Faut tout de même être sacrément perché pour demander à des cabinets privés américains de donner leur avis sur une campagne publique de vaccination en France. Autant demander à un perchiste la meilleure façon de sauter une haie. Et puis ils en ont pris 4 je crois, non ? Assez révélateur de leur incapacité à gérer leur ministère.
J'ai été dépité de voir ça. Je me demande si c'est dû à la peur de prendre un risque (si rupture de la chaine du froid à qui la faute? ), à l'impréparation ou à l'incompétence dans les ministères. En tout cas la finalité c'est que les hauts fonctionnaires sont incapables de gérer une crise, incapable d'organiser un système de réception, de livraison et de stockage de matériel médical à l'échelle du territoire et incapables de prendre des décisions. Il existe des réseaux privés qui livrent des pharmacies et des hôpitaux au quotidien aussi. Je me demande ce qui les empêche de faire entrer les vaccins dans ces flux logistiques là. En utilisant le réseau de livraison existant. Je ne comprends pas ce qui est insurmontable dans l'organisation de ce type de logistique. Vraiment. Quand tu possèdes des organisation capables de livrer des lettres et des colis chaque jour dans des millions de foyers, une boite comme Géodis qui a une logistique sur 120 pays, une armée capable de déployer des hommes n'importe ou dans le monde en 24 heures et de les alimenter en permanence, des boites privées qui livrent tous les 2 jours plus de 20 000 pharmacies. Comment on peut être incapable d'aller chercher des gens capable de monter ce type de logistique? Que les pensant sortis de l'ENA ne sachent rien faire n'est pas une nouveauté même si ça s'aggrave. Mais qu'ils deviennent incapables d'aller chercher des gens capables d'organiser une distribution au niveau national fait peur quant à l'état de la haute fonction publique...
Pas besoin d'aller plus loin... D'ailleurs, sans être un haut fonctionnaire, on a un incompétent à la tête de l'OM qui est fait d'un moule similaire. Il est allé te chercher des Paul Aldridge, Gary Cook, Hugues Ouvrard, etc... des types dont le rôle est obscur et dont la valeur ajoutée qu'ils apportent au club est franchement douteuse. Mais bon, nous ne sommes que de pauvres mortels, nous ne pouvons pas comprendre les dessins de ces demis-Dieux...
Je trouve ça scandaleux quand même. À Marseille, Michèle Rubirola reconnaît avoir proposé sa place à Benoît Payan dès le soir du premier tour Dans un entretien à Elle, l'ex-maire démissionnaire estime que les électeurs phocéens n'ont pas «voté uniquement et seulement» pour elle, mais pour le «collectif» qu'elle représentait. Par Loris Boichot Publié il y a 5 heures, mis à jour il y a 3 heures Michèle Rubirola, alors maire de Marseille (Bouches-du-Rhône), le 15 octobre 2020. NICOLAS TUCAT / AFP Le tour de passe-passe a donc été évoqué dès le soir du premier tour des élections municipales. Dans un entretien au magazine Elle publié jeudi, l'ex-maire écologiste de Marseille (Bouches-du-Rhône), Michèle Rubirola, admet avoir évoqué un échange des rôles avec le socialiste Benoît Payan le 15 mars, dans la foulée de leur improbable arrivée en tête du scrutin. Neuf mois après jour pour jour, le 15 décembre, la première femme élue à la tête de la deuxième ville de France annonçait sa démission pour des raisons de santé, afin de céder sa place à son dauphin, et le remplacer au poste de premier adjointe. «C'est moi qui, pressentant les difficultés, ai proposé à Benoît (Payan) de switcher» dès le premier tour, concède-t-elle. «Mais Michèle c'est impossible, ça ne se fait pas !», lui aurait répondu son allié au sein du Printemps marseillais, ce laboratoire local d'un cartel des gauches. «Comme je ne voulais pas faire perdre mon camp, j'ai tenu bon. Sauf qu'être maire de la deuxième ville de France, ça ne s'improvise pas», explique aujourd'hui Michèle Rubirola, médecin de 64 ans. Elle n'en avait d'ailleurs jamais rêvé. «J'ai essayé, je vous jure» Arrivée à la tête d'une ville en situation de quasi-faillite, après vingt-cinq années de règne de la droite autour de Jean-Claude Gaudin, Michèle Rubirola montre vite qu'elle goûte peu l'exercice du pouvoir. Elle déserte les médias et s'efface au profit de son premier adjoint. Le patron du Parti socialiste (PS) local - «beaucoup mieux armé que moi pour les situations de crise», dit-elle - assure l'intérim pendant son mois de convalescence, après son opération chirurgicale, mi-septembre. Assumer le pouvoir ? «J'ai essayé, je vous jure», assure aujourd'hui l'écologiste. «Pendant des semaines, j'ai lutté contre moi-même. (...) Le problème, c'est que tout cela me demandait un temps et une énergie que je ne pouvais pas donner à cause de mes problèmes de santé.» Pur produit de la politique marseillaise, le socialiste Benoît Payan est devenu à sa place, le 21 décembre dernier, le plus jeune maire de Marseille. Michèle Rubirola insiste pourtant : sa démission n'est ni une «trahison» de ses électeurs - «Soyons honnêtes, combien parmi eux ont voté uniquement et seulement pour moi ? Le Printemps, c'est un collectif» -, ni un coup porté à la «cause des femmes» en politique - «La bonne personne, en l'occurrence, ce n'était pas moi. Femme ou homme, là n'est pas la question.» À l'entendre, sa trajectoire ressemblerait plutôt au passage raté de la société civile à la politique. D'une femme «élue trop vite et trop tôt».
Elle a pas tord. Qui a voté Rubirola ? Ils ont voté pour une union de la gauche, point. Et rien n'interdit d'ailleurs au conseil municipal de voter pour qqun d'autre que la tête de liste au 1er conseil municipal après les élections d'ailleurs. Bref, l'important c'est ce qui est fait, pas qui le fait.
BFMTV @BFMTV Covid-19: Microsoft, Salesforce et Oracle planchent sur un passeport numérique de vaccination https://bfmtv.com/tech/covid-19-microsoft-salesforce-et-oracle-planchent-sur-un-passeport-numerique-de-vaccination_AN-202101150118.html
François Asselineau en garde à vue pour harcèlement et « agressions sexuelles » Plusieurs dizaines de cadres du mouvement avaient réclamé au printemps sa démission, évoquant « l’existence de relations particulières et plus qu’insistantes de [la] part » de François Asselineau à l’égard de salariés de l’UPR, « source de graves souffrances psychologiques ». Ayant échoué à le faire partir, ils avaient ensuite demandé que le président de l’UPR se mette « en retrait » de ses fonctions pendant les procédures judiciaires. François Asselineau avait néanmoins convoqué un congrès virtuel en juillet lors duquel il avait été réélu haut la main à la tête du parti souverainiste.
J'étais au courant de cette histoire là, ça faisait plusieurs mois que c'était dans les cartons et qu'un certain nombre de cadres cherchent à renverser Asselineau. Maintenant, est-ce que les faits qui lui sont reprochés sont avérés, ou s'agit-il d'une manoeuvre politique? Aux enquêteurs et à la justice de trancher.
Peu importe, il est cramé. Les accusations dans le domaine sexuel sont les pires pour cela, car elles collent à la peau comme un chewing-gum sous une chaussure. Que la personne soit coupable ou innocente, cela remontera toujours à la surface, car c'est souvent parole contre parole, et que les affaires sont souvent classées pour 'insuffisance de preuves'. C'est comme pour Richard Berry, il est fini. Les réseaux sociaux sont redoutables pour cela.
Les RS, c'est le tribunal. Il suffit d'accuser un personnage public de viol, d'inceste, de racisme ou autre et c'est fini pour lui. Présomption de culpabilité. Ensuite, tu as les médias qui prennent le relais et c'est la spirale infernale.
Toute accusation de délit grave ou de crime - qu'elle soit basée sur des faits réels ou imaginaires - faite par les réseaux sociaux devrait être lourdement condamnée pour diffamation. Quelle que soit la personne mise en cause, c'est par les voies policières et judiciaires que ces affaires doivent être traitées, et pas par les réseaux sociaux, parce que cela laisse toujours un doute quant aux véritables intentions.
Tu sais très bien que cela n'empêchera pas les gens de conserver leur opinion, au moment de voter, ou au moment d'aller voir un film, ou quelle que soit l'activité de la personne incriminée. Dans ces histoires de parole contre parole, un acquittement par un tribunal ne change rien.
Raison de plus. S'il existe une menace de lourdes amendes vis-à-vis des personnes qui balancent des rumeurs sordides sur les réseaux sociaux, ça va peut-être en calmer plus d'un avant de balancer leur saloperie. Il ne s'agit pas de décourager les vraies victimes, mais de les inciter à passer par les moyens classiques - et de forcer les flics à faire leur boulot!!! - et non par les réseaux sociaux si elles ont subi des atrocités... Exactement. Ces sous-merdes se sentent fortes par le pouvoir de l'anonymat, en balancent des horreurs qu'ils n'auraient pas les cou*lles d'asséner IRL.
Quand Baudis a été blanchi, tout le monde a été obligé de faire un mea-culpa sauf Plenel-Colombani-Baylet qui ne se sont jamais excusé. J'espère qu'il en sera de même pour Richard Berry si il est innocent. Sinon, tout à fait ok avec @madmax61 : puisque maintenant, comme l'a rappelé Jack Dorsey à Ted Cruz (le PDG de Twitter s'était fait éparpiller façon puzzle, au passage), Twitter n'est pas une "plateforme neutre" mais un "éditeur" (a "publisher" comme il l'avait dit lui-même). Donc par conséquent, TOUS les utilisateurs, qui sont donc des micro-blogueurs, doivent être tenus responsables de leurs contenus selon les lois du pays en vigueur et Twitter poursuivi.