N'est-ce pas un détail ? Je ne me souvenais même plus du nombre exact, c'est la proportion qu'il m'intéressait de mettre en avant. Beaucoup veulent du pouvoir, mais peu veulent le pouvoir, en raison des responsabilités qui vont avec. Les écrasantes responsabilités qui vieillissent nos présidents.
C'est dommage car y'en a pas mal qui voulait se présenter, mais n'ont même pas pu, a cause des gros partis qui bloque les votes de maires .... Ça aussi c'est un scandale .... Faut 500 votes pour se présenter. Y'a des candidats qui en ont 2000 ... Pourquoi ? Juste pour réduire la concurrence. Bref.
il vaut mieux filtrer un peu les candidatures. Comment veux-tu organiser une élection à 200 personnes (parce que forcément, si tu facilites les candidatures, cela fera appel d'air) ? Ce système des 500 parrainages me semble équilibré. Ca permet d'avoir une quinzaine de candidats à chaque fois (voire 20). Y compris des mouvements confidentiels (cheminade, arthaud, asselineau, lassalle, poutou). Et puis symboliquement, ça crée un "lien" entre les maires, les communes, le terroir et le sommet de l'état. Après, la publication des parrainages (depuis 2017) ne me semble pas une avancée. Car ça oblige les maires à se positionner politiquement (au niveau local, cela peut compliquer leur position, notamment dans les petites communes où les majorités municipales sont souvent non-orientées idéologiquement). Mieux vaudrait les rendre à nouveau confidentiels. Par contre, si on pouvait au moins inverser le calendrier des élections pour avoir les législatives (le vrai débat politique) avant puis ensuite élire un homme responsable, respectable, rassembleur, quitte à ce que celui-ci ne fasse qu'inaugurer les chrysanthèmes. En fait, la Ve ne fonctionne correctement que sous cohabitation je trouve.
En trois tours ? Le problème serait le temps de parole avant le premier tour, mais cela pourrait s'arranger en mettant le deuxième assez loin du premier.
Comme je l'évoquais, au lieu de transformer l'élection présidentielle en école des fans et lui faire porter toute la responsabilité du choix politique et de la crise de légitimité, il faudrait mieux revaloriser la "vraie" élection politique, à savoir l'élection des députés. Le président n'a, dans la constitution, qu'un rôle d'arbitre. Donc forcément il devrait en principe être neutre et non "superchef de majorité". Et pour le coup, les conditions pour être candidats aux législatives sont beaucoup plus ouvertes, donc élargir l'accès aux présidentielles, c'est se créer un problème plutot qu'une solution.
pour eviter que des clows se presente juste pour avoir une tribune deja qu'à la derniere presidentielle on a eu des candidatures de temoignage pour moi 500 parainage à gratter sur 36 000 commmunes c'est quand meme jouable d'autant plus qu'il n'y a pas que les maires qui puisse parainer les candidats il y a aussi les parlementaires et les conseiller locaux president de collectivités locales
il y a le bouton nucleaire que je ne vois pas du tout associé à un premier ministre issu de la majorité aux elections legislative de meme que pour etre le chef des armées on a raccourci le mandat du president sans passer à un vrai regime presidentiel on est pas aller au bout de la transformation le regime parlementaire introduit de fait la notion d'instabilité car les majorité changent souvent
Je ne pensais pas aux domaines de al défense et de la diplomatie qui ont toujours fait partie du "précarré" présidentiel, mais plutot au fait que le président a un avis sur le niveau du livret A, sur le taux de csg,etc.. ça c'est de la responsabilité du gouvernement. Le président devrait rester dans une posture de rassemblement, de dialogue, de respect des normes, des institutions. Macron est dans ce rôle quand il lance le grand débat, mais il ne l'est pas quand il dicte sa conduite à philippe (qui ne devrait avoir de compte à rendre qu'au parlement). Pour arriver à celà, l'inversion du calendrier me semble un minimum. Dans l'idéal, je reviendrais même à une élection par des grands électeurs, comme cela était prévu par la constitution entre 1958 et 1962.
15 / 20 candidats je trouve ça largement suffisant, si on peut éviter de se taper les dédé l'abeillou, sylvain durif ou dieudonné on s'en porte pas plus mal.
je me disais aussi, il manquait encore un petit "truc" en plus pour pimenter l'ambiance au royaume-uni avec le brexit en cours : Northern Ireland 'absolutely appalled' by car bomb attack
Je ne dit pas le contraire. Je trouve juste abuser que des partis monnaie ces signatures, ou meme pressionnent les maires pour bloquer les signatures. Je préférerait pas exemple que l'on passe a 1000, mais qu'une fois 1000 signatures atteinte, on ne puisse plus en engranger. J'ai confiance en nos maires pour nous éviter certains candidat. Donc finalement on revient au début, le poste de président est un poste convoité. Dire que c'est tellement de responsabilité que personne ne veut le prendre est faux. Tous ceux qu'on connais, plus ceux qui ont perdu les primaires, plus ceux qui n'ont pas eu les 500 signatures etc ...
Lui il m'a tiré un sourire , j'aime assez ça façon assez tranquille de voir les choses https://www.facebook.com/video.php?v=2203909716539426
laisse Dieudo ou il est ,il est bien trop "propre" moralement pour voir son nom "associé" à ces bippppp de politiciens professionnels ....
Je viens de vérifier c'est au cameroun qu'il disait vouloir se présenter à la présidentielle, je me suis planté. Et c'est (c'était, je trouve que le niveau des derniers spectacles baisse un peu malheureusement) un des meilleurs humoristes. Ce que je voulais dire, c'est qu'il y a bien assez de candidats comme ça, toutes les idées sont représentées au premier tour. Plus et ça deviendrait totalement illisible, et inutile.
Si je m'en tiens à son raisonnement, il est la pute de son emploieuse, et je vais pouvoir vous traiter toutes et tous de putes, non ?
Quelque part, on peut aussi dire que comme tu vis des aides sociales, tu es la pute de tout le monde. Alors, on se recentre sur le débat ou bien tout le monde se traite de pute ?