico aujourd'hui, s'est exclamé le champion autrichien. L'écurie lui en est reconnaissante et nous saurons nous en souvenir à l'avenir." Dès le prochain Grand Prix, en Chine, là où Rosberg l'avait emporté l'an passé ?


Helmut Marko, le conseiller de Red Bull, a comparé la situation des deux équipes : "Chez Mercedes, ils ont un premier et un second pilote, tandis que chez nous les pilotes sont traités à égalité, a-t-il ironisé. Aujourd'hui, cela a conduit la course un peu hors de notre contrôle, car nos pilotes se sont battus sans tenir compte des consignes. On va devoir gérer cela en interne."

 

Il est vraiment Serieux :lol:. Webber n'a jamais été traité en Numéro 1. Rosberg a eun la classe de ne pas attaquer pour pas que les deux voitures soient au tapis. Vettel a décidé de passer outre les consignes d'équipe et n'aura rien car il est considéré comme le numéro 1. Vettel a beaucoup terni son image aujourd'hui.
Je l'embaucherai s bien le Helmut : Il serait possible de nous faire croire que Morel est un defenseur gauche de classe mondiale et que l'om joue un football Barcelonesque. Quelle mauvaise foi.

Sinon, je rfeviens sur Alonso. Quelle erreur grossière, il esperait vraiment que son aileron tiendrais 4-5 tours ?

 

Aujourd'hui Vettel a encore montré un peu plus que c'était un petit con. Super réaction de Rosberg après le GP. Qu'il le pense sincèrement ou pas, au moins il a répondu très proprement et poliment.

 

[h=1]Ferrari assume la responsabilité du crash d’Alonso[/h]
Le patron de la Scuderia Ferrari, Stefano Domenicali, a reconnu qu’il s’agissait de la décision de son écurie de laisser Fernando Alonso en piste malgré un aileron avant endommagé, qui a finalement conduit l'Espagnol à l'abandon après être sorti dans le bac à graviers.


Alonso avait abîmé son aileron suite à une touchette avec Sebastian Vettel dans le premier tour, alors que les deux hommes se battaient pour la tête de la course.


"Nous avons pris un risque qui n’a pas payé, a concédé Domenicali. Après la touchette, la course n’était pas finie et j’ai considéré que nous étions dans une situation de transition d’humide à sec. Dans des conditions normales, vous rentreriez, mais, dans cette période de transition, si vous pensez que l’aileron peut tenir le coup, vous essayez d’attendre le bon moment pour rentrer au stand. Malheureusement, l’aileron n’a pas tenu."


"La décision venait du muret des stands. Fernando pouvait évidemment sentir depuis sa voiture que son aileron était endommagé, mais il ne pouvait pas voir l'étendue des dégâts depuis son cockpit. L'équipe assume sa responsabilité. La touchette était regrettable, parce que nous aurions pu prendre de gros points à l’issue de cette course."


"Fernando n’est pas content de repartir avec zéro point, mais il demeure optimiste et est déjà tourné vers la suite du championnat, parce qu’il sait que nous avons quelque chose à jouer", a conclu Domenicali.

 

[h=1]Vettel : «Je ne suis pas fier»[/h] Vainqueur dimanche à Sepang devant Mark Webber, Sebastian Vettel a regretté de ne pas avoir suivi la consigne d'écurie. Et s'est excusé auprès de son coéquipier australien.


Sur le podium, ce n'était pas la franche rigolade entre Vettel et Webber. (Reuters)






«Sebastian Vettel, quand avez-vous réalisé que vous n'aviez pas respecté les consignes de course ?
J'ai réalisé après l'arrivée, quand j'ai enlevé mon casque et quand Mark m'a parlé. J'ai pris ça en pleine figure. On va en parler en interne. Ce n'est pas une situation facile pour moi, je lui présente mes excuses et c'est difficile de tout expliquer. Quand je l'ai dépassé, il n'y avait pas beaucoup de place pour nous deux, c'était très serré, et j'étais pressé de passer, à cause de mes pneus neufs, qui me permettaient d'être plus rapide, alors que j'avais été un peu ralenti par le trafic. La différence de rythme entre nous deux était faussée parce qu'il essayait de préserver ses pneus, et j'ai pris de gros risques en le dépassant. Je n'ai pas voulu ignorer les consignes de course, ce n'était pas délibéré. J'ai juste fait une erreur, tout simplement. Je me suis raté et je vais essayer de me rattraper.


Comment s'est déroulée cette course un peu spéciale ?
Le départ était intéressant, en conditions mixtes, et à la fin j'allais plus vite que Mark, grâce à mes pneus neufs, et c'était une bagarre serrée. Mais j'ai fait une grosse erreur, on aurait dû rester dans ces positions. Je vois qu'il est énervé, donc je veux être honnête et je m'excuse auprès de lui. Sinon, c'était une bonne course de la part de l'équipe. Je n'étais pas sûr de la stratégie mais finalement j'ai terminé avec un train de pneus neufs et c'est ce qui a fait la différence. La course est différente des années précédentes, c'est un peu extrême d'essayer de préserver ses pneus, surtout quand il y a des lambeaux qui partent dans tous les sens, comme vous pouvez le voir à la télévision. On risque à tout moment une crevaison, et donc de ne pas finir la course. Ce serait mieux si les pneus étaient plus résistants. Il faisait vraiment chaud aujourd'hui.

Cette course va-t-elle changer durablement vos relations avec Mark ?
On vient de sortir de la voiture, je veux parler avec lui, sans que vous soyez présents, mais je sais que j'aurais dû mieux me comporter aujourd'hui. Là, il y a beaucoup de biscuit pour vous, mais notre relation est très professionnelle, même si tout le monde sait que nous ne sommes pas les meilleurs amis du monde. On se respecte et je me souviens de gens qui l'avaient critiqué, à tort, je sais ce qu'il a réussi, d'où il vient. On se complique un peu la vie, à chaque course, ce n'est pas évident, mais on travaille bien ensemble et l'écart n'est pas si grand entre nous, même si depuis trois ans c'est plutôt moi qui ait la main. Je ne suis pas fier d'avoir fait une erreur, et la prochaine fois je ferai les choses différemment. Je vais expliquer tout ça à Mark, tranquillement. Je vais réfléchir pour savoir si je lui donnerai une victoire, mais je pense que je saurai me souvenir de ce qui s'est passé aujourd'hui. Peut-être que dans l'avenir l'occasion se présentera...» (AFP)

 

[h=1]Chez Mercedes, ça grince aussi[/h] Malgré une belle performance d'ensemble à Sepang (Hamilton 3e, Rosberg 4e), l'ambiance n'était pas au beau fixe chez Mercedes, à cause de la consigne imposée à l'Allemand.


Nico Rosberg a félicité Lewis Hamilton après la course, mais le coeur n'y était pas vraiment. (Reuters)






Red Bull n'est pas la seule écurie à quitter Sepang avec un malaise sur les bras. Chez Mercedes également, ça ne s'est pas trop bien passé sur la piste. En cause, la consigne imposée à Nico Rosberg de ne pas dépasser Lewis Hamilton en fin de course, alors qu'il était clairement plus rapide que son coéquipier. «Souvenez-vous de ce Grand Prix», a lancé l'Allemand à son équipe par radio à l'arrivée, alors que l'Anglais montait sur le podium.

Ce dernier a tenu à calmer le jeu après la course. «En toute honnêteté, je pense que Nico devrait être à ma place, a-t-il déclaré sur le podium. Il était plus rapide que moi en course. Nous nous sommes bagarrés pour rester au contact des Red Bull. Et j'ai utilisé trop d'essence. J'avais du mal à gérer les pneus aussi. Je ne sais pas quelle était la situation de Nico, mais de mon côté je peux faire bien mieux avec les pneus. C'est un excellent coéquipier, nous allons parler de tout ça. Je lui ai déjà dit qu'il avait fait un boulot fantastique. Etant donné la situation au championnat, l'écurie a estimé qu'il valait mieux geler les positions, mais Nico a fait une meilleure course que moi. Est-ce que je le laisserai passer dans le future ? Oui, probablement.»

N. Rosberg : «Nous travaillons en équipe et je respecte la décision de l'écurie.» Quant à Rosberg, une fois la colère passée, il a mis de l'eau dans son vin : «Nous travaillons en équipe et je respecte la décision de l'écurie. C'est une journée importante pour nous, car nous avons pas mal galéré par le passé. Finir 3e et 4e, et lutter avec les Red Bull, c'est un grand pas en avant. L'écurie voulait qu'on finisse 3e et 4e et c'est totalement compréhensible. Si les positions avaient été inversées, je suis sûr qu'il se serait passé la même chose. Nous aurons d'autres occasions de nous battre sur la piste. Je ne dirais pas qu'ils m'en doivent une. Je suis un pilote Mercedes et je me bats pour une équipe et des gars qui donnent tout pour construire la meilleure voiture possible. Bien sûr, j'ai toujours envie de faire mieux, d'aller plus haut, mais j'aurai d'autres occasions de monter sur le podium.»


Rédaction

 

[h=1]Räikkönen : "Mieux que de repartir bredouille"[/h]
Kimi Räikkönen a perdu sa place de leader du championnat au profit de Sebastian Vettel, vainqueur de ce Grand Prix de Malaisie.


Le Finlandais reste cependant deuxième du classement général après avoir terminé septième aujourd'hui à Sepang, juste derrière son équipier Romain Grosjean.


Pénalisé de trois places sur la grille de départ pour avoir gêné Nico Rosberg en qualifications, le Champion du monde 2007 a vécu une course relativement difficile au volant d'une Lotus plus capricieuse qu’à Melbourne. Il juge cependant que cela aurait pu être pire, étant donné qu’il avait perdu un bout de son aileron avant au départ.


"Même si la voiture paraissait très bonne vendredi, cela a été assez difficile hier et aujourd’hui, a déclaré Iceman. Depuis samedi matin, l'auto ne se comporte pas comme nous l’attendons pour une raison ou une autre, surtout sur une piste humide où nous luttions aujourd'hui pour trouver de l’adhérence."


"Ce fut une course difficile et j’ai perdu une partie de mon aileron avant au départ, ce qui ne m’a pas aidé. Mais nous avons au moins pu marquer des points, c’est mieux que de repartir bredouille. Si nous pouvons ramener la voiture au comportement qu’elle avait en Australie, alors je suis sûr que nous figurerons à nouveau aux avant-postes", a-t-il conclu.

 

[h=1]Une course gâchée par un écrou pour Force India[/h]

Adrian Sutil et Paul di Resta ont tous deux été contraints à l’abandon au Grand Prix de Malaisie, alors qu’ils étaient dans un rythme suffisant pour prétendre inscrire des points.


En cause, un écrou de pneu récalcitrant qui a fait perdre énormément de temps aux deux pilotes Force India lors de leur arrêt au stand et que l’écurie indienne a bien du mal à expliquer.


"Malheureusement, les choses se sont mal passées dans les stands lorsque nous avons rencontré un problème d’écrou de roue, ce qui a fait perdre énormément de temps à nos deux pilotes", a expliqué Vijay Mallya, team principal de Force India. Le problème s’est répété lors du second arrêt au stand et il est devenu évident que nous ne pourrions pas le résoudre durant la course."


Parti huitième sur la grille, Sutil s’est dit déçu de cet abandon, au vu de la forme affichée par la VJM06 : "Une fin prématurée pour une course qui nous promettait tant de choses. Nous ne savons pas exactement ce qu’il s’est passé, mais l’équipe a arrêté la voiture pour être sûre que nous comprenions le problème."


"C’est dommage que ce soit arrivé, parce que nous avions une voiture très rapide aujourd’hui et je me sentais vraiment à l’aise sur la piste, une fois celle-ci sèche. Nous devons rester positifs, garder la tête haute et nous souvenir qu’il y a encore plein de courses où nous pourrons compenser la déception d’aujourd’hui."


Parti quinzième, di Resta était quant à lui revenu un temps à la porte des points en onzième position. Le jeune Écossais tenait à faire contre mauvaise fortune bon cœur à l'arrivée, rassuré par le potentiel de sa Force India.


"C’est frustrant de repartir les mains vides vu comme nous avions l’air compétitifs, a-t-il déclaré. La bonne nouvelle est que nous avons une voiture performante, mais c’est clairement une opportunité manquée, parce que nous avions le potentiel pour marquer beaucoup de points aujourd’hui."

 

[h=1]Lourde amende pour Toro Rosso[/h]
Les commissaires sportifs du Grand Prix de Malaisie ont infligé une lourde amende à Toro Rosso pour avoir relâché Jean-Eric Vergne alors que la voie des stands n’était pas libre.


Ce manque de jugement a engendré un incident dans la pitlane, en pleine course, entre la STR8 et la Caterham de Charles Pic, cette dernière heurtant l’avant-gauche de la Toro Rosso.
L'équipe soeur de Red Bull a écopé d’une amende de 10.000 euros.


Vergne a terminé à la dixième place du Grand Prix de Malaisie. Le Français aurait clairement pu inscrire plus qu’un point sans ce malheureux accrochage avec son compatriote.

 

[h=1]Grosjean : «Assez satisfait»[/h] Après sa désillusion australienne et de mauvaises qualifications en Malaisie, Romain Grosjean a tout de même réussi à ramener de Sepang les 8 points de la 6e place.


Romain Grosjean a pris la 6e place en Malaisie après des qualifications décevantes. (Reuters)







Romain Grosjean (Lotus - 6e) : «Je pense que nous pouvons être assez satisfaits du résultat aujourd’hui. La course a été dure, avec un départ sur le mouillé et la fin sur le sec, mais c’est fréquent ici en Malaisie. J’ai passé pas mal de temps bloqué derrière Felipe (Massa) en milieu de course et je suis convaincu que si j’avais pu le passer plus tôt, je serais resté devant lui ensuite. Mais à la fin de la course, mes pneus étaient cuits, donc je ne pouvais que le laisser passer. Ce n’est pas le résultat que nous attendions au début du week-end, mais en fin de compte, nous avons engrangé plus de points pour l’équipe et nous allons essayer de revenir plus forts à Shanghaï.»

Jean-Eric Vergne (Toro Rosso - 10e) : «C'est bien de finir dans les points, mais c'est dommage que cette erreur dans les stands nous coûte autant (Vergne a été relâché trop tôt après son premier changement de pneus et a eu un accrochage avec Charles Pic, ndlr). J'aurais pu obtenir un bien meilleur résultat. Mais je prends ce point avec plaisir. Nous avons maintenant quelques jours pour nous reposer et étudier avec précision les performances de la voiture et ce que nous pouvons améliorer. Nous avons manqué des opportunités lors de ces deux premières courses.»

Rédaction

 

Vettel n'a pas la grandeur d'un champion quand il faut reconnaître que son équipier mérite de gagner. Il ne le respecte pas.

Sa manoeuvre et l'intensité qu'il y a mis aurait pu les mettre dehors:bravo:.

Hamilton aura droit au zapping.

 

:lol::lol::lol::lol: