Ah mais c’est la réalité ! Et pour la peine ils leur ont même promis de très très gros contrats en échange s’ils viennent à racheter le club.
En tout cas, si c'est ça, on peut dire qu'ils respectent vraiment bien les nouvelles consignes les joueurs.
Oui et en tant que cadre, Payet est un exemple ! Pour être certain de ne pas faillir à sa mission, il s’est donc dit que prendre 50 kg était LA garantie de ne pas trop courir.
Rien de neuf, m'enfin on peut tout de même faire quelque chose avec rien. En le multipliant ! 1 fois rien, c'est rien. 2 fois rien, c'est pas beaucoup. Mais 3 fois rien... Avec 3 fois rien on peut déjà faire quelque chose non ? Bon maintenant si vous multipliez 3 fois rien par 3 fois rien : Rien multiplié par rien = rien. 3 multiplié par 3 = neuf. Ça fait rien de neuf !
"Kyril c'est lui notre futur argentier et propriétaire, il kiffe trop le club" https://www.lephoceen.fr/infos-om/a...reyfus-en-passe-de-racheter-sunderland-183393
, il n'a de toute façon pas les moyens de racheter l'om malgré l'amour qu'il lui porte, sunderland c'est bien moins cher
Sunderland ça vaut pas 12 Euros non plus hein. Même si le club est aujourd'hui descendu en 3ème div' je crois, c'est en Angleterre, donc ça vaut très cher, car perspective potentielle de remontée en Premiership voire en Premier League, donc jackpot droits télé. Quant au tarif de l'OM, au dessus de 200 millions c'est une arnaque. Donc l'un dans l'autre...
Ben il prend sa vessie pour un Zeppelin si tel est le cas. Le mec il se croit dans Wheeler dealers. Jamais l'OM ne sera vendu autant, il en vaut la moitié, et encore je suis gentil.
McCourt c'est sensé être un homme d'affaire mais on dirait qu'il comprend rien aux chiffres. "Mon club vaut 200M, mais comme il y 150M de dettes, je peux vendre à 350M". Ben non, du coup ton club il vaut 50M vu que le futur repreneur va devoir éponger 150M de dettes...
McCourt est une buse, c'est pour cela que nous sommes tombés aussi bas en à peine 4 ans. Et, s'il continue à s'entêter, c'est loin d'être terminé pour nous, malheureusement… Bref, McCourt-RLD (et MLD), même combat!
McCourt n'a pas choisi les bonnes personnes pour faire prendre de la valeur au club, clairement. Par contre, à un moment donné, il va peut-être falloir se rendre compte que l'économie du football est complètement hors sol et qu'il va falloir - pas seulement nous - revenir à des budgets et des salaires plus raisonnables, sous peine d'avoir des faillites de club en cascade. Si c'est pour avoir un propriétaire saoudien, ça ne va qu'accélérer notre fuite en avant.
On est bien d'accord, mais le problème de Mc Court c'est que l'incompétence à l'air de lui convenir...
Il est hors de question d'avoir ce type de modèle à l'OM. Mais quand tu parles de bien s'entourer, j'ai l'impression de retomber à l'époque de RLD, qui lui non plus, ne savait pas le faire. Par contre, RLD, s'est bien gavé sur le dos de l'OM, alors qu'apparemment, pour l'ami Francky, c'est loin d'être le cas à l'instant t. Je ne comprendrais jamais comment on peut avoir autant de malchance à ce niveau là…? A croire que c'est devenu impossible d'avoir de la compétence à la tête du club, depuis le départ de Diouf. Bref, qu'il se barre l'ami McCourt, et qu'il emmène son acolyte macroniste avec lui, très loin du club!
Accueil Sport Rugby ENTRETIEN. Mourad Boudjellal : « Bernard Lemaître n’est pas le sauveur du RCT, mais un menteur » Orienté vers la sortie par Bernard Lemaitre, son successeur à la présidence du RC Toulon, Mourad Boudjellal, 60 ans, règle ses comptes dans un livre publié aux éditions Solar, intitulé « J’en savais trop. ». Après avoir brillé dans le monde de l’édition, puis redonné ses lettres de noblesse au club de rugby de la Rade, le bouillant Méridional s’est mis en tête de réussir à la tête de l’Olympique de Marseille. Entretien en un mot : décapant. Mourad Boudjellal, l’ancien président de Toulon, n’a jamais caché ses émotions (ici au Roazhon Park de Rennes). | OUEST-FRANCE/PHILIPPE RENAULT Ouest-France Jean-Pascal ARIGASCI.Modifié le 02/12/2020 à 12h35 Publié le 02/12/2020 à 12h30 Il ne s’y attendait pas, mais la crise de la soixantaine l’a forcé à explorer une autre voie : « La patience ! Paradoxalement, je me suis rendu compte que j’avais tout mon temps… » Une réflexion peu raccord avec le Mourad Boudjellal, incapable de se taire lors de son long passage sur la planète rugby, et devenu grande gueule sur les ondes de RMC. Président du RC Toulon de 2006 à 2020, l’ancien patron des éditions Soleil, une référence dans la case de la BD, a contribué à la renaissance du club varois, parvenu au firmament avec un triplé européen (2013 à 2015). Il n’a pas du tout goûté la fin de l’histoire, en revanche. Le 11 février 2020, il a donné sa démission, lassé d’être mis sous l’éteignoir par Bernard Lemaitre, l’actionnaire majoritaire qui a fait fortune dans l’industrie bio-pharmaceutique. Boudjellal, amer, se dit désormais aimanté par l’OM dont il veut prendre le contrôle. Problème : le club n’est pas à vendre. « Pour l’instant », dit-il… Tout est consigné entre les pages de son troisième livre, publié aux éditions Solar le jeudi 3 décembre. Le titre « J’en savais trop » est déjà tout un programme. Mourad, après l’édition et le rugby, vous souhaitez basculer dans le milieu du football. Quelle est la logique de tout ça ? Ce sont tous des mondes où l’on raconte des histoires. Ces trois métiers ont pour point commun de faire rêver les gens. Lire une BD ou assister à un match, c’est oublier un temps les vicissitudes de la vie. Ce sont tous des générateurs d’émotions fortes. Au printemps dernier, vous avez tenté d’investir au Sporting, le club de football de Toulon. Vous n’avez pas été échaudé par ce projet avorté ? Non ! C’était un mariage forcé qui n’aurait pas duré. L’actionnaire majoritaire n’avait pas le sens des réalités : il demandait un prix fou pour racheter le Sporting. Mourad Boudjellal regarde plus haut : vers l’OM… | AFP Fou, ça se chiffre à combien ? Il en réclamait 6 millions d’euros. Pour un club de National 2… Soit plus que le club de Nancy en Ligue 2 avec son centre de formation… « Notre offre figure sur le bureau de Franck McCourt » Le projet OM était votre plan B ? Non, c’est arrivé en cours de route. Et le projet s’est accéléré. Dans votre livre, vous évoquez un comité restreint de partenaires et d’actionnaires, dont certains étrangers, rassemblés autour du projet X. On dirait un roman d’espionnage… Ça tombe bien : je suis un grand lecteur de Chandler. Mais je ne raconte que la réalité. Nous avons créé un groupe WhatsApp sur le canal duquel nous échangeons en permanence. Rien ne filtre en dehors de ce cercle fermé. Avez-vous fait une offre ? Oui. Elle figure sur le bureau de Franck McCourt (l’actuel propriétaire américain). Mais j’en connais au moins deux autres. À combien est estimé le prix de l’OM ? McCourt le situe à 200 millions d’euros. En réponse à votre offre, l’OM a porté plainte contre votre vous, arguant d’une tentative de déstabilisation. Comme pour rappeler que le club n’est pas à vendre… Tout ça part mal, non ? Le but, c’est que tout ça arrive bien… Tôt ou tard, McCourt vendra. Ce n’est qu’une question de temps. Et je vous l’ai dit, je suis patient, ça se fera… « L’OM, parce que c’est une ville rebelle comme Toulon » Qu’est-ce qui vous rend si sûr que l’OM changera de mains ? L’intérêt de McCourt, c’est de vendre. Sinon, il va creuser un gouffre financier. Avec son stade vide de 67 000 places, les problèmes de paiement de Mediapro, etc. À la tête de Toulon, Mourad Boudjellal (ici avec le maire Hubert Falco) a remporté trois Coupes d’Europe. | AFP ARCHIVES Pour quelles raisons êtes-vous aimanté par Marseille ? Parce que c’est une ville rebelle comme Toulon, où je suis né (à Ollioules, en fait, juste à côté). Rendez-vous compte ! L’OM, pour moi, c’est le fantasme d’une fin de vie. Si j’y arrive, je serais dans la peau du perchiste qui vient de passer 6,30 m… Que pensez-vous pouvoir y apporter ? Beaucoup de choses. Après l’achat du club, je n’aurais besoin de l’argent de personne pour développer l’OM. Je sais le faire, je l’ai réalisé au RC Toulon. Je ne comprends pas pourquoi le milieu du football ne mesure pas à quel point ce club est sous-exploité. Il existe un décalage énorme entre son budget actuel et son potentiel qui est énorme. Il y a un tel amour autour de l’OM. Pour revenir au ballon ovale, quelle image aimeriez-vous qu’on garde de vous au RC Toulon ? Mon exemple est la preuve qu’on peut être d’une ville de province considérée comme dure, et réussir, nourrir des ambitions et entreprendre. Être Toulonnais est devenu une force. J’en suis fier. « Bernard Lemaître n’est pas le sauveur du RCT, mais un menteur » Vous n’êtes pas tendre avec Bernard Lemaître, votre successeur à la tête du RCT depuis le mois de février dernier. Vous n’avez pas peur de passer pour quelqu’un d’aigri ? Ah ! Mais ce n’est pas moi qui me répands partout pour me tailler un costard à la moindre occasion. Ce qu’il dit sur moi m’agace, oui ! Partout, Bernard Lemaître se présente comme le sauveur du RCT. Ce n’est pas un sauveur, mais un menteur. Expliquez-vous… Quand il dit qu’il est allé de surprise en surprise et a évité au club de mourir, il me fait passer pour un escroc. Mais c’est lui qui m’a demandé de creuser le déficit, j’en ai la preuve. J’en ai ras-le-bol qu’il diffuse cette image de moi dans les médias. Je ne comprends pas cet acharnement. Écoutez, c’est quand même un comble ! Je n’ai pas eu le droit de dire au revoir au stade Mayol, mais je reste caution des comptes du RCT et de son prêt de 6 M€ consenti sur vingt ans ! Mourad Boudejllal se sait mégalo. Mais avec du recul et un sens de l’autodérision. | OUEST FRANCE/PHILIPPE RENAULT « Moi, je suis un mégalo, mais avec du deuxième degré » Vous n’êtes plus revenu à Mayol depuis ? Non, Bernard Lemaître a fait en sorte que je ne figure pas sur la liste des anciens présidents du club qui gardent une place en tribune. Mais qu’a-t-il fait au regard de l’héritage que j’ai laissé ? On n’a jamais vu ça dans un autre club ! Bernard Lemaître est quelqu’un de caricatural. Il a un gros problème d’ego. Dans le genre mégalo, vous n’avez jamais été en reste… Je l’admets, mais lui, c’est un vrai de vrai. Un mégalo frustré, ce qui n’a jamais été mon cas. Depuis le premier article qui lui a été consacré dans un média national, je l’ai vu changer, se comporter de façon différente avec moi. Moi, je suis un mégalo, mais avec du deuxième degré. Je connais mes limites, je sais que bien des gens sont meilleurs que moi. « Vannes, c’est une révolution en marche » Vous insistez aussi sur les coulisses du rugby. Ce monde est-il si vilain de l’intérieur ? Ni plus ni moins que notre société. Il y a des racistes et des mecs bien. Le problème, c’est que beaucoup de présidents font semblant de s’aimer, alors que ce n’est pas le cas. Ils ne peuvent pas car les enjeux sont bien trop colossaux entre les clubs. Sauf peut-être en Pro D2. À propos, vous investiriez dans un club comme Vannes ? Mais Vannes n’a pas besoin de moi ! C’est un club parfaitement géré dont je connais le président. Cette équipe est leader en Pro D2, je ne sais pas si les gens se rendent compte que c’est une révolution en marche. C’est la première fois qu’un club qui n’est pas issu des bastions du rugby est en position de monter en Top 14. « J’en savais trop. ». Éditions Solar (avec Arnaud Ramsay). 18,90€.