Un vaccin expérimental prometteur contre le paludisme Des chercheurs américains ont annoncé, jeudi 8 août, des résultats sans précédent après l'essai clinique d'un vaccin contre le paludisme, maladie qui fait près de 600 000 morts par an. Ce vaccin, fabriqué à partir d'un grand nombre de parasites affaiblis responsables du paludisme et transmis par la femelle du moustique anophèle, a permis d'obtenir jusqu'à 100 % de protection chez six des neuf adultes ayant reçu la plus forte dose. "Bien que nous soyons encore aux premiers stades du développement, nous pensons que ce vaccin permettra d'éliminer le paludisme, estime Stephen Hoffman, PDG de Sanaria, le laboratoire qui a développé ce vaccin avec des financements de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAD), le Naval Medical Center et d'autres organismes aux Etats-Unis, en Europe et en Afrique. "Les scientifiques s'efforcent de produire un vaccin antipaludéen depuis trente ans et maintenant ces résultats montrent que nous avons un vaccin sûr, injectable et qui peut sauver des millions de vies". Pour cet essai de phase 1, 40 personnes de 20 à 44 ans ont participé. ps : une planète rose découverte
[h=1]Un papillon super-résistant inquiète les producteurs d'OGM[/h]Le Monde.fr | 06.09.2013 à 17h36 • Mis à jour le 06.09.2013 à 17h38 |Par Gilles van Kote Abonnez-vous à partir de 1 € Réagir Classer Imprimer EnvoyerPartager facebook twitter google + linkedin [h=2]Un nouveau mode de résistance aux organismes génétiquement modifiés (OGM) a été mis en évidence par une étude franco-sud-africaine, publiée mercredi 4 septembre par la revue PLOS One (Public Library of Science Open Access Journal). Cette découverte pourrait conduire à réviser les stratégies actuellement appliquées par les agriculteurs pour lutter contre l'émergence de résistances.[/h]Les chercheurs de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et leurs collègues sud-africains se sont penchés sur Busseola fusca, un papillon de nuit qui n'a mis que quelques années à développer une résistance à un maïs de type Bt cultivé depuis 1998 en Afrique australe. Ce type de plante transgénique sécrète ses propres toxines insecticides Bacillus thuringiensis (Bt), censées venir à bout des ravageurs. Un certain nombre de cas de résistances apparues chez ces insectes ont déjà été répertoriés. Mais leur développement était relativement lent en raison du caractère récessif de la résistance, celle-ci ne se transmettait à un individu que si ses deux parents étaient eux-mêmes résistants. Or, chez le papillon de nuit sud-africain, les expériences menées en laboratoire ont mis en évidence le caractère dominant de la résistance. Il suffit qu'un seul des deux parents le possède pour qu'il soit transmis à la génération suivante. La résistance se diffuse donc beaucoup plus vite, et pour y répondre, les agriculteurs concernés doivent setourner vers ces mêmes insecticides que le maïs transgénique était censé leur éviter d'utiliser. Face à ce type de résistance, la stratégie consistant à maintenir à proximité des champs d'OGM des "zones refuges" plantées de variétés conventionnelles, afin defavoriser le maintien d'une population d'insectes non résistants, risque de se révéler vite insuffisante. "Cette étude est importante parce qu'elle explique pourquoi ce ravageur a rapidement développé la résistance au maïs Bt et qu'elle suggère qu'une très forte abondance de refuges sera nécessaire pour ralentirl'évolution de la résistance", affirme l'entomologue Yves Carrière (université de l'Arizona). MULTITHÉRAPIE Les auteurs de l'étude estiment cependant que la proportion de zones refuges nécessaires pour lutter contre ce type de résistance pourrait devenir tellement importante qu'elle rendrait caduque cette stratégie. Ils suggèrent d'autres pistes comme le recours à des champignons ou parasites pathogènes afin de maintenirsous contrôle la population de ravageurs. Pour arriver à ses conclusions, l'équipe dirigée par Pascal Campagne, un spécialiste de la génétique des populations, a croisé des papillons résistants avec des papillons sensibles à la toxine insecticide et a trouvé un taux de survie élevé. Les chiffres ne convainquent cependant pas tout à fait Denis Bourguet, de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), qui s'interroge sur les résultats que donnerait une expérimentation menée en plein champ. Si le caractère dominant du gène de résistance était confirmé, ce généticien des populations privilégierait une réponse qu'il compare à une multithérapie : le développement de variétés d'OGM combinant plusieurs toxines insecticides."L'avantage de cette solution, c'est que la probabilité qu'un individu résistant à une toxine le soit également à une autre est faible", affirme-t-il, estimant que plusieurs décennies seraient alors nécessaires avant qu'apparaisse une population significative de ravageurs résistants à l'ensemble des toxines. Une piste que lesentreprises de semences transgéniques ont déjà commencé à explorer.
Naples : les médecins décident de laisser se poursuivre la grossesse d'une femme dans le coma (pharmacologique) http://www.ilmattino.it/NAPOLI/CRONACA/video-carolina-cardarelli/notizie/327079.shtml
c'etait tiré d'un film comique des 80's . une nana accouche pendant un coma, les infirmiers font tous la gueule, puis, en fait, on apprend que ca faisait 3ans qu'elle était dans le comas et qu'elle servait de vide-burne des toubibs.
C'est déjà arrivé par exemple quand la mère est tuée dans un accident, alors on la maintient en vie artificielle jusqu'à la maturité de l'enfant.
A propos des ondes électromagnétiques, le rapport serait plus alarmant que la presse ne le rapporte : http://www.futura-sciences.com/maga...ctromagnetiques-:-RAS-ou-SOS-selon-l-Anses--]
Il y a une critique de ce test sur Wiki. C'est un test farfelu, si tu le veux tu peux inverser ta perception de la rotation.
oui il suffit de regarder ailleur et de l'imaginer tourner dans l'autre sens avant de la regarder. en tout cas ça marche pour moi. sinon dans le test y'a d'autres questions qui sont biaisées selon moi. comme "mettez une main sur votre tête" ba vue que j'ai la main droite sur la souris je mettrai forcément ma mains gauche. ça determine si t'es droitier ou gaucher c'est tout^^ pareil pour le coup de fermer un oeil. presque tout le monde a une meilleur vision à un oeil plutôt que l'autre et tu va instinctivement fermer l'autre. mais le déséquilibre d'acuité entre les deux yeux peut avoir des tas de causes (maladie, accidents, vieillissement...) qui n'ont rien à voir avec le fait que tu soit left-brained.
Bah non, j'ai mis la main droite sur la tête et j'ai fermé mon oeil qui n'est pas directeur. Après, ça doit pas non plus être un test de Harvard