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Marseille, notre ville

Discussion dans 'Les Marseillais ont la parole' démarrée par Captain_Tsubasa, 23 Juin 2008.

  1. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    voiture bélier à marseille :
    femme de 42 ans meurt à la valentine
    une femme de 29ans blessée à la croix rouge
    Suspect interpellé au niveau du mucem.

    Après l'arrestation de la cellule qui préparait une attaque pendant les présidentielles, il faut croire qu'ils avaient besoin de se "refaire".
     
  2. Massilia1313

    Massilia1313 Modérateur

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    De pire en pire pitain. Y en a ras-le-bol.
     
  3. Baruto

    Baruto Poulpe fiction

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    Le suspect serait psychologiquement instable. Aucun lien avec le terrorisme apparemment.
     
    allezlom07 et Massilia1313 aiment cela.
  4. John3:14

    John3:14 Bonne âme et amateur de batteurs éclectiques

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    Vous êtes surs que ce n'est pas une séquence du film "Taxi" en tournage ici? :D
     
  5. hasbeen

    hasbeen Well-Known Member

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    en meme temps, les mecs de nice, de barcelone, du bataclan, etc.... je ne veux pas trop m'avancer parce que je suis pas psy, mais j'ai un fort doute sur leur stabilité psychologique :D
     
    Baruto aime votre message.
  6. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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  7. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Marseille : neuf personnes introuvables après l’effondrement de deux immeubles
    Sept habitants sont « recensés manquants », selon les autorités locales, après le drame survenu dans la matinée. Deux passants manquent également à l’appel.

    Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 10h41, mis à jour à 21h25

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    Les deux bâtiments de quatre et cinq étages, très vétustes, situés rue d’Aubagne, étaient réduits lundi matin à un amas de gravats. Selon les marins-pompiers, un troisième immeuble mitoyen menaçait aussi de s’effondrer. GÉRARD JULIEN / AFP

    Deux immeubles vétustes se sont effondrés en plein centre de Marseille, lundi 5 novembre au matin, dans une rue du quartier de Noailles, faisant au moins deux blessés légers parmi des passants, et ouvrant une controverse sur l’habitat vétuste dans la cité phocéenne. Lundi soir, le président du conseil régional de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier, a annoncé devant la presse que sept habitants étaient toujours « recensés manquants ». L’élu a ajouté que deux passants, identifiés par la vidéosurveillance sur place au moment de l’effondrement, manquaient à l’appel.

    En visite à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), le président de la République, Emmanuel Macron, a fait part dans la soirée de « l’affection et la solidarité de la Nation tout entière ». Le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, s’est rendu sur place, lundi soir.

    Les recherches d’éventuelles victimes devraient se poursuivre toute la nuit. Pour cette « course contre la montre », comme l’a qualifiée le ministre, près de 100 marins-pompiers et 33 véhicules ont été déployés dans une rue commerçante du quartier populaire de Noailles, à deux pas du Vieux-Port et de la Canebière. Et les recherches pourraient durer plusieurs jours, a averti Julien Ruas, adjoint au maire de Marseille.

    « Ce qui compte, c’est qu’on trouve le moins de morts possible, mais nous pensons qu’il y en aura », a prévenu lundi le maire Les Républicains de Marseille, Jean-Claude Gaudin. L’un des deux immeubles, le numéro 63, était « fermé », a assuré à la presse Julien Ruas, adjoint au maire responsable du bataillon de marins-pompiers, à la suite d’un arrêté de péril depuis « une dizaine de jours ». Mais « on doit voir s’il y a des gens sous les décombres du 65, rue d’Aubagne », a-t-il ajouté.

    Un troisième immeuble démoli par précaution
    Sur l’amas de gravats blanchâtres qui obstrue la moitié de la voie, des marins-pompiers, casque de protection sur la tête, fouillent les décombres de ces deux bâtiments de quatre et cinq étages. Opération très délicate : vers 17 h 15, les pompiers ont fait tomber une partie d’un immeuble mitoyen, déjà très fragilisé, qui menaçait de s’effondrer sur les sauveteurs. Ce troisième immeuble, au 67 de la rue, avait été abandonné et muré depuis l’été 2012 par l’agence immobilière qui le possédait.

    Plusieurs témoins ont confirmé la présence possible de personnes dans les bâtiments au moment de l’effondrement. « Il y avait cette dame comorienne. Comme tous les matins, elle avait accompagné ses deux enfants à l’école et elle est revenue peu de temps avant l’explosion. On l’a entendu crier », a assuré Nacer Sellani, gérant d’une boutique située en face.

    « On est en train de faire le recensement des individus et des familles connus comme habitant dans cet immeuble, a expliqué le préfet de police de Marseille, Olivier de Mazières. Pour le moment, on n’a pas pu prendre contact avec l’intégralité des personnes qui résident dans l’immeuble. »

    Par précaution, les autorités ont évacué « les quelques dizaines de personnes habitant dans les deux immeubles voisins », a aussi expliqué Philippe Bianchi, porte-parole de la police. « Structurellement, les immeubles à Marseille se tiennent les uns avec les autres. Donc on ne veut pas prendre de risque et on fait évacuer cet îlot », a ajouté Julien Ruas.

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    Marins-pompiers de Marseille face aux restes des deux immeubles, le 5 novembre. Claude Paris / AP
    « Ça s’est effondré d’un coup »
    « J’habite juste à côté, je regardais la télé quand j’ai entendu un grand bruit, mais pas d’explosion, puis un nuage de fumée », a affirmé Antonio Dias, 30 ans. « Il y a eu un gros boum et ça s’est effondré d’un coup », a aussi témoigné Ludovic, étudiant de 26 ans, qui habite en colocation en face de l’immeuble effondré.

    « Après, on nous a dit de sortir de chez nous à cause des risques d’effondrement », a ajouté le jeune homme, qui a dû réveiller deux de ses colocataires, dont une jeune fille qui n’a eu que le temps d’enfiler une veste au-dessus de son pyjama. « La semaine dernière, les pompiers étaient venus et avaient bloqué la rue pendant deux heures à cause du risque d’effondrement, mais ensuite il ne s’était rien passé du tout », a-t-il assuré.

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    Un marin-pompier et son chien de détection, sur les décombres des immeubles, le 5 novembre. Claude Paris / AP
    Une enquête sur l’accident
    La préfecture des Bouches-du-Rhône a annoncé sur Twitter avoir ouvert une cellule de suivi avec la préfecture de police de Marseille et les marins-pompiers. De son côté, la police judiciaire a été saisie d’une enquête sur l’accident.

    « Ce dramatique accident pourrait être dû aux fortes pluies qui se sont abattues sur Marseille ces derniers jours », selon une hypothèse avancée par la mairie. Mais plusieurs représentants de l’opposition ont fait le lien avec l’ampleur du problème du logement indigne à Marseille, notamment dans le centre. « Derrière la carte postale idyllique on mesure une fois de trop les échecs de la politique de l’habitat et du centre-ville », a déclaré la sénatrice PS Samia Ghali.

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    Photo, prise en juillet 2018, des deux immeubles de la rue d’Aubagne, à Marseille, qui se sont effondrés le 5 novembre. Google Map

    « Ce sont les maisons des pauvres qui tombent, et ce n’est pas un hasard »
    , a tonné le chef de file des insoumis et député de Marseille, Jean-Luc Mélenchon, regrettant « une drôle d’odeur de désinvolture et d’indifférence à la pauvreté ».

    La mairie a engagé depuis 2011 un vaste plan de requalification du centre-ville, mais sans pouvoir véritablement remédier au problème. La cité phocéenne est particulièrement concernée : selon un rapport remis au gouvernement en 2015, le logement indigne menace la santé ou la sécurité de « quelque 100 000 habitants » de la ville.
     
  8. setonaikai

    setonaikai A vendre: crampons de 5cm, état usagé.

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    C'est moche :(
     
  9. Toninio

    Toninio Well-Known Member

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    :( Tristesse....
     
  10. setonaikai

    setonaikai A vendre: crampons de 5cm, état usagé.

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    Un corps retrouvé.
     
  11. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Rugby : le Canada a fait escale à Marseille avant son vol vers le Japon
    Les Canadiens ont remporté, vendredi soir, le tournoi de repêchage qui leur a garanti la dernière place qualificative pour la Coupe du monde 2019 en Asie.

    Par Adrien Pécout Publié aujourd’hui à 14h00, mis à jour à 15h00
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    La sélection canadienne au stade Delort de Marseille, après sa victoire face à Hongkong, vendredi 23 novembre. BORIS HORVAT / AFP
    A la sono, rien que du très classique : un petit We Are the Champions pour bien signifier à ces Canadiens leur nouveau statut de champions. Ou plutôt de qualifiés, puisque les « Canucks » ont simplement remporté un tournoi de repêchage, vendredi 23 novembre. Mini-championnat, grande récompense : la 20e et dernière place qualificative pour la Coupe du monde 2019 de rugby au Japon, dans un peu moins d’un an.

    Vendredi soir, les Canadiens restaient cependant encore très loin de l’Asie. Approximativement à 10 000 km, sur la pelouse du stade Pierre-Delort, à Marseille. Oui, à Marseille. Juste à côté du Vélodrome, sur une pelouse détrempée et déjà en piètre état avant même la victoire des Canadiens sur Hongkong (27-10), le pré ayant déjà servi, trois heures plus tôt, au match Allemagne-Kenya.

    Lire aussi A Marseille, les petits du rugby se disputent le dernier billet pour la Coupe du monde 2019
    Depuis trois semaines, chacun de ces « petits » du rugby a joué une fois l’un contre l’autre dans ce décor baroque, disons de bric et de broc. Six matchs, donc, dans ce stade municipal où personne ne joue réellement à l’année. Un stade construit on ne sait trop pourquoi, sinon pour un meeting annuel d’athlétisme. La pelouse, elle, jusqu’à de récents travaux, restait impropre aux matchs de haut niveau : dimensions insuffisantes pour le football comme pour le rugby…

    Peu importe pour les Canadiens, dont certains ont encore le statut amateur. Ainsi de Ben LeSage, trois-quarts-centre : « Normalement, je m’entraîne seulement deux fois par semaine avec l’équipe de mon université, à Vancouver. Je vais finir mes études d’ingénieur cette année et ensuite j’essaierai de trouver une équipe professionnelle. » Avec cette possibilité : rallier l’équipe des Ontario Arrows, ce club canadien qui intégrera dès l’an prochain la Major League Rugby, championnat nouvellement mis en place aux Etats-Unis.

    « Une invitée de marque »
    L’arrière Matt Heaton, lui, joue déjà à l’étranger. Mais en troisième division anglaise, pour le Darlington Mowden Park Rugby Football Club. Sans comparaison avec les standards internationaux, et encore moins avec ceux des futurs adversaires du Canada à la Coupe du monde : le pays affrontera la Nouvelle-Zélande, double championne du monde en titre, et l’Afrique du Sud, outre l’Italie et la Namibie. Pronostic ambitieux de Heaton : « J’espère déjà qu’on réussira à se qualifier d’office pour la Coupe du monde 2023 en France. » Ce qui reviendrait, autrement dit, à finir troisième sur cinq de leur groupe durant l’édition 2019.

    Dans la tribune principale du stade Delort, moins d’un millier de spectateurs. L’effet des trombes d’eau, sans doute. Ou de l’absence de publicité sur l’existence même de l’événement, plus sûrement. Un spectateur canadien a toutefois fait le déplacement, en la personne de Jamie Cudmore. « Pendant quelques années, le Canada a oublié d’investir dans le rugby scolaire et ça a été une grosse erreur », regrette l’ancien joueur de Clermont, désormais entraîneur du club de Provence Rugby, à Aix (deuxième division nationale).

    Le Canada, pourtant, a déjà participé à toutes les éditions de la Coupe du monde. Huit écoulées, dont quatre avec Cudmore. Bilan : élimination systématique dès le premier tour, hormis un quart de finale lors de l’édition 1991.

    Pour faire enfin de ce sport un sport mondial, la Fédération internationale a surtout ciblé trois autres pays, dont deux n’ont encore jamais disputé de Coupe du monde : « On a identifié trois marchés où on aimerait que notre sport se développe : l’Allemagne, les Etats-Unis et le Brésil », énumère le président anglais de World Rugby, Bill Beaumont, de passage à Marseille. A terme, son discours commercial pourrait conduire au passage de 20 à 24 équipes pour chaque Mondial, dont le trophée William Webb-Ellis a déjà fait une courte apparition vendredi. « Un invité de marque ! », selon le speakeur du stade Pierre-Delort, bien en peine de réchauffer l’assistance.

    Le choix de Marseille
    Ce tournoi de repêchage à Marseille devrait coûter au moins « 400 000 euros ou un demi-million d’euros », selon les calculs provisoires de Nicolas Hourquet, responsable des relations internationales à la Fédération française de rugby (FFR). La « fédé » en a accepté l’organisation à la demande de la direction de World Rugby, qui, elle, a notamment financé le transport aérien des équipes. Une sorte de service rendu, de la part de la France, un an après la désignation du pays comme futur hôte de la Coupe du monde 2023. Celle qui suivra l’édition japonaise.

    « On ne devrait pas gagner de l’argent avec ce tournoi de repêchage, mais on ne devrait pas en perdre non plus », promet le responsable fédéral, dans un contexte budgétaire où la FFR accuse déjà une perte de 7,35 millions d’euros pour son résultat net à l’issue de l’exercice 2017-2018.

    En attendant les comptes de l’année prochaine, cette première question : pourquoi Marseille ? « Cela s’est fait un peu au hasard, on avait aussi pensé à Bordeaux, voire à la Bretagne », assure Nicolas Hourquet. Qui ajoute, malgré la pluie : « On voulait du beau temps en novembre… » Le hasard a donc finalement choisi la ville où Claude Atcher, directeur général du groupement d’intérêt public « France 2023 », également aperçu au stade Delort vendredi, a déjà tenté de monter un grand club de rugby. Une expérience soldée, en 2010, par une rétrogradation administrative.
     
  12. aurelio.m

    aurelio.m Well-Known Member

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    Los-BandiDoS aime votre message.
  13. aurelio.m

    aurelio.m Well-Known Member

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  14. lunataom139193

    lunataom139193 Well-Known Member

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    Marseille est la plus belle ville de France, Rienque le STADE VELODROME vfaut le detour.....

    ->

    moi ki navigue sur la venise provençale jusk'o vieux port pour aller voir L'OM au VELODROME... (non, je reve là !!!)

    et bien ça m'arrive de partir e en live completement et faire de la musique, en me croyant comme si j'etais un dj tres connu à ibiza...

    donc sur 10 musiques de merdes il m'arrivent parfois de tromber sur le bon son...

    et ds ce cas, je fais ecouter........

    https://soundcloud.com/lnprk13/yoshi-emo-chrisn-dose-dreams-mix-80-k-mp3-lol

    et apres je demande si c'est bon, si c'est pas de la daube commerciale de merde k'on s'en bat les ________...

    genre si ça a des ________ dans la basse !

    ...

    (un peu comme L'OM koi...) on defonce tout.. faut pas nous en empecher !

    => la zike elle s'appele "EMO" , pour emotion ? nan ... c'est OME à l'envers mdrrrrrrrrr...... lol

    edit: è ouè... j'ai enregistré un peu le bruit depuis mon balcon l'arret de bus en bas, et en fond le cloché ki sonne la cloche, mais ça s'entend pratiquement pas ou peu... faut entendre derriere...

    .. et :fierdetremarseillais: ma foi et bien sûr !!! <3<3<3<3
     
    Dernière édition: 26 Avril 2019
  15. Massalia Patria Nostra.

    Massalia Patria Nostra. Marseille Trop Puissant

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  16. Massalia Patria Nostra.

    Massalia Patria Nostra. Marseille Trop Puissant

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  17. setonaikai

    setonaikai A vendre: crampons de 5cm, état usagé.

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  18. Double_M

    Double_M Well-Known Member

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    Un bus payé par tout le monde mais pour des privilégiés ! Ahhhhh le clientélisme à Marseille !!

    https://www.francetvinfo.fr/replay-...e-sauf-pour-certains-privilegies_3592717.html

    Les prix des abonnements RTM montent mais le service lui ne monte pas, au contraire des stations de métro ferment (Jules Guesde) et d'autres mettent 100 ans à ouvrir (Capitaine Gèze).
    Les transports en commun n'avancent pas et les pistes cyclables non plus.

    Par contre le boulevard urbain sud avance et détruit ! Le tout voiture à Marseille, merci Gaudin !
     
  19. BigBenZ

    BigBenZ Moderateur

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    Au passage, j'ai beaucoup apprecié "BB Bistrot" au cours julien.

    Un bon acceuil, une petite carte, des produits frais, et vraiment des prix raisonnable. Je recommande.
     
  20. R0mainT

    R0mainT Master of gifs !

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