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[Europe] España - Liga

Discussion dans 'Les Championnats' démarrée par warrior, 5 Août 2017.

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  1. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Je pense que tant qu'il y aura ZZ il restera le Modric.
     
    Croconico aime votre message.
  2. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Le Barça qui fait peut-être son meilleur match de la saison ce soir. Pfff que de regrets quand même.

    Iniesta qui marque pour sa dernière finale, il est sorti en pleurs sous une standing ovation. Ses échanges de passes avec Messi vont me manquer putain.

    Sinon personne n'en parle de Cillessen mais il est excellent ce gardien et comme Ter Stegen il est monstrueux avec ses panards. Coutinho est un putain de crack même si je reste sceptique sur le fait qu'il puisse évoluer à l'intérieur du jeu à la place d'Iniesta. On verra ça la saison prochaine.
     
    Massilia1313 et dadwu aiment cela.
  3. Massilia1313

    Massilia1313 Modérateur

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    C'était beau quand il soulève la coupe tout seul et ses coéquipiers qui applaudissent.
     
  4. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Pimienta promu entraineur de la B en remplacement de Gerard c'est peut-être la meilleure nouvelle de la saison. Bon sa mission consistant à maintenir l'équipe sera difficile à atteindre mais c'est l'une des rares personnes dans ce club qui a encore l'ADN Barça qui coule dans les veines. Il fait un super travail avec les jeunes, ils vient de gagner la YL cette saison et surtout il ne renie pas le jeu qui a fait la gloire du club.

    J'ose espérer que c'est le début d'une prise de conscience chez les dirigeants. Y'a toute une génération bourrée de talents qui arrive et va peut-être falloir les accompagner jusqu'à l'équipe pro au lieu de recruter des Digne, des Paulinho ou des Gomes.
     
  5. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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  6. Croconico

    Croconico Well-Known Member

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    Quand on sait que la génération puyol xavi iniesta messi pique sortie de la masia a une immense importance dans 3-4 des 5 ligues des champions remportées dans l'histoire du club. Je suis curieux de voir comment le club va réagir sur la scéne européenne au départ de ces derniers. En liga par contre ils seront toujours en course.
     
  7. allezlom07

    allezlom07 Well-Known Member

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  8. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Et que dire de Messi qui n'st meme pas la pour saluer Iniesta .... Il avait des chips a dévorer peut etre
     
    Nas' et allezlom07 aiment cela.
  9. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Messi déteste Iniesta depuis 15ans qu'ils se côtoient c'est bien connu.

    Hermel a balancé de ces trucs apparemment sur RMC. Celui-là j'espère être encore en vie le jour ou il crèvera, que je puisse fêter ça.
     
  10. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    C'est un sans face ce Messi, il a fait de meme avec Pep .
     
  11. shady

    shady Moderateur Membre de l'équipe

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    Il aurait quand même pu prendre sur lui et être présent.

    Iniesta, c'est tout de même une des icônes du Barça de cette dernière décennie.

    Bref, sur ce coup là, ça manque de classe.

    Et sincèrement, Iniesta, je vais beaucoup le regretter! :confused:
     
  12. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Mais il avait des RDV prévus depuis un moment. IL a pas pu comme Suarez se libérer pour assister à la conférence de presse qui a été organisée dans la précipitation d'ailleurs. . Il a toujours assisté au départ des anciens et il va donc pas se présenter à celui d'Iniesta qu'il apprécie énormément et avec qui il joue depuis 14ans ?

    P'tain mais rebranchez votre cerveau 2 secondes et arrêtez de lire les médias à deux balles ou d'écouter les conneries de cet âne d'Hermel.
     
  13. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Il avait mieux a faire ? Déguster des chips peut etre
     
  14. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Barça champion d'Espagne 2018 ! 7 Liga en 10ans et 9ème pour Iniesta et Messi.
     
  15. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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  16. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Ils sont un peu rentrés dans le rang Leganés mais c'est vrai que c'est sympa à regarder. Ce que fait Mendilibar qui est cité dans l'article avec Eibar et son tout petit stade c'est très fort aussi. Et puis alors celui que j'adore c'est Quique Setien qui avait fait des merveilles avec Las Palmas en déployant un super foot et qui remet ça avec le Betis qui est 5ème. L'autre jour ils ont par moment ridiculisé l'ATM dans son propre stade même si Simeone avait fait tourner (EL oblige). Celui qui était bon aussi c'est Eusebio Sacristan qui faisait du très bon travail avec la Real Sociedad , j'ai pas compris pourquoi il avait été viré.

    J'espère qu'Emery va revenir en Liga. Y'a pas mal de clubs qui cherchent un entraineur.
     
  17. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Oui il y a une superbe génération de coach en Espagne, qui produisent du jeu avec peu de moyen. Tu as peut etre oublié celui de Getafe qui fait aussi du bon travail.

    Je viens de voir le classement, Girona sont bien aussi je ne connais pas le coach .

    Mais pour moi le meilleur cette année c'est celui de Valence l'ancien de Villaréal avec son 442
     
  18. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Ouais Marcelinho. Très fort.

    Il veut rapatrier Denis Suarez qu'il connait très bien d'ailleurs. .
     
  19. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Sinon du coté du Réal, c'est un peu le bordel chez les entraineurs des jeunes .

    Guti qui a fait du très bon travail les U19 va partir normalement car il voulait la Castilla .

    La Castilla qui a fait une piètre saison avec a sa tete Solari. Cette équipe selon les propos des journalistes est juste gaguesque que sa soit au niveau du jeu ou celui des choix des joueurs .

    Sinon Raul est en stage a Tott' chez Pochetino, normalement il prendra une équipe l'an prochain au Réal
     
  20. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    REAL MADRID : À MAJORQUE, DANS LES PAS DE MARCO ASENSIO

    Depuis qu'il a endossé le maillot du Real Madrid, la saison dernière, Marco Asensio ne cesse d'épater le monde du football. Zinedine Zidane lui accorde toute sa confiance et Julen Lopetegui le titularise déjà avec la Roja. En octobre dernier, l'Espagnol était en couverture de notre numéro 311. Après son nouveau récital face au Bayern Munich, Onze Mondial vous dévoile son dossier consacré à la pépite de Palma Majorque. Pour mieux connaître celui que les Espagnols voient déjà en futur Ballon d'Or, nous nous étions rendus dans sa ville natale, là où tout a commencé.

    Dans son antre de Son Moix, le RCD Mallorca affronte Lugo en Segunda. Nous sommes le 1er novembre 2014, le club finaliste de la dernière Coupe des Coupes, en 1999, n'est plus cette formidable équipe qui a terminé deux fois troisième de Liga en 1999 et 2001. Les « Barralets » doivent désormais ferrailler pour leur survie dans une division rugueuse et homogène. Mais si l'époque dorée est bel et bien terminée, il existe encore des motifs de réjouissance. Un xiquet, un gamin d'à peine 17 ans, éclaire le terrain. Il s'empare de la balle dans son camp, dévale la pelouse élimée, enrhume quatre défenseurs après une cavalcade de 60 mètres et après 13 touches de balle se présente face au gardien mais, sa frappe manque le cadre. C'est d'une chevauchée identique que Marco Asensio a foudroyé le FC Séville de Jorge Sampaoli lors de la Supercoupe d'Europe disputée le 9 août 2016. Ce soir-là, beaucoup ont découvert la fougue de ce gaucher exceptionnel. Pas les Majorquins car, avant même que Sergio Rico soit crucifié, eux savaient que, cette fois-ci, le ballon finirait au fond des filets. « Je connais Marco depuis qu'il a 11 ans et à cet âge, il était déjà très créatif, se remémore Santiago Miralles, l'actuel entraîneur des juveniles (moins de 19 ans) du RCD Mallorca. Si je devais décrire Marco, je parlerais d'abord de sa facilité à conduire le ballon. Il est capable de donner ce coup de rein pour déborder une défense. Contre Lugo, c'est le petit Marco ; contre Séville c'est le grand Marco. Ce but a symbolisé son évolution. »


    "La tête bien faite"

    ll a donc suffi d'une accélération à Marco Asensio pour se révéler aux yeux du grand public. Et quelle accélération ! A l'image de sa progression fulgurante en somme. Après avoir fait ses classes chez lui aux Baléares puis patienté un an en prêt à l'Espanyol de Barcelone afin d’y découvrir la Liga, le numéro 20 merengue n'a pas mis longtemps pour se distinguer au Real Madrid. « C'était un garçon très timide dans le vestiaire mais on voyait facilement qu'il avait la tête bien faite, explique Salva Sevilla qui l'a côtoyé chez les Pericos avant de devenir le capitaine de route du RCD Mallorca qui évolue désormais en Segunda B, le troisième échelon espagnol. Il acceptait les conseils et c'est une chose assez rare chez un jeune joueur, car à cet âge, on peut oublier d'où on vient et se tromper. Sur le terrain, il avait des qualités incomparables, les mêmes que ce qu'il montre au Real. Il avait tout pour viser plus haut et savait ce qu'il voulait ». En un an à peine, le gaucher virevoltant s'est fait une place à part entière chez les Vikingos et a bien garni son armoire à trophées. L'enjeu ne l’inhibe guère et Asensio se montre décisif dans les partidazos. Pour Santiago Miralles, l'insouciance et le culot de son ancien protégé sont une arme de destruction massive : « Peu importe le nombre de spectateurs, 100, 20 000 ou 100 000, son aisance à faire les choses naturellement sur et en dehors du terrain, c'est ce qui le rend si particulier et je lui prédis un avenir spectaculaire ».


    La chevauchée de Marco Asensio face à Séville :


    "On voyait qu'il était différent"

    Attablés à l'espace joueurs de la Ciudad Deportiva Antonio Asensio (aucun lien de parenté) du RCD Mallorca après une séance d'entraînement sous le cagnard, Damià Sabater et Miquel Parera racontent « leur » Marco. « Quand il a mis ce but, son tout premier avec le Real Madrid, je n'en croyais pas mes yeux ! Un match si important et à un niveau si élevé... », sourit Miquel, le gardien dont on imagine qu'il a dû subir quelques golazos de son copain à l'entraînement. Il faut dire que la courbe de croissance d'Asensio s’est révélée exponentielle. Du talent, il en avait, c'est une certitude. « On voyait qu'il était différent, il pouvait marquer sur corner direct, réaliser la roulette de Zidane », explique Santiago Miralles. Mais, de là à devenir la nouvelle coqueluche du football espagnol, il y avait une marge. « On percevait que ce serait un joueur de Liga, poursuit Damià Sabater, le collègue milieu de terrain. Cela dit, on ne pensait pas qu'il atteindrait le niveau qui est le sien actuellement aussi vite. Ces 2-3 dernières années, il a connu un boom. On savait qu'il pourrait aller loin parce qu'il avait des prédispositions et beaucoup de qualités mais peut-être pas aussi rapidement. » Un étonnement que ne partage pas Santiago Miralles : « Quiconque s'est entraîné avec Marco savait qu'à un moment il allait réussir. On a toujours su qu'il était très bon. Sans nul doute, il y a chez lui quelque chose d'inné, de génétique, particulièrement dans son développement physique. Tout ce qu'il tente, il le fait de manière spontanée ».


    "Il a fait les choses dans l'ordre"

    Marco, Damià et Miquel se côtoient depuis leur pré-adolescence et restent en contact malgré l'éloignement et l'emploi du temps chargé de leur ancien compère. « Nous nous connaissons depuis les catégories alevines (moins de 12 ans, ndlr), nous avons joué ensemble au centre de formation du RCD Mallorca et avec la sélection des Baléares, se remémore Miquel Parera. Marco était surclassé de deux ans. Nous avons été ses coéquipiers pendant sept saisons, jusqu'à ce qu'il fasse le grand saut. » Même si la progression d'Asensio a été extraordinaire, elle a été maîtrisée. Le club et son entourage ont élaboré un programme minutieux pour le protéger des tentations extérieures : « Il a franchi les échelons très vite, il jouait avec l'équipe première à 17 ans tout juste. Mais aussi bien lui, le club que son clan ont abordé les choses très sereinement. Il a pris le temps de gagner en physique et en maturité. Il a fait les choses dans l'ordre ».

    La frappasse du Madrilène face à Séville :




    Un destin forgé par le décès de sa mère

    Mais plus que tout, c'est une tragédie qui a forgé le destin du jeune Marco. Il a, à peine 15 ans, quand sa mère décède d'un cancer. Néerlandaise, elle s'était installée à Palma avec son mari Gilberto Asensio, natif de la région de Bilbao, au Pays basque. Elle a transmis à son fils le goût de l'effort et de la persévérance. Marco lui dédie chacun de ses buts. « La période après le décès de sa mère a été très dure à vivre pour lui, son frère et son père, se souvient Santiago Miralles. A partir de ce moment-là, le club et tous les membres l'ont protégé. Son père et son frère ont toujours été présents pour lui ». Le clan Asensio s'est soudé dans l'épreuve et les succès du cadet n'ont rien altéré. Santiago Miralles ajoute : « Il ne se sépare jamais de son père. Il vit avec lui. Depuis tout petit, c'est le paternel qui l'accompagne aux entraînements et aux matchs. Il y venait avec son épouse. Il a toujours été très proche de ses deux fils. Cela n'a pas changé depuis l'arrivée de Marco à Madrid ».

    Les larmes de Marco Asensio lors de sa présentation au moment d'évoquer le décès de sa mère :

     
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