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[Les supporteurs] - L'OM c'est nous!

Discussion dans 'L'OM Attitude' démarrée par Modérateur_1, 24 Juillet 2012.

  1. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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    Non
     
  2. Nas'

    Nas' Guest

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    Je suis très loin de porter les lyonnais dans mon cœur, mais si on commence à sanctionner ça, on peut fermer tout les virage en France. Car les association Homophobe et Cie vont tomber sur les groupes de supporter. Vous êtes entrain de donner raison au politique.

    Bientôt ce sera interdit de chanter les parisiens c'est des PD ou autres propos de ce genre
     
    superpippo49, Massalia Patria Nostra. et Lox aiment votre message.
  3. BigBenZ

    BigBenZ Moderateur

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    Et après ça va venir pleurer "On peut plus rien dire"... On avait fait une potence avec Valbuena... Ça fait partie de la rivalité... Arrêtez de jouer les vierges effarouchées et allez mater du golf ou du tennis.
     
    Massalia Patria Nostra., nadOM93 et Nas' aiment votre message.
  4. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    des vierges y a longtemps qu'il n 'y en a plus, à part les feuilles des imprimantes au boulot.
     
    Massalia Patria Nostra. aime votre message.
  5. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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    Faux!
    Il y a aussi tous ceux né entre le 23 aout et le 22 septembre!
     
    christof13 aime votre message.
  6. Seb'

    Seb' Well-Known Member

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    Sur Marseille, c'est un peu ta faute ça :D

    Après être passées auprès de @christof13 celles nées à ces dates ont dû changer officiellement de signe astrologique
     
  7. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    c'est vrai qu'il y a une vingtaine d'années, j'ai eu une entreprise de dépucelage.... tout au fumi.........
     
  8. Massalia Patria Nostra.

    Massalia Patria Nostra. Marseille Trop Puissant

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    Ce tract n'aurait jamais du sortir des tribunes.

    Je demande la dissolution de la piscine de Samia Ghali...
     
    Lox et Ernesto aiment cela.
  9. Ernesto

    Ernesto Pazzo

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  10. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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    :D:D:D
    S'que t'es con!
     
  11. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Interdictions de déplacement : l’impasse
    Les incidents de OL-OM démontrent le caractère abusif et inefficace des interdictions de déplacement des supporters: un détournement de la législation, liberticide et qui crée bien plus de problèmes qu'il n'en règle.

    Créée en 2011, l’interdiction de déplacement de supporters se voulait exceptionnelle. Peu courante à sa création, elle fait désormais partie du quotidien des supporters. Utilisée de manière trop souvent abusive, elle a perdu toute légitimité. Parce qu’elle n’est plus respectée ou mal utilisée, elle accroît les maux qu’elle devait prévenir. Une impasse dont il faut sortir urgemment. La rencontre entre Lyon et Marseille vient tristement l’illustrer.

    Précipitation et répression plutôt que prévention

    En 2011, à l’occasion des débats devant le Sénat sur la loi LOPPSI 2, le gouvernement a introduit par amendement la mesure d’interdiction administrative de déplacement collectif de supporters. L’objectif était de donner aux pouvoirs publics le moyen de prononcer un "couvre-feu", prohibant la venue des supporters visiteurs dans et autour d’un stade à l’occasion d’une manifestation sportive. Cette loi a créé deux articles complémentaires.

    L’un permet au préfet d’interdire la présence de toute personne se prévalant de la qualité de supporter visiteur ou se comportant comme tel sur les lieux d'une manifestation sportive et dont la présence est susceptible d'occasionner des troubles graves pour l'ordre public. L’autre permet au ministre de l’Intérieur d’interdire le déplacement des intéressés entre leur lieu de résidence présumé et le lieu où se déroule la rencontre.

    Cette mesure partait d’une intention louable: (i) lorsque la présence des supporters visiteurs fait courir un risque de troubles graves pour l’ordre public, (ii) qu’il n’existe aucune solution intermédiaire et (iii) que les forces de l’ordre requises sont en nombre insuffisant, les pouvoirs publics restreignent la liberté d’aller et de venir des supporters visiteurs.

    Mais elle a été rédigée dans la précipitation et sans étude d’impact. En 2011, les sénateurs de l’opposition s’en sont d’ailleurs inquiétés: "En renforçant son arsenal législatif de répression des supporters, le gouvernement ajoute dans l’urgence de nouveaux dispositifs extrêmement contraignants, sans en évaluer les effets, lesquels peuvent être pervers, et sans avoir au préalable utilisé de manière durable les dispositifs existants".

    Intervenue sans concertation avec les acteurs de terrain et au mépris des recommandations du Livre vert du supportérisme, cette réforme a cru pouvoir substituer l’accroissement du répressif aux travaux de prévention. Elle a négligé de mettre en place les garde-fous qui auraient préservé l’esprit de cette mesure d’une application littérale entraînant les abus que l’opposition parlementaire anticipait alors.

    Un instrument rendu illégitime par une utilisation liberticide

    Cet outil de police administrative se voulait par nature préventif et exceptionnel. Pour le gouvernement, "Il s’agit d’une mesure grave et exceptionnelle […] prise que si elle apparaît comme indispensable à la sécurité des personnes et des biens". Ce vœu n’a évidemment pas été entendu par des pouvoirs publics trop heureux de disposer d’un outil radical pour s’exonérer de leur devoir de permettre aux supporters visiteurs de se déplacer librement et en sécurité.

    Le caractère exceptionnel de cette mesure n’a en effet pas résisté à l’érosion du temps. Utilisée uniquement trois fois lors de la saison 2011/2012, elle l’a été 16, 37, 39, 218 (début de l’état d’urgence) et 81 fois lors des cinq saisons suivantes. Cette mesure est désormais entrée dans les mœurs des préfectures: ainsi celle de Moselle justifie-t-elle ses arrêtés lors des rencontres Metz-Lens par le fait que de tels arrêtés ont été pris les années précédentes. La préfecture de la Loire qualifie même ces arrêtés de "tradition".

    L’illégitimité se nourrit par ailleurs des motifs grotesques invoqués pour fonder certains arrêtés. Celui relatif à la rencontre Metz-Lens contient un savoureux florilège: concomitance de la braderie de Lille, recrutement par Metz d’un adjoint ayant joué à Nancy, etc. Les exemples farfelus sont légion: soldes d’hiver (Troyes-Nantes), Foires de Mars (Troyes-Lorient), départ de la Vuelta le week-end suivant (Nîmes-Nancy), rodéo de voitures de supporters bastiais devant l’hôtel des joueurs lensois en… 1976 (Bastia-Lens), etc. Conséquence? Plus aucun scrupule pour prendre des arrêtés au niveau amateur (Saint-Louis-Neuweg-Grenoble), sans aucune rivalité (Forbach-Nancy) ou lorsque peu de supporters sont attendus (Nancy-Nîmes).

    Dans le même temps, les supporters constatent que d’autres mouvements sociaux sont l’occasion de troubles à l’ordre public infiniment plus graves, par exemple lorsque des casseurs parasitent des manifestations, occasionnant destructions et violences. L’Etat estime, à raison, que la venue des casseurs ne doit pas priver les manifestants de leur droit d’exprimer leurs convictions. Pourquoi estime-t-il alors que les supporters n’ont pas le droit de jouir de ces droits au motif qu’une minorité d’entre eux trouble parfois l’ordre public?

    L’incompréhension est d’autant plus prégnante que ces arrêtés n’interdisent pas aux fauteurs de troubles de se déplacer. Ils interdisent uniquement de se comporter comme supporter ou de se prévaloir de cette qualité, id est d’encourager son équipe, porter ses couleurs ou prendre place dans le parcage. Qui dit mesure perçue comme illégitime, dit mesure que l’on ne respecte plus. C’est pourquoi de plus en plus de groupes de supporters appellent à la désobéissance civile et appellent à se déplacer malgré l’interdit [1].

    De prétendus remèdes à l’origine de plus grands maux

    Ces arrêtés sont fondamentalement motivés par la nécessité de ne pas mobiliser trop de forces de l’ordre lors des manifestations sportives, notamment dans un contexte sécuritaire les soumettant à rude épreuve face à la menace terroriste. Néanmoins, les faits démontrent que ces arrêtés devenus quasi-automatiques ont en réalité l’effet inverse et mobilisent davantage de forces de l’ordre qu’un encadrement des supporters visiteurs.

    Les stades modernes sont conçus pour optimiser la sécurisation des supporters visiteurs. Le "parcage" est un espace dédié et sécurisé dans le stade. Il dispose d’un parking lui-aussi isolé et sécurisé. Par conséquent, l’essentiel de la charge pour les forces de l’ordre tient à s’assurer de la bonne venue des supporters visiteurs dans cet espace, facile à sécuriser.

    Or, chaque arrêté entraîne la fermeture du parcage (et la commercialisation des places concernées à des supporters locaux). Par conséquent, elle prive les forces de l’ordre de terrain de cette solution de sécurisation. Que ce soit par candeur ou volonté de braver l’interdit, les supporters visiteurs se répartissent dans les tribunes locales, de manière plus ou moins clandestine, rendant leur sécurisation quasi-impossible et décuplant les risques d’affrontement que les arrêtés entendent prévenir.

    C’est exactement ce qui est advenu lors de la rencontre Lyon-Marseille. Au lieu d’encadrer quinze bus de supporters marseillais, le préfet a fermé le parcage. Ces derniers se sont donc dispersés dans les tribunes locales et certains ont été victimes d'agressions ou de tentatives d'agression par des supporters locaux après avoir exprimé leur joie sur l’égalisation de l’OM.

    Dans bien des cas, le dispositif policier est démultiplié pour contrôler les accès routiers, ferroviaires, marins ou aériens à la ville. Dans d’autres cas, on mobilise policiers et magistrats pour placer en garde-à-vue des supporters visiteurs accueillis par les supporters locaux et ne provoquant donc aucun des troubles graves prétendument redoutés.

    En conséquence, par dogmatisme, paresse intellectuelle ou ego mal placé, certaines préfectures s’enferment dans des décisions non seulement attentatoires aux droits fondamentaux des supporters, mais surtout plus coûteuses en forces de l’ordre que l’absence d’interdiction.

    Parfois aussi, les clubs partagent cette responsabilité en se présentant aux réunions de sécurité sans réelle volonté de faciliter la venue de leurs supporters ou avec le désir affirmé de ne pas les prendre en charge. La mise en place progressive des référents-supporters doit permettre de corriger ces lacunes des clubs par une meilleure remontée d’informations sur le nombre de supporters devant se déplacer et la manière dont ils entendent venir.

    De son côté, la nouvelle direction de la DNLH cherche à infuser auprès des préfectures une nouvelle doctrine, contredisant celle de ses prédécesseurs, en faveur d’un accueil des supporters visiteurs et d’un meilleur dialogue préalable. Espérons que ces notes d’espoir produisent enfin du concret. Sinon, la privation illégitime des libertés fondamentales des supporters finira nécessairement par déboucher sur une radicalisation, une clandestinité ou des tensions susceptibles d’accoucher du pire.
     
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  12. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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    Enfin un article sur et pour les supporters, ça fait du bien.
    On constate bien les débordements de nos politiques pour éviter les débordements des supporters...
     
    Dernière édition: 29 Septembre 2018
    BigBenZ aime votre message.
  13. sacrum83

    sacrum83 Well-Known Member

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    Non non, on ne ferme que le virage des bad gones , on va se mettre a être objectifs non ?
     
  14. Wilmar

    Wilmar Well-Known Member

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  15. BigBenZ

    BigBenZ Moderateur

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    Ma
    Mais encore !? :D
     
  16. LAMOX

    LAMOX Well-Known Member

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    Il faut moins les ronflants quand il s'agit d'accueillir la crème de la crème du supporter pour l'euro...
     
  17. Yankee84

    Yankee84 Corona social club

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    Intéressante ton analyse Wil !!!!!:p
     
  18. VinnieJones

    VinnieJones El Greco

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    J'ai toujours eu horreur des morues de l'Olympiakos, mais au moins ils savent faire flamber leur stade !

    olympiakos.png


    olympiakos2.jpg
     
    Ernesto aime votre message.
  19. Lox

    Lox Mon coeur est aux peines... </3

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    L’OM prêt à débloquer des fonds pour trouver une alternative aux fumigènes ?
    [​IMG]
    Au cours d’un entretien accordé au journal la Provence, le directeur de la sécurité et de la sûreté de l’OM s’est exprimé sur l’utilisation de fumigènes par les supporters marseillais. Thierry Aldebert ( 43 ans ) est un ancien commandant de gendarmerie et ex membre du GIGN. Il occupe actuellement le poste depuis janvier 2017. Depuis plusieurs saisons, les sanctions infligées par la Ligue de Football Professionnelle ou par l’UEFA sont nombreuses à Marseille. Cependant, si l’on compare les tribunes marseillaises à celles d’autres pays européens, les supporters phocéens sont loin d’être les pires au niveau des incidents.



    Les fumigènes au Vélodrome


    Le directeur de la sécurité, Thierry Aldebert a d’abord évoqué les outils pyrotechniques utilisés par les supporters marseillais. Les engins inflammables comme les fumigènes sont aujourd’hui interdits par les règlements des différentes institutions du football. Le club avait d’ailleurs été lourdement pénalisé et les supporters en ont souffert. Cependant, une certaine prise de conscience de la part des fans de l’OM semble se propager dans tout le Stade Vélodrome. Depuis le début de la saison, aucun fumigène n’a été allumé. Nous pourrions presque parler d’une petit victoire pour Thierry Aldebert et les responsables de la sécurité :



    « Effectivement, il n’y a eu aucun pot de fumée et autres torches. Je ne sais pas si c’est une victoire, je préfère parler de prise de conscience collective. Au-delà des amendes, les groupes ont pris conscience des conséquences sportives sur le club. On ne peut pas aimer un club, vivre sa passion toutes les semaines en se déplaçant partout en France et en Europe pour qu’au final ce comportement soit une nuisance. Les groupes l’ont compris avec les sanctions malheureuses de l’UEFA. » Thierry Aldebert – La Provence



    Au cours de cet entretien l’ancien membre du GIGN évoque également le dialogue qui s’installe avec les groupes de supporters sur le sujet des fumigènes. L’objectif des différentes parties n’est donc pas de sanctionner mais bien de dialoguer pour trouver des solutions :





    prêt à débloquer des fonds pour développer la recherche et aider les groupes


    « L’avantage que l’on a à Marseille, c’est qu’il y a un très bon dialogue. On n’est pas souvent d’accord, donc ça gueule ! (rires) Les réunions sont souvent agitées, mais c’est très bien. On parle, et ce n’est pas parce qu’on se crie dessus – sans jamais que ça n’aille jusqu’à l’insulte – qu’on ne conclut pas les réunions avec le sourire et en se disant qu’on avance. On peut dire que c’est une victoire collective. (…) Un ingénieur en lien avec Brondby a inventé un fumigène sans chaleur, mais on ne l’a pas testé car ce n’est pas encore au point. Il y a des solutions électriques, comme des boîtes qui font des étincelles. L’OM peut être là pour encadrer et trouver des solutions. On est même prêt à débloquer des fonds pour développer la recherche et aider les groupes. Certains sont en phase avec cela, mais la plupart d’entre eux ne souhaitent pas que le club s’immisce dans leurs animations. » Thierry Aldebert – La Provence



    Un problème de taille doit encore être réglé par les instances du football chargés de la sécurité. Il s’agit du degré de sanctions appliqué pour chaque incident. En effet, l’utilisation de fumigènes ne devrait pas être sanctionné de la même manière qu’un acte raciste ou un comportement « hooligan ». C’est pourtant bien le cas aujourd’hui puisque toutes les sanctions sont les mêmes, quelque soit le motif…

    https://www.footballclubdemarseille...our-trouver-une-alternative-au-fumigenes.html
     
  20. BigBenZ

    BigBenZ Moderateur

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    Tu vois tu disait qu'il n'y avait aucun dialogue. Menteur.
     
    VinnieJones et Lox aiment cela.

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