Après le diner de cons ! voila la suite .....................comme je suis nocturne ! je mate les states ...........visiblement le mongole s'impose ......mes amis ukrainiens vont mourir ..............aux portes de l'Europe ..............préparez-vous ? la 3 Em guerre mondiale arrive…" non je déconne pas la !!" et voilà le fretin du jour lol pépé va au lit ....... La Ligue de football professionnel ne connaît pas d'accalmie médiatique. Quelques jours après la publication du rapport du Sénat sur l'intervention des fonds d'investissement dans le football professionnel français, le parquet national financier (PNF) a passé la vitesse supérieure. Une perquisition est en cours à la LFP, dans l'enquête ouverte après la plainte d'une association anticorruption, « AC !! », qui interrogeait les conditions dans lesquelles s'est noué le deal avec le fonds d'investissement CVC, qui a acquis 13 % du capital de la Ligue en échange d'un apport en cash d'1,5 milliard d'euros. L'enquête a été ouverte le 16 juillet 2024, des chefs de détournement de fonds publics, de corruption active et passive d'agent public et de prise illégale d'intérêts, précise-t-on de source judiciaire. Les investigations ont été confiées à la Section de recherche de Paris de la gendarmerie. Des perquisitions sont également en cours au domicile de Vincent Labrune, à Saint-Rémy-de-Provence, et dans les bureaux du fonds d'investissement CVC. La répartition d'une enveloppe de 37,5 millions d'euros au coeur de l'enquête Lors des négociations entre CVC et la LFP, il avait été prévu que les banquiers et les avocats qui conseillaient la LFP seraient rémunérés une fois le deal ficelé. Une enveloppe de 37,5 millions d'euros avait été prévue, 12 millions pour chacune des deux banques ayant participé aux négociations, 5 millions d'euros pour le cabinet d'avocat en honoraires de résultats. Il avait aussi été décidé d'accorder 8,5 millions de bonus à des dirigeants de la Ligue - Vincent Labrune en ayant empoché la plus grande partie. Les enquêteurs devront faire la lumière sur la façon dont cette enveloppe a été ventilée, à quel moment précisément des bonus ont été décidés et à l'initiative de qui. Le président de la LFP, qui avait choisi lesdits banquiers et avocats, avait également fait voter par son conseil d'administration une très forte augmentation de son salaire, pointée du doigt par les sénateurs dans leur rapport. Contacté, Christophe Ingrain, l'avocat de la LFP, ne souhaite faire aucun commentaire.