"Il n'y a pas une interdiction de manifester et je pense qu'une fois de plus @JLMelenchon est dans la caricature" déclare @Elisabeth_Borne, lors de son déplacement dans l'Indre. Tellement risible, Melenchon c’est devenu le nouvel argument implacable qui répond à tout. L’utilisation douteuse de l’argent du fond Marianne ? Jean Luc Melenchon tente de déstabiliser notre démocratie !! La mise en examen d’Eric DM ? Jean Luc Melenchon souffle sur les braises !!! La pénurie d’eau dans le Sud Ouest en plein mois d’Avril ? Encore un coup de Melenchon !!!!
"C'est la faute de Mélenchon"... Elle est gonflée Borne de voler mon argument principal sans me demander avant
Vous rappeler du sketch des Inconnus ou le prof de sport donnait des "cours de philo"... bah aujourd'hui grâce à Pap Ndiaye c'est la réalité. https://twitter.com/franceinter/status/1649307625274613765?t=OcdX4IoO-8pFgmNPtJUTRg&s=19
Désolé mais rien ne dit que c'était pas un simple contrôle d'identité et de drogue. Après tout la CGT c'est l'ultra gauche et à l'ultra gauche y a quand même beaucoup d'arabes !
Ça me rappelle aussi le sketch de Jamel et Gad sur le débat Sarko Fillon. A 3 minutes sur les fonctionnaires (ils étaient visionnaires )
https://www.francetvinfo.fr/politiq...es-doigts-d-honneur-au-president_5785784.html C’est du jamais vu. Même les heures les plus tendues sous Sarko on était pas à ce niveau de ridicule
Macron ne montre aucun respect envers les français et après il s'offusque que les français ne le respectent pas. Je n'ai pas d'avis sur cette réforme des retraites, qui ne me concerne pas vraiment, mais l'attitude du président est vraiment détestable. Même si ça ne lui plait pas, il doit expliquer et encore expliquer, pas prendre les gens de haut. C'est consternant.
Sans commentaire... Drôme : en congés pré-retraite, ils doivent choisir entre revenir au travail ou perdre de l'argent Saint-Paul-Trois-Châteaux De Alexandre Berthaud Jeudi 27 avril 2023 à 3:29 Par France Bleu Drôme Ardèche , Seize employés de l'entreprise Orano, nés après 1961 mais déjà en congés jusqu'à leur retraite, ont reçu début avril une lettre recommandée les informant qu'ils sont concernés par la réforme. Ils doivent choisir entre un congé sans solde, toucher moins d'argent... ou revenir au travail. Lettre recommandée - Gérard Houin/BELPRESS/MAXPPP Dans leur quotidien, dans leur esprit, ils étaient déjà à la retraite. Nés après 1961 (la première génération concernée par la réforme) mais ayant pu anticiper leur retraite en prenant des congés grâce à différentes mesures (compte épargne-temps, par exemple), 16 employés de l'entreprise Orano ont pris une douche froide début avril. Avant même la validation de la réforme des retraites par le Conseil constitutionnel, leur entreprise leur a envoyé une lettre recommandée. Celle-ci leur annonce que la réforme va les impacter, de deux trimestres en moyenne, qu'ils doivent se mettre en contact avec le service des ressources humaines. On leur propose alors, par téléphone ou par mail, plusieurs solutions : Option 1 : lisser sa rémunération (perdre du salaire chaque mois) Option 2 : reprendre une activité professionnelle Option 3 : opter pour un congé sans solde "J'avais déjà le projet de partir m'installer dans le sud de la France, tranquillement, après une longue carrière dans l'entreprise", confie un salarié. "Finalement, je ne vends plus ma maison, c'est dégueulasse, j'ai cotisé et la règle c'était 42 ans, au bout de 41 ans et demi on change". Soit il doit revenir au travail, soit il perdra près d'un tiers de son salaire actuel. Du côté des syndicats, on s'étonne du manque de concertation et du timing du courrier : "les décrets d'application ne sont pas tombés, d'ailleurs si vous appelez la CARSAT aujourd'hui, personne ne peut vous dire combien de trimestres supplémentaires vous devrez faire", dit Alain Pecherand, délégué du site du Tricastin. Chez Orano, on assure qu'il vaut mieux s'y prendre ainsi. "C'est notre rôle d'entreprise responsable d'anticiper, de prévenir le salarié pour ne pas qu'il ait une mauvaise surprise à l'automne, mais aussi de trouver des solutions individualisées", réagit une cadre d'Orano. Elle cite l'exemple de l'indemnité de départ à la retraite, un dispositif propre à l'entreprise, calculé pour chaque salarié individuellement. "Le montant peut être lissé pour compenser les trimestres, converti en temps de travail également". Ce mercredi 26 avril, le ministre du travail, Olivier Dussopt, a affirmé que la réforme serait mise en application dès le 1er septembre.