En fait il n'y a qu'a lire les posts d'une seule personne sur ce topic pour voir tous les mauvais comportements et l'individualisme pretentieux de veux qui savent tout mais qui comprennent visiblement que dalle.
juste une question par rapport à ton beau frere medecin comment se fait il qu'il n'a pas de stock de masque dans son cabinet?
un anglais me disait quand une loi est votée l'anglais l'applique mais le francais cherche par tous les moyens à la contourner
Mon oncle non plus n'a pas py avoir de "stock de masques". Il est generaliste pres de Poitiers. Le stock est trop faible des le depart. Et en plus des mongoliens en ont volé quelqu'uns en France ... En fait dès qu'un debile fait sa petite vie car il comprend mieux que les autres, il fait échouer toutes les autres stategies mis en place par des gens dont c'est le metier et la fonction ...
Vous êtes sérieux de poser ce genre de question? Renseignes toi alors car un médecin n'est pas un chirurgien, il est rare qu'il fasse un acte chirurgicale. Je te rassure quand ça lui arrive comme des points, il se protège et à l'équipement. Du stock il y en a eu mais il est partie en quelques jours. Le stock national est un problème.
mais pourquoi lui n'a pas de stock à lui sans attendre le stock de l'etat ??? pourquoi a titre perso n'a t il pas prévu un stock strategique pour son cabinet? je ne cherche pas à faire de polemique mais pour essayer de comprendre pour les personnel de santé privé attendent du material de l'etat pour les medecin dans les hopitaux publics je peux comprendre mais pour le domaine du prive je ne comprends pas
Je te prend le cas de ma femme. La demande de masque FFP2 est fait depuis le début auprès de la pharmacie. La pharmacie commande à son fournisseur qui lui est libre à la concurrence (d'autre pays ont anticipé). Beaucoup de masque son partie ailleurs, le stock du fournisseur a fondu rapidement, ce qui fait que la pharmacie n'a pas pu fournir les soignants (médecin / infirmière) en tête, mais aussi kiné et eux meme....etc Ca fait des semaines que l'état dit qu'il va fournir les professionnelles de santé, mais rien c'est juste de la communication. En attendant, il faut bien soigner les gens tout les jours ? Donc des soignants étaient sans masque et d'autre gardaient plusieurs jours leur masque avec plusieurs mouchoir..etc bref la fabrication maison. Sa pharmacie a réussi à lui fournir la semaine dernière une boite de masque chirurgicaux (c'est pas FFP2) et depuis hier sa pharmacie distribue 18 masques.....chirurgicaux (pas FFP2) par semaine. Il n'y a pas de blouse jetable ou équipement spécifique. On fabrique 6 millions de masque par semaine actuellement, quand il faudrait 15 millions de masques par jour pour tout les soignant et autres dans le pays. ps: Une plainte est déjà lancé et après coup vous verrez que tout les soignants porteront plainte contre l'état. Ma femme n'y pense pas pour le moment, mais je la pousserai pour le faire aussi.
Pourquoi tout le monde a commencé ce 100m les mains dans les poches ? Avec des chaussures de merde et apres l'apero ? Parceque c'est notre premiere epidemie aussi forte depuis la grippe espagnol qui a duré 3 ans ! De 36 a 39 il me semble mais je peux me planter. Bref, on constate que ca merde un peu partout donc plus le choix : on ne fait plus vehiculer le virus. On verra ensuite pour les calculs de chacun.
Pour répondre plus generalement a ta question je dirai qu'en France on vote depuis tjrs pour des gestionnaires de budgets pour qui un euro est le meme quelque soit l'entreprise. C'est faux. Le systeme hospitalier ne peut pas etre rentable. S'il l'est en temps normal alors c'est que ce systeme n'est pas prêt à affronter la crise.
dans mon village, la gendarmerie a déposé en mairie deux cartons de 50 masques à destination du médecin et des trois infirmières. Des masques datant du sras et périmés depuis 2014.
Apparemment ce serait les élastiques qui sont périmés sur ces masques Sinon, on a fermé les frontières avec les Pays Bas et le Royaume Unis ou pas? Ce serait con qu'après la vague de parisiens qui amèneront inévitablement leur lot de contaminations, on se ramasse les britanniques et les hollandais qui ont des maisons secondaires dans le coin aussi.
De la troisième ligne sur les terrains à la ligne de front face au coronavirus, l'international italien Maxime Mbanda, ambulancier volontaire à Parme, est au coeur du combat face à la maladie et témoigne d'une réalité effrayante. Avec AFP mis à jour le 20 mars 2020 à 12h55 Samedi dernier, Mbanda aurait dû affronter l'Angleterre devant 60 000 personnes à Rome pour une 21e sélection en équipe d'Italie, un match qui comme tant d'autres a été reporté. À la place, masque sur le visage et combinaison de protection intégrale, il enchaînait une quatrième journée en tant qu'ambulancier aux côtés des volontaires de la Croix Jaune de Parme, en Émilie-Romagne, l'une des zones les plus touchées par l'épidémie de coronavirus. « Quand tout a été annulé avec le rugby, je me suis demandé comment je pouvais aider, même sans compétence médicale », a-t-il raconté à l'AFP. J'ai trouvé la Croix Jaune, qui avait un service de transport de médicaments et d'aliments pour les personnes âgées. » Mais après une journée à livrer des masques, de la nourriture et des prescriptions médicales, la force physique du troisième-ligne du Zebre Rugby, le club de Parme, a été mise à profit là où elle était encore plus utile, « sur le front, au coeur du problème ». « Je me suis retrouvé à transférer des patients positifs d'un hôpital de la région à un autre. J'aide avec la civière ou s'il y a des patients à porter depuis un fauteuil roulant. Je tiens aussi l'oxygène », explique-t-il. Et ce dont il témoigne, c'est d'une situation d'urgence absolue, où « 95 % des structures hospitalières sont consacrées aux malades du coronavirus ». « Ce que je vois, ce sont des gens de tous les âges, sous respirateur, sous oxygène, des médecins et des infirmiers qui font des gardes de 20 ou 22 heures, qui ne dorment pas une minute de la journée » « Si les gens voyaient ce que je vois dans les hôpitaux, il n'y aurait plus la queue devant les supermarchés. Ils y réfléchiraient à deux, trois ou quatre fois avant de sortir de chez eux, même pour aller courir, assure le champion de 26 ans. Ce que je vois, ce sont des gens de tous les âges, sous respirateur, sous oxygène, des médecins et des infirmiers qui font des gardes de 20 ou 22 heures, qui ne dorment pas une minute de la journée et qui essaient juste de se reposer un peu le jour d'après », ajoute-t-il. Une situation de crise ? « Je voudrais pouvoir dire que la situation ici est à la limite. Mais j'ai peur de devoir dire que ça n'est déjà plus le cas. » Sans aucune expérience médicale, mais soutenu par sa compagne et par son père chirurgien à Milan, « lui aussi en première ligne », le rugbyman doit aussi se faire psychologue au contact de patients installés « dans des services où l'ordre du jour, c'est la mort ». « Quand tu vois leur regard... Même s'ils ne peuvent pas parler, ils communiquent avec les yeux et ils te disent des choses que tu ne peux pas imaginer », raconte-t-il. « Ils entendent les alarmes, les médecins et infirmiers qui courent d'un service à l'autre. La première personne que j'ai sortie de l'hôpital m'a raconté qu'il était arrivé depuis trois heures quand son voisin de lit est mort. Et pendant la nuit, deux autres femmes sont mortes dans sa chambre. Il n'avait jamais vu personne mourir », ajoute-t-il. « Tant que j'aurai des forces, je continuerai. Je suis là et je reste là » Alors il faut se comporter avec ces patients « comme s'ils étaient des proches ou des parents ». « Mais la chose terrible, c'est qu'à chaque fois que tu les touches, une simple caresse dans l'ambulance pour les réconforter, tu dois immédiatement te désinfecter les mains », regrette le N.8 du Zebre. Lui est prudent mais va-de-l'avant. « J'ai commencé il y a huit jours, sans jour de pause et avec des rotations de 12 ou 13 heures. Mais face à ce que je vois dans les salles de maladies infectieuses, je me dis que je ne peux pas être fatigué, assure-t-il, persuadé que d'autres pourraient aider. La peur c'est normal. Mais il y a des petites choses qui peuvent être faites en sécurité et qui offriraient une demi-heure ou une heure de repos à ceux qui sont en première ligne. Pour eux, une heure c'est fondamental. » Habitué avec l'équipe d'Italie à chasser et plaquer des adversaires plus forts, Mbanda en tout cas, ne renoncera pas. « Tant que j'aurai des forces, je continuerai. Je suis là et je reste là. Tant qu'il y a urgence, je reste là. » publié le 20 mars 2020 à 12h51 mis à jour le 20 mars 2020 à 12h55
Bonjour, Respect Mutuel https://www.facebook.com/video.php?v=10158548934044301 Sans oublié nos Chauffeurs Routiers https://www.facebook.com/video.php?v=2788092941417920 Merci merci à vous toutes et vous tous
Il y a encore des connards qui ce matin prenaient le train dans le but de rejoindre leur maison secondaire En clair, ça veut dire que l'efficacité de nos 4 premiers jours de confinement est déjà remise en cause, la faute à certains comportements irresponsables. Le durcissement de la répression est impératif, y'a pas d'autres solutions pour dissuader, 135 euros c'est pas assez parlant pour les bobos !
Tain heureusement je suis à Cagnes sur mer , mais bon je le comprends il a lui même contracté le covid-19 https://www.facebook.com/video.php?v=195158521924463
En matière de comportement irresponsable, il en connaît un rayon le Estrosi, lui qui serrait des paluches à tout va pendant sa campagne, et ce malgré les recommandations de distanciation
