Une petite suggestion si le championnat s'arrête.....classement arrêté et entériné, l'OM second Classement tenant compte saison en cours plus saison dernière...Lille second, l'OM troisième Classement saison en cours plus les deux dernieres saisons...l'OM second , lyon troisième... Ce serait le diable si l'une de ces 3 solutions n'etait pas adoptée...avec une préférence pour la saison en cours et au pire la seconde option
Sauf que dans ce cas là, les conditions sont les mêmes pour tout le monde. C'est pas de la faute de la ligue si on a un effectif light. Je comprends qu'on a le plus à perdre par rapport à un championnat gelé et arrêté mais finir le championnat même dans un format particulier, ça restera toujours plus juste que s'arrêter 10 journées avant.
L'équité sera bafouée de toute façon. Maintenant il faut voir la jauge. Certes ce n'est pas la faute de la ligue si certaines équipes ont des effectifs lights, mais c'est pas la faute non plus des clubs concernés qui n'avait que le championnat à jouer. Pour moi, la solution la moins "inéquitable" et en respect de la santé des joueurs staffs et tous les concernés par les matchs quand bien même ils seraient a huis clos (hotel etc ...) ça serait le gel des places. Ligue des champions a Paris et l'OM ce qui est normal vu l'avance, il y a juste les 3/4/5 qui serait éventuellement en clin a râler, sur le bas aucune décente et 2 montées de L2. Et pour l'année suivante 2 décentes et un barrage entre 20eme contre le vainqueur de L2. Ce scénario n'est pas sorti de ma tête mais a été évoqué en Allemagne comme scénario possible. Et par exemple le Hand a opté pour ce systeme hier. Il y a d'ailleurs plusieurs clubs qui commencent a faire des sortis pour exprimer leurs opinions et des clubs comme Nîmes (par l'intermédiaire de Bourdin) ou Sochaux (https://maligue2.fr/2020/04/15/soch...ifs-financiers-et-revet-une-forme-dindecence/) parle même d'indécence de faire jouer en urgence avec que le motif de récupérer des thunes. Les morts sur le terrain sont malheureusement de moins en moins épisodique, il me semble que cette année un jeune de Metz a fait un arrêt cardiaque sur la pelouse. La LFP aurait l'air maline d'avoir poussé tous les acteurs a faire les matchs si on se retrouve dans ce cas ce que je ne souhaite pas ...
Malheureusement, d'après les derniers échos, la saison devrait reprendre courant juin, et se terminer vers la fin juillet. Les matchs devraient avoir lieu tous les 3-4 jours, et dans des stades à huis clos. Malgré les retours de Thauvin, Radonjic et Sakai, notre effectif est vraiment très short pour jouer tous les 3 jours pendant 1 mois et demi environ. Et, affronter les qataris et Monaco dans un Vélodrome qui sonnera creux, ça ne nous aidera pas des masses. Espérons que ça se termine pour le mieux pour nous.
Une commission de la fédération espagnole a établi les critères de qualification pour la Ligue des champions et la Ligue Europa 2020-2021, si le championnat ne peut aller à son terme cette saison. Les quatre premières équipes au classement actuel iraient donc en C1. https://rmcsport.bfmtv.com/football...opeens-si-le-foot-ne-reprend-pas-1894279.html
C'est la seule solution crédible, et celle qui reflette le mieux les forces et faiblesses de chaque equipes sur cette saison.....j'en connais un qui doit vraiment commencer a chier dans son froc
Coronavirus : les acteurs de la L1 et L2 pas chauds pour reprendre la compétition Les principaux concernés par un retour des championnats de Ligue 1 et Ligue 2 - les joueurs et les entraîneurs - se montrent réticents à cette idée. Les risques sanitaires et de blessures sont trop importants. Par Dominique Sévérac Le 15 avril 2020 à 21h21, modifié le 15 avril 2020 à 21h47 L'angoisse grandit et, cette fois, elle enveloppe les principaux concernés. Si les présidents de clubs manifestent tous officiellement - à part les dirigeants de Brest et de Dijon - le désir de reprendre les Championnats de France de Ligue 1 et Ligue 2, les entraîneurs et, surtout, les joueurs se montrent de plus en plus réticents. Le syndicat des footballeurs (UNFP) pourrait même annoncer prochainement une recommandation extrêmement puissante : un non franc et massif au retour sur les terrains. Si les joueurs ne veulent pas, que décideront l'Etat français, les instances du football, leurs employeurs (les clubs) et l'UEFA? A ce stade, l'organisme qui régente le ballon rond en Europe, demande d'étudier uniquement les scénarios de reprise. C'est pourquoi en France, la Ligue (LFP) planche toujours sur des hypothèses de retour aux compétitions. L'une d'elles consiste à finir la L1 le 25 juillet et à commencer la saison suivante le 23 août. Le danger de contracter la maladie est réel Sans oublier que, si elle annonce l'arrêt, elle sortira du cadre juridique qui lui permet encore d'espérer toucher une partie des droits télé et de sponsoring de l'écosystème du football. Mais, sur le pré, les acteurs avancent une autre préoccupation, immédiate et incontestable : la santé. Le danger de contracter la maladie est réel dans un sport où la distanciation sociale est impossible et les porteurs parfois asymptomatiques. Même si ces cas sont rares, le Covid-19 a déjà emporté depuis le début de l'épidémie de jeunes gens qui semblaient en pleine forme, sans pathologie secondaire. L'inquiétude de redémarrer, d'enchaîner tous les trois jours et de se blesser existe également. Avec une coupure forcément réduite à son minimum s'il faut enchaîner moins d'un mois après sur la nouvelle saison, l'exercice 2020-2021. Le déconfinement arrive mais le football semble encore loin dans les têtes des joueurs et des entraîneurs. Chez les joueuses de L1, la crainte est également présente. Selon une consultation de l'UNFP, un tiers seulement des footballeuses de D1 souhaitent terminer la saison, une donnée sans doute évoquée aujourd'hui au COMEX de la Fédération, organisatrice du championnat. http://www.leparisien.fr/sports/foo...ion-15-04-2020-8300397.php#xtor=AD-1481423553
Pour nous ça se résume à ça je trouve : - renoncer à 15/20M (?)de droits télé et être assuré de toucher la cagnotte de 30M de la ldc - toucher 15/20M (?) de droits télé et devoir aller chercher la ldc sur les journées jouées à huis clos
Par Dominique Sévérac Le 15 avril 2020 à 21h21, modifié le 15 avril 2020 à 21h47 L'angoisse grandit et, cette fois, elle enveloppe les principaux concernés. Si les présidents de clubs manifestent tous officiellement - à part les dirigeants de Brest et de Dijon - le désir de reprendre les Championnats de France de Ligue 1 et Ligue 2, les entraîneurs et, surtout, les joueurs se montrent de plus en plus réticents. Le syndicat des footballeurs (UNFP) pourrait même annoncer prochainement une recommandation extrêmement puissante : un non franc et massif au retour sur les terrains. Si les joueurs ne veulent pas, que décideront l'Etat français, les instances du football, leurs employeurs (les clubs) et l'UEFA? A ce stade, l'organisme qui régente le ballon rond en Europe, demande d'étudier uniquement les scénarios de reprise. C'est pourquoi en France, la Ligue (LFP) planche toujours sur des hypothèses de retour aux compétitions. L'une d'elles consiste à finir la L1 le 25 juillet et à commencer la saison suivante le 23 août. Le danger de contracter la maladie est réel Sans oublier que, si elle annonce l'arrêt, elle sortira du cadre juridique qui lui permet encore d'espérer toucher une partie des droits télé et de sponsoring de l'écosystème du football. Mais, sur le pré, les acteurs avancent une autre préoccupation, immédiate et incontestable : la santé. Le danger de contracter la maladie est réel dans un sport où la distanciation sociale est impossible et les porteurs parfois asymptomatiques. Même si ces cas sont rares, le Covid-19 a déjà emporté depuis le début de l'épidémie de jeunes gens qui semblaient en pleine forme, sans pathologie secondaire. L'inquiétude de redémarrer, d'enchaîner tous les trois jours et de se blesser existe également. Avec une coupure forcément réduite à son minimum s'il faut enchaîner moins d'un mois après sur la nouvelle saison, l'exercice 2020-2021. Le déconfinement arrive mais le football semble encore loin dans les têtes des joueurs et des entraîneurs.
Il faudra attendre de voir comment les droits TV vont être négociés en fonction de l'évolution de la crise sanitaire. À l’étranger, les diffuseurs ont accepté de payer Publié le : 17/04/2020 - 14 h 00 Aurélien Léger-Moëc Alors qu'en France les clubs tentent de faire fléchir la position de Canal Plus et beIN Sports pour le paiement de la dernière tranche des droits TV, les autres pays européens n'ont pas à se plaindre de ce côté-là. La nouvelle est révélée ce matin par Bild. Jeudi, après une nouvelle réunion entre la Ligue allemande et le diffuseur de la Bundesliga Sky, un accord serait intervenu pour le paiement de la dernière tranche, évaluée à environ 225 M€. Le tout sans aucune certitude sur la tenue des dernières journées de championnat. Une excellente nouvelle donc pour les clubs allemands, qui vont pouvoir respirer financièrement. En Angleterre aussi, les diffuseurs que sont Sky Sports et BT Sport avaient décidé de payer l’intégralité du montant dû, qui s’élève tout de même à 1,7 milliard d’euros, malgré l’arrêt momentané de la Premier League. En Espagne, les diffuseurs ont accepté d’avancer le paiement du mois de mars, et les clubs ont touché 85 % des droits TV prévus pour cette saison. En Italie, une réunion est prévue entre la Ligue et les diffuseurs alors que la somme de 233 M€ doit être versée normalement avant le 1er mai. Un report aurait été demandé, mais les négociations sont encore ouvertes. En France, c’est toujours bloqué Comme vous pouvez le constater, la situation est loin d’être aussi tendue qu’en France dans les autres principaux championnats européens. Rappelons que dans nos contrées, Canal Plus et beIN Sports ont conjointement décidé de ne pas fournir le dernier versement prévu pour la saison. « Il n’est pas envisageable que nous payions les échéances à venir, alors même qu’en raison de la suspension du championnat de Ligue 1, aucun match ne peut être joué et, par suite diffusé sur nos antennes », avait ainsi écrit Maxime Saada, patron de Canal Plus, à la LFP pour justifier cette décision. La chaîne cryptée devait initialement payer 110 M€ et beIN Sports 42 M€ dans le cadre des contrats établis. Depuis, un quatuor de présidents a été désigné pour négocier avec les deux chaînes, dont Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG et... de beIN Sports. L’évolution positive des cas similaires dans les autres championnats européens pourra-t-elle influer sur la position des diffuseurs français ? En Angleterre, Sky Sports et BT Sport auraient demandé, en échange de leur effort, d’avoir plus facilement accès au club à l’avenir, en proposant par exemple plus d’images des vestiaires.
Cependant faut pas regarder que dans le prisme de l'om, de plus vue l'influence qu'ils ont .... pour toute les autres équipes c'est important voir une survie de reprendre. ps: La ldc, pas sur que la direction est réellement envie d'aller la chercher, financièrement ils ont pas l'argent pour créer une équipe qui peut passer un tour.
Juste pour rappel, les JO, l'événement sportif planétaire le plus médiatique au monde n'a pas hésité a reporter d'un an Et nous, notre pauvre lfp, avec pour deux seules mission ,celle du pognon et celle de sauver le club lyonnais , s'entête a vouloir à tout prix terminer la L1....alors que le champion est connu dès la première journée ...pathétique
Énorme différence, en france les payeurs de cette saison ont été évincés sans ménagement au profit de Mediapro, malgré plus de 20 ans de partenariat en ce qui concerne Canal Plus
dans le même temps, ça sert à quoi de passer les poules ? Se faire cartonner en 8e ? en 1/4 ? en demie ? Autant jouer la LE pour la gagne. Là on a clairement nos chances et on écrirait une nouvelle page d'histoire. Alors qu'une demie (ou même une finale) de ldc... quel intérêt si c'est pour se faire sortir ?
"Les joueurs vont-ils influer sur la date ou les conditions de reprise de la Ligue 1 ? Ce n'est pas exclu, à en croire la consultation menée jeudi et vendredi auprès de ses adhérents par l'UNFP, le syndicat ultra majoritaire des joueurs professionnels (94%), qui a recueilli un peu moins de mille réponses de manière anonyme. Deux grandes tendances en ressortent: dans leur grande majorité, les joueurs professionnels, environ trois sur quatre, privilégient leur santé et leur sécurité lorsqu'on les interroge sur l'opportunité de reprendre la compétition en juin : en clair, ils ne veulent pas rejouer sans garantie sur ce plan." https://www.lequipe.fr/Football/Act...eurs-ne-veulent-pas-reprendre-en-juin/1128000 mais c'est qu'ils se rebellent ces saligauds. A vos armes gladiateurs, vous n'aurez votre liberté qu'en divertissant le peuple ! La plèbe veut ses jeux !!!