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Sciences [ Formelles, Exactes ou Naturelles ]

Discussion dans 'Les penseurs du forum' démarrée par Marv, 28 Décembre 2016.

  1. Marv

    Marv Prout

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    Liverpool :(
     
  2. hasbeen

    hasbeen Well-Known Member

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    dommage que ça monte pas jusqu'a 80 mètres, j'aurais ma maison au bord de mer :p
     
  3. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    pour le coup, le cercle des nageurs aura une très belle piscine couverte à disposition boulevard michelet alors. :eek:

    mais blague à part, tôt ou tard, tous les bords de mer urbains vont sacrément être chamboulés. Autant en hollande, en camargue ou dans le poitou, tu peux imaginer des digues cotieres, autant à marseille, new york ou singapour, ça sera différent.
     
    E. Da Silva Ferreira aime votre message.
  4. hasbeen

    hasbeen Well-Known Member

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    ils auront bien l'air con ceux qui crachent sur les migrants, quand ils seront obligés de migrer eux aussi :D
     
  5. Marv

    Marv Prout

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    E. Da Silva Ferreira, Baron et tommy aiment votre message.
  6. Arturo Bandini

    Arturo Bandini tlhlngan maH taHjaj

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  7. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    mouais, plutot un passager clandestin.o_O
     
  8. Marv

    Marv Prout

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  9. Baron

    Baron Well-Known Member

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    On dirait du Van Gogh ! (ou pas ^^)
     
  10. Marv

    Marv Prout

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    Ah tout a fait les especes de "volutes/tournoiements", t'es oblige de penser aux impressionnistes.
     
    Baron aime votre message.
  11. Marv

    Marv Prout

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  12. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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  13. marseillais29

    marseillais29 moi en personne

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  14. Blacklagoon

    Blacklagoon Well-Known Member

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  15. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Une équipe de l'université d'arizona publie un article affirmant la présence d'une 9e planète au système solaire, de la taille de mars, à 60 Mds de km du soleil (contre 4,5 Mds pour pluton). Ils se sont basés sur l'étude de trajectoire de plusieurs corps lointains qui auraient été influencé par la gravité de cette "Planet 9 from outer space".

    Le téléscope James Webb, qui devrait permettre de clore le débat, va être lancé en octobre.

    http://www.repubblica.it/scienze/20...eta-168978724/?ref=RHPPRT-BS-I0-C4-P2-S1.4-T1
     
    Luna' aime votre message.
  16. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    SCIENCE - Mâchoire de T-Rex et corps de crocodile, ce prédateur préhistorique terrifiait la faune de Madagascar il y a environ 165 millions d'années. Selon la revue PeerJ, cette espèce heureusement éteinte, Razanandrongobe sakalavae, a enfin trouvé sa place au sein de l'arbre de l'évolution.

    Les chercheurs n'arrivaient jusqu'à présent pas à déterminer s'il appartenait à la famille des Théropodes comme le T-Rex ou à celle des Crocodilomorphes, ligné dont descendent nos crocodiles modernes. La réponse vient d'être apportée par un groupe de chercheurs: ce prédateur impressionnant appartient à la famille des crocodiles.


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    comme il est meuuggnoooon. Gouzi gouzi gouzi.
     
    Marv et Massilia1313 aiment cela.
  17. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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  18. tommy

    tommy you talkin' tommy ?

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    Faudrait en envoyer typhus et ebola pour être sûr.
     
  19. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    La sixième extinction de masse des animaux s’accélère

    Dans une étude très alarmante, des chercheurs concluent que les espèces de vertébrés reculent de manière massive sur Terre, à la fois en nombre d’animaux et en étendue.

    LE MONDE | 10.07.2017 à 21h05 • Mis à jour le 10.07.2017 à 21h08 | Par Audrey Garric

    C’est ce qu’ils nomment « un anéantissement biologique ». Dans une étude très alarmante, publiée lundi 10 juillet dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), des chercheurs américains et mexicains concluent que les espèces de vertébrés reculent de manière massive sur Terre, à la fois en nombre d’animaux et en étendue. Une « défaunation » aux conséquences potentiellement « catastrophiques » pour les écosystèmes et aux sérieux impacts écologiques, économiques et sociaux.

    Les deux principaux auteurs, Gerardo Ceballos (université nationale autonome du Mexique) et Paul Ehrlich (Stanford), n’en sont pas à leur coup d’essai sur le thème de l’érosion de la biodiversité. En juin 2015, ils avaient déjà publié une autre étude dans la revue Science Advances, qui montrait que la faune de la Terre était d’ores et déjà en train de subir sa sixième extinction de masse. Ils avaient calculé que les disparitions d’espèces ont été multipliées par 100 depuis 1900, soit un rythme sans équivalent depuis l’extinction des dinosaures il y a 66 millions d’années.

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    Disparition des populations

    Cette fois, les chercheurs ont cherché à quantifier le déclin non plus du nombre d’espèces mais des populations, c’est-à-dire des groupes d’animaux sur un territoire. « L’accent mis sur l’extinction des espèces peut donner l’impression que la biodiversité terrestre n’est pas dramatiquement et immédiatement menacée, mais qu’elle entre juste lentement dans un épisode d’érosion majeur, que l’on pourra combattre plus tard », expliquent les auteurs.

    Cette approche présente plusieurs défauts à leurs yeux : l’opinion publique peine à mesurer la gravité du phénomène à l’œuvre (deux espèces disparaissent chaque année, ce qui paraît faible, surtout quand ces dernières sont peu connues ou peu répandues). Et elle ne permet pas de correctement évaluer le problème en cours. Les espèces les plus communes enregistrent en effet des reculs massifs de leurs effectifs, sans pour autant être d’ores et déjà menacées. « Or, la disparition des populations est un prélude à celle des espèces, préviennent les scientifiques. Une analyse détaillée du déclin des effectifs d’animaux rend le problème bien plus clair et inquiétant. »

    Les chercheurs ont alors mené une vaste méta-analyse, sur la moitié des espèces de vertébrés connues : ils ont examiné les évolutions des populations de 27 600 espèces de mammifères, oiseaux, reptiles et amphibiens terrestres, réparties sur les cinq continents, en utilisant la base de données de la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), qui constitue l’inventaire mondial le plus complet de l’état de conservation de la biodiversité. Ils ont également passé à la loupe, plus spécifiquement, 177 espèces de mammifères, pour lesquels ils avaient des données sur l’aire de répartition entre 1900 et 2015.

    « La réelle ampleur de l’extinction de masse qui touche la faune a été sous-estimée : elle est catastrophique », jugent-ils. Au total, 32 % des espèces étudiées déclinent en termes de population et d’étendue. Plusieurs mammifères qui se portaient bien il y a une ou deux décennies sont maintenant en voie de disparition. En 2016, la planète ne comptait que 7 000 guépards et 35 000 lions africains (− 43 % depuis 1993). Les populations d’orangs-outans de Bornéo ont chuté de 25 % ces dix dernières années, pour atteindre 80 000 individus, tandis que celles de girafes ont diminué de 115 000 spécimens en 1985 à 97 000 en 2015. Celles de pangolins ont tout simplement été décimées.
     
  20. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    30 % des espèces en déclin sont communes

    Ce que l’on sait moins, c’est que près de 30 % de ces espèces en déclin sont considérées comme communes. Elles sont (encore) classées en tant que « faible préoccupation » et non pas « en danger » par l’UICN. En France, le chardonneret a par exemple enregistré une baisse de 40 % de ses effectifs depuis dix ans. « Qu’autant d’espèces communes voient leurs effectifs diminuer est un signe fort de la gravité de l’épisode d’extinction biologique actuel », prévient Gerardo Ceballos.

    Tous les continents sont concernés par cette érosion spectaculaire de la biodiversité. Les zones les plus touchées, notamment pour les mammifères et les oiseaux, sont celles situées aux Tropiques (Amazonie, bassin du Congo, Asie du sud-est) car ce sont les plus riches en termes de faune. Mais les régions modérées enregistrent des taux similaires voire plus élevés en valeur relative – c’est-à-dire comparé à la richesse de leur biodiversité.

    Corollaire de la perte d’effectifs, la faune voit son territoire se rétrécir comme peau de chagrin. Parmi les 177 espèces de mammifères scrutées plus spécifiquement par l’étude, 40 % ont perdu 80 % de leur aire de répartition historique depuis 1900. Cas emblématique, le lion a longtemps régné sur la majeure partie de l’Afrique, du sud de l’Europe et du Moyen-Orient, jusqu’au nord-ouest de l’Inde ; on ne compte aujourd’hui qu’une poignée de populations dispersées en Afrique subsaharienne et une population dans la forêt de Gir en Inde.

    Au total, plus de 50 % des animaux ont disparu depuis quarante ans, estiment les scientifiques, qualifiant leurs résultats de « prudents ». Des conclusions qui confirment celles du dernier rapport « Planète vivante » publié en octobre par le Fonds mondial pour la nature (WWF) : il concluait que les populations de vertébrés ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012. L’intérêt de la nouvelle étude, publiée dans les PNAS, réside dans le jeu de données bien plus vaste (27 600 espèces examinées contre 3 700 pour le WWF) et l’analyse géographique.

    Deux ou trois décennies pour agir

    « Cette étude est très intéressante dans son approche : au lieu de se focaliser sur les extinctions, que l’on a du mal à quantifier, elle se concentre sur l’évolution des populations, qui confirme et renseigne sur la gravité de la situation », juge Benoît Fontaine, biologiste de la conservation au Muséum national d’histoire naturelle, qui n’a pas participé à l’étude.

    « Cette étude montre que la situation est très alarmante, plus que ce que peut laisser voir notre liste rouge », abonde Florian Kirchner, chargé du programme « espèces » pour la branche française de l’UICN, qui n’émet qu’une réserve : avoir concentré l’analyse sur les seuls vertébrés terrestres – les plus étudiés – et non les poissons, les invertébrés et les plantes, qui voient également leurs populations reculer massivement. Selon l’UICN, 42 % des espèces d’invertébrés terrestres (papillons, vers de terre, etc.) et 25 % de celles d’invertébrés marins (comme les bivalves ou éponges) sont menacés d’extinction.

    Les causes de ces reculs sont connues : ils sont imputables, en premier lieu, à la perte et à la dégradation de l’habitat sous l’effet de l’agriculture, de l’exploitation forestière, de l’urbanisation ou de l’extraction minière. Viennent ensuite la surexploitation des espèces (chasse, pêche, braconnage), la pollution, les espèces invasives et les maladies et, plus récemment, le changement climatique. « Les moteurs ultimes de la sixième extinction de masse sont moins souvent cités, jugent les auteurs. Il s’agit de la surpopulation humaine, liée à une croissance continue de la population, et de la surconsommation, en particulier par les riches. »

    « Nous ne disposons que d’une petite fenêtre pour agir, deux ou trois décennies au maximum », préviennent-ils. Il en va de la survie de la biodiversité mais également de l’humanité. « L’érosion des espèces entraîne de graves conséquences en cascades sur l’ensemble des écosystèmes, ainsi que des impacts économiques et sociaux pour l’humain », rappelle Gerardo Ceballos. La faune et la flore nous rendent en effet de nombreux services, qu’il s’agisse de la pollinisation, de l’amélioration de la productivité des terres ou encore de l’assainissement de l’air et de l’eau.

    Parmi les actions prioritaires, les scientifiques appellent à réduire la croissance de la population humaine et de sa consommation, à utiliser des technologies plus efficaces et moins consommatrices, à freiner le commerce des espèces en voie de disparition ou encore à aider les pays en développement à maintenir les habitats naturels et à protéger leur biodiversité.


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/biodiversite/...ique_5158718_1652692.html#W1DuIj1UclxXloOr.99
     

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