[Toulouse 0 - 2 OM] - 24/11/19 - Ligue 1 - J14

TOULOUSE Football Club - Olympique de MARSEILLE
14e journée de Ligue 1

Dimanche 24 novembre 2019
21h00 Canal+


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30 - Paris
29
28
27
26
25
24
23
22 - Marseillle
21 - Angers, StEtienne
20
19 - Lille, Montpellier, Bordeaux, Reims, Nantes
18 - Rennes, Monaco
17 - Brest, Nice
16 - Lyon, Amiens
15 - Strasbourg
14
13 - Metz
12 - Toulouse
11 - Nimes

 

Horaire à la con...

 

Et encore une défense a poil puisque Alvaro, Caleta-Car et Amavi seront suspendus.
On devrait donc avoir Sakai à gauche, Sarr à droite, une charnière Kamara-Perrin dans l'axe et Strootman au milieu (en espérant qu'il puisse hausser son niveau)

 

Pas forcément Strootman, y'a moyen de faire sans.

 

Il faut laisser bouba en 6 absolument , avec Rongier et Sanson on a enfin trouvé un équilibre au milieu
Pourquoi pas essayé Sakai en DC ou remettre Perrin ?

-----------------------Mandanda
Sarr-------Sakai ou Perrin-----Caleta Car------Amavi
-------Rongier--------Kamara--------Sanson
Radonjic-------------Benedetto-------------------Payet

 

Caleta Car est suspendu et Amavi aussi.

 

Ah la ca corse le problème

 

Pas possible, Amavi sera aussi suspendu.
Ca m'emmerde aussi hein, mais on sera bien obligé. On a déja testé le milieu Rongier-Lopez-Sanson, et on s'était fait transpercer...

 

Mandanda
Sarr-Kamara-Perrin-Sakai
Sanson-Rongier-Lopez
Radonjic-Benedetto-Payet

Ça dépend qui tu met en 6 et contre qui aussi..
Rongier a les capacités pour le faire et c'est contre Toulouse, ils vont juste rester derrière et tenter les contres donc on aura le ballon H24, ça peut le faire.

Et en soit, vu l'apport de Strootman, autant mettre ce milieu la.

 

Il faut que AVB trouve une solution car le milieu Sanson Rongier Lopez s'était fait bouffer la dernière fois qu'il a eté aligné comme tu dis

 

Contre Amiens ca devait etre le cas , on a vu le résultat , si toulouse met de l'impact physique on fera pas un pli avec ce milieu

 

Ouais mais contre Amiens on avait pas Payet donc c'est pas la même chose non plus, avec lui ce sera déjà plus facile dans la conservation et l'utilisation du ballon.

Et Toulouse c'est plus faible qu'Amiens..

 

Me brisent les cojones ces trêves à répétitions. Y'en a de plus en plus désormais.
Vous cassez les burnes la Fifa avec vos 100 matchs à l'année.
J'ai l'impression qu'il y a 2 semaines, on avait déja eu une trêve.

ça me soule

 

C'est pas une impression, ça à repris le 20 octobre, ça fait 3 semaines..

 

Je m'en passerais bien mais ca serait mieux selon moi d'aligner Strootman en 6 avec Rongier et Sanson au milieu pour ce match

 

c'est rinde dingue cette histoire! Entre leurs pourris matchs amicaux, la coupe des nations de l'eufa mafia, et les rassemblements tous les 15j, ils vont bientôt fermer les championnats nationaux

 

J'essaierais Radonjic perso

 

La satisfaction d’André Villas-Boas, auprès de Dimitri Payet, après le succès face à Lyon (2-1) dimanche.
Franck Faugère/ L’Équipe
Après une période difficile le mois dernier, André Villas-Boas a trouvé les ressorts psychologiques et techniques pour relancer l’OM, aujourd’hui deuxième de L 1.
Dans la pluvieuse nuit marseillaise bercée par les chants des supporters, André Villas-Boas a quitté le stade le cœur léger, mais l’esprit déjà tourné vers la suite, soucieux de la défense qu’il allait bien pouvoir aligner à Toulouse, dans quinze jours.

Ainsi va la vie d’un entraîneur, qui goûte à peine à l’euphorie de la victoire qu’il faut aussitôt penser au match d’après, mais le Portugais (42 ans), de toute façon, n’est pas du genre à se laisser griser par les éloges quand le vent souffle dans son dos. Pas plus qu’il ne perd les pédales dans les moments difficiles d’ailleurs : après la victoire contre Lyon, dimanche soir (2-1), devant des tribunes incandescentes tout heureuses de « fêter » la visite de Rudi Garcia, il avait à peu près la même attitude, ton posé et regard franc, qu’au sortir de la claque au Parc des Princes (0-4), deux semaines plus tôt.

À l’époque, il disait qu’on ne le jugerait pas sur ce Classique trop déséquilibré, mais sur les deux matches qui suivraient, Lille puis Lyon, tous deux à domicile. C’était un premier virage serré à négocier dans cette saison à l’issue encore incertaine, parce que l’atmosphère s’était alourdie autour du club à cause d’un passage délicat en L1, avec une seule victoire en six matches.

Trois jours après la défaite au Parc, l’OM se déplace à Monaco en seizièmes de finale de Coupe de la Ligue, « AVB » tente une nouveauté tactique avec un 3-5-2, mais la première mi-temps est terrible, dans l’intensité comme dans la discipline collective. Villas-Boas sent qu’il doit réagir, et, à la mi-temps, il sévit : les mots sont durs et sans équivoque, il est déçu des joueurs et de leurs efforts, il les secoue vertement, repasse en 4-3-3, finit le match énervé et averti, pour avoir contesté une décision arbitrale.

L’élimination (1-2) fait mal au moral et le Portugais a deux jours seulement pour préparer le match face à Lille, le plus important de la semaine. Il a vu, à Louis-II, que le 4-3-3 donnait à ses joueurs davantage de repères, parce que c’est le système prioritaire qu’ils travaillent depuis le mois de juillet. Mais il sait, aussi, qu’il doit changer quelque chose au milieu : son 4-3-3 était taillé pour Luiz Gustavo, il s’accorde moins à Kevin Strootman, en difficulté depuis plusieurs semaines. Le jeudi, le Portugais parle à Boubacar Kamara et lui dit qu’il veut le voir en sentinelle. Il le teste à l’entraînement, lui donne des consignes claires et, en match, cela fonctionne parfaitement. Le choix est fort de sortir du onze le plus gros salaire de l’effectif pour un jeune de 19 ans dont ce n’est pas le poste, mais il est payant.

“Il m’a beaucoup parlé, beaucoup aidé,,

JORDAN AMAVI, AU SUJET DU SOUTIEN DE SON ENTRAÎNEUR, ANDRÉ VILLAS-BOAS


Le 27 octobre, Valère Germain et ses équipiers marseillais s’étaient inclinés lourdement à Paris (0-4).
Stéphane Mantey/ L’Équipe
Face à Lille (2-1), l’équipe entière donne des réponses encourageantes, dans l’intensité, le caractère et les efforts. Signe d’un groupe qui suit son entraîneur, capable de dédramatiser les périodes plus tendues sans dévier de son cap : faire le dos rond, travailler et attendre des jours meilleurs. Prêt, toujours, à défendre ses troupes : « Je ne critiquerai jamais un joueur publiquement », dit-il après Monaco. Le vestiaire apprécie sa communication, franche et transparente, et la juste distance qu’il sait mettre. Quand un joueur est dans le dur, il est à l’écoute, discute, encourage, se montre chaleureux et positif, à l’image de sa gestion de Jordan Amavi, qu’il a su remettre en confiance par le dialogue et des conseils. « Il m’a beaucoup parlé, beaucoup aidé », raconte le latéral gauche. Quand, à l’entraînement, il sent que la concentration se relâche, il hausse le ton. Il sait combien l’attention de ses joueurs est importante pour digérer les séances tactiques, parfois longues de deux heures et demie. « Dès qu’on fait un pas de travers, il nous rappelle à l’ordre, explique Amavi. On sait ce qu’on a à faire. Il insiste sur chaque point, donc ça finit par rentrer. »

Son effectif est limité et c’est plutôt un avantage dans la gestion des ego, mais il fallait quand même avoir le soutien des cadres. Dès le départ, il donne le brassard à Steve Mandanda, avec qui les échanges sont réguliers, et les clés du jeu à Dimitri Payet, qui apprécie ces responsabilités. Il a su, aussi, jongler avec les blessures et les suspensions, sans chercher d’excuses, seulement des solutions.

« Zubi » lui dit merci
Ainsi, contre Lyon, c’est Hiroki Sakai qui est suspendu. Bouna Sarr descend d’un cran, il faut un milieu excentré à droite, AVB pense à Maxime Lopez. Mais ce dernier est remplaçant depuis deux matches et il faut lui faire comprendre qu’il reste important pour l’équipe. « Les deux dernières séances, elles étaient un peu que pour moi, il a tout fait pour que je prenne des automatismes», explique le joueur, qui justifie la confiance de son entraîneur par une très bonne copie, dans un match contre l’OL où la motivation est venue toute seule, grâce à Rudi Garcia. Du coup, Villas-Boas a plutôt cherché à faire retomber l’excitation de son vestiaire, à l’approche de ce choc, insistant sur les consignes tactiques et sur l’importance de garder la tête froide.

Aujourd’hui, l’OM est deuxième du Championnat et tout le monde, au club, est content de l’arrivée du Portugais, à commencer par Andoni Zubizarreta, l’homme qui l’a choisi : dans le viseur du propriétaire, Frank McCourt, après le dernier mercato estival, le directeur sportif basque a été protégé par son entraîneur, qui a affiché un soutien sans faille. Les dirigeants apprécient sa communication et son exigence, les joueurs ont l’impression de progresser tactiquement et adhèrent au discours, à la fois exigeant et à l’écoute. « On a un bon feeling avec le coach», résume Lopez. Un bon feeling et quelques bons résultats aussi.

 

Une prime de victoire à 10 000 euros
M. Gr.

1 min

Jacques-Henri Eyraud n’a pas hésité à généreusement récompenser ses joueurs après le succès face à l’OL.
MARSEILLE – Dans l’euphorie de la victoire de l’OM face à l’OL (2-1) dimanche, dans un vestiaire débordant d’allégresse, Jacques-Henri Eyraud s’est montré généreux : il a annoncé une prime de match de 10 000 euros par joueur pour ce sixième succès de la saison en Ligue 1. « Président, une victoire comme celle-là, c’est 50 000 ! », a plaisanté André Villas-Boas, très fier de sa troupe.

Cette saison, les Olympiens avaient déjà glané 5 000 euros par tête dans le vestiaire du stade Louis-II, suite au retournement de situation face à l’AS Monaco, le 15 septembre (4-3, alors que l’OM était mené 2-0 à la 26e minute). Une prime du même montant avait été promise par le président Eyraud s’ils battaient Montpellier, six jours plus tard, mais le match s’était terminé à 1-1.

Les primes sont délivrées jusqu’ici au cas par cas car les négociations entre le groupe marseillais et la direction sont pour l’instant gelées après un premier round de pourparlers infructueux l’été dernier. « JHE » a refusé le principe de 2000 euros par point, au grand dam des représentants du vestiaire, comme Mandanda ou Thauvin, le président prétextant une cure d’austérité financière et des rémunérations déjà conséquentes à l’OM. L’idée de 1 500 euros le point a été évoquée, avant interruption des débats. Jacques-Henri Eyraud aimerait conditionner ces primes à l’obtention d’une place dans les quatre premiers du Championnat.