[Cyclisme] Tour de France, Giro, Vuelta,...

Oui triste nouvelle...

 

En politique je sais pas mais en cyclisme aucune surprise Valverde a surclassé ses adversaires.

Il offre son prix à la famille de Scarponi, les cyclistes sont des seigneurs.

 

Imbattable ! Impressionnant. On ne le voit pas de la course et il surgit dans les 500 derniers mètres. Un des plus beaux palmarès du cyclisme.

 

Au début, je l'aimais pas du tout mais force est de constater que c'est un vrai monstre.

 

pareil. Il est très fort et sait très bien courir.

 

Je voulais réagir par rapport à l'agression de offredo. Je ne juge pas l'affaire je ne sais rien de ce qu'il s'est passé. Mais c'est quand meme fou ce genre de comportement et d'agressivité. Je lisais ce matin un article parlant de l'affaire. Y'a un éducateur qui nous explique qu'il est obligé d'apprendre aux jeunes coureurs comment ne pas faire monté la sauce. Ne pas levé les bras si un mec t'as froller, ne pas redoubler une voiture qui t'a doubler etc etc. Tout ça pour ne pas faire monter le taux de testostérone des chauffeurs. c'est quand meme fou. Moi meme j'ai des connaissances, des gens normaux voir intelligents qui m'ont déjà sortiun truc du style, putain les cyclistes jpeux pas les voir, ils se croient tout permis quand j'en croise un je le frole, si par la meme occas il peut finir dans le fossé... comment on peut etre aussi débile ?

Putain jsuis de temps en temps cycliste. je ne me suis jamais senti tout permis bien au contraire parfois je me sens tout petit et je me cague dessus faisant le maximun pour bien serrer ma droite. Après j'ai pas les yeux dans le dos ça peut m'arriver de faire un écart ou de ne pas entendre une voiture qui arrive derriere moi.

 

https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur...le-tour-de-romandie-devant-simon-yates/797443

bad news, encore une disparition, un jeune espoir américain

https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur...ricain-n-a-pas-survecu-a-ses-blessures/797180

 

Franchement, c'est le sport où il y a le plus de décès le vélo en ce moment.

Nacer a été amené inconscient à l'hosto aussi cet aprem. Plus de peur que de mal mais avec le jeune américain, on en est déjà à 2 cette année en même pas 10 jours.

 

Les enragés du Giro (lapsus volontaire) J-4 et en clair

https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Tour-d-italie-la-liste-des-engages/796103

 

Ce giro avec la présence de pinot est assez excitant pour nous. de plus comme l'Equipe a récupéré les droits ils font monté la sauce médiatique depuis un moment, ça va etre cool !!!

 

Toutes les étapes : http://www.giroditalia.it/eng/route/


Les 8 étapes où va se jouer le Giro 2017 (1re partie)

TOUR D'ITALIE 2017 - Finie la surenchère d'arrivées au sommet. Comme en 2016, les organisateurs du Giro en ont réservé au peloton un nombre raisonnable, loin des folies du passé. Pour autant, la montagne sera encore le menu principal des coureurs tout au long des cette 100e édition, avec des étapes aux schémas variés. Mais certaines étapes seront sûrement plus importantes que d'autres.

Le succès de l'édition 2016 semble avoir donné des idées. Un an après un Tour d'Italie où le suspense, les rebondissements et les attaques entre favoris avaient duré jusqu'à la veille de l'arrivée, les organisateurs ont choisi de renouveler l'expérience d'étapes de montagne sans arrivée au sommet. Le spectacle offert leur avait donné raison.

Toutefois, cette 100e édition ne sera pas qu'un copié-collé du tracé 2016. Peut-être encore plus équilibré, avec deux contre-la-montre dont un final (une première depuis 2012), à Milan, Mauro Vegni & co se sont donné les moyens d'attirer un maximum de favoris et plus seulement des purs grimpeurs. Histoire de favoriser une course de mouvement et de maintenir l'intérêt jusqu'à la dernière minute. Pour remporter cette édition 2017, il faudra se montrer vigilant tout le temps. Même si huit étapes ressortent du lot. Voici les quatre premières.

Étape 4 : Cefalù – Etna, 181 km
Comme l'an passé, il faudra être en jambes dès le départ sur ce Tour d'Italie. Dès le quatrième jour, les coureurs affronteront une première étape de montagne et, ce, au lendemain du premier jour de repos. Sans être insurmontable sur le papier, ce 4e opus de la 100e édition offrira quand même au peloton un col de 2e catégorie et un final au sommet d'une ascension de 1re catégorie. Mais, sauf défaillance, les écarts ne devraient pas s'avérer trop conséquents.

La faute à des pourcentages relativement raisonnables. Trop loin (91 km de l'arrivée) pour présenter un quelconque intérêt pour les favoris, le Portella Femmina Morta devrait effectuer une première sélection avec ses 32 km à 4,8%. Derrière, le peloton plongera durant près de 60 km vers le pied de l'Etna. Longue de 17 km, l'ascension finale sera précédée d'une montée non répertoriée de 6 km à 6% que certains pourraient mettre à profit pour anticiper la grande bagarre. Sinon, l'Etna sera sans doute réservé à un favori. Irrégulière, l'ascension volcanique aux 6,7% de pente moyenne devrait permettre aux favoris de se tester. Pour cela, il faudra tenter avec les deux derniers kilomètres, plus faciles.


Étape 9 : Montenero di Bisaccia – Blockhaus, 139 km
Déjà franchi par le peloton du Giro en 2009, par son versant "Passo Lanciano", le Blockhaus fait son retour sur l'épreuve italienne. La montée finale sera l'unique et gros morceau de montagne de cette étape où les grimpeurs auront sûrement à cœur de créer des écarts, au terme de la première semaine, juste avant la deuxième journée de repos. Pourtant, il est fort à parier que cela se résume à une course de côte. Ou de col, pour être exact.

Avant le pied du Blockhaus, difficile d'imaginer un coup partir de loin. A l'exception de la montée non répertoriée vers Chieti (5,5km à 5%) à 58 km de l'arrivée, aucune côte ne vient égayer le parcours et il faudra sans doute attendre le final pour assister à la grande bagarre. Il faut dire que le Blockhaus se suffit à lui-même. Si la montée fait officiellement 13 km à 8,5%, il ne faudra pas non plus oublier les 9 km à 5%, non répertoriés, qui précède l'ascension en guise de marche-pied. De quoi déjà provoquer des dégâts. Les dix derniers kilomètres, à plus de 9% de moyenne (avec des passages à 14%) se chargeront du reste. Ce jour-là, pas moyen de se cacher. Une première hiérarchie apparaîtra.


Étape 10 : Foligno – Montefalco, 39 km (contre-la-montre individuel)
C'est le premier des deux chronos de ce Tour d'Italie. Le plus long mais aussi, et de loin, le plus vallonné. Sur les 39 kilomètres de ce contre-la-montre, il faudra savoir jouer du braquet. De quoi laisser un maximum de chances aux grimpeurs et aux spécialistes des courses de trois semaines face aux purs rouleurs.

Car ce chrono ne laissera aucun répit, à l'exception du faux-plat initial de 10 kilomètres. Ensuite, les coureurs seront toujours en prise, même si la pente ne sera jamais vraiment prononcée (la montée principale, irrégulière et longue de 5,2 km, affiche une pente moyenne de 4,1%, comme les 3 derniers kilomètres). Un parcours qui n'est pas sans rappeler celui du chrono de Barolo sur l'édition 2014. Nairo Quintana avait alors bien limité la casse (13e à 1'07'' de Cadel Evans, troisième de l'étape).


Étape 16 : Rovett – Bormio, 227 km
C'est l'étape-reine de cette 100e édition. Et, pour cela, les organisateurs du Giro n'ont vraiment pas fait les choses à moitié avec 227 km, des cols mythiques et 5122 m (!) de dénivelé positif. Les coureurs auront quand même 60 kilomètres pour se remettre en jambes après la deuxième journée de repos avant d'entrer dans le vif du sujet. Et ils débuteront avec le plus "facile", le Mortirolo. Oui, c'est bien possible que cette ascension de 12,6 km à 7,6% (max 16%) ne soit qu'un amuse-gueule...

Malgré sa difficulté, il est sans doute placé trop tôt (137 km de l’arrivée) dans l'étape pour y voir des favoris bouger. Une première descente et un premier passage dans Bormio plus tard, le peloton montera tout en haut du Stelvio (21km à 7%, max 12%). S'il est peut probable que la Cima Coppi (2758 m) de cette édition 2017 ne serve de tremplin, nul doute on y verra déjà plus clair et que les équipes de favoris seront alors bien décimées. Après une descente technique dont il faudra se méfier, les coureurs affronteront le dernier col de la journée, l’ascension suisse de l'Umbrailpass. Ses 13,5 km à 8,4% (max 12%) seront le juge de paix de cette journée en enfer, avant une rapide descente vers Bormio.

 

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Le périple de fou !

 

ETAPE 18 : MOENA - ORTISEI

avec passage à 15% sur le passi di pinei, puis 12% dans le final de l'étape. Pas forcément très longue, mais très probablement une étape décisive.





ETAPE 20 : PORDENONE - ASIAGO


ETAPE 21 : MONZA - MILANO (CLM, 29km)


pas mal, même si j'aurais aimé voir qq passages (même courts) avec des pourcentages plus élevés (18-19%) et que cette perspective de finir par un CLM ne me plait pas trop (j'aime la mythologie que représente l'arrivée aux sommets d'un finale d'étape en altitude où un tour se joue là, au milieu des bouquetins et des lacets de montagne blindés de caravanes et des drapeaux partout).

 

Ca commence fort ...

Pffff.

https://todaycycling.com/choc-avant-le-tour-d-italie-pirazzi-et-ruffoni-positifs/

 

je serais les organisateurs Bardiani dehors cash !

 

Pas faux sauf si quelque part, c'est une "initiative personnelle' mais ça aurait été la Gazprom, ils les auraient foutu dehors.

 

Enorme le coup de bordure de la Quick Step.

 

raa j'ai loupé ça, vite la 21, j'adore ce genre de filouterie



ps : bon, 20 secondes. 15 maintenant. Anecdotique.

 

Bon l'étape de l'etna à fait pschittt pas encore assez de fatigue parmis les favoris, une demi attaque de nibali, une demi attaque de dumoulin et c'est tout.

On dira que ça aura permis de mettre de l'ordre dans le classement général. Les favoris prennent position.

https://www.lequipe.fr/Cyclisme/CyclismeResultat3858_13576_GENERAL.html