Pour l'instant il n'y a pas d'études sur PubMed ou Medrxiv car c'est trop tôt. Mais le CDC par exemple a déjà lancé des alertes. Il y a aussi une étude Danoise qui démontre que 60% du personnel médical vacciné a contaminé son foyer (épouse ou enfants). Il suffit de chercher HCW+Household dans les sites scientifiques. Une autre étude en Californie montre que sur 1440 membres du personnel soignant (aucun vacciné mais respect des gestes barrières), seulement 95 ont attrapé le Covid, dont 91 en dehors de l'hôpital. Cela signifie que seulement 4 membres du personnel soignant ont eu une infection nosocomiale, et donc que la vaccination obligatoire des soignants c'est juste de la politique. Bref, la façon dont le gouvernement met en avant la vaccination comme solution miracle (et la seule possible) risque de leur péter à la gueule parce que c'est un peu plus compliqué que ça.
https://www.air-cosmos.com/article/coronavirus-le-trafic-arien-mondial-a-chut-de-60-en-2020-24122 C'est pour ça que les exemples sur la variole, c'est gentil mais faudrait penser à passer à la 4G...
Et elle est grave l'épidémie? Elle est mortelle l'épidémie? L'épidémie elle a bon dos pour imposer des mesures sociales, justement, et politiques. Aucune justification sanitaire valable.
Moi j'attends toujours que des épidémiologistes nous disent qu'ils ont travaillé sur les données du IATA. Ces données contiennent les 4,5 milliards de déplacement, avec les escales de chaque passager. Je suis persuadé que ces données contiennent toute la dynamique de l'épidémie et sa diffusion au niveau mondial. Mais les épidémiologistes préfèrent continuer à jouer à SimCity, avec le modèle SIR qui date de grand-papa. Je voulais regarder les données du IATA mais ça coûte 5.000 euros, et comme je ne suis pas juif, j'ai pas les moyens.
Y a sûrement une corrélation mais chut ça donne du grain à moudre à messiah et cie ça. 5000 balles, ça se négocie bien les données dis donc.
La gravité c'est pas vraiment une mesure scientifique. Pour les 4 millions de personnes qui sont mortes, on peut supposer que l'épidémie est grave. Pour quelqu'un comme Véran qui est en panique totale, c'est la fin du monde. On va pas tarder à le voir errer dans les rues en agitant une cloche et en brandissant une pancarte nous demandant de nous repentir. Enfin, pour d'autres elle n'est pas grave en rapport avec le nombre de personnes sur la planète. Tout est relatif et dépend de chacun. On peut aussi dire que le Sida, Ebola, le cancer, la malaria sont pas graves. Sauf pour ceux que ça touche....
Les compagnies aériennes s'en servent pour déterminer quelles lignes directes elles doivent ouvrir. Vu ce que ça leur rapporte, ça les vaut largement.
Je sais ce que vous allez poster avant même que vous en ayez l'idée. Nous sommes l'élite qui vous manipule et va vous asservir...
Peut être que c'est même @Ebola qui t'a donné l'idée de poster dès le départ. Peut être qu'en fait @tommy est un bot.
Ha non, ils prennent pas l'avion eux, pas même le bateau, ils ouvrent la mer et traversent a pied. Apres je dis pas que quelques-uns d entre eux ne s interdisent pas un voyage en train de temps en temps.
Le système des courants de l’océan Atlantique au bord de la rupture Cette circulation océanique, qui joue un rôle de thermostat de la planète, est de plus en plus affectée par les émissions de gaz à effet de serre. Des hivers plus cléments au nord, des étés moins chauds au sud. La Circulation méridienne de retournement atlantique, un courant océanique aussi appelé AMOC, joue un rôle de thermostat de la planète. Mais ce système, dont fait partie le Gulf Stream, est aujourd’hui arrivé à son point de rupture, suggère une étude parue dans la revue Nature Climate Change, jeudi 5 août. L’AMOC est en effet l’un des principaux systèmes de circulation océanique de la Terre. Tel un tapis roulant géant, ce courant transporte l’eau chaude et salée de l’équateur vers le nord. Cette eau se refroidit alors et devient ainsi plus dense. Lorsqu’elle est suffisamment lourde, elle s’enfonce vers des couches océaniques plus profondes et retourne vers le sud. Au total, ce courant déplace près de 20 millions de mètres cubes d’eau par seconde, soit près d’une centaine de fois le flux du fleuve Amazone. En février déjà, une étude dans la même revue avait alerté sur la diminution de puissance de l’AMOC, au plus bas depuis un millénaire. Aujourd’hui Niklas Boers, climatologue à l’Institut de recherche de Potsdam (Allemagne) sur les effets du changement climatique, démontre que le point de non-retour est proche. « Alors que l’on savait que l’AMOC était à son plus faible niveau depuis au moins mille ans, la question restait ouverte de savoir si cet affaiblissement était simplement une variation du système ou s’il était associé à une perte de stabilité, explique-t-il. Il faut imaginer une chaise que l’on peut déplacer ou incliner ; dans le premier cas, sa stabilité ne sera pas affectée, dans le second cas, il y a un point d’inclinaison au-delà duquel la chaise va tomber : le point de basculement. » Les résultats de l’étude montrent que l’affaiblissement de l’AMOC est associé à une baisse de stabilité, et que le courant s’est donc rapproché du seuil critique à partir duquel il pourrait s’effondrer. L’état des connaissances actuel ne permet toutefois pas de savoir si ce basculement est imminent ou s’il risque de survenir dans plusieurs siècles. Bon, du coup, on s'habille comment ?
Ok merci je vais aller lire. Mais oui on est d'accord. Le vaccin est une arme majeure et indispensable mais non suffisante.