ça n'apporte rien au débat, mais c'est un clin d'oeil amusant je trouve : L’argent et le foot, en 1921 Les sommes d’argent en jeu dans le football, dont le public a connaissance à propos des transferts ou des salaires des joueurs provoquent les commentaires que l’on sait: indécence de ces fortunes engagées, pertes de valeurs, menaces d’éclatement de la bulle financière du football international, etc. Cependant, il ne faut pas croire que ce phénomène financier soit récent. A toutes les époques, les footballeurs ont été considérés comme trop payés, même quand les salaires et primes n’atteignaient pas les sommets extravagants qui sont déplorés aujourd’hui. Même avant l’instauration du professionnalisme en France, en 1932. J’ai par exemple retrouvé cet article du Miroir des Sports du 27 octobre 1921, sur « le professionnalisme en football » dont j’ai tiré ces quelques extraits : « Depuis la cessation des hostilités, il s’est créé en divers pays des tendances d’une nature très spéciale, tendances qui déterminent un courant favorable à l’instauration de groupements professionnels. Ajoutons immédiatement que ces tendances, si l’on ne s’oppose pas à leur développement, risquent de porter un préjudice moral considérable à la pureté du football, à son noble caractère éducateur des masses. » Photo parue dans le Miroir des Sports en 1921. Les foules des stades anglais font rêver en France Après avoir décrit le système du professionnalisme anglais, les recettes qu’il génère et l’inflation des salaires qu’il provoque, l’auteur de l’article écrit: « J’ajoute, pour compléter ces explications, que les transferts ont atteint à des proportions exorbitantes. Il n’est pas plus rare de voir une « étoile » cédée par son club à un autre club moyennant une indemnité de 100 000 francs ! De là est parti constamment le mal dont commence à souffrir le football international. C’est le mirage britannique, mirage doré, qui hante certaines cervelles. Et cela se complique du fait que la guerre – il faut avoir le courage de l’avouer – a déterminé une sorte d’apathie générale. Gagner beaucoup avec le moindre effort est une maxime nouvellement portée à l’ordre du jour de l’activité humaine. » Remplacez le mot étoile par star, la somme de 100 000 francs par 100 millions d’euros, les expressions « mirage britannique » par « bulle du football », « mal du football » par « perte de valeurs » et l’on a à peu près le discours d’aujourd’hui… Didier Braun
Vous n'avez pas trouvé étrange le fait qu'il n'est pas parlé une seule fois du PSG dans ce reportage ? Malgré tous les gros transferts qu'il y a eu , surtout venant d'Italie ?
leur exemple phare en ligue 1 était sanchez de valenciennes.. si on va parler ils n'ont pas non plus parler de monaco, lille, stétienne, toulouse, etc, etc.. et même marseille, ils l'ont dit en passant mais n'ont pas non plus creuser le sujet.
A propos, en plus du gros sponsor, on à le naming du camps des loges, 50M en plus... Détourner le FPF ? fastoche.. :bravo:
L'important c'est que ça te rende fier. Nous sommes heureux pour toi, ton samedi s'annonce radieux. :bravo:
Et tu veux qu'ils disent quoi au juste ? Le sujet, porter sur comment les personnes s'enrichissent autour du foot, et des diverse magouilles qui entour se sport, je vois pas ce en quoi les sommes dépenser par le PSG auraient leur places dans se doc
"En réalité, je n'aime pas cette notion de Fair-play financier. En fait, j'aime l'idée de base, qui veut freiner toutes sortes d'excès financiers dans le football européen, y compris réduire les dettes, mais je n'aime pas la version qui a finalement été adoptée par l'UEFA, sous la pression des grands clubs endettés, comme Manchester United ou l'AC Milan. On dirait que les clubs historiques essaient de se protéger face à l'apparition de nouveaux concurrents. J'aime évidemment l'idée d'une règle qui limiterait les dépenses du PSG, de Chelsea ou de Manchester City, mais je souhaite également qu'une règle empêche le Real Madrid de continuer à dépenser autant et rende les choses un peu plus égales entre les clubs espagnols, plutôt que de ne pénaliser que les nouveaux clubs riches." Oliver Kay, journaliste anglais du Times...
franchement KS, je n'en ai aucune idée, mais on voit que platini et cie commence à laisser comprendre qu' il n'y aurait pas de si grosse revolution... et ça c' etait previsible
Avec tout les sponsors, naming, on lui à fait un gros doigts à Platini devant tout le monde et il ce retrouve impuissant encore une fois..
JCB et nasser ont reduits le nombre de sponsors, tout en augmentant largement les contrats... resultat : avec les bons resultats sportifs, le marketing, les sponsors, on sera probablement meme pas inquietés... comme prevu, je l'avais deja dit depuis un bail mais beaucoup ne voulait pas l'entendre (je ne cite pas de nom, ils se reconnaitront) :mrgreen:
c'est bien que tu te pose la question... dit toi que ce genre d'avantage n'arrange que les plus puissants en realité, ça fait un bail que je l'annonce mais on me faisait comprendre que ça revolutionnerait plein de choses le projet parisien est tres bien ficelé, ils exploitent le max sur des details... que ce soit la billeterie ou le moindre sponsor... et le pire c'est qu'ils ont un actionnaire puissant accompagné d' un tas d'avocats et juristes qui sont payés pour trouver la moindre parade, et ça marche pour tous les autres "gros" comme city, chelsea, real, barca et j'en passe
tout simplement à protéger les "clubs riches historiques", qui ne veulent pas que de nouveaux arrivants viennent prendre leur part du gâteau...
plus on en parle de ce sujet, moins je comprends pourquoi on chipote... La règle est simple: pas de déficit au delà d'une certaine limite, pas de renflouage par l'actionnaire, pas de magouilles avec des sponsors liés à l'actionnaire. Voilà! stop! point barre! Le problème n'est pas cette règle (quoi qu'on en dise, elle est simple, honnête et va dans le sens d'un football non-déconnecté des réalités économiques), c'est son application! Soit Platini et l'UEFA en ont dans le pantalon et ils vont au bout de leurs idées, soit il se c... dessus et cèdent face aux lobbies des "nouveaux" riches, qui ne voient dans le football qu'un panneau publicitaire.
Ca chipote parce que les clubs vont porter ça devant les tribunaux civils et même si tout le monde sait très bien que les contrats de sponsoring du PSG c'est du pipeau, les procédures vont durer des années avec une issue incertaine. Le seul moyen pour l'UEFA de mettre en place une véritable équité au niveau européen serait de dicter des règles au niveau sportif et pas financier. Là il ne serait pas possible de les attaquer devant des tribunaux civils.