La légende phocéenne (de 1899 à aujourd'hui)

Jair Ventura Filho, plus connu sous le nom de Jairzinho, était un footballeur Brésilien né le 25 décembre 1944 à Rio de Janeiro. Son principal titre de gloire est d'avoir fait partie de l'équipe du Brésil victorieuse de la Coupe du monde 1970 pendant laquelle il avait réussi l'exploit de marquer pendant toutes les rencontres de la phase finale (7 buts au total).

Carrière de joueur

En club
1962-1974 : Botafogo FR
1974-1975 : Olympique de Marseille (18 matches/9 buts)
1975-1976 : Cruzeiro EC
1977 : Portuguesa de Acarigua
1978 : Notoeste-SP
1979 : National Fast Club
1980-1981 : Jorge Wilsterman
1981-1982 : Botafogo FR
Jairzinho a fait ses débuts professionnels à l'âge de 15 ans avec le club de Botafogo de Futebol e Regatas. Il jouait parfois milieu offensif mais il excellait plutôt comme ailier gauche.
Il partit ensuite en France pour rejoindre les rangs de l'Olympique de Marseille. Mais son passage fut de courte durée, il a rejoint ensuite le club de Cruzeiro.
Jairzinho termina sa carrière en 1982 après avoir joué dans plusieurs clubs au Venezuela, Brésil et Bolivie.
En équipe nationale [modifier]
Jaizinho fit ses débuts internationaux en 1964, il avait 19 ans seulement, à l'occasion d’un match de l'équipe du Brésil contre celle du Portugal. Il participa à la Coupe du monde 1966, puis à la Coupe du monde 1970 où il se révéla au monde entier.
Il continua de jouer ensuite dans l'équipe du Brésil, notamment pendant la Coupe du monde 1974, mais il ne gagna pas d'autre titre.
Jaizinho joua son dernier match international en mars 1982, l'équipe du Brésil rencontrait celle de Tchécoslovaquie.
Pendant sa carrière internationale il a marqué 34 buts pendant 82 rencontres.

Carrière d'entraîneur

Une fois sa carrière de joueur terminée, Jairzinho fut ensuite entraîneur d'équipe nationale ou de club, en particulier de l'équipe du Gabon. Sa plus grande réussite fut sans doute d'avoir découvert Ronaldo alors qu'il entraînait l'équipe de Sao Cristovao. Il recommenda Ronaldo à son ancien club de Cruzeiro, ce qui permit de lancer la carrière du prodige brésilien.

Palmarès

Champion du monde avec l'équipe du Brésil en 1970
Champion de Rio 1967 et 1968
Vainqueur Copa Libertadores en 1976 avec Cruzeiro
Champion du Venezuela en 1977 avec Portuguesa de Acaruiga
Champion de Bolivie en 1980 avec Jorge Wilsterman

Sympa la coupe de cheveux

 

Paulo César Lima, plus connu sous le nom de Paulo César ou de Paulo César Caju, était un footballeur brésilien né le 16 juin 1949 à Rio de Janeiro. Il a occupé le poste d’attaquant dans de nombreux clubs au Brésil et en France. Il a été sélectionné dans l’équipe du Brésil et a participé à la coupe du monde 1970 et participé à la coupe du monde 1974.
À noter que trois joueurs professionnels brésiliens sont connus sous le nom de Paulo César. Ne pas confondre avec Paulo Cesar Arruda Parente, né en 1978, et Paulo César Carpeggiani, né en 1949, qui ont aussi fait une carrière professionnelle sous le nom de Paulo César.
Lors d'un match de coupe du monde 1974 disputé contre l'équipe d'Argentine , il y avait d'ailleurs deux Paulo César dans l’équipe du Brésil : Paulo César Caju et Paulo César Carpeggiani !


Ayant avoir débuté à Botafogo, club avec lequel il a remporté plusieurs fois le championnat de Rio , il a connu ensuite plusieurs autres clubs et remporté d’autres titres avec Fluminense et Grêmio Football Porto-Alegrense.
Paulo César a effectué la saison 1974-1975 en France avec l'Olympique de Marseille en compagnie de son compatriote Jairzinho. Et après un retour au Brésil il retournera finalement en France dans le club d'Aix .

Son parcours

1967-1972 : Botafogo FR Brésil
1972-1974 : CR Flamengo Brésil
1974-1975 : Olympique de Marseille France
1975-1977 : Fluminense FC Brésil
1977-1978 : Botafogo FR Brésil
1978-1979 : Grêmio Porto Alegre Brésil
1980 : CR Vasco da Gama Brésil
1981 : SC Corinthians Brésil
1983 : AS Aix France
1983 : Grêmio Porto Alegre Brésil

Palmarès

Championnat du monde en 1970 avec l’équipe du Brésil
Championnat de l'État de Rio de Janeiro en 1967,1968 et 1972 avec Botafogo
Championnat de l’État de Rio de Janeiro en 1975 et 1976 avec Fluminense
Coupe du Brésil en 1968 avec Botafogo
Championnat de l'État du Rio Grande do Sul en 1979 avec Grêmio Football Porto-Alegrense
Coupe Intercontinentale en 1983 avec Grêmio Football Porto-Alegrense


Ici une photo magnifique où il est aux cotés de Bob Marley


Et ici avec le roi et la coupe

 

Pour Jairzinho il faut ajouter quelques années. Il n'était pas né en 44, c'était comme pour beaucoup de joueurs africains la date de naissance fut enregistrée bien après et bien sûr comment un joueur de 15 ans aurait pu débuter en senior etc....

Merci pour les photos, en tout cas. De beaux souvenirs.

Paulo Cesar essaie toujours de servir de contact pour l'OM au Bresil mais son passé tumultueux ne plaide pas en sa faveur et il est ignoré ...

 

Si tu dis que Jairzinho était plus âgé en réalité, alors à quel âge a-t-il mis fin à sa carrière?? Officiellement c'est à 38 ans, mais il se peut qu'il ait joué encore pro à plus de 40 ans! Une autre époque...

 

Je me souviens avoir vu jouer Stanley mathews a plus de 50ans pour son jubilé et il était un des meilleurs joueurs encore!!!! (faudrait voir dans les stats à quel age il a arreté le football pro mais ça tourne autour des 50ans!!!!)

Oui la condition physique n'était pas la même, du tout. Il y avait peut être moins de "dope" ou de "suivi médical" (au choix) ...

 

Alors on va se permettre un HS mais je pense que l'on me pardonnera. Je viens de lire sa biographie et il mérite d'être connu!

Sir Stanley Matthews, né le 1er février 1915 à Hanley et décédé le 23 février 2000 à Stoke-on-Trent, était un footballeur anglais surnommé The wizard of the Dribble (le magicien des dribbles). En effet, il a la réputation d'avoir été l'un des plus fins dribbleurs de l'histoire du football. Le fait qu'il ne buvait jamais d'alcool et qu'il soit végétarien l'aida à évoluer au plus haut niveau jusqu'à l'âge de 50 ans (devenant le plus vieux du championnat d'Angleterre). Il fut le premier joueur à avoir reçu le ballon d'or en 1956.

Biographie

Matthews est né à Seymour Street, Hanley, Stoke-on-Trent, et était le troisième des quatre garçons de la famille. Son père était un champion local de boxe et lui donna le sens de la discipline, de la détermination et de la compétition, ce qui servira à son fils tout au long de sa carrière.
Il démontra très tôt ses qualités footballistiques, signant rapidement un contrat professionnel à Stoke City FC en 1932 et en y effectuant ses débuts internationaux avec l'Équipe d'Angleterre en 1934 dans un match qui les opposa au Pays de Galles que les anglais remportèrent 4-0. Trois ans après, beaucoup auront en mémoire son coup du chapeau (trois buts d'affilée dans une même rencontre) contre la sélection tchèque en 1937.
En 1938, Matthews demande à être transféré, mais en raison de la prostestation de 3 000 supporters du club, il décide de rester.
La Seconde Guerre mondiale interrompt sa carrière, durant laquel il servira dans la Royal Air Force et fut stationné à Blackpool. De retour de la guerre, il se sent moins proche de son club et finalement sera transféré à Blackpool FC en 1947. L'année suivante, il inaugure la récompense du Football Writers' Association Footballer of the Year, décerné au meilleur joueur du championnat d'Angleterre. À Blackpool FC, son entente avec Stan Mortensen permet au club de remporter la FA Cup en 1953 après deux échecs en finale en 1948 et 1951.
Entre-temps, Matthews dispute la coupe du monde de 1950 où il ne fera qu'une seule apparition contre l'Espagne (défaite 0-1). Au final, il aura disputé 54 matchs officiels pour les couleurs anglaises pour un total de 11 buts. Son ultime match avec la sélection anglaise aura lieu le 15 mai 1957, ce qui en fait le joueur à la carrière internationale la plus longue (dans le temps), il avait en effet disputé sa première sélection le 29 septembre 1934, soit 23 ans sépare ces deux dates.
La finale de la FA Cup 1953 ne doit surtout pas être oubliée quand on évoque Matthews. Blackpool est mené 1-3 par Bolton avant de s'imposer 4-3. L'auteur du hat-trick n'est pas Stanley Matthews, mais son coéquipier Stan Mortensen. Mais, il livra une performance de grand talent. Ce jour restera à jamais comme "The Matthews Cup Final". À 38 ans, le footballeur préféré des Anglais soulève son premier trophée après deux échecs en finale. Son grand jour est enfin arrivé.
En 1956, Matthews devient le premier joueur remporté le Ballon d'or à l'âge de 41 ans.
En 1961, il retrouve son club de ses débuts (Stoke City FC), remportant l'année suivante le championnat d'Angleterre de D2 où il sera élu meilleur joueur du championnat. Il restera dans ce club jusqu'à sa retraite le 6 février 1965, juste après son cinquantième anniversaire. Il déclara qu'il se sera retiré du foot trop tôt. Il fêtera son jubilé devant 35 000 spectateurs en avril 1965 où de nombreuses stars firent le déplacement (Lev Yachine, Josef Masopust, Ferenc Puskas ou Alfredo Di Stefano). Derrière, il fut anobli par la reine devenant le premier footballeur britannique à recevoir cette prestigieuse récompense.
Étonnant footballeur, Stanley Matthews n'avait pas son pareil pour captiver les foules. Matthews a 30 ans durant rempli les stades, c'est indéniable. Blackpool FC, modeste formation où il évoluait en 1950-1951, reste le seul club de l'histoire du championnat anglais à avoir attiré plus d'un million de spectateurs en déplacement sur une saison! Pour parachever sa carrière hors normes, Sir Stanley Matthews fut désigné meilleur joueur de l'année en Angleterre en 1963.
Après avoir disputé 698 matchs en championnat, Matthews entraînera Port Vale FC pendant trois ans dont le club aura de gros soucis de paiments de ses joueurs et se verra un temps suspendu puis ré-intégré dans le championnat. Après cela, il ira à Malte entraîné Paola Hibernians FC (dans lequel il jouera quelques matchs), puis se rendra en Afrique du Sud à Soweto entrainé les Stan's Men, enfin il terminera sa carrière d'entraîneur au Canada.
Durant toute sa carrière, il gagna le respect de ses adversaires, autant pour ses qualités techniques que pour être un parfait gentleman dont la preuve est ses 886 matchs officiels sans jamais être averti une seule fois.
Il disparaît à lâge de 85 ans à Stoke-on-Trent où environ 100 000 personnes défileront accompagnant le cortège, et on dressa une statue à son effigie dans la ville.

 

Maradona à l'OM,mythe ou réalité ?

Celui qui reste un mythe du football, peut-être même le « mythe » du football mondial autant par le talent que la personnalité n’a jamais eu pour habitude de se répandre dans les médias, notamment italiens qui ne l'ont pas «ménagé»Diego Maradona revient sur son passage (inoubliable) au Napoli Calcio et notamment sur ses relations avec le Président Ferlaino qui l’avait fait venir dans le club de Campanie avant de l’utiliser puis de le trahir à des fins toutes personnelles…
Maradona y confirme ainsi qu’il avait donné son accord à Bernard Tapie pour venir à l’OM mais que cela n’a pas pu se faire par la faute du Président napolitain.
durant ses années italiennes. Une interview jusqu’alors inédite vient ainsi d’être publiée fin 2007 dans laquelle « On a parlé de ça (son transfert à l’OM) pendant quatre heures à Munich (le Napoli venait d’éliminer le Bayern en 1/2 finale de la Coupe de l’UEFA). Ferlaino m’avait dit oui pour mon départ si nous remportions la Coupe de l’UEFA. Nous l’avons gagné et il m’a dit non ! ça c’est typiquement lui, un homme qui ne te tend jamais la main franchement. » (…) « Lors de ma dernière année à Naples (1990-91) Ferlaino a décidé de «m’abattre ». Alors que j’avais un contrat de deux ans, il voulait vendre aux tifosi des abonnements de cinq ans. C’était une escroquerie ! Pourquoi m’impliquer dans une telle magouille, il disait que les gens ne s’en rendraient pas compte… »
Le reste de l’histoire se raconte donc à l’aube de la saison 1989/90 du côté de Marseille où tous les supporters marseillais se mettent à rêver d’une attaque Waddle-Papin-Francescoli-Maradona.
La nouvelle avait été annoncée d’abord par le quotidien L’Equipe, un samedi matin « Maradona à Marseille », ce que les dirigeants olympiens avaient tout d’abord démenti. Il faut dire que pour ce genre de tractation, la discrétion était conseillée, d’ailleurs cette annonce précoce du quotidien français aura certainement scellé l’échec (mais n’avait elle pas sournoisement aussi cet objectif ?) des négociations engagées, car elle dévoilait au grand jour du côté de la Campanie, le possible départ de celui qui était devenu un « Dieu »
vivant à Naples. « Maradona c’est cadeau » avait pourtant déclaré un Bernard Tapie en pleine phase de conquête avec l’OM. Ainsi c’est Michel Hidalgo qui avait été chargé d’engager les négociations avec le Pibe de Oro en se déplaçant discrètement pour le rencontrer chez lui à Naples. L’OM savait qu’il n’était plus heureux à Naples. Lors d’un repas, le principe du transfert avait été acquis entre Maradona et Hidalgo, celui-ci allant même jusqu’à lui évoquer la villa que l’OM mettrait à sa disposition à Cassis. Ce soir-là, Maradona était (déjà) à Marseille !
Restait à persuader le Président Ferlaino, Maradona avait dit le soir de ce repas à Naples qu’il faudrait « tordre le cou » à celui-ci. Un rendez-vous est organisé dans un hôtel de Milan par Bernard Tapie, avec Maradona et des émissaires du Napoli, sans résultat. Corrado Ferlaino est buté, il sait surtout que le départ de Maradona ne lui serait pas pardonné par les tifosi napolitains. Il déclarera bien plus tard qu’il avait fait ce que n’importe quels dirigeants auraient fait à sa place : Essayer de le garder. « Sans aucun doute, j’aurais été tué si je l’avais laissé partir ».
En ce sens, la divulgation des négociations entre l’OM et Napoli aura participé à annihiler toutes possibilités de transfert, dès lors que pour Ferlaino cette médiatisation (anticipée) le mettait clairement sous la pression des tifosi napolitains et des médias italiens.
Cela resta donc un rêve de voir ce jour où le « Christ » aurait pu s’arrêter à Marseille…
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A l'époque,je n'avais que 8 ans donc trop petit pour m'en souvenir...
Qu'est-ce qui est vrai,qu'est-ce qui est faux;quelqu'un aurait-il la véritable version de cette histoire ???

 

sivori

L'histoire est authentique et la rappeler aujourd'hui met en lumière le fossé qui sépare une présidence ambitieuse, quel qu'en soit les travers, portée par la volonté de fer d'obtenir des résultats et de la notoriété, avec notre présent et la bouillie illisible du staff actuel de l'OM.

 

Hidalgo a souvent raconté que Maradona voulait jouer à l'OM, et qu'il avait été très touché par le cadeau que lui avait fait Tapie pendant les discussions : une grosse montre à la Sarkozy.
Mais Maradona aurait dit, en joignant le geste à la parole, qu'il ne pourrait pas partir sinon son président lui coupait la gorge. Mais les problèmes financiers du club ont finalement permis son départ en Espagne quelques mois plus tard...

 

Vraiment dommage...
Maradona à l'OM,ça aurait eu de la geule !!!

Mais coupez-moi si je me trompe...,ce n'est pas dans l'année qui a suivi que Maradona a eu ses problèmes de drogues ???

 

La drogue et Maradonna est une histoire qui a vraisemblablement débutée quand il est arrivé à Barcelone.

 

pour tout savoir sur Maradonna, le mieux c'est de lire le dernier (ou le pénultieme, je ne sais pas) SOFOOT.
Effectivelment, Maradonna voulait venir en 90, vivre à Cassis l'avait vraiment séduit mais son président n'avait pas voulu le laisser partir. Quand Tapie est revenu à la charge en 92, cette fois Maradonna aurait u venir mais il n'en avait plus l'envie.

 

C'est quand même dommage. L'un des tous meilleurs joueurs de tous les temps à l'OM... nul doute qu'on en parlerait encore!

 

Bah... La non venue de Diego ne nous a pas empêché d'être champion d'Europe...

C'est sûr qu'une attaque Francescoli-Papin-Waddle-Maradona, ça aurait été extra-ordinaire! Les "4 fantastiques!" mais on a quand même réussit à concquérir le titre suprême pour un club européen. Que demander de mieux?

 

Gagner la LDC de 1990 où on se fait littéralement voler sur la main de Vata (la "main de Satan" :evil et celle de 1991 où un Maradonna aurait pu faire la différence face à une équipe recroquevillée en défense...et surtout que l'OM retrouve son standing des années 90, des titres de champion, des gros parcours en Coupe d'Europe, de grands joueurs, voilà ce qui serait mieux...

 

Effectivement. Je savais que quelqu'un répondrait ça...
Et la vérité, c'est que je sais pas quoi répondre! :lol:
Tu as tout à fait raison, gagner une ou deux autres CCC, ça aurait été quelque chose de grandiose!
Mais c'est du passé, c'est loin derrière maintenant, très loin... (trop?)

Halala, Diego à l'OM, ça l'aurait fait!

 

Un joueur comme Maradonna qui passe dans un club, cela laisse une empreinte indélébile. Ainsi, même avec un palmares pas forcemment très étoffé, Naples reste un des grands club d'Italie (et par extension de la scène europeenne) car le San Paolo était le terrain de jeu d'el Pibe.
C'est surtout une notion de prestige...

 

D'où la phrase du boss à l'époque , quelque chose du style "100 millions pour Maradona, c'est cadeau"...

 

Mais ça peut revenir un jour... avec de gros changements (investisseur passionné à 150% par le foot, direction performante et intello(bye anigo)...).

 

Le problème, c'est que Maradona est gros, maintenant...