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[Europe] Angleterre - Premier League

Discussion dans 'Les Championnats' démarrée par anonymous_08122021, 5 Août 2017.

?

Qui sera sacré champion cette année ?

  1. Chelsea

  2. Arsenal

  3. Tottenham

  4. Manchester United

  5. Manchester City

  6. Liverpool

  7. Everton

Les résultats sont uniquement visibles après avoir voté.
  1. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Vous avez vue l'incident Sarri-Kepa , incroyable , sarri va sauter
     
    Rosickydevitry et Enzocnt aiment cela.
  2. Arcandias

    Arcandias Well-Known Member

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    C'est juste impensable ce qu'a fait Kepa là... Il doit manger de la réserve et être revendu cet été.. ce manque de respect..
     
    mir59, cedouu13 et Enzocnt aiment votre message.
  3. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    C'est surtout Sarri qui prend un coup la , le mec n'a plus aucune autorité .

    Pour Kepa , ils l'ont recruté pour 80 Millions d'Euro et Chelsea ne peut pas recruter sur deux ans .
     
    Luna' et Rosickydevitry aiment cela.
  4. Arcandias

    Arcandias Well-Known Member

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    Je suis d'accord à propos de Sarri, mais un joueur avec cette mentalité...
    Mais bon je pense que tu as raison pour Kepa, mais c'est juste incroyable qu'il se permette ça..
     
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  5. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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    C'est assez honteux ce qu'il a fait Kepa.
    Le coach te sort, tu sors, point.
     
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  6. Rosickydevitry

    Rosickydevitry Moderateur

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    C’est désastreux...

    A situation similaire Guardiola, Mourinho, Klopp ou Conte traversent la pelouse pour le sortir coups de pieds au cul et en prime le gars se prends une énorme amende et un mea culpa devant les micros.

    C’est le point de non retour pour Sarri malheureusement.
     
  7. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Le plus inquiétant dans l'histoire est l'attitude des autres joueurs de Chelsea qui ne bougent pas pour défendre leur coach .

    Il faut dire que cet effectif de Chelsea , est vraiment dur a gérer ( Mourinho, Conté et maintenant Sari) .
     
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  8. mir59

    mir59 Well-Known Member

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    Ouais je viens de voir ça et c'est AHURISSANT ! Même si le coach est en ce moment fragilisé, le club doit punir sévèrement kepa ! C'est pas parce qu'ils ont eu une sanction du fpf et qu'il a coûté 80 patates qu'il peut se permettre de faire ça ! Et justement parce qu'ils ont été sanctionné je serais leur président je le mettrais en U19 pour prouver qu'on ne chie pas sur le club même si on est dans la merde ! Ça prouverait que c'est un grand club ! Et puis m.erde le coach te sort tu sort point barre ! À la limite il montre sa colère sur le banc mais pas ça !! Inadmissible !
     
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  9. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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    Et sur certaines images, limite certains ils viennent féliciter Kepa d'avoir tenu tête à Sarri.
     
  10. yannickdu64

    yannickdu64 Well-Known Member

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    Ça fait un moment qu'il a plus le soutien de son vestiaire le Sarri

    Et quand tu vois sa communication et ses décisions d'ensemble depuis qu'il est arrivé à Cheslsea et bien tu peux facilement comprendre pourquoi il faut pas l'unanimité auprès des joueurs.

    Sinon la réaction de Kepa est inadmissible mais le fait de vouloir sortir le basque pour faire rentrer papi Caballero qui vaut pas un pichet de cidre c'était tout aussi choquant.
     
  11. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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    Il a voulu le faire entrer parce qu'il pensait Kepa blessé.
     
  12. ChipLeader

    ChipLeader Rachatix et fier de l'etre

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    Vous imaginez si pablo machin devient entraineur de chelsea ?

    Képa et machin , en plus pour bien faire les choses machin son prénom c'est pablo :D:D:D
     
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  13. yannickdu64

    yannickdu64 Well-Known Member

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    Et il ne peut pas demander à son joueur si c'est le cas, plutôt que de prendre une énième décision à la con et se passer de la possibilité de faire entrer un joueur de champ ? o_O

    D'ailleurs Kepa ne sort pas et Sarri ne prend même pas la peine de faire entrer un joueur de champ frais pour tirer les pénos alors que la moitié de ses joueurs sont cuits de chez cuit.
     
  14. marseillais29

    marseillais29 moi en personne

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    J'aurais adoré voir la réaction de Bielsa :eek:
     
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  15. aurelio.m

    aurelio.m Well-Known Member

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    Bonjour,
    Perso j'ai connu un Mr *Machin, il était arbitre et un jour de OM - ASSE ça avait fait des étincelles au Vélodrome (Terrain envahi, Machin agressé .... match arrêté ):oops:
    Souhaitons que ça se passe mieux entre ses deux ;)
    *
    Roger de son Prénom = 6V - 7N - 9D
    :D
     
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  16. D.D13

    D.D13 Well-Known Member

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    Match agréable à suivre entre Tottenham et Arsenal.

    Par contre gros bide de Ozil et Aubameyang , ils sont censés être des " top players " ça n'a pas vraiment été le cas sur leurs entrées en seconde période.
    L'arbitrage aussi était très moche , et paradoxalement quand il siffle à juste titre le penalty pour Tottenham son arbitre de touche ne lui signale pas qu'il y a hors-jeu ....

    En tout cas ça fait plaisir de revoir un Mkhitaryan en forme sûrement l'homme du match avec Lloris.
     
    Dernière édition: 3 Mars 2019
  17. cedouu13

    cedouu13 Well-Known Member

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    Aubameyang un top player ? :D
     
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  18. Dam'

    Dam' L'Exclue du forum

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    Tin, les hotspurs ils ont la poisse. Quand j'ai vu que le match contre Burnley devait leur permettre de recoller à la tête j'ai compris qu'ils allaient perdre. Et contre Arsenal.. :(
     
  19. BigBenZ

    BigBenZ Moderateur

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    Bon, le championnat c'est fini pour les Spurs. Faut juste faire attention a pas sortir du TOP4.

    Ensuite les coupes nationale c'est fini aussi.

    Reste plus que la LDC .... Les 8eme ca devrait le faire, avec la victoire 3-0 a l'aller. Apres quand on regarde le niveau de toutes les grosses equipes, sur un malentendu, pourquoi pas.
     
  20. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Sunderland, la lose en série
    À l'été 2017, Netflix décidait de suivre au jour le jour le Sunderland AC, tout juste descendu en deuxième division. Au-delà du quotidien, la série documente les effets destructeurs du foot-business.


    Une musique de comédie sentimentale sur les images brumeuses d'un paquebot en ouverture de chaque épisode; de multiples travellings aériens sur le Stadium of light; un abus de ralentis et de gros plans, sur les phases de jeu comme lors des entraînements; un "sound design" parfois douteux, qui amplifie le son sur les contacts, les frappes de balle ou les chants du public…

    D'un point de vue formel, Sunderland 'til I die n'échappe pas aux gimmicks visuels du moment. Ni, d'ailleurs, à la difficulté de filmer un match de football, si souvent décrite. Pour autant, si l'on oublie ces quelques tics formels pour se concentrer sur le fond, il faut reconnaître la véritable force documentaire de l'exercice. On doute que Netflix en ait mesuré d'emblée l'intérêt.

    Et pourtant. Si Sunderland 'til I die se voulait une immersion divertissante dans le "football vrai" d'un club fraîchement descendu en deuxième division, il documente en fait une année charnière du club, qui subit une nouvelle relégation en fin de saison. À la fois un formidable témoignage de l'époque et un passionnant révélateur de ce que le business a infligé au football ces trente dernières années.

    Famille recomposée
    "Ici, c'est un club familial", entend-on tel un leitmotiv pendant les huit épisodes que dure la série. Dans la bouche d'une cuisinière du club ou dans celle de Martin Bain, son président. Dans les déclarations des plus vieux supporters comme dans celles de joueurs prêtés pour la saison

    Un club "familial", donc, mais propriété d'un actionnaire américain, Ellis Short, qu'on ne verra que subrepticement en fin de documentaire, alors qu'il refuse obstinément de s'exprimer face un journaliste. Une famille recomposée, plutôt, dont le paternel semble regarder avec une totale indifférence les galères de son rejeton.

    Car l'histoire récente des Black Cats s'avère un remarquable modèle d'échec du football moderne. Celle d'un club historique du championnat anglais racheté par un businessman américain en 2008, qui abandonne ce dernier dix ans plus tard et deux divisions plus bas. La déliquescence du projet économique et sportif s'incarne d'ailleurs parfaitement, et physiquement, dans l'image que renvoie Martin Bain entre les premiers et l'ultime épisode de la série. Rasé de près dans son costume-cravate impeccable, il déclame d'un ton assuré les objectifs – élevés – de la saison.

    Le ratage de l'année précédente, les recrutements onéreux – celui de Ndong, arraché au FC Lorient pour la modique somme de vingt millions d’euros – semblent déjà de lointains souvenirs. Six mois plus tard, le même Bain arbore une barbe fatiguée, porte une chemise froissée et semble avoir du mal à soutenir le regard face caméra. Il doit annoncer leur licenciement à une partie des employés que le club ne pourra conserver en raison de la nouvelle descente du club…

    Mercato fatal
    Il faut dire que les épisodes de lose s'enchaînent comme les défaites, tout au long de la saison. La rare et spectaculaire blessure à la main de son tout nouveau gardien néerlandais, tout juste débarqué des Pays-Bas; la publication sur les réseaux sociaux d'une vidéo d'un joueur conspuant certains de ses coéquipiers, après quelques verres de trop dans un pub…

    Certaines scènes sont anecdotiques, d'autres moins: toute la force du show télévisé se révèle ainsi dans les cas de Jack Rodwell et Jonathan Williams, que l'on découvre au cours de deux scènes clef. Le premier est le héros indirect d'un édifiant épisode qui se déroule durant le mercato d'hiver.

    Déjà acculé par les mauvais résultats, le club tente de redresser la barre: dos au mur du point de vue financier (Ellis Short refuse de mettre une livre de plus dans le recrutement), Martin Bain tente coûte que coûte de se débarrasser de Jack Rodwell, international espoir qui déçoit, et seul joueur dont le contrat en PL garantissait un maintien de salaire en cas de descente.

    On le voit ainsi s'activer à quelques heures de la fin du marché d'hiver, multiplier les échanges téléphoniques pour lui trouver une porte de sortie, avant de finir par claquer violemment celle de son propre bureau pour y disparaître: en fait, l'ex de City refuse de quitter le club, et préfère continuer de percevoir son salaire king size jusqu'à la fin de saison, même assis sur le banc ou en tribune.

    [​IMG]

    Maison-témoin
    Le second est le protagoniste d'une scène d'un tout autre registre, mais humainement très puissante: Jonathan Williams, international gallois, prêté pour la sixième fois consécutif (!) par Crystal Palace à un autre club, dont la blessure musculaire de longue durée se double d'une profonde blessure psychologique.

    Dans le salon glacial d'un logement qui semble être une maison-témoin, on l'entend ainsi déclarer, la mine abattue: "Je me sens seul ici. Je vais peut-être prendre un chien". Avant de le voir accepter, avec une sincérité touchante, de rencontrer un psychologue pour l'accompagner dans ces instants de solitude.

    En regardant les déboires du club anglais, on se prend parfois à penser à ceux, plus proches, de certains de leurs voisins français. Au Racing Club de Lens, par exemple – même si l'institution nordiste a pour l'heure évité le pire. Une assise historique comparable, un passé populaire et ouvrier, et le récent rachat par un opaque fonds étranger…

    Si Sunderland 'til I die a cela de réjouissant qu'il dévoile au grand jour l'envers du décor, il l'est beaucoup moins dans les perspectives qu'il laisse entrevoir aux clubs de "nouveaux riches" dès que le vent tourne mal. À cet égard, le documentaire sonne comme un avertissement pour les supporters du LOSC, de l'OM ou des Girondins de Bordeaux.
     

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