Faits divers et divers faits

Discussion dans 'Les penseurs du forum' démarrée par pepere07, 11 Juillet 2009.

  1. VinnieJones

    VinnieJones El Greco

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    Impossible. J'aurais jamais choisi un pseudo aussi naze :D
     
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  2. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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  3. Massilia1313

    Massilia1313 Modérateur

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  4. anonymous_11122023

    anonymous_11122023 Well-Known Member

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    Le paumé barbu. Le barbu quoi.
     
  5. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Mes Alpilles :(:(:(
     
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  6. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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    La bonne affaire !!!

    Elle se retrouve propriétaire de 85 maisons par erreur

    « Sur le pouce », c’est le podcast de l’édition du soir d’Ouest-France. Tous les soirs, retrouvez en audio trois infos et l’histoire du jour.

    PHOTO D’ILLUSTRATION : NATEE MEEPIAN / GETTY IMAGES / ISTOCKPHOTO

    Une Américaine ayant acquis une résidence familiale à Sparks, dans le Nevada, a découvert avec surprise qu’elle était aussi devenue propriétaire de 84 autres maisons dans un lotissement. La faute à une erreur de copier-coller dans un titre de propriété.
     
  7. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    La réponse de Chapatte à la polémique touitteur qu'un de ses dessins a suscité :

    [​IMG]


    A priori, c’était une idée visuelle, simple et directe. Un de ces dessins de presse qui vous sautent à la figure. Sauf que… [ce n’était] pas comme je l’avais imaginé.

    Pour commenter la décision historique de la Cour suprême des États-Unis de supprimer le droit constitutionnel fédéral à l’avortement, j’ai représenté des talibans dans le fauteuil des juges suprêmes américains. Paru le 25 juin 2022 dans le journal Le Temps, à Genève, et posté automatiquement le même jour sur mes réseaux sociaux, le dessin a bien marché auprès de mon public. Puis, après vingt-quatre ou quarante-huit heures, Twitter a commencé à s’agiter. Pour la première fois, j’ai fait l’expérience d’un phénomène sur lequel je m’étais déjà exprimé : j’ai été la cible d’un shitstorm numérique.

    Lire aussi Algérie. Mohamed Tahar Messaoudi, directeur d’“El-Watan” : “Nous subissons une tentative d’asphyxie”
    Les reproches allaient du très prosaïque “Il y a combien de musulmans à la Cour suprême ?” aux variantes plus élaborées : “Pourquoi aller chercher encore des musulmans pour caricaturer ce qui concerne les États-Unis, pays chrétien assumé ?” ou “Ce serait bien de donner leurs vrais visages aux juges suprêmes : ce ne sont pas des talibans.” Les experts en biais racistes systémiques ont accouru : “Traduction : un Occidental ne peut pas être réactionnaire et arriéré, seul l’Oriental l’est.” Souvent, on allait à l’essentiel : “Ceci est juste raciste et islamophobe”, “T’es raciste” ou encore “Fuck you racist bullshit”. Le fermement bienveillant “Vous devriez probablement effacer ceci” côtoyait le plus conclusif “Sale merde !” Jusqu’au type qui se demande combien de fois les dessinateurs français devraient finir dans des cercueils avant de comprendre la leçon… Bref, on est sur Twitter.

    Explication d’image
    Vous avez déjà essayé de débattre sur Twitter ? Autant vouloir parlementer avec un train qui vous arrive dans la figure. De toute façon, sur les réseaux sociaux, j’ai pour règle de ne pas commenter. Quand le dessin est fait, c’est posté, je me débine, j’ai dit ce que j’avais à dire. Le comble pour un dessinateur, c’est de devoir expliquer un dessin. Mais je vais faire une petite entorse au règlement. Car cette péripétie montre que dans une même foule nous ne voyons plus les mêmes choses. Et il n’est pas inutile de rappeler certaines clés de la satire.

    D’abord, je confirme : il n’y a pas de musulmans à la Cour suprême américaine. Encore moins des barbus avec des turbans, si vous regardez bien la télé. Le procédé qui consiste à plaquer des talibans à la place des juges [américains] s’appelle “métaphore”. Un tour de passe-passe. Une comparaison de deux attitudes rétrogrades.

    Mais je confesse : je n’ai pas assez souligné ma référence. Pas collé une petite étiquette avec la mention “Taliban”. Comme indice, à côté du turban pachtoune des leaders religieux, j’ai utilisé la coiffe des moudjahidines, le pakol, pour que le lecteur se dise “Ah ouaiiis, c’est des Afghans !” (Mais comme les connaisseurs vous le diront, le pakol tadjik ne sied pas du tout aux talibans.) Et en y mêlant la robe noire des juges américains, j’ai même brouillé les pistes : on pourrait aussi y voir des mollahs iraniens. Ça ne me gêne pas ; même ainsi, le dessin fonctionne.

    Donc : pourquoi aller chercher des talibans, ou des mollahs, pour dénoncer une décision de fondamentalistes chrétiens ? Ben, justement. Ce dessin est un miroir tendu aux États-Unis, à leurs obsessions de politique étrangère et à leurs croisades morales : vous êtes finalement ces extrémistes que vous prétendez combattre. C’est une critique de l’hypocrisie américaine, rien d’autre, et la majorité des lecteurs l’ont bien compris. Fin de l’explication d’image. Mais début des vrais enjeux.

    Évitons le terme “woke”…
    Une image qui heurte l’islam ? Désolé, ça me heurte. Quand je dessine un mollah iranien ou un chef taliban, je ne vois pas le musulman, mais avant tout un leader théocratique conservateur. L’idée que critiquer les talibans équivaut à attaquer les musulmans me laisse pantois. C’est hélas un réflexe victimaire qui a cours aujourd’hui. Et aussi caractéristique d’une nouvelle doxa progressiste obnubilée par les appartenances ethniques, religieuses ou de genre au point de ne plus voir la hiérarchie des classes sociales, du pouvoir et de l’argent – celle précisément qui relègue tout en bas la femme afghane, privée d’éducation et de droits. Cette clé de lecture unique des réalités socio-économiques reconnaît avant tout une “victime”, un musulman essentialisé, là où je désigne le “dominant”, le chef taliban. Ceux qui raisonnent ainsi ne regardent pas le même monde que moi. Nous ne contemplons pas le même dessin. Et la triste réalité est que je ne pourrai jamais les convaincre.

    Dans un esprit “intersectionnalité des luttes”, le compte Twitter @lecoindesLGBT s’est joint à la multitude. Mais ses followers – issus certainement de la communauté LGBT francophone – n’ont pas aveuglément suivi : c’est au contraire dans leurs rangs qu’on trouve le plus grand nombre de commentaires nuancés : “Je lis plutôt ce dessin comme une critique de l’hypocrisie des USA”, “Vous êtes complètement ravagés. Critiquer les mollahs iraniens, c’est raciste maintenant ? ” ou encore “Signaler aux Américains qu’ils sont devenus ce qu’ils ont passé vingt et un ans à combattre n’est pas un mal en soi”. Voilà qui vient joliment contredire ceux qui veulent tout diviser entre “progressistes” et “réactionnaires”.

    Cette affaire est demeurée modeste, disons une tempête de niveau 2 ou 3 sur une échelle de 5. Limitée à Twitter (mes deux comptes Facebook et mon Instagram sont restés tranquilles, le reste de la toile n’a rien remarqué), elle a chahuté avant tout mon compte en anglais, pendant cinq ou six jours – qui ont paru longs. Assez pour avoir l’impression que ça tire de toutes parts. Rares furent les imprudents à tenter de nuancer, de contrer les attaques – c’est risquer d’attirer la vindicte sur soi. Le cœur de la cible est un endroit bien solitaire. Mais le sentiment peut être trompeur : si l’on regarde de plus près les outils statistiques de Twitter […], on se rend compte que les cris des énervés sont en réalité largement assourdis par le silence de ceux qui acquiescent.

    L’humour est un frottement permanent
    La morale de cette histoire ?

    Twitter est un amplificateur de bruit face auquel la plupart des individus, institutions et entreprises – y compris les médias traditionnels – demeurent tétanisés. Les nouveaux activistes, eux, comprennent bien l’effet de levier de ces réseaux sociaux qu’ils ont connu avec le biberon. Le petit oiseau Twitter trompe énormément, mais il est capable d’effrayer de gros éléphants.

    Quant aux insultes, aux dérapages, ils participent de ce que la Prix Nobel de la paix 2021, la journaliste philippine Maria Ressa, appelle “un torrent de boue toxique” (voir son discours à l’invitation de notre Fondation à Genève). Rien d’accidentel : c’est le modèle économique même des réseaux sociaux. La culture du clash sur Twitter infuse nos relations sociales et le discours civique. C’est un poison qui ronge lentement nos sociétés.

    Et à part ça, quelle leçon à tirer pour le dessinateur de presse ? L’humour est un frottement permanent. Nos références doivent forcément évoluer avec la sensibilité de l’époque. Mais sur ce dessin particulier, je demeure d’accord avec moi-même. Devrais-je être plus explicite à l’avenir ? Accrocher des étiquettes explicatives dans mes dessins ? Peut-être. Mais je déteste les étiquettes…

    Patrick Chappatte
     
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  8. Lox

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  9. Seb'

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  10. tommy

    tommy you talkin' tommy ?

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    une pensèe pour @Jawad j'espere qu'il s'en est sorti.
     
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  11. Jawad

    Jawad Si c'est pas moi, c'est qui ?

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    Je suis sain et sauf.
    Grâce à Dieu.
     
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  12. Lox

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  13. Ebola

    Ebola Administrateur

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  14. Lox

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    LA POPULATION MONDIALE POURRAIT ÊTRE DIMINUÉE DE MOITIÉ D'ICI 2100, SELON UNE ÉTUDE
    Le 25/08/2022 à 8:53
    [​IMG]
    Baisse de la natalité, hausse de la mortalité due au vieillissement de la population... Cette projection prévoit qu'il n'y aura plus que 4 milliards d'individus sur Terre à la fin du siècle, à l'encontre des études de l'ONU.

    Selon l'ONU, nous serons 8 milliards d'êtres humains sur Terre dès le 15 novembre prochain. Une tendance à la hausse qui devrait se poursuivre pour que d'ici à 2100, la population mondiale atteigne 10,4 milliards d'individus. Toutefois, ces projections ne font pas l'unanimité.
    Chute de la natalité
    Selon une étude menée par James Pomeroy, économiste de HSBC, et rapportée par Les Échos, nous ne seront pas 10 milliards d'ici la fin du siècle mais... 4 milliards. Un chiffre divisé par deux en 80 ans qui s'explique, selon l'économiste, par une baisse de la natalité et une mortalité en hausse due au vieillissement de la population.


    "La probabilité que la taille de la population mondiale commence à se réduire dans les vingt prochaines années est bien plus élevée que ce que nous avions prévu initialement", écrit-il dans son étude.
    L'ONU partage le constat que la population mondiale atteindra un pic avant de commencer à décroître. Toutefois, selon James Pomeroy, ce dernier sera atteint seulement dans quelques années: en 2043. À partir de cette date, le nombre d'êtres humains sur Terre diminuera.

    Cela s'explique d'abord par la chute du taux de fécondité. Selon l'ONU, en 2021, il était de 2,3 enfants par femme, contre 5 en 1950, et sera de 2,1 en 2050. L'économiste de HSBC pense que ce déclin sera même plus important, notamment avec la meilleure intégration des femmes sur le marché du travail, la hausse de l'immobilier ou le meilleur accès aux soins et aux pratiques contraceptives.

    Une population divisée de moitié
    Il existe néanmoins des disparités entre les pays puisque certains continueront de connaître une hausse de leur population. À l'inverse, "à Hong Kong, à Singapour, en Corée du Sud et à Taïwan, l'actuel taux de fécondité permet de prédire une division par deux de leur population d'ici à la fin du siècle. La Chine n'est pas loin de les rejoindre", détaille l'étude.

    Et l'Europe, "au rythme où vont les choses, la population aura diminué de moitié avant 2070, le continent risquant de perdre 400 millions d'habitants d'ici à 2100".
    La tendance d'une population mondiale vieillissante entraîne également à penser que le taux de mortalité va fortement augmenter. Selon cette étude, les courbes de la natalité et celle de la mortalité pourraient se croiser entre les années 2080 et 2090, expliquant cette baisse drastique de la population mondiale.

    SUR LE MÊME SUJET
    Si certains gouvernements ont mis en place des politiques visant à relever le taux de natalité, James Pomeroy estime qu'elles sont "inefficaces". En revanche, sa prédiction d'une division par moitié de la population mondiale constitue, selon lui, un espoir face au dérèglement climatique.
     
  15. dadatibo

    dadatibo Well-Known Member

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    Du moment que le Vel soit comble...le reste on avisera:)
     
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  16. Ebola

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  17. Lox

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    Si ça continue comme ça, il y aura bientôt plus un morceau de peau propre ou s'essuyer là bite après le coït !
     
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  18. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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    Ton histoire de chatte j'ai cru que @Phéni avait fait des siennes encore. Genre aller récolter les fluides de ses chats ou je sais pas quoi.
     
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  19. Lox

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    Enfin de l'info de la vraie !!!

    En pleine partie de boules, deux individus cagoulés débarquent et s’enfuient avec le cochonnet
    Par L'Est Républicain - Hier à 12:16 | mis à jour hier à 12:47 - Temps de lecture : 1 min
    1 | Vu 75782 fois
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    Deux personnes ont déboulé sur le terrain. L’une d’elles a pris le cochonnet et s’est enfuie. Photo ER /Lionel VADAM

    C’est une drôle de situation qu’ont vécue les joueurs de boules qui avaient décidé de faire une partie en nocturne sur le boulodrome du stade de Bouclans.

    Cagoulés
    Vers 23 h ce jeudi 25 août au milieu d’une partie, deux individus cagoulés, qui venaient d’on ne sait où, ont fait irruption dans le jeu. L’un d’eux a pris le cochonnet et s’est enfui, avec son comparse.


    Médusés, les joueurs n’ont pas eu le réflexe de les poursuivre. De toute façon avec leurs jambes de retraités, ils n’auraient pas pu le rattraper, rapporte l’un des joueurs.



    Pas de plainte
    Remis de leurs émotions, le jeu a pu reprendre avec un cochonnet de réserve.

    D’un commun accord, les boulistes ont décidé de ne pas porter plainte mais sont tout de même allés vérifier si leur voiture était bien fermée.
     
    Assenzio, setonaikai et Ebola aiment votre message.
  20. Lox

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    PAYS BASQUE: UN ZÈBRE SE PROMÈNE SUR L'AUTOROUTE À LA FRONTIÈRE AVEC L'ESPAGNE
    Le 28/08/2022 à 17:31

    L'équidé a slalomé plusieurs dizaines de minutes entre les voitures avant d'être pris en charge par les agents de sécurité de la douane.
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    Les automobilistes de l'A63 ont assisté à un étrange spectacle, ce vendredi. Aux alentours de 11 heures du matin, les véhicules coincés dans les embouteillages au péage à hauteur de Biriatou, à la frontière espagnole. Un zèbre a slalomé plusieurs dizaines de minutes sur la route, à la grande surprise des automobilistes.

    "Il est passé trois fois devant nous en trottant. Personne n'arrivait à l'attraper. Les douaniers se sont mis à quatre pour le capturer. Ils étaient affolés et couraient dans tous les sens", a raconté un témoin à nos confrères de Sud Ouest.

    L'animal est resté une trentaine de minutes en liberté, avant que les douaniers ne le maîtrisent. Selon nos confrères, l'équidé a profité de l'arrêt du véhicule de son propriétaire pour s'échapper. Ce dernier revenait d'Espagne, où il avait prêté le zèbre à un zoo.
     
    setonaikai et Ebola aiment cela.

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