Faits divers et divers faits

Discussion dans 'Les penseurs du forum' démarrée par pepere07, 11 Juillet 2009.

  1. *Garrincha*

    *Garrincha* C'est bon ça ....

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    Immense musicien et peut-être LE producteur le plus influent de l'histoire de la musique.....
     
  2. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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  3. Assenzio

    Assenzio It's coming Rome !

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    dadatibo, Seb' et kaiser sauzee aiment votre message.
  4. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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    Marrant le procès autour du drame Paty: ces petites merdes humaines qui menaçaient fièrement sur les réseaux en mentant, ils n'assument plus beaucoup là maintenant qu'ils ont eu sa tête au sens propre... Ca bombe moins le torse... Ca joue moins les durs... Sales lâches...
     
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  5. el pibe de oro

    el pibe de oro Well-Known Member

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    Il faut interdire le métro et le RER
    Retour à la voiture individuelle
     
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  6. el pibe de oro

    el pibe de oro Well-Known Member

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  7. Assenzio

    Assenzio It's coming Rome !

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    Une bande de traîtres. Très forts en meute, ou derrière un clavier.

    Je suis curieux de voir ce que va prendre l’imam Sefrioui, qui agit en toute impunité depuis tant d’années. Ce genre de types font des dégâts considérables.

    Je dirais même plus : il faut déconstruire le RER et le remplacer par une autoroute dédiée aux mobilités actives : le vélo, et le vélo sans selle (la trottinette). La voiture est, je te le rappelle, un moyen de locomotion d’un autre âge.
     
  8. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Emilie Frèche@EmilieFreche
    ·
    23h
    Le chef de Brigade 287, de la SDAT, rapporte que Sefrioui dit à la principale, quand il vient au collège pour réclamer le renvoi de #samuelpaty « Si on avait été juifs, on aurait pas attendus comme des chiens. » Elle met un terme à l’entretien en raison de ses propos antisémites.


    B.Chnina: « Quand un professeur disait quelque chose, je lui donnais raison. J’ai toujours respecté les professeurs » Pour rappel, dans ses videos contre #samuelpaty , il appelait à « virer ce malade »



    « Anzorov passe sous les radars car c’est un profil « néophyte ». Il n’est pas fiché S, pas inscrit au FSPRT, ne porte pas allégeance à une orga terro. Tout se fait dans l’intimité de la sphère virtuelle. » #samuelpaty


    « 2 sujets fédèrent les radicalisés sur les réseaux sociaux, dit la DGSI: le blasphème et l’antisémitisme. » #samuelpaty


    La DGSI rappelle qu’en sept 2020, les orga terro, avec la republication des caricatures
    @Charlie_Hebdo_
    , appellent au passage à l’acte: « Si votre liberté d’expression n’a pas de limites, préparez-vous à encaisser notre liberté d’action. » (Ben Laden) #samuelpaty


    « Tweets d’Anzorov signalés le 12 et 15 juillet et 10 oct 2020 sur Pharos. Cela n’a pas déclenché d’entrave judiciaire car pas de menaces contre la France ni d’appel au martyr, no d’allegeance à une orga terro. Ils se sont fondus dans la masse des 600 signalements quotidiens »


    « Des profils comme Anzorov en 2020, il y en a des milliers sur internet » dit la DGSI. #samuelpaty



    « La stratégie des orga terro: avoir une réthorique victimaire pour ancrer dans la tête des sympathisants l’idée d’une prétendue islamophobie qui les poussera à passer à l’acte. » sefrioui ne fait pas autre chose avec #samuelpaty



    « En 2021, le père d’Anzorov, retourné en Tchetchénie avec femme & 5 enfants, se dit fier de son fils. Avec une fausse copie de renouvellement de leur carte de séjour, ils ont pu continuer à toucher les aides de la CAF et de Pôle Emploi, après l’assassinat de #samuelpaty



    « A l’instar de Mohamed Merah, dit la DGSI, Anzorov est devenu une star de la jihadosphère. Dans plusieurs dossiers en cours, nous avons retrouvé la photo de la tête décapitée de #samuelpaty «



    « Dans la documentation que nous avons à la DGSI, les images les plus spectaculaires, les plus relayées, sont les décapitations » #samuelpaty



    Sefrioui qui est défendu par Vincent Brengarth. L'avocat de Rima Hassan.
     
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  9. mir59

    mir59 Well-Known Member

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  10. sentenza_be

    sentenza_be Well-Known Member

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    Non, il faut interdire le métro!
     
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  11. sentenza_be

    sentenza_be Well-Known Member

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    Dernière édition: 9 Novembre 2024 à 13:07
  12. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Procès de l’assassinat de Samuel Paty : indécence et perversion

    "L'indécence d'abord. Elle est là dès le premier jour, lorsque Zayna Chnina, la petite menteuse à l'origine de la cabale ayant conduit à la décapitation de son professeur, vient poser ses fesses sur le banc des parties civiles, donc des victimes ; quand la sœur de l'accusé Brahim Chnina qui a réclamé que « ce voyou (de prof) soit viré » profite d'une suspension d'audience pour tenter de parler à Mickaëlle Paty ; quand l'avocate de ce parent d'élève nous projette des photos de lui en vacances, sur un jet-ski derrière sa fille ou avec sa femme en maillot de bain, afin de nous convaincre, en creux, qu'il n'a rien d'un radicalisé, qu'il n'est qu'un « lanceur d'alerte » ayant réclamé la tête d'un professeur pour lutter contre l'islamophobie en France ; quand les deux imams qui déposeront dans quelques semaines en faveur du militant islamiste Abdelhakim Sefrioui, assis eux aussi le premier jour sur le banc des parties civiles, échangent avec lui, dans son box, des sourires complices, et que maître Oudie Elhamamouchi, son conseil et conseil avant lui de Tariq Ramadan et du CCIF, saute sur son micro pour lancer à son confrère Thibault de Montbrial qui vient de prononcer le mot « radicalisé », qu' « ici, on n'est pas sur CNews ! », donnant précisément le sentiment d'être sur CNews."


    Le culot de Sefrioui...

    "Abdelhakim Sefrioui, l'autre auteur de la campagne de haine contre le professeur de Conflans, excelle aussi dans la provocation. Pour sa première prise de parole, il nous explique que son nom, injustement associé à celui d'Anzorov depuis quatre ans, a été jeté en pâture sur les réseaux sociaux. Oui, jeté en pâture, exactement comme celui de Samuel Paty par ses soins, c'est la raison pour laquelle il attend de ce procès que son honneur soit lavé. Un murmure s'élève dans la salle. Les gens sont ulcérés. Mais sans doute cet homme en tire-t-il une jouissance particulière, puisque quelques minutes plus tard, lui qui a affirmé que si les musulmans ne se battaient pas pour en finir avec cet enseignement de la liberté d'expression, il pourrait se passer en France ce qui a eu lieu à Srebrenica, c'est-à-dire rien moins qu'une épuration ethnique, nous confie son attachement farouche à la France et à ses valeurs, au débat d'idées, et à la… liberté d'expression !"


    Le Point.



    4ans après le drame l'horreur continue en fait.
     
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  13. Massilia1313

    Massilia1313 Modérateur

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    Tain y a quand même des moins que rien qui on dégrader le mémorial à la gare Saint-Charles qui rend hommage aux deux jeunes marseillaises victime d'un attentat ...... Bande de merdas
     
    Dernière édition: 12 Novembre 2024 à 07:21
    dadatibo, Ric 88, Ebola et 1 autre personne aiment votre message.
  14. Massilia1313

    Massilia1313 Modérateur

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  15. NadOM1993

    NadOM1993 Well-Known Member

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    :mad:

    En même temps vu la " faune "qui traîne autour de la gare:confused:
     
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  16. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    « Je ne les oublierai jamais, les yeux de Samuel Paty »

    L’écrivaine Émilie Frèche, qui suit pour « Le Point » le procès de l’assassinat de Samuel Paty, a été bouleversée par le récit d’une agente de la police municipale présente le 16 octobre 2020.

    Il est des dépositions qui ne souffrent aucun commentaire. Il faut les retranscrire brut, pour prendre la mesure de la barbarie qu'a subie Samuel Paty en moins de trois minutes, et de la détermination de son assassin, convaincu de venger le Prophète. Telle est celle de Cécile H., agente non armée de la police municipale qui faisait une ronde dans le quartier ce jour-là, et qui, secouée de larmes, a livré ce récit dans la salle de la cour d'assises spéciale :

    « Le 16 octobre 2020, j'ai pris mon service à 6 heures du matin. Un e-mail du maire nous informait qu'une agression à l'arme blanche avait eu lieu quelques jours plus tôt au collège du Bois-d'Aulnes, et j'ai dit à Cédric, mon binôme stagiaire, que nous ferions une patrouille sur le secteur à l'heure de la sortie. Un peu avant 17 heures, nous étions devant les grilles.

    La présence d'un garçon entièrement vêtu de noir, en conciliabule avec un collégien en pantalon rouge et deux jeunes filles, m'a tout de suite interpellée. Il était le seul à ne pas porter de sac à dos, j'en déduisais donc qu'il était un élément extérieur au collège. Il nous a remarqués, regardés avec défiance, et j'ai pensé qu'il venait régler ses comptes.



    « Et puis mon regard a plongé dans le regard de Samuel et, là, j’ai compris…


    Le petit groupe s'est dispersé. Les filles sont parties d'un côté, les deux garçons de l'autre. J'ai dit à Cédric, qui avait le volant, de suivre les garçons, mais nous les avons vite perdus de vue, au niveau du 8 de la rue des Clématites qui est une voie sans issue et où je pensais que le garçon au pantalon rouge habitait. L'autre, tout en noir, avait dû dire ce qu'il avait à dire, et s'éloignait. Nous sommes repassés devant le collège, puis nous avons décidé d'aller patrouiller vers l'école des Trois-Sapins.

    Arrivés sur la rue de la Haute-Borne, un véhicule s'est approché en nous faisant des appels de phare. C'était un couple. Ils avaient tous les deux l'air horrifié, et j'ai dit à Cédric : ça, ça sent pas bon. À l'arrière, un enfant pleurait. L'un des deux adultes nous a lancé, en manque d'oxygène : Il est en train de lui couper la tête. Nous avons roulé quelques mètres dans la direction indiquée, puis arrivés à l'intersection avec la rue du Buisson-Moineau, j'ai vu, au sol, une forme humaine, sans tête. J'ai cru que c'était un mannequin. Oui, pendant un quart de seconde, c'est ce que j'ai cru – Cédric, lui, parlera de masque d'Halloween – et puis mon regard a plongé dans le regard de Samuel et, là, j'ai compris… C'était une tête humaine… Une tête coupée… Comme ça, là, sur la chaussée…



    « Je n’ai pas en tête l’image que vous avez tous de Samuel, dans sa salle de classe, en train de faire cours à ses élèves. J’ai en tête ce visage tout gonflé, ensanglanté.»


    Anzorov était accroupi, à côté. Il nous a regardés. Il s'est relevé. Et d'un pas déterminé, il a marché et tiré sur nous à trois reprises. Trois déflagrations. J'ai cru que j'allais mourir. On n'était pas armés. J'ai dit à Cédric : Accélère, accélère !, et j'ai tenté d'appeler les renforts tandis qu'Anzorov nous poursuivait toujours. Le poste de Conflans ne répondait pas. Les gamins allaient sortir. Il fallait les mettre à l'abri, les empêcher de voir cette horreur. On a mis la voiture en travers pour bloquer la route, et j'ai appelé le 17. Je suis tombée sur une femme. Je lui ai livré les mots de la conductrice : On lui a coupé la tête. Elle m'a demandé de répéter, elle devait penser qu'elle avait mal entendu. On lui a coupé la tête, j'ai dit encore une fois, et puis, après, je ne sais plus.


    On est restés là avec Cédric un moment, on avait perdu de vue Anzorov. Est-ce qu'il était en train de poursuivre son massacre ? Est-ce qu'il allait surgir d'un buisson et nous tuer ? On ne savait rien. On n'était pas armés. On était terrifiés. Un véhicule de la police nationale a fini par arriver, toute sirène hurlante, et au bout d'un certain temps, quelqu'un est venu nous chercher, Cédric et moi, et nous a emmenés à la cellule médicale. On est passés devant un grand drap orange. Je savais que Samuel était derrière. La tête de Samuel… et les yeux… ces yeux dans lesquels mes yeux avaient plongé…


    Je ne suis pas comme vous, vous savez. Je n'ai pas en tête l'image que vous avez tous de Samuel, dans sa salle de classe, en train de faire cours à ses élèves. J'ai en tête ce visage tout gonflé, ensanglanté, lacéré, désolidarisé du corps, et je suis incapable de faire le lien entre ces deux images. Entre cet homme et cette tête dont les yeux me regardent, me regardent tout le temps depuis quatre ans.



    « Je sais bien qu’Anzorov est mort. Mais il est là, pour moi. Il est toujours là.»

    Je n'ai toujours pas repris le travail. Je n'en suis pas capable. Je suis suivie par un psychiatre que je vois une fois par semaine. Je ne peux pas retourner à Conflans non plus. Avec mon mari et mes deux enfants, nous avons déménagé. Nous vivons maintenant à la campagne, et notre maison est sécurisée par des caméras et des alarmes.




    J'ai plusieurs fois tenté de mettre fin à mes jours. Pour mettre fin à cet envahissement. À la vision de cette tête décapitée comme à celle de cette ombre noire, sans visage, et qui marche vers moi pour me tuer. Je sais bien qu'Anzorov est mort. Mais il est là, pour moi. Il est toujours là. Il y a quelques jours encore, je n'étais pas certaine d'être en mesure de venir déposer. C'est dur. Très dur. Mais je crois que j'en avais besoin. Oui, j'avais besoin de dire que j'ai vu, et que je ne les oublierai jamais, les yeux de Samuel. »


    https://www.lepoint.fr/societe/proc... Twitter Le Point&at_medium=Social Management


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  17. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Au moins trente-cinq personnes ont été tuées et quarante-trois blessées après qu’une voiture a foncé sur la foule, mardi 12 novembre en début de soirée, à Zhuhai, dans le sud de la Chine, a annoncé la police locale. « Une attaque sérieuse et vicieuse s’est déroulée au centre sportif de Zhuahu, où un suspect a foncé avec une voiture sur des personnes qui étaient en train de s’entraîner, ce qui a fait 35 morts et 43 blessés », a déclaré la police dans un communiqué.

    Le conducteur, un homme de 62 ans, a « forcé l’entrée au volant d’un petit SUV et foncé à l’intérieur du centre sportif de la ville, renversant les gens qui s’entraînaient dans les allées intérieures », a fait savoir la police. Le conducteur a été interpellé alors qu’il se portait des coups avec un couteau « et a été envoyé à l’hôpital pour des soins », selon la même source. Il se trouve dans le coma après s’être blessé notamment au cou et « n’est pas en état de subir un interrogatoire », a ajouté la police.

    La chaîne BBC précise que, selon l’enquête préliminaire, l’attaque aurait été déclenchée par le mécontentement du suspect concernant un désaccord lié à son divorce. Les investigations sont toujours en cours.

    https://www.lemonde.fr/internationa...-et-des-dizaines-de-blesses_6389844_3210.html
     
  18. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Dans l'Essonne, un petit de 16ans a été retrouvé grièvement blessé à la tête à quelques pas de son lycée. Multiples fractures, dents cassées, la joue trouée, il est complètement défiguré.

    Ceux qui ont fait ça l'ont dans un premier temps aspergé de gaz lacrymogène puis l'ont frappé à coup de marteau et de clé à molette. Huit personnes ont été interpellées par la police. Ils ont entre 13 et 15ans.


    13 et 15 ans putain....
     
  19. sentenza_be

    sentenza_be Well-Known Member

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    Hein? Celui sur la terrasse au dessus des marches? Que certains sont débiles...triste
     
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  20. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Au procès de l’assassinat de Samuel Paty, une « fatwa administrative »

    L’écrivaine Émilie Frèche, qui suit pour « Le Point » le procès de l’assassinat de Samuel Paty, se penche sur la personnalité du militant islamiste Abdelhakim Sefrioui et son parcours idéologique.

    (..)

    La virulence de ce personnage, Phidae, l'une des filles de Sefrioui, la décrit dans son audition du 17 mai 2022. « Mon père, dit-elle, essayait de m'apprendre les versets du Coran et il me frappait quand je n'y arrivais pas. Il était extrêmement violent verbalement. Il me traitait de “maudite”, de “sale”, de “baleine”. Il voulait tout contrôler, tout jusqu'aux feuilles de papier que j'utilisais aux toilettes. Il m'appelait “la Juive”. Il avait (aussi) une haine terrible envers (l'imam) Chalghoumi. Il voulait prouver que Chalghoulmi avait une belle voiture et qu'il y avait des rencontres avec le Crif. […] Son engagement pour la Palestine, c'était plus un engagement contre les juifs. »


    Quelle surprise :rolleyes:


    https://www.lepoint.fr/debats/au-pr... Twitter Le Point&at_medium=Social Management


    L'article est édifiant . Quelque soit le verdict cette pouriture n'a plus rien à foutre en liberté chez nous, c'est un poison.
     

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