[OM 2 - 1 Brest] - 29/11/19 - Ligue 1 - J15

encore une saucisse........tu ne me décevras jamais ...

 

tu as le choix ...1 le département .....2 tu inverses le 9 ça fait 6 puis tu ajoutes 7 à 2 ça fait 9 donc un 69.......

 

Je demanderai aux virages dans un communiqué officiel de ne pas mettre en place de tiffo en l'honneur de Sertic, son départ pour Brest c'est une opportunité pour lui ainsi que pour son nouveau Club, accueillir un vice champion du monde c'est un sacré coup des Brestois.
Merci au phocéen de relayer ce message.
#noregret#retironssonmaillot#libertépoursertic

 

C'est pas le classement des tribunes ??? Merde..

 

asterix, obelix et maintenant sertix ....ils sont trop fort ces bretons....méfiance

 

Si ils abordent ce match avec sérieux ça devrait passer plus ou moins tranquille. Alors les 3 points et puis c'est tout.

 

--------------mandanda
sarr ------perrin-------cc -------amavi
----------------kamara
--------rongier ---------sanson
radondjic ------benedetto ---------payet

germain --lihadji ----ake -----lopez------stopman

ça devrai suffire et sakai que j'ai oublié

 

Oulalala punaise sa y est j'ai saigner des yeux et j'ai plus aucune neurones en état de fonctionner... Mdr

 

Ah OK j'avais pas vu ça comme ça. C'est vrai qu'en plus c'est logique. Mais bon faut quand même y penser... Moi jsuis pas assez intelligent pour penser à ces choses là lol j'aurais mit le classement tout simplement mdr beaucoup moin compliquer pour mon cerveau capricieux.

 

J'ai aussi un peu de mal avec les présentations à kaiser. Ça se défoule pas trop je trouve.
Après, si ça convient à tout le monde...

 

Non si tu veux la présentation est bien mais pour le coup j'ai rien capter mdr, et d'autre ont très bien compris donc c'est pas si degeu que ça. Et puis ça façon de présenter est atypique, ça change (quand tu as compris) mdr

 

Pour progresser un gros score ferait du bien. Un 3 0 ou 4 1 ça serait top, mais j'y crois pas.

On n'en a pas encore eu, ça me paraît peu probable, comme je le disais avant le debut de la saison, je vois une saison réussie a coup de 1 0 ou 2 a 1.

 

un peu de lecture

Après une année marquée par la cinglante scission avec Rudi Garcia, les supporters de l’OM réapprennent à aimer leur entraîneur. Auteur d’un début de saison convaincant en dépit de moyens limités, André Villas-Boas a été adoubé. Reste à savoir jusqu’à quand...
«Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches. » Dans les années 1990, le groupe IAM avait parfaitement synthétisé la difficulté de sortir de sa situation sociale et des murs de béton dans le classique Demain, c’est loin. Abdou, Karim et Jérémy ont treize ou quatorze ans, comme l’indiquent leurs visages marqués, mais encore juvéniles. Assis en brochette sur le muret qui surplombe la descente abyssale vers le métro La Fourragère, le trio enchaîne les clopes en crapotant à moitié. « T’as pas une boulette par hasard ? » se marre Jérémy, comme pour montrer qu’il a le culot d’aborder un adulte en faisant le malin pour faire rire les copains. Un petit air menaçant qui fleure la fanfaronnade. Sous leur casquette ou capuche, les idées sont pourtant claires et vives au moment d’aborder « l’Olympique » et son entraîneur. « Franchement, Villas-Boas est tarpin (NDLR : très) surprenant, se fend Abdou en redressant la capuche de son hoodie gris souris. Je m’attendais pas à ça. Ça joue bien wallah ! Contre Lyon, je me suis régalé. Ça fait du bien de voir un état d’esprit comme ça. » « L’année dernière, avec l’autre, là, on n’en pouvait plus, abonde Karim avec sa casquette noire bien vissée sur la tronche. J’te jure tu regardais les matches, tu pétais un plomb. Personne n’avait envie, mais putain t’es à l’OM, t’es pas à Amiens ! Respectez-nous un peu. Villas-Boas, tu sens qu’il nous respecte, lui. »

Arrivés au point de rupture l’an passé avec Rudi Garcia, les supporters provençaux ont trouvé un nouveau prophète ou presque. Sans y paraître, le technicien portugais s’attire la sympathie et son travail est reconnu à sa juste valeur. Sportivement, l’OM est dans les temps et parvient à développer du jeu malgré un effectif plus que réduit et des finances exsangues. Avec son accent chantant et sa célèbre faconde, l’humoriste Patrick Bosso tire son chapeau au coach lusitanien au moment de dresser un premier bilan. « Il tire la quintessence de ses mecs. Moi, je le vois un peu comme un bon cuistot qui ouvre son frigo et ne trouve presque rien dedans à part du beurre et quelques petits trucs. Eh ben, faut pas t’attendre à un miracle ! Mais il fait quelque chose de bon, lance dans un rire le comédien marseillais. Dans sa qualité de gestionnaire, je prends souvent l’exemple de Jordan Amavi. L’année dernière, il avait le même niveau que moi je vous jure. Vous m’auriez mis à gauche, c’était pareil. Là, il a un peu secoué les supporters mais tout en finesse : “Ne le sifflez pas, ça ne sert à rien. Aidez-le plutôt.’’ Il a réussi à lui remettre la tête à l’endroit, et maintenant il enchaîne les bonnes performances. »

« Je le vois comme un bon cuistot qui ouvre son frigo et ne trouve presque rien dedans. » L’humoriste Patrick Bosso

FRANCHISE, STYLE DE JEU ET BOULETS
Au travers de nos rencontres dans la cité provençale, les premières félicitations tombent toujours par rapport à la capacité de Villas-Boas à jongler avec une escouade réduite. En l’absence de l’omnipotent Florian Thauvin, auteur de 16 buts et 8 passes décisives en Ligue 1 la saison dernière, il fait avec les moyens du bord et ça fonctionne plutôt bien. Du côté de la Vieille Garde, les fondateurs du Commando Ultra 84, pas d’enflammade, car « c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens ». Mais la satisfaction d’avoir une figure, un homme de conviction sur le banc ciel et blanc. « On a le sentiment d’avoir retrouvé un entraîneur travailleur, réaliste et honnête dans sa communication, glisse un membre de la VG. Il cherche et trouve des solutions. Il assume quand ça fonctionne et quand ça ne fonctionne pas. Ça fait du bien d’avoir sur le banc quelqu’un qui a les idées claires, qui les exprime, qui comprend le contexte dans lequel il est, mais qui n’en joue pas. Il y a une forme de franchise. Il comprend l’importance des supporters, mais il ne les caresse pas dans le sens du poil pour se les mettre dans la poche. Et puis, il y a le style de jeu. C’est offensif, tourné vers l’avant, sa philosophie correspond à notre devise : droit au but. »

Un sac plastique entre les jambes, Djamel épluche une clémentine dans les rames du métro phocéen, « la vitamine C, c’est important avec ce temps pourri ». Ce manutentionnaire de 54 ans ressemble comme deux gouttes d’eau à Saîf-Eddine Khaoui, l’international tunisien de l’OM, quelques rides en plus. Le même profil aquilin et les mêmes yeux. L’homme a connu une bonne pelletée de coaches à Marseille, « les escrocs Braga, Clemente, Michel et tutti quanti », mais aussi les anciens glorieux comme « tonton Goethals ». Il porte déjà beaucoup d’affection à André Villas-Boas. « Dans sa communication, pour l’instant, c’est du cent pour cent, affirme Djamel. Il est franc du collier, ne passe pas par quatre chemins. S’il a un truc à dire, il le dit. Et puis, vous avez vu les boulets qu’il doit se farcir à cause de Rudi Garcia ? Sertic, Strootman, Caleta-Car et compagnie… Bah, il fait avec. Il la ferme, il travaille et ça marche bien. Franchement, bravo à lui. »


Soutien.
Frédéric Porcu/L’Équipe
« On a retrouvé un entraîneur travailleur, réaliste et honnête dans sa communication. »

Un supporter membre de la Vieille Garde

UNE GESTION DU CLASICO QUI DIVISE
Au sud de la ville, le parc Borély a revêtu tous ses manteaux automnaux. Le vent glacial de la mer brise l’échine mais quelques badauds s’entretiennent en courant. Deux papys tapent la discute sur un banc et Luis promène au loin son épagneul, Minnie. Originaire de Coimbra, ce retraité connaît parfaitement son compatriote et met un méchant bémol à l’idylle qui semble marier pour le moment AVB et le peuple olympien. « Oui, il bosse bien. Oui, il passe bien à la télé. Oui, l’OM gagne, sur ça, tout le monde a raison de s’enflammer un peu. On est à Marseille, hein ! Mais attention… Moi, ce mec-là, je ne l’ai jamais vraiment senti depuis le début de sa carrière. » La mine renfrognée, ce supporter olympien n’oublie pas que le personnage est enjoliveur aux premiers abords. Et puis… « Et puis, il s’effondre par entêtement. Faut pas oublier que c’est un mec issu d’une famille bourgeoise. Moi, je pense que ça ne peut pas coller avec la mentalité des Marseillais sur le long terme. Pour l’instant, c’est tout beau, tout rose. Mais c’est un putain de têtu, Villas-Boas ! Une tête de cochon. Quand il a une idée derrière la tête, il ne l’a pas au cul ! Regardez le match contre le PSG. S’il se braque, et ça va arriver, contre les supporters ou avec une idée de jeu, un jour, ça coincera. »

Pour certains, le cauchemar du Parc des Princes (4-0) ne passe toujours pas. AVB s’était fendu d’une déclaration d’avant-match surprenante : « PSG-OM, ce n’est pas un match qui compte trop. » En essayant de protéger ses ouailles face à l’armada parisienne, il a minimisé l’importance du Classique à Marseille. « C’est le seul couac depuis le début de saison, se remémore Patrick Bosso. Je dois vous avouer qu’ici on n’a pas compris ce qu’il a voulu dire. On s’est même demandé si c’était du premier ou du second degré. On sait qu’on ne boxe pas dans la même catégorie qu’eux, mais, quand même, on aurait aimé voir un OM en mode européen. Là, t’avais quatre mecs loin devant, quatre mecs loin derrière, personne entre les deux… Je me suis dit : “Oh là là… Qu’est-ce que c’est ce bordel ? !’’ »

 

suite

UN LOOK MINIMALISTE QUI SÉDUIT


AVB a suscité l’incompréhension de certains mais son goût de l’aventure face au PSG a plu à d’autres. Ras-le-bol de voir des équipes arc-boutées devant leurs bois… Le technicien a tenté un pari et l’a perdu avec fracas. Ce qui n’enlève rien à son charme, selon l’auteur de romans policiers marseillais François Thomazeau. « La défaite au Parc lui est totalement imputable, et si le PSG nous avait plus respectés, ça se serait terminé à je ne sais pas combien. Mais il est allé au bout de ses idées, nuance l’écrivain. Et pour moi, c’est très important. Il a tenté quelque chose d’offensif, il s’est planté, mais sa démarche est louable et prometteuse. Et puis, derrière, on va taper Lille (2-1) et Lyon (2-1), deux concurrents directs pour le podium et le ticket pour la Ligue des champions. Son pari était le bon de fixer les projecteurs sur ces deux rencontres capitales. Personnellement, j’ai eu un peu plus de mal avec la défaite à Monaco (2-1) en Coupe de la Ligue. » Les mains huileuses avec ses churros en cornet, Maxime, étudiant de vingt-trois ans, profite du marché de Noël du Vieux-Port. Contrairement à la pâte frite nappée de Nutella, il a mal digéré l’échec en terres princières. « Putain, on n’a rien d’autre à jouer que les Coupes et j’ai l’impression qu’il l’a balancé ce match, tonne le frisé aux lunettes rondes. On n’a rien gagné depuis 2012, c’est pas comme si on pouvait se permettre de snober un trophée ! » Passé les petits accrocs de cette semaine de fin octobre très compliquée, le baromètre est au beau fixe. Car outre son franc-parler, André Villas-Boas a une gueule qui revient à beaucoup. Son look minimaliste et ses conférences de presse séduisent. « Je sens une profondeur dans son regard, c’est presque épidermique, s’enthousiasme Piotr Klemensiewicz, artiste peintre et enseignant aux Beaux-Arts de Marseille. J’aime beaucoup le personnage. Il a quelque chose de rare dans l’affect. Il n’est pas dans le paraître. Il est convaincant. Mais ce mec-là, c’est un marathonien. À Marseille, on a tendance à vite verser dans la sanction, mais lui, il faut le suivre et lui laisser du temps. » « Ici, on n’aime pas trop les mecs en costard, se marre Thomazeau. La première image, quand je pense à lui, c’est le survêtement. Vous avez presque l’impression qu’il va débarquer avec le filet et les ballons dedans. Tout cela donne l’impression qu’il met les mains dans le cambouis. Dans l’imaginaire, c’est important. Ceux qui ont réussi, les Gerets, Bielsa et autres, étaient aussi dans cette attitude-là. »




« Pour l’instant, c’est tout beau, tout rose. Mais c’est un putain de têtu, Villas-Boas ! »





Luis, supporter d’origine portugaise





« Ici, on n’aime pas les mecs en costard.





La première image que j’ai de lui, c’est le survêtement. »





L’écrivain François Thomazeau




ATTENTIF AUX MINOTS


Le survêt bien en place, Villas-Boas distille souvent ses conseils sur le bord de la touche. L’une de ses forces a aussi été, contraint et forcé, de lancer plusieurs jeunes. Touchant ainsi la fibre marseillaise et le fantasme forcément plaisant d’avoir un gamin du coin qui explose. Nasri, Ayew, Flamini… Ils n’ont pas été beaucoup à sortir de la cité phocéenne auréolés d’une stature internationale. Alors, quand un minot montre le bout de son nez, ça plaît beaucoup. « Kamara, Perrin, Chabrolle, Lihadji, Aké… Il n’hésite pas à les faire jouer quand il le faut, et moi j’aime beaucoup ça, s’exclame Louise, la quarantaine et supportrice de toujours. Garcia a mis un temps fou à lancer cette génération qui me semble talentueuse. Pour une fois qu’un entraîneur a le courage de tenter des choses à ce niveau-là, il faut le féliciter. » La politique du club désormais très axée sur la formation des jeunes avec le projet « OM Next Gen », faute de moyens suffisants pour faire un gros coup sur le mercato, l’escouade provençale est en quête d’autres pistes par l’intermédiaire d’Andoni Zubizarreta, le directeur sportif espagnol qui entretient de bonnes relations avec le technicien lusitanien. En mauvais termes avec Rudi Garcia, l’ancien gardien de la Roja est souvent mis en avant par AVB en conférence de presse. Un point essentiel pour que l’OM avance sur les bons rails. « Zubizarreta, c’est une des clés de la réussite de l’Olympique de Marseille à l’avenir, explique François Thomazeau. Le fait qu’ils avancent main dans la main avec Villas-Boas est capital. »



Sommet.
Franck Faugère/L’Équipe


PAS DE CHÈQUE EN BLANC


Jusqu’à quand André Villas-Boas profitera-t-il de cet état de grâce ? Son profil d’entraîneur étranger semble pour le moment le porter. « À Marseille, il y a une tradition d’accueil des étrangers. C’est une ville portuaire et cosmopolite. C’est vrai qu’il y a souvent un a priori favorable pour un coach ou un joueur qui vient de loin, détaille le membre de la Vieille Garde. Mais ça ne lui donne jamais un chèque en blanc pour faire n’importe quoi et en être excusé. Si le mec est un tocard, il peut être argentin, brésilien ou italien, c’est un tocard ! Et on le traite comme un tocard ! »



L’unanimité est proche pour AVB, même si le temps érodera sans doute ces sentiments bienveillants… En attendant, l’ancien coach de Chelsea semble se prendre au jeu passionnel de l’OM. De nature un peu froide, le natif de Porto n’hésite plus à exulter et à exhorter les supporters, comme un local. « Je sens la ferveur monter en lui, s’avance Patrick Bosso. La passion à Marseille, c’est un peu comme quand on te prévient avant de partir au ski : “Attention, il fait froid à la montagne !’’ On a beau te le répéter, quand tu y es tu te dis : “Putain, mais c’est vrai qu’il fait froid !’’ Il est en train de comprendre où il a mis les pieds et ça semble lui plaire. L’OM, c’est un tout. Ou ça vous enfonce, ou ça vous sublime. » Reste à savoir de quel côté André Villas-Boas va pencher.

 

Qqun a un récap de jusqu'à quand rongier risque d'être suspendu si nouveau carton?

D'ailleurs qd je pense au jaune qu'il prend contre Lyon, quel enculage

 

Ce serait bien de mettre qu'une partie de l'article avec un lien pour aller sur la suite.

 

Désolé d être con je c'est pas comment on fais mais j peu le supprimer si ti veu

 

Personne n'a dit que tu étais con. Quand tu fais ton copier/coller, tu ne prends qu'une partie de l'article et tu ajoutes à la fin le lien vers l'article pour ceux qui veulent connaitre la suite.

 

Moi je like toujours les posts des admins. Parce qu'ils sont trop cools et super sympas.

 

Toi, je te soupçonne de préparer un post qui sera hors charte et tu recherches la clémence du jury...