Politique(s)

Gyneco andrologues, ça couvre les 2.
De mon point de vue, je ne juge aucun cas individuel.
Je dis simplement, à la suite de plusieurs travaux sociologiques de grande qualité dont ceux de Doron qu'il existe fondamentalement 2 types de problèmes :

1. Une dysphorie de genre au sens médical du terme avec un trouble totalement naturalisé, repérable dans des anomalies du corps.

2. Une dysphorie de genre au sens de "pathologie de la liberté ".

Je ne doute pas que l'une et l'autre engendrent de la souffrance. Je dis que la seconde relève en Occident d'une néo construction sociale du rapport du sujet à son corps. Et ce sont les conditions de possibilité de cette néo construction qu'il faut pouvoir interroger. Notamment dans leurs dimensions politiques.

 

Oui sauf que l'homosexualité était considéré comme une pathologie psychiatrique il y a encore une trentaines d’années en France à coups de thérapie de conversion ou aux États Unis d’internement avec électrochocs ou autres castration chimique suite à de nombreuses recherches médicale menés par des spécialistes de la discipline .

Maintenant est-ce que c’est le fait même d’avoir la sensation d’être piégé dans le mauvais corps qui créer cette souffrance et ce mal être mental ou le fait d’affronter la société dite traditionnelle , normale qui rejette ceci ???

Après tu parles d’enfants ou moi je parle plus d’ado car oui tu te commences à te construire à l’adolescence et notamment sexuellement , est-ce que faire l’autruche en interdisant simplement et en disant ben à 18 piges tu fais ce que tu veux ???ou accompagner en discuter et s’intéresser notamment en se renseignant dès l’adolescence car oui ça se manifeste bien avant 18 ans ??

Après encore une foi , effet de mode ou juste que contrairement il y a encore pas si longtemps comme pour l’homoséxualité on voulait ignorer , voir faire disparaître , c’est juste que la parole est plus libérée ?? Les transgenres ne sont pas apparues dans les années 2000 comme les Homos ….

Chacun son point de vue , je ne connais pas spécialement les pubs sur Facebook aux États Unis prônant les bloqueurs de puberté mais je pense peut être à tord que ça s’adresse aux gens concérnés par ce fait et pas une incitation à tous devenir ielle

 

Ce sont les politiques qui parlaient de maladie psychiatrique. Les cursus universitaires n'ont jamais proposé de formation pour soigner les homosexuels.

Lors de la puberté, tous les ados se posent des questions. Cela passe en général avec le temps, sauf pour des cas très rares. Faire la promotion de cela en disant que c'est 'normal' est dangereux car cela va provoquer une majorité de jeunes qui vont regretter leurs décisions plus tard.

C'est cela. On interdit jusqu'à 18 ans toute intervention médicale, tout traitement et tout lavage de cerveau. On se contente d'inciter les jeunes à aller discuter avec l'assistante sociale de l'école. Cela présente deux avantages : d'une part le jeune a le temps de mûrir sa réflexion parce qu'à 14 ans, surtout pour les garçons, on est cons comme des brosses à chiottes. Et deuxièmement, ce sont les parents qui sont responsables légalement des enfants jusqu'à 18 ans. C'est le rôle des parents de protéger leurs enfants, en discutant avec eux et en leur expliquant qu'ils devront attendre 18 ans pour éventuellement prendre une décision.

On ne parle pas d'arrêter le judo pour faire de la natation ou du piano. On parle d'un chemin sans retour possible, qui conduit trop souvent au suicide des jeunes qui regrettent leur choix.

Cela n'a rien à voir avec l'homosexualité qui est une orientation sexuelle, comme la bisexualité. Le transgenrisme relève de problèmes psychiatriques, pas de liberté sexuelle. Et l'homosexualité n'empêche pas d'avoir des aventures hétéro plus tard. Ce n'est pas une voie à sens unique.

Si vraiment on veut mettre du pognon dans l'école, il serait mieux de l'utiliser pour lutter contre le harcèlement scolaire qui touche beaucoup plus de jeunes.

 

Ce n’est pas les gouvernements mais bien des Psychiatres qui ont diagnostiqué l'homosexualité comme un symptôme de maladie mentale , et c’est ce même corps médical qui a décider d’enlever l'homosexualité comme maladie mentale en 1990 , aujourd’hui tu as des cursus universitaires à une autre époque c’était des études menées par différents spécialistes dont Freud mais cela revient au même .

On revoit exactement les mêmes choses , analyse du cerveau , classement en maladie mentale etc…

Il est évident que l’Homosexualité n’a rien à voir avec la transgenderie , je mettais juste l’accent sur le fait que tu disais que aucun autre LGBT n’avait eu ce traitement , preuve que c’est bien une maladie mentale , hors non ce n’est pas exact et on continue encore à chercher si il y a un génome Gay, c’est dire …

Et tu me parles de jeunes qui se suicident car ils regrettent leurs choix , comme il y a des ados qui se suicident ou tente de le faire parce que on refuse d’écouter et de comprendre ce qu’ils sont , comme je l’ai dis c’est assez complexe pour juste dire on interdit et on classe ça en maladie mentale et basta , quand au passage sur l’assistante sociale à l’école , t’es vraiment sérieux ? Déjà qu’ils ont du mal avec des ados tdha ou harcelé par exemple alors réussir à guider des ados transgenre j’ai de sérieux doute …puis surtout faut avoir une assistante sociale dans chaque école , c’est pas gagné .

 

Moins que ça, c'est Sarkozy qui a fait retirer l'homosexualité des maladies psy.

 

En France mais l’OMS l’a fait en 1990 …

 

Tu parlais bien de la France

 

La France me semblait que c’était 92 ..

 

L'homosexualité était considérée comme un trouble mental et classée comme tel jusqu au DSM3 de l'APA. En France elle était enseignée comme pathologie psychiatrique jusqu'en 92

 

Et je confirme. Il n'y a jamais eu de formation médicale spécialisée dans les homosexuels.

Je suis parfaitement sérieux. On n'embarque pas des enfants sur une voie sans retour possible. Pas si on est des parents responsables. Qu'ils s'habillent en fille, qu'ils se maquillent, rien à foutre. Mais un acte médical est trop grave pour prendre ça à la légère.

 

Si tu as un lien vers un descriptif du contenu de la formation, je suis preneur.

 

Si il était enseigné par des psy qui pensaient que être homo était un signe de maladie mentale

C’est justement suffisamment sérieux pour pas confier cela à une assistante sociale dans une école qui n’est franchement pas formé à ça , et je le prends pas à la légère , et ça se résume pas à se maquiller ou s’habiller en fille encore une foi c’est bien plus complexe .

 

Comme je le disais, si vous avez un lien, je suis preneur. Quand j'avais regardé pour mes études supérieures, je n'avais rien vu de tel.

Tu penses que les profs sont mieux placés pour parler de tout ça ? Et jusqu'à 18 ans, cela doit se résumer à des choses réversibles. Pas à des actes médicaux. Des parents qui autoriseraient des actes médicaux devraient se faire retirer leurs gosses.

 

Ni l’un ni l’autre , car je penses que ce n’est pas une question à aborder à l’école dans le cas d’un ado vraiment transgenre , l’école doit juste informer que oui ça existe et que non c’est pas un motif d’isolement ou de harcèlement , son rôle s’arrête là.

Ah ouais quand même se faire retirer leurs droits parentaux , effectivement on a pas la même approche …….

 

On parle de mutiler des ados ou de leur donner des produits chimiques. Je ne vois pas qui de sensé pourrait trouver cela normal.

 

Toi tu le penses , pas les ados en question et les parents qui tentent de comprendre et d’accompagner , moi je l’ai vécu de loin avec mon cousin ( aujourd’hui ma cousine ) et bien j’ai dû en discuter avec lui parce que pour moi c’était un truc inconnu et fou , mais il a enfin elle à 22 ans et au bout de 6 ans de lutte ( car dans ma famille de feuj c’est pas le truc qui se conçois facilement) elle est épanouie et heureuse et elle m’a expliquer ce qu’elle ressentait , alors que nous quand il était gamin ça nous faisait sourire quand il s’identifiait comme une fille qu’il voulait pas être appeler par son prénom de naissance , puis est venu l'adolescence, puis il devenu mélancolique , des soucis d’alcool de drogues parce que on refusait de voir ce qu’il était , pour ça je dis c’est complexe , plus que ce nous on peut encaisser ou comprendre , pour cela réduire cela à une maladie mentale bien j’ai du mal .

 

De quelle formation parles tu?

 

Rien ne l'empêchait d'attendre deux ans pour se faire opérer.

 

De la formation spécialisée dédiée au traitement des homosexuels.

 

Tu as une vision trop simpliste de la chose , crois moi , quand je dis 6 ans c’est de la prise en charge , du traitement médicamenteux et de la transition totale , parce que ça se résume à se couper le bicou l’histoire , hein !!!!