Dans un article qui sera bientôt publié dans la revue Evolution and Human Behavior [Evolution et Comportement humain], Cari Goetz, une étudiante de troisième cycle de l'université du Texas (Austin) a examiné avec ses collègues ce qu'ils appellent «l'hypothèse de l'exploitabilité sexuelle». Cette hypothèse se fonde sur les différences entre les stratégies reproductives masculines et féminines forgées au cours de l'évolution humaine. Pour les femmes ancestrales, un rapport sexuel occasionnel avec un homme qui ne lui était pas sentimentalement attaché et qui n'avait aucune intention claire de rester dans les parages pour élever une putative descendance relevait d'un pari génétique énormément risqué. Au contraire, pour un homme et sa production moyenne et quotidienne de 85 millions de cellules spermatiques –par testicule– une insouciante prodigalité de gamètes était largement moins néfaste en termes d'intérêts génétiques. Avec son équipe, Goetz est partie de l'hypothèse selon laquelle –parce que nos cerveaux ont évolué bien longtemps avant l'apparition de la prophylaxie contraceptive– la cognition féminine est toujours sensible aux conséquences procréatives que pourrait avoir le sexe sans lendemain, ce qui fait que les femmes ont toujours plus de mal à s'y employer que les hommes. Ils ont voulu vérifier l'idée voulant que tout indice d'une garde féminine abaissée –laissant entendre que la femme est «sexuellement exploitable»– est un excitant aux yeux de l'homme moyen. «L'évaluation de la vulnérabilité immédiate d'une femme», présument les auteurs, «pourrait être au cœur de l'activation de mécanismes psychologiques liés à l'exploitation sexuelle». http://www.slate.fr/story/56789/hommes-femmes-attirantes-abruti mesdemoiselles, maintenant vous savez comment nous faire craquer : jouez les idiotes :mrgreen:
En parlant de ça : Les GO vont-ils continuer longtemps à arborer cette couleur immonde??? rofl.... J'aurais bien pensé à attacher le chat et la tartine à un autre endroit pour me transformer en hélicoptère mais ça me parait risqué...
Dites, pourquoi le sport n'est-il pas toujours comme ce moment absolument génial où deux équipes de baskett semi-pro féminines se rencontrent mais partagent ensemble la joie de la montée en NF1??? Sincèrement, les mecs et les supporters de foot, en particulier, ont une bonne leçon d'humilité à prendre de ces nénettes. A vous de juger : http://www.basketfly.fr/VIDEO-CULOZ-NF1-COMMENT-ETRE-ADVERSAIRES-ET-PARTAGER-LA-MEME-JOIE_a838.html
Pourquoi les gouttes de pluie n'écrasent pas le moustique David Hu, chercheur au département d'ingénierie mécanique et de biologie de l'Institut de technologie de Géorgie à Atlanta (Etats-Unis), explique avoir eu l'idée de son projet de recherche un soir d'été lorsque, sur le porche de sa maison, il vit que son fils de six mois venait d'être méchamment piqué au front par un de ces satanés moustiques alors qu'il pleuvait à verse. Il voulut alors comprendre comment ces frêles insectes se jouent des lourdes gouttes de pluie qui devraient les écraser, un moustique recevant en moyenne un impact toutes les 25 secondes. Sachant qu'un moustique de 3 millimètres a une masse de 2 milligrammes et que celle d'une goutte de pluie pèse entre 4 et 100 milligrammes, cette dernière a donc une masse de 2 à 50 fois plus grande que celle de l'insecte. Utilisant des caméras filmant 4 000 images par seconde, les chercheurs ont soumis six moustiques à un jet d'eau de 9 mètres par seconde, dont les gouttes s'écoulaient à travers un fin grillage qui recouvrait une boîte en acrylique. La collision avec une goutte propulsait l'insecte sur une distance équivalente à 13 fois sa longueur, au terme de laquelle il parvenait à se détacher de la goutte avant de toucher le fond du récipient, en prenant la tangente pour atterrir sans encombre sur les parois de la boîte. Les six moustiques ont tous survécu à ce déluge. Les chercheurs ont ensuite soumis vingt anophèles à des conditions moins diluviennes. Ils ont observé que les impacts étaient trois fois plus nombreux sur les ailes et les pattes des moustiques, causant, selon le point d'impact, lacets, roulis et tangage chez le valeureux insecte. Là encore, celui-ci parvenait à retrouver sa position initiale en un centième de seconde. Lorsque la goutte le frappait de plein fouet, entre les ailes par exemple, l'insecte était entraîné à la même vitesse que la goutte. A chaque fois, le moustique parvenait à se séparer d'elle, mais non sans avoir chuté d'une distance de 5 à 20 fois sa longueur. Autant dire que l'insecte a plutôt intérêt à ne pas voler trop près du sol s'il veut éviter un second impact qui lui serait fatal. Un "maître du tai-chi-chuan" En définitive, si l'affreux moustique survit à l'impact d'une goutte, il le doit surtout à sa faible masse. Telle est la principale conclusion de cette étude parue dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Tout se passe comme si l'insecte choisissait non pas d'éviter les gouttes, mais de se déplacer passivement avec elles plutôt que de leur résister. Après impact, il devient un "passager clandestin" de la goutte, déclare David Hu, pour qui le moustique est le "maître incontesté du tai-chi-chuan, un art martial dont la philosophie consiste à éviter les forces de l'adversaire pour simplement les accompagner dans la même direction". Il semble aussi que le moustique utilise ses longues ailes et ses pattes pour faire pivoter le "couple" qu'il forme avec la goutte afin de s'en libérer. Au contact du moustique, la goutte ne perd qu'une petite partie de son élan (entre 2 % et 17 %), mais provoque en revanche une énorme accélération de l'insecte de très faible masse : entre 100 et 300 g (constante gravitationnelle), l'équivalent de 50 à 150 fois son poids, alors qu'un être humain ne supporte au maximum qu'une accélération de 25 g. Les chercheurs évaluent la force d'impact qui s'exerce sur le moustique à 300 à 600 dynes, soit plusieurs dizaines de fois le poids de la bestiole, qui peut aisément la supporter. Car ces insectes ont la peau dure. Grâce à leur exosquelette, qui soutient et protège leur corps, ils peuvent encaisser des forces compressives de 3 000 à 4 000 dynes. "Son exosquelette est si résistant qu'il peut supporter l'équivalent du poids de 1 000 autres moustiques sur sa tête et être capable de revoler", souligne David Hu. Ce chercheur estime qu'il reste beaucoup à apprendre du comportement des insectes dans les rafales de vent, le brouillard et autres conditions climatiques défavorables. Son prochain projet consistera à étudier comment les moustiques s'accommodent de la rosée du matin. Encore une histoire d'eau. http://www.lemonde.fr/sciences/arti...-ecrase-pas-le-moustique_1718756_1650684.html
faut le faire pour aller chercher sa oO j'te parris que l'étude va etre utilisé pour créer un nou_vel avion tiens :mrgreen:
Comment les humains ont-ils fini par faire le lien entre le sexe et les bébés? Des indications dès le néolithique Pour faire court: dès le début. Si les anthropologues et les biologistes spécialistes de l’évolution ne peuvent être précis en la matière, tout indique que les humains ont compris qu'il y avait un lien entre la copulation et la naissance des enfants dès que l’Homo Sapiens a commencé à donner la pleine mesure de son développement cognitif, soit entre l’émergence de notre espèce, il y a 200.000 ans, et les premières élaborations de culture humaine, il y a environ 50.000 ans. Les preuves matérielles permettant d’étayer cette affirmation sont naturellement minimes, mais une plaque trouvée sur le site archéologique de Çatal Höyük, en Turquie, semble indiquer une compréhension de ce phénomène au néolithique: deux personnages s’embrassent sur une des faces de la plaque et, sur l’autre face, une mère est représentée avec son enfant. Une autre conclusion plus certaine peut être tirée de l’observation du fait que si les explications relatives à la conception varient fortement d’une culture contemporaine à une autre, chacune de ces cultures reconnaît un lien au moins partiel entre le sexe et les naissances. Quid de la «conscience reproductive»? La question de savoir à quelle date les humains ont atteint ce que la biologiste anthropologue Holly Dunsworth appelle «la conscience reproductive» est plus difficile à trancher. Quelques indices nous en ont sans doute été donnés par l’observation des cycles de reproduction des animaux et par une autre observation: les femmes qui dorment seules ne tombent pas enceintes. Mais cela ne signifie pas pour autant que les premiers peuples aient pensé à ce processus de la manière pratique, celle du sperme qui féconde un ovule, qui est celle des personnes ayant une connaissance scientifique même vague de la chose aujourd’hui. Vers le tournant du XX e siècle, les anthropologues qui travaillaient dans des endroits comme l’Australie ou la Nouvelle Guinée rapportaient que les peuples qu’ils étudiaient ne faisaient pas le lien entre le sexe et les enfants. Mais des recherches approfondies ont permis de démontrer que ces rapports étaient biaisés et, dans le meilleur des cas, à moitié véridiques. En 1927, Bronislaw Malinowski affirmait ainsi que pour les habitants des îles Trobriand, le père ne jouait aucun rôle dans la procréation. Mais des anthropologues plus récents, étudiant ces mêmes populations, apprirent que le sperme était considéré par elles comme un «coagulant» au sang des menstruations et qu’elles pensaient que ce coup d’arrêt aux saignements finissait par former le fœtus. http://www.slate.fr/story/67281/comment-humains-rapport-sexe-bebe
Bon allez je vais remonter le niveau :moqueur: Es que nabilla doit être viré de wikipedia? http://www.buzzly.fr/nabilla-wiki.html
tout de même étonnant que pour fêter le travail, la plupart des gens... ne travaillent justement pas ensif: voila, c'était ma réflexion existentielle du jour. ldmrgreen:
Qui pense que René va revenir ?? ldmrgreen: Pas moi je le crois assez têtue pour qu'il tienne parole...
bah après, quand il demande à SV de clôturer son compte, ça voudrait aussi dire qu'il laisse tomber le blog. parce qu'il me semble que c'est les mêmes comptes pour les deux. il a dit qu'il quittait le forum, mais pas qu'il arrêtait son blog ou j'ai loupé un épisode ? en tout cas, je le vois bien revenir après quelques semaines de pause. ou pas.
ensif: ça c'est une bonne question. pourquoi se sent-on obliger de différencier "amis" des "vrais amis" ? vraiment bête, pour un truc comme ça en plus :sorry: c'est sûr qu'à partir du moment où il quitte le forum, son blog ne peut plus continuer... maintenant j'espère que ce n'est qu'une trêve et qu'il reviendra plus affuté que jamais parmi nous cet été une fois que les esprits seront retombés (et que la plupart aura oublié, ou minimisera, cette histoire)