Politique(s)

Ah non je parle pas de Maguen David , je te parles de la vrai , l’historique

 

Elles sont pourtant joliment peintes au pochoir. Vous ne connaissez rien à l'art, un peu de respect pour les Artistes !

 

En plus, elles sont aux couleurs de l'OM, alors que le drapeau de la Palestine est aux couleurs de Saint-Etienne...

 

J’allais dire aux couleurs d’Israel mais l’OM ça marche aussi

 

C'est vrai c'est magnifique tout ce bleu qui fleurit sur les murs de France.

 

Guerre en Ukraine : le commandant en chef de l’armée ukrainienne reconnaît l’échec de la contre-offensive

Dans un entretien à l’hebdomadaire britannique The Economist, le général Zaloujny estime qu’il n’y aura «probablement pas de percée profonde et belle».

Certains observateurs s’étaient précipités très tôt pour l’annoncer. D’autres ne voulaient pas l’admettre. Dans un entretien à l’hebdomadaire britannique The Economist , le commandant en chef de l’armée ukrainienne Valeri Zaloujny a tranché : la grande contre-offensive démarrée en juin n’a pas eu l’effet escompté. Le général reconnaît franchement être «dans une impasse». «Il n’y aura probablement pas de percée profonde et belle», regrette-t-il auprès de nos confrères.

Ce jeudi 2 novembre, le Kremlin a rejeté le terme d’«impasse», estimant que «la Russie poursuit sans relâche son opération militaire spéciale» et que «tous les objectifs fixés devraient être atteints». Valeri Zaloujny, chef d’orchestre de cette contre-offensive qui n’a avancé que de 17 kilomètres en près de cinq mois, craint lui désormais ouvertement un enlisement qui avantagera la Russie, et compare le conflit à «la Première Guerre mondiale».

Plusieurs erreurs
Auprès de The Economist, le général Zaloujny reconnaît plusieurs erreurs dans la planification et le déroulement de la contre-offensive. Il concède d’abord avoir cru qu’infliger suffisamment de pertes à la Russie donnerait l’avantage à l’Ukraine. «La Russie a perdu au moins 150.000 hommes», estime-t-il. «Dans n’importe quel pays, de telles pertes auraient mis fin à la guerre». Mais, à supposer que ce chiffre soit exact, pas en Russie, qui a historiquement l’habitude de sacrifier un grand nombre de soldats pour arriver à ses fins, comme lors des Première et Seconde guerres mondiales.

Le haut gradé admet également que son armée n’a pas avancé aussi rapidement qu’il l’avait prévu. «Selon les manuels de l’Otan et les calculs que nous avions faits, quatre mois auraient dû être suffisants pour que nous puissions atteindre la Crimée, y combattre et en revenir», explique-t-il. Ses hommes ont au contraire été freinés par les lignes de défense extrêmement efficaces de la Russie et n’ont pas pu s’établir durablement sur la rive gauche du Dniepr.

«Au début, j’ai pensé qu’il y avait un problème avec nos commandants, alors j’en ai changé certains», détaille Zalouny. «Ensuite, j’ai pensé que nos soldats n’étaient peut-être pas adaptés à leur mission, alors j’en ai transféré dans certaines brigades», ajoute-t-il. Mais en vain. À chaque fois que les troupes ukrainiennes ont essayé d’avancer, elles se sont heurtées à l’artillerie, aux drones et aux champs de mines disséminés sur tout le champ de bataille, les moyens technologiques modernes empêchant toute opération furtive. «Nous voyons tout ce que fait l’ennemi et il voit tout ce que nous faisons», résume le général.

Nécessité d’un bond technologique massif
Pour Valeri Zaloujny, un bond technologique massif est donc indispensable pour sortir de l’«impasse». Le haut gradé appelle ainsi à l’innovation dans les domaines des drones, de la guerre électronique, des capacités anti-artillerie et des équipements de déminage, y compris de nouvelles solutions robotiques. Si le commandant en chef se dit «reconnaissant» des livraisons d’armes occidentales, il regrette qu’elles soient parfois arrivées trop tard pour faire une réelle différence. Les missiles longue portée et les chars «nous auraient été particulièrement utiles l’année dernière», pour capitaliser sur le succès des contre-offensives à Kharkiv et Kherson, glisse-t-il. «Mais ils ne sont arrivés que cette année».

Mais le général ukrainien ne se cache pas non plus derrière ces arrivées tardives. «Il est important de comprendre que cette guerre ne peut être gagnée avec les armes de la génération passée et des méthodes dépassées», insiste-t-il. «Elles entraîneront inévitablement des retards et, par conséquent, une défaite». Selon lui, la technologie fera la différence dans cette guerre.

En attendant, Valeri Zaloujny veut tout faire pour empêcher une guerre de tranchées. «Le plus grand risque (avec cette option) est que la guerre dure des années et épuise l’État ukrainien», souligne-t-il. Contrairement à la Russie, l’Ukraine ne possède pas un réservoir humain quasiment illimité. Si le bond technologique n’arrive pas rapidement, «tôt ou tard, nous nous rendrons compte que nous n’avons tout simplement pas assez de monde pour nous battre», conclut l’officier.

https://www.lefigaro.fr/internation...nnait-l-echec-de-la-contre-offensive-20231102

Bon, au moins il y en a un qui semble avoir compris. C'est déjà ça.
Par contre, visiblement, il y a encore du boulot côté russe.
Mais je choisis d'y voir un signal positif pour 2024.

 

Zelensky est lâché de partout. Je ne pense pas qu'il passe l'hiver. Il ne peut pas revenir sur son décret interdisant de négocier avec Poutine, sinon il passerait pour un traitre. Il n'a donc pas le choix de continuer à s'obstiner, même s'il sait que c'est voué à l'échec. Il met donc tout sur le dos de l'OTAN et de l'Occident pour expliquer à sa population que l'Ukraine a été lâchée. A mon avis, il aura beaucoup de chances s'il peut fêter Noël cette année.

Il est d'abord lâché par son entourage (Zaloujny, Arestovytch, Kiltchko, ...) qui le critiquent de plus en plus ouvertement pour sa gestion du conflit. Bon, ils semblent vouloir se présenter aux élections de 2024 contre Zelensky mais cela n'a certainement rien à voir...

Ensuite, lâchés par les USA, l'OTAN et l'UE pour qui toute cette opération tourne à l'humiliation. Même les pays de l'est lâchent l'Ukraine les uns après les autres (Pologne, Slovénie, ...). A quelques mois des élections américaines, le clan Biden fait all-in sur la Palestine en déployant un maximum de troupes et d'armes au Moyen-Orient. Après la débâcle de l'Afghanistan, l'échec en Ukraine, les américains ne font plus peur à personne. C'est surtout ça qui me fait peur. Il ne faut jamais oublier que les américains n'ont pas hésité à bombarder deux villes, vaporisant femmes, enfants et personnes âgées après l'humiliation subie contre les japonais. Jusqu'à preuve du contraire, c'est le seul pays au monde qui n'a pas hésité à utiliser une bombe nucléaire sur des populations civiles, et personne ne leur a jamais demandé des comptes.

A côté de cela, il y a les russes qui bloquent toutes les aides humanitaires vers les populations du Donbass, si elles proviennent de l'occident. L'association française SOS Donbass est en train d'en faire les frais avec son camion qui est bloqué depuis deux semaines par les douaniers russes. Plusieurs journalistes russes ont rédigé des articles à charge contre ces convois d'aide, expliquant que le Donbass n'avait pas besoin de l'aide de l'occident et que la Russie s'en occuperait. Cela fait des mois que la télé explique qu'en occident il n'y a que des cons et des dégénérés, donc ces convois d'aide ça fait tâche dans le narratif global. Il suffit de voir la réaction des habitants du Donbass lors du premier convoi il y a quelques mois, extrêmement reconnaissants, mais sidérés d'apprendre que ces dons venaient de citoyens européens. La femme qui gère SOS Donbass est une russe, qui se déclare ouvertement pro-Poutine, et qui a été fichée S en France à cause de ça. Le problème c'est que les russes connaissent très bien la fragilité des ukrainiens, et il ne faudrait pas que de tels actes viennent entacher l'image de sauveurs qu'ils veulent se donner.

Quand à la population ukrainienne, les critiques de Zelensky se font de plus en plus nombreuses. Le SBU, la police politique de Zelensky, fait des descentes de partout pour arrêter tous ceux qui font des vidéos contre "Zely". Il suffit de voir les proportions prises par les récents évènements comme "le mariage à 1 million de dollars" ou le "Taxi de Kiev" sur les réseaux sociaux pour voir que les fractures sont de plus en plus profondes dans la société ukrainienne. Des femmes ukrainiennes incendient des bureaux de recrutement militaire, il y a de plus en plus de heurts dans la région d'Odessa qui refuse catégoriquement de passer à la langue ukrainienne et d'adhérer aux discours des nationalistes bandéristes.

Pour les prochains mois, je vois un soulèvement de la population ukrainienne contre son gouvernement, soulèvement soutenu et attisé par les concurrents de Zelenski aux prochaines élections. Ce soulèvement devrait provenir d'Odessa et de Karkhiv. Zelensky devra démissionner parce que s'il ne le fait pas, il sera "suicidé". Cela n'aura pas d'impact sur la guerre en cours, les russes n'ayant aucun intérêt à geler le front car cela laisserait le temps à l'occident de se refaire la cerise pour remettre le couvert en 2025. Et comme les ukrainiens ne capituleront pas parce qu'ils sont aussi têtus que les russes, cette histoire est partie pour durer.

En bref, ça fait 30 ans que l'Ukraine est un joyeux bordel, et c'est pas prêt de changer. De toutes les façons, tous les pays créés artificiellement au 20ème siècle sont un joyeux bordel.

 

C'est fini la guerre en Ukraine hien, vous n'avez pas la TV?

 

@Ebola regarde pas assez Pascal Praud. S'il le faisait il aurait compris que depuis l'Ukraine et avant l'escalade au Moyen-Orient, il y a eu un problème plus grave encore: les punaises de lit dues à l'immigration, parce que les immigrés se sont pas lavés depuis longtemps quand ils arrivent (enfin les noirs et les arabes surtout).

 

On avait donné le Prix Nobel de Médecine à Poutine qui a éradiqué le Covid. On peut donner le Prix Nobel de la Paix au Hamas qui a arrêté la guerre en Ukraine...

 

Sur LCI, ce sont les russes qui sont responsables des punaises de lit...

 

Encore une chaîne de gauchistes !

 

J'ai entendu Poutine sur une chaine russe se réjouir du fait qu'il y ait des sanctions parce que sinon les dirigeants européens ramèneraient des punaises de lit à Moscou. J'aurai pu comprendre ce genre de remarque de la part de Tolstoi ou de Medvedev, qui trollent depuis le début de la guerre, mais Poutine qui se met au niveau de Bruno Lemaire et autre Darmanin, je l'ai pas vu venir.

 

Ce genre de scènes vont bientôt se produire en France.

 

En management on t'apprend à te mettre au niveau de ton interlocuteur pour qu'il te comprenne bien.

 

Je te trouvais aussi beaucoup plus con quand tu t'adresses à @fred'. Maintenant je comprends mieux.

 

C'est pas le pire, y en a ici j'ai beau baisser le niveau jusqu'au CM2 ils comprennent toujours pas !

 

C'est vrai... Ce qui le sauve un peu du coup, c'est qu'il est pas méchant au moins @ChipLeader... C'est déjà pas mal.

 

Je pensais pas spécialement à lui... mais c'est pas totalement faux !

 

Je sais mais on a dit qu'on arrêtait de s'acharner sur @Millwall_Bushwackers