STÉPHANE GUY EST MORT !!!

Stéphane, footballistiquement, pourquoi s'en cacher, ce n’était pas notre tasse de thé. Sans compter sa sexualité déviante, qui heurtait notre bien-séance marseillaise (toucher le pipi et le popo du Qatar). Car pour nous, la normalité impose d’être Olympien, fidèle, fanatique et prêt à tout pour défendre son honneur. Chevaleresque, quoi.

Nous admirions pourtant avec une jalousie rentrée le parcours inouï de ce provincial nul à chier des boules de pétanque et moche à faire fuir une femelle gorille cul-de-jatte en chaleur, qui a réussi à se hisser tout en haut de la hiérarchie médiatique grâce à des commentaires épouvantables et un lècheculisme assumé. Très peu d'entre nous, en effet, seraient capables, malgré 12 ans d'exclusivité des grandes affiches, de si bien transformer l'or en merde.

Pour nous, un mystère à l’égal de l’élection truquée de l'Extra-terrestre Juncker à la présidence de la Commission Eurpéenne. Mais preuve sans nulle faille que vraiment tout le monde peut réussir.

Stéphane est mort, d’une maladie honteuse dont nous ne parlerons pas, par respect pour sa femme et ses enfants.
Une MST extrêmement rare, quelque chose entre le chou-fleur syphilitique et la crête de coq anale.
Un kyste vibrant d’une dizaine de kilos qui l’empêchait de s’asseoir ou de faire ses besoins, qui étaient nombreux.
La dizaine de consultants ratés qu’il employait sont désormais orphelins. Ils pleurent tous à chaudes larmes non pas Steph, mais leurs piges indécentes, qu’ils tétaient sur les énormes pis du Groupe Canal.


L'intérieur de Stéphane quelques heures avant son décès.


Que deviendront les Eric Carrière, les Paul Le Guen, ces imposteurs grattant sans gêne 10 000 euros par mois (en plus des indemnités de leurs retraites sportives dorées) à raconter des salades de faux spécialistes ?
Et Tourriol ? Comment son successeur au grotesque à J+1 va-t-il survivre dans la jungle du Football avec son QI de fosse septique ?





Stéphane Guy mort, c’est sans doute la fin de « J+1 », deuil oblige, malgré l'arrivée d'un poussif, paresseux et hébété remplaçant il y a deux saisons. Stéphane Show interminable, une heure de branlette sans éjaculation, avec l’increvable Julien Cazarre, le chouchou de l’animateur.
« La sucette », comme l’appellent ses détracteurs. Des jaloux.
Nous avons essayé à plusieurs reprises de l’empoisonner, avec une imitation en cyberskin du pénis de Steph, à l’état flaccide, trempé dans le poison du crapaud jaune d’Amazonie, comme dans Apocalypto, mais hélas, ce con a survécu. Une sorte de Raspoutine, mais sans le salami de 30 centimètres. « La sucette » bénéficiait d’un temps d’antenne indécent sur la chaîne cryptée, faisant payer sans honte 20 euros par mois pour avoir l'horreur d'écouter des vannes aussi puériles que mal écrites.
Stéphane a certes aidé un fayot à sortir de la merde.
Mais parfois, on se dit que la merde, ce serait bien que certains y restent.



Guy, c’était l’amuseur des tristos, l’illusion de regarder du foot intelligent, la petite pignolade du dimanche soir après le repas de midi familial bourratif et ennuyant. Un rituel pas barbare pour deux sous, juste au moment de rompre le pain du soir, ce pain Carrefour à prise rapide, croustillant le jour, béton le lendemain, comme J+1, et le Canal Football club. Emissions régals des annonceurs, de la consommation joyeuse, saupoudrage de ricanement sur vie de merde, incitation éhontée au jeu et à la débauche à travers des sponsors putrides, défilé vulgaire des produits sportifs accompagnés de leurs VRP, pire que les putains anorexiques de la Mode, effroyables échassiers gavés de coke, entre-soi des temps modernes hautement vomitif en toile de beaufisme.

Stéphane, qui est désormais au Ciel où l'attendait déjà Pascal Sevran, ne nous pourrira plus la vie avec sa logorrhée diarrhéique d’une partialité bouffonne.
Peut-être même nous manquera-t-il ; tout dépend par qui le Système, qui a horreur du vide, va le remplacer. Nous pouvons évidemment hériter du pire, on pense à Brisbois, Rességuié, Del Bello ou encore Bennani.
Autant de mouches à merde prêtes à changer d'excrément que de bourrages d'urnes aux législatives allemandes de 2017...

Si personne ne bouge, Margotton récupérerait sa case, ce qui serait une catastrophe, nous obligeant à nous taper à nouveau l'ignoble Christian Jeanpierre à chaque match de l'équipe de France.
Rassurons nous toutefois, car la vieille catin est en effet devenue contre-productive, le produit a trop servi.
Son hebdo lamentable virait à la branlette nombriliste et les invités le fuyaient.


Margotton, seul, comme un con.


Il n’y a que TF1 pour n'avoir pu s’en apercevoir plus tôt. L'émission-anniversaire des 40 ans sentait la misère affective. On aurait eu presque pitié si le gonze n’était devenu millionnaire sur l’argent des annonceurs vendant de la chiasse aux millions de gueux à gros coups de publicité mensongère. Remarque, rien ne sera jamais pire qu'Emmanuel Petit et son répugnant passage sur le Servile Public où Manu en profitait pour livrer ses analyses en jérémiades en pompant allègrement l'argent du contribuable via la redevance et profitant de la moindre occasion pour cracher sur l'OM. Et, par bonté d'âme, nous ne compterons pas ses jetons de présence accumulés pour venir distiller de pseudo-révélations sans aucune preuve dont se gargarisaient les trois ou quatre médias ayant monopole de la presse sportive française. Les industriels ont fait pareil. Ils fustigeaient sans cesse l’Etat mais allaient en douce chouiner chez le ministre pour toucher la subvention.

Petit, à France 2, chialait aussi la subvention pour.... faire de la subversion !

Adieu Stéphane, t’étais un gros naze, mais t’étais pas le pire.