Faits divers et divers faits

Discussion in 'Les penseurs du forum' started by pepere07, Jul 11, 2009.

  1. Yankee84

    Yankee84 Corona social club

    Blog Posts:
    0
    Autant la nana elle est en Amérique Latine sous une autre identité et elle vit sa meilleure Life , sans gosses et sans son boulet de mec :p:D
     
    sentenza_be and kaiser sauzee like this.
  2. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Blog Posts:
    0
    Je n'affirme pas qu'elle a refait sa vie avec Xavier Dupont de Ligonès mais..
     
  3. sentenza_be

    sentenza_be Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
    Et Gérard Lopez qui a assassiné son 3e club on en parle?:D
     
    Assenzio likes this.
  4. Loranais

    Loranais Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
  5. Seb'

    Seb' Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
    C'est l'éducation nationale le problème, pas la France. Là il est question de racisme et c'est évidemment grave mais combien en a-t-on vu des situations de harcèlement scolaire à l'issue desquelles les victimes sont écartées de l'établissement ? Combien d'élèves harcelés doivent changer d'école parce que les écoles et les rectorats ne font rien ?

    Parce que des élèves harcelés pareil parce qu'ils sont juifs, il y en a beaucoup aussi... Notamment dans les universités.
     
  6. Assenzio

    Assenzio It's coming Rome !

    Blog Posts:
    0
    Allez, c'est cadeau.

    [​IMG]
     
    setonaikai, Ernesto and sentenza_be like this.
  7. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

    Blog Posts:
    0


    « Je l’ai scotchée, je l’ai tuée, et puis voilà » : le calvaire de Lola, 12 ans, dans les griffes de Dahbia Benkired

    Série - Épisode 1 - Le procès de Dahbia Benkired, 27 ans, s’ouvre ce vendredi 17 octobre devant la cour d’assises de Paris. Elle est jugée pour avoir violé, torturé et tué l’adolescente, le 14 octobre 2022, à Paris, avant de transporter son corps dans une malle. Dans le premier volet de notre série en 5 épisodes, retour sur cette journée où Lola a subi le martyre. Par Benjamin Derveaux.


    La mine hagarde, Hakim (le prénom a été modifié) s’agite dans tous les sens. Il est un peu plus de 23 heures et une fine pluie tombe sur la rue d’Hautpoul, dans le XIXe arrondissement de Paris. Devant le numéro 40, il hèle les passants. Le visage balafré, le SDF de 42 ans tient des paroles confuses et s’exprime difficilement. Le crack, qu’il fume à hauteur de deux galettes par jour, n’aide pas.
    Mais en cette soirée du 14 octobre 2022, Hakim n’est pas en proie à une crise ordinaire. À un jeune homme qui arrive à sa hauteur, il répète : « Appelez la police, appelez la police. »

    Pendant que son interlocuteur compose le 17, le sans-abri escalade les grilles de la résidence et avance de quelques pas sur le chemin qui mène à l’entrée du bâtiment. Il s’arrête devant une malle en plastique noire entrouverte.

    « Il a soulevé un drap et j’ai pu apercevoir une partie de bras avec une trace rouge dessus, rapporte le témoin. Là, j’ai compris que c’était un corps », Quelques minutes plus tard, les policiers y découvriront le cadavre nu et recroquevillé d’une jeune adolescente aux cheveux blonds.

    Ses jambes, pieds et poignets ont été entravés avec du ruban adhésif. Le visage est recouvert de ce même scotch. Sur sa peau, de nombreuses entailles, dont une plaie très importante au niveau du cou, qui laisse penser à une tentative de décapitation. L’horreur absolue. Il s’agit de Lola Daviet, 12 ans. Ici, on connaît la fille des gardiens qui vivent au rez-de-chaussée. Soucieux de ne pas la voir rentrer du collège, ils avaient signalé sa disparation. Après des heures d’inquiétude, leur vie s’apprête à exploser.


    Une jeune fille souriante et polie

    Interpellée le lendemain matin, la meurtrière présumée, Dahbia Benkired, s’apprête à faire face à la justice. Presque trois ans jour pour jour après les faits. Âgée désormais de 27 ans, elle doit être jugée devant la cour d’assises de Paris, du 17 au 24 octobre, pour « le meurtre d’une mineure de 15 ans accompagné ou précédé d’un viol, de torture ou d’actes de barbarie », ainsi que pour « viol commis sur un mineur avec torture ou acte de barbarie ». Les qualifications sont glaçantes. Le récit de cette journée l’est tout autant.


    Ce jour-là, Lola quitte le collège Georges-Brassens aux alentours de 15 heures. Situé à 2 minutes à pied du domicile familial, l’établissement accueille près de 600 élèves du quartier. Souriante, polie et bonne élève, l’adolescente y a connu une année de 6e compliquée, victime de harcèlement d’une camarade. Mais depuis la rentrée, les choses semblent s’être arrangées. À la maison, on voit bien qu’elle a retrouvé cette joie qui la caractérise.



    Elle croise le chemin de Dahbia Benkired devant sa résidence

    Après avoir dit au revoir à sa meilleure amie, Lola se dirige vers la « résidence Manin » où elle habite un appartement avec ses parents et son frère, de six ans son aîné. Une famille soudée qui aime s’échapper de la capitale pour retrouver leur mobile home au camping de l’Orée du Bois à Rang-du-Fliers, dans leur Pas-de-Calais d’origine. « Lola adorait aller là-bas, voir ses amis et vivre sa vie d’adolescente », raconte la mère de la victime lorsqu’elle est entendue par les policiers.


    Alors qu’elle est presque arrivée chez elle, Lola tombe sur Dahbia Benkired qui traîne devant la résidence. Cheveux noirs coiffés en chignon, le visage abondamment maquillé pour dissimuler son acné, cette femme de 24 ans, arrivée d’Algérie il y a quelques années avec sa famille, dort parfois chez sa sœur Friha, qui habite le 6e étage. Cette dernière se passerait bien d’accueillir sa cadette qu’elle qualifie notamment de « manipulatrice ». « Mais ma mère m’a toujours dit de ne pas laisser tomber mes sœurs, et je me suis occupée d’elle. »
    Lorsque Lola arrive devant son immeuble, il est un peu plus de 15 heures. Une voisine passe par là et voit l’adolescente échanger avec Dahbia, qu’elle trouve agitée voire agressive. La conversation semble porter sur l’entrée dans le bâtiment et à l’ascenseur auquel Dahbia, dépourvue d’un badge, n’a pas accès.



    Mutilée avec un couteau et des ciseaux

    À 15h23, on la voit entrer dans le hall de l’immeuble suivie de la collégienne. Vêtue d’un sweat et d’un pantalon blancs, celle-ci tient son sac à dos gris devant elle. Son regard traduit une certaine inquiétude. Une chose est sûre : Lola n’est manifestement pas l’aise. Un voisin sort au même moment. Il confirme avoir remarqué une attitude inhabituelle chez elle, d’ordinaire si joviale. « Elle m’a paru moins bien, plus craintive », indique-t-il aux policiers.
    Malgré les quelques pas qui la séparent du domicile familial, on la voit suivre Dahbia Benkired et disparaître du champ de la caméra. Il s’agit des dernières images de Lola en vie.

    La suite, c’est Dahbia qui le résume, devant les juges d’instruction, en quelques mots. Froids et lapidaires. « Je lui ai demandé de me suivre, de me passer le pass, et de m’accompagner dans l’ascenseur (…) Je l’ai ramenée avec moi, je l’ai scotchée, je l’ai tuée et puis voilà. » C’est manifestement sous la contrainte et apeurée que Lola se retrouve à l’intérieur de l’appartement du 6e étage. D’après le récit insoutenable de Dahbia Benkired, corroboré par le rapport d’autopsie, Lola subit un véritable calvaire.

    Forcée à se doucher, elle aurait d’abord été violée. Ensuite, l’accusée dit avoir enroulé sa victime avec du ruban adhésif qu’elle trouve sur place. « Tout son corps, jusqu’à ce que je termine le scotch », détaille-t-elle. Le visage recouvert, Lola se retrouve à terre, dans l’entrée, sans pouvoir respirer. Dahbia ferme la porte derrière elle et laisse la petite fille agoniser. « Je suis allée dans le salon, je l’ai laissée un moment et après je suis revenue ». Durant ce laps de temps, qu’elle estime à « 2-3 minutes », elle met de la musique pour ne plus entendre sa victime se débattre.


    L’horreur ne s’arrête pas là. Durant cette scène de violence, la victime a été frappée au visage et a été mutilée avec un couteau et des ciseaux au niveau du dos et du cou. Les médecins estiment que ces coups ont été portés avant et après le décès. Puis, elle cache le corps dans une grande malle plastique.
    Après un rapide ménage, Dahbia quitte l’appartement de sa soeur. Il est 17 heures lorsqu’elle réapparaît sur les images de vidéosurveillance de l’immeuble. Mais cette fois-ci dans le hall qui donne sur la rue Manin. La jeune femme a pris le temps de changer de vêtements. On la voit d’abord sortir avec deux valises à roulettes — une rose et une noire — dont elle se sert pour maintenir ouverte la porte d’entrée du bâtiment. Quelques instants plus tard, elle revient avec la malle qu’elle traîne péniblement vers la sortie.


    (la suite en dessous)
     
  8. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

    Blog Posts:
    0
    « J’ai des choses intéressantes à vendre »

    Une fois dans la rue, elle croise la route de Billal (le prénom a été modifié), 29 ans, qui habite le quartier. Très vite, la discussion s’engage sur un moyen pour elle de se rendre dans le département voisin des Hauts-de-Seine. Billal passe un coup de téléphone à un ami pour savoir s’il veut jouer les taxis en échange d’un billet. Mais celui-ci décline.
    Alors que le jeune homme s’apprête à partir, Dahbia lui lance, en désignant la boîte : « J’ai des choses intéressantes à vendre ». Elle veut bien lui montrer mais pas ici. Billal l’amène alors au Rallye, le bar-tabac où il a ses habitudes, situé à quelques mètres de là.


    À l’intérieur du troquet, ils s’installent un peu à l’écart. Alors qu’il demande à son interlocutrice ce que contient la malle, elle lui répond de regarder de lui-même. Sous le couvercle, il découvre, sous une couette, des draps qui empestent la javel. « Par réflexe, avec mon index, j’ai touché le drap pour voir ce qu’il y avait en dessous. J’ai senti quelque chose de mou, comme si je touchais une épaule », détaille-t-il aux enquêteurs. Il décèle aussi une petite tache de sang sur le drap et se met à paniquer.

    « C’est un cadavre ? » l’interroge-t-il. Selon ses dires, cette dernière aurait rétorqué que c’était un rein. C’est trop pour lui qui imaginait trouver de la « marchandise intéressante », des outils, de l’électroménager. Il décide de s’en aller et rejoint un autre bar de l’autre côté de la rue. Au bout d’une trentaine de minutes, il la voit monter dans une Dacia grise. Téléphone en main, il pense à photographier la plaque d’immatriculation. Dahbia est partie avec ses valises et la malle en direction d’Asnières. C’est une connaissance, Rachid, qui est venu la chercher.


    Mais un peu avant 23 heures, la jeune femme revient devant la résidence Manin. Elle est arrivée en VTC avec ses deux valises et la malle. Pressée par sa sœur de descendre, Friha la retrouve. Agacée par Dahbia qui a laissé l’appartement en grand désordre, elle finit par accepter de porter ses valises. « Elle m’a demandé de l’aider pour le coffre », relate Friha. Mais elle comprend au comportement de sa sœur que quelque chose ne va pas et lui demande ce qu’il contient. Pas de réponses. Friha imagine des armes, de la drogue.

    « Quand je lui ai parlé de la police, elle a eu peur. J’ai essayé de la retenir et elle est partie en courant. » Entre-temps, Friha s’approche et regarde à l’intérieur. « C’était blanc. J’ai tout de suite compris que c’était de la peau. » Elle pousse un cri d’effroi et s’enfuit à son tour vers son appartement.

    Depuis le trottoir, Hakim assiste à la scène et comprend qu’il s’agit d’un être humain. Comme Friha, Rachid et Billal, il passera la nuit en garde à vue. Dahbia, elle, sera interpellée au petit matin à Bois-Colombes puis conduite dans les bureaux de Crim’. Les enquêteurs s’apprêtent à plonger dans l’esprit dérangé du bourreau de Lola.


    --



    Qu'un homme fasse ça c'est une chose mais quel type de monstre il faut être pour faire un truc pareil quand on est une femme.
     
  9. Seb'

    Seb' Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
    Dans "la France qu'on aime", il y a aussi l'ouverture aujourd'hui du procès de la meurtrière présumée de la petite Lola, qui a été absolument massacrée.
    Le père de la petite n'y assistera pas, il est mort désormais. De chagrin selon la famille de la petite.
     
  10. sentenza_be

    sentenza_be Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
    L'énigme et l'horreur des grands crimes monstrueux contre nature sans raison ni motif anciennement connus sous le nom de monomanie homicide instinctive.
    Ils ont toujours existé et son assez bien décrits dans la littérature socio-criminologique et médicolégale.
    Curieux d'entendre les expertises psychiatriques et médicopsychologiques de cette femme: était-ce une monstruosité criminelle? une monstruosité pathologique sous forme de délire des actes?
    Sur le plan humain ceci dit, au delà de la curiosité criminologique, cela reste dramatique.
     
    *Garrincha* and le touriste like this.
  11. Ernesto

    Ernesto Ritiro

    Blog Posts:
    0
    Loranais likes this.
  12. Seb'

    Seb' Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
    Et la petite Lola massacrée à Paris, il faut faire le lien avec Hidalgo du coup ?
    Elle a été tuée dans le 19e arrondissement de Paris, qui est à cheval sur les 16e et 17e circonscription de Paris.
    Sarah Legrain (LFI) et Danièle Obono (LFI) sont les députés rattachées au 19e arrondissement.
    Du coup, on dit aussi comme par hasard ? :D


    :p:p:p
     
  13. Ernesto

    Ernesto Ritiro

    Blog Posts:
    0
    Tu me fais soucis la , tu te transformes en Seb'77 :D
     
  14. Seb'

    Seb' Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
    Le raisonnement est identique au tien avec la Vendée, non ?
     
  15. Seb'

    Seb' Well-Known Member

    Blog Posts:
    0
  16. Ernesto

    Ernesto Ritiro

    Blog Posts:
    0
    Pas du tout.... La vendée putain ! Terre de réacs depuis toujours...

    Je vais qd même pas te faire un cours d'histoire ici nan ? ;)
     
  17. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Blog Posts:
    0
    Des regrets personnels de ne pas avoir "fini le boulot" en 1796 ?
     
    Ernesto likes this.
  18. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

    Blog Posts:
    0
    C'est beau pourtant la Vendée. Ma mère est une Ventre à choux.
     
  19. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Blog Posts:
    0
    Non mais ils font de bonnes brioches aussi, je dis pas. Juste qu'ils arrêtent de faire de la politique, ils ont toujours 60 ans de retard.
     
  20. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Blog Posts:
    0

Share This Page