Si MICHALAC se fait siffler au stade de France, c'est que les supporters du Rugby deviennent aussi con que ceux du foot! (Enfin, au stade de France!)
Rah ! Chiant ça ! Bien joué le CO ! Wilkinson n'aime pas le stade de France on dirait... :S Ce sera pour l'année prochaine ! @ UW : C'était un combat de lumières, c'est ça ? ^^
L'ombré aurait du être Jonny ça n'a pas sourit merci pour cette merveilleuse saison à cette merveilleuse équipe
Le Ragondin frappe toujours quand on ne l'attend pas. Elle va faire du bruit dans le département celle-là.
Qui chez les toulonnais n'était pas humble avant le match??? PERSONNE!!!:rouge: Bravo à Castres pour sa victoire méritée sur CE match! On n'a pas été assez bon pour gagner mais dire qu'on manquait d'humilité, je vois pas!!! des a priori contre les vilains toulonnais sans doute...
Pouratnt les post d'avant-match des supporters toulounnais étaient révélateurs. Bref ... [h=1]Rugby - Top 14 - CO : Kockott évasif pour la suite[/h] Tout frais champion de France après la victoire de Castres sur Toulon (19-14), Rory Kockott a tenu immédiatement à rendre hommage à ses deux entraîneurs au micro de Canal +. «Les deux Laurent sont des entraîneurs d'une qualité exceptionnelle». Interrogé sur son avenir, le demi de mêlée s'est montré beaucoup plus évasif. «Je ne sais pas. Etre champion, c'est sûr que ça donne envie de rester... mais franchement, je ne sais pas encore.» Pour mémoire, Kockott avait fait savoir au CO qu'il souhaitait partir à la fin de la saison et accompagner Travers et Labit au Racing et il était également courtisé par le Stade Toulousain.
Après le CSP Limoges en Basket et l'OM, c'est dcidément l'année des 20 ans Castres, vingt ans après Vainqueurs de Toulon (19-14), les Castrais sont sacrés champions de France, vingt ans après leur dernier titre, au terme d'une finale intense et serrée. Rémi Talès (à gauche) félicite Rory Kockott (au centre). Les deux hommes ont grandement contribué à la victoire du CO en finale du Top 14. (L'Equipe) Présenté dans un char romain à la façon Gladiator, le bouclier de Brennus a choisi son vainqueur dans les dix dernières minutes de cette finale serrée, hermétique, stratégique, qui a aussi battu, au Stade de France, le record d’affluence d’une finale avec 80 033 spectateurs. Deux drops de Talès (72e, 75e), le prochain ouvreur du quinze de France, et un but de Kockott (80e) ont scellé, contre toute attente, le succès tarnais face aux Champions d’Europe en titre qui effectuèrent un retour canon, passant de 9-19 à 14-19 grâce à essai de Delon Armitage au coup de sifflet final. Castres s’était placé néanmoins dans les meilleures conditions en menant, 10-3, suite à un essai de coquin signé Kockott (40e) derrière un ruck et juste avant la mi-temps. Un espace entre Botha (bloqué) et Masoe (monté trop en pointe) et le demi de mêlée du CO s’évadait sur vingt mètres pour marquer le seul essai de cette première période, entre les poteaux, qu’il transformait facilement. Pendant ces quarante premières minutes, excellents en touche - au contraire des Varois - et défense (malgré les percées de Bastareaud), les Castrais tenaient leur rang. Le RCT, lui, proposait du jeu, beaucoup, touchait le poteau (par Wilkinson, 5e) et balayait le terrain. Mais sans jamais se montrer dangereux, au contraire des Castrais, deux fois bien placés devant l’en-but varois en début de partie. Talès passe deux drops devant Wilko Particulièrement maladroit durant cette première période (un jeu au pied direct en touche et trois en-avants dont un qui amena l’essai castrais), Michalak fut à l’image de son équipe, pas très inspirée. Mais la seconde période allait s’ouvrir sur la révolte varoise, dans le sillage de Bastareaud et de Masoe. Wilkinson passait un but (48e, 6-10), Michalak sortait sur coaching (50e) mais Toulon, trop relâché, s’engluait toujours sur la dernière passe. Kockott frappait à son tour le poteau (51e) au moment où Toulon commençait à manquer singulièrement de fraîcheur, d’agressivité, de liant et pour tout dire de lucidité. Castres tissait sa toile en défense, sereinement, sans oublier de placer quelques piques par Diarra, Kockott et Talès en milieu de seconde période. Dominé territorialement, Toulon jouait alors tous ses ballons, y compris devant son en-but mais tombait sur une défense tarnaise hermétique. Reste qu’avec un nouveau but (67e, 9-10), Jonny Wilkinson, des 45 m, remettait les siens dans la course. Alors qu’ils semblaient à l’instant moribonds, les Toulonnais repartaient de plus belle à l’attaque, multipliant les offensives. A dix minutes de la fin, tout était encore possible. Mais Talès, l’élève, passait deux drops plein d’à-propos (72e et 76e, 16-9) devant le maître Wilkinson et assurait le succès castrais, construit avec intelligence, solidarité et lucidité, autant d’ingrédients qui font du CO un champion pour l’exemple, avant une fin de match folle qui vit le RCT conclure, trop tard, cette finale par un essai de Delon Armitage. Richard ESCOT, au Stade de France