1. Ce site utilise des "témoins de connexion" (cookies) conformes aux textes de l'Union Européenne. Continuer à naviguer sur nos pages vaut acceptation de notre règlement en la matière. En savoir plus.

[Cyclisme] Tour de France, Giro, Vuelta,...

Discussion dans 'La petite reine' démarrée par Mr Pouet Pouet, 5 Juillet 2008.

  1. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    MMMOUIIIIII GAMIN !!!!
    cannibale !!
    Alaphilippe mesdames messieurs qui bat sagan au sprint !!!!!!
     
    Dernière édition: 23 Mars 2019
  2. *Garrincha*

    *Garrincha* C'est bon ça ....

    Commentaires de blog:
    0
    Sagan et les autres cadors du peloton (Kwiatko, Trentin, Valverde, Nibali....). Il la fait. J'y croyais pas. Après les Strade bianche, 2 étapes sur Tirenno.... c'est fort ce qu'il en train de faire. Il va pas être loin de la place de numéro un mondial.
     
    Dernière édition: 23 Mars 2019
  3. niagara

    niagara Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    C'est génial hein... Et en plus contrairement aux autres lui n'est pas dopé vu qu'il est français.
     
  4. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    Ce début de saison qu'il nous fait !!! il est de loin en ce moment le coureur le plus en forme du peloton.

    Van der poel qui gagne le grand prix de Denain, je pense qu'il va se faire un sacré palmares sur les pavés le petit fils à poupou. Ma main à couper qu'il gagnera paris roubaix un jour. Et je ne serais pas surpris que ça soit pour bientot.

    Que veux tu qu'on réponde à ça ??? Qui a dit ça ici ? ça me fait toujours marrer ce genre de réflexion à l'emporte piece qui ne vise personne et tout le monde à la fois
     
  5. *Garrincha*

    *Garrincha* C'est bon ça ....

    Commentaires de blog:
    0
    s'il ne gagne pas Paris-Roubaix, on attendra la vidéo de la main coupée ! :D

    Sinon : https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Julian-alaphilippe-numero-1-mondial/1002157
     
  6. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    je ne sais pas si vous avez vu le grand prix E3 hier mais si vous avez ratez ça matez un replay ça vaut le détour.
     
  7. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    Je vais garder ma main cette année puisque son équipe n'est pas invité sur PR. Mais il a gagné sa deuxieme semi classique hier avec à travers les flandres en étant dans une équipe continentale. Van aert est deja très fort pour sa deuxieme année en étant dans une équipede premier plan mais je sens que VDP c'est le futur ogre des pavés.
     
    *Garrincha* aime votre message.
  8. fafadanjou

    fafadanjou Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    Un illustre inconnu italien qui remporte la première victoire de sa carrière sur le tour des Flandres :D
     
  9. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    C'était la grosse cote du week end voir de l'année. Après je ne sais pas si le petit bonhomme vert sous entend la suspicion mais sans minimiser son exploit il a énormément profiter du marquage entre leader et de la chute de van der poel qui aurait gagné la course sinon. Après il est jeune il a le droit de gagner il s'était montré déjà en grande forme dans la semaine. C'est plutot bien que ça soit pas toujours un favori qui gagne.
     
  10. *Garrincha*

    *Garrincha* C'est bon ça ....

    Commentaires de blog:
    0
    quand on suit un peu le cyclisme, on sait que Bettiol n'est pas un "illustre inconnu" même s'il n'avait jamais gagné jusque là. Son équipe a bien couru aussi (Van Marcke et Langeveld notamment).

    Alaphilippe qui en claque encore une sur le tour du Pays Basque !!!
     
  11. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    [​IMG]

    6°c, 20km/h NE, qq nuages éparses

    ça fait combien de temps qu'il n'y a plus eu une bonne pluie lors d'un paris-roubaix ? Ca manque.[​IMG]
     
  12. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    Bravo Gilbert ! ça me fait plaisir que ça soit lui. 4 monuments dans la besace chapeau.
     
    *Garrincha* aime votre message.
  13. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    Enorme Mathieu Van der Poel sur la fleche brabançonne il a mis une fessée à Alaf Matthews et wellens rien que ça pour une premiere année chez les pro...un ogre je vous dis ça va etre un ogre.
     
    *Garrincha* aime votre message.
  14. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
  15. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    On deviendrait gourmand. Panne d'essence sur liege bastogne liege par contre.

    Dis moi jsuis loin d'etre un dieu en orthographe et d'habitude je ne releve pas les fautes mais pourquoi "laçant" écrit comme ça. Je cherche le jeu de mot mais ne trouve pas.
     
  16. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    [​IMG]
    - étapes hommage à cassino et l'aquila, entrecoupées d'un prologue et d'étapes de plat ou de vallons
    - premier rdv pour le général, le 19mai : clm à st marin de 34,8km avec un passage à 11%.
    - Puis encore du plat avant d'arriver dans les alpes avec une petite étape mal conçue (un seul gros col à à 35km de l'arrivée). 8km à 9% de moyenne avec une pointe à 14%, petite entrée en matière avant le reste.
    - 1ère étape de haute montagne dès le lendemain avec 2 cols + arrivée au sommet : un seul passage compliqué à 12% pour le premier, donc rien à attendre probablement, puis 2e col à 9% de moyenne sur 9km avec passage à 14%, c'est mieux, avant l'arrivée finale en forme de deux marches de 14% entrecoupées de 3km de plateau. Ca semble tout de même là encore favorable à un grimpeur/rouleur à la dumoulin.
    - on enchaine le lendemain avec une étape nerveuse (130km, 6 cols) : décrassage dès le 8e km avec un petit col avec passage à 14%, puis col de 14km avec passage à 13% puis un petit col à 12%, puis enfin l'arrivée au col san carlo avec 10km à 10% de moyenne avec passages à 14 puis 15%, là ça commencera à couiner chez certains.
    - 1 étape de plat puis repos avant la dernière semaine (dolomitesque comme toujours) : le 28mai, passo gavia (passage à 16%), mortirolo (passage à 18%, 12km à 11% de moyenne) puis grosse descente avant du faux plat montant sur 15km jusqu'au pont de bois.
    - puis 2 étapes de transition, avant une petite arrivée au sommet le 31 (seulement 10%, nul, sans difficulté avant qui pis est).
    - et enfin la toute dernière étape de grimpette avec le 1er juin : passo manghen (10% de moyenne sur les 6 derniers km avec passage à 15%), croce d'aune (passage à 16%) avant l'arrivée finale au monte avena de 7km avec passage à 11%. Tout ça entrecoupés de petits cols.
    - et enfin clm de 17km à verona.

    donc pour faire court, un "pur" grimpeur n'a absolument aucune chance cette année. Alors qu'un bon rouleur peut s'accrocher et grappiller un temps précieux à st marin et vérone. L'organisation a eu la main plutôt légère cette année. Bref, a fortiori sans froome, ce sera dumoulin pour moi.
     
  17. anonymous_050120232

    anonymous_050120232 Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    1
    Sauf si Alaphilippe s'est vautré dans une route à lacets... ^^
     
  18. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

    Commentaires de blog:
    0
    Roglic va écrasé ce Giro.

    Edit : je provoque un peu, je n'ai aucunes certitude en sport. Mais Roglic est impérial sur ce début de saison. C'est l'homme à battre en ce moment. J'en fait vraiment mon favori je pense qu'il va gagner ce Giro.
     
    Dernière édition: 7 Mai 2019
  19. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    Cyclisme : pourquoi les coureurs préfèrent le Giro au Tour de France
    Hormis Christopher Froome, les meilleurs coureurs du moment sont au départ, samedi, du Tour d’Italie, qui s’impose comme le grand tour le plus fascinant de la saison.

    Par Clément Guillou Publié aujourd’hui à 06h00, mis à jour à 10h57


    Il y a de plus en plus de rose dans la palette des grands maîtres du cyclisme, historiquement inspirés par le jaune du Tour de France. Le Giro, la « Corsa rosa », suscite désormais autant d’intérêt – sinon plus – que la Grande Boucle. Il s’élance ce samedi 11 mai de Bologne. Avec, au départ, trois des spécialistes des courses par étapes qui semblaient les plus à même de bouleverser la suprématie de l’équipe britannique Sky, devenue Ineos, en juillet sur les routes hexagonales : le Néerlandais Tom Dumoulin, l’Anglais Simon Yates et le Slovène Primoz Roglic. Ils devaient former un quatuor de rêve avec le prodige du cyclisme mondial Egan Bernal (Ineos). Mais le Colombien de 22 ans a déclaré forfait, victime d’une chute à l’entraînement en Andorre à une semaine du départ.

    Le tableau sera sans doute plus terne au départ du Tour de France à Bruxelles, où l’aigle à trois têtes d’Ineos – Christopher Froome, Geraint Thomas, Egan Bernal – aura peu de contradicteurs. Si le Tour reste la course la plus prestigieuse du calendrier, l’attrait pour le Giro trouve sa source dans plusieurs facteurs, certains ponctuels, d’autres consubstantiels à l’épreuve.

    Tous réunis, ils expliquent pourquoi le vainqueur du dernier Tour d’Espagne, Simon Yates, a pu s’autoriser ce sacrilège en interview à Cyclingnews : « Je brûle de tenter de gagner cette course [le Giro] mais aujourd’hui, le Tour ne me fait ni chaud ni froid. »

    • L’espoir d’une course plus ouverte
    Si certains s’ennuient devant le Tour de France en version Sky, qu’ils se consolent : ils ne sont pas seuls. Les coureurs aussi aimeraient échapper au scénario d’une course mise en coupe réglée, où les audacieux sont systématiquement ramenés à la niche par le train infernal de l’équipe britannique. Romain Bardet, malgré les impératifs liés à son sponsor français, a pour cette raison longuement hésité cet hiver à privilégier le Tour d’Italie.

    « Le Giro est à la fois une course plus difficile et moins monotone, en l’absence d’une équipe Sky qui contrôle tout », estime l’Italien Mario Chiesa, directeur sportif de l’équipe Bahrain-Merida de Vincenzo Nibali. Sur le Tour d’Italie, aucune équipe, même la Sky qui accompagnait Christopher Froome l’an dernier, n’a les moyens de contrôler la course.

    L’importance capitale du Tour de France a au moins deux conséquences : toutes les équipes s’y présentent avec huit coureurs au sommet de leur forme, programmés depuis l’hiver pour le disputer, ce qui les aide à contrôler la course ; le prestige d’une place dans les dix premiers peut changer une carrière ou suffit parfois à contenter un sponsor, ce qui tend à bloquer la course, chacun défendant ses maigres acquis.
    Tandis que le Tour de France est contraint de miser sur des étapes-sprint, de moins de 100 km, pour susciter une course spectaculaire et explosive, le Giro continue de miser sur des étapes de montagnes marathon, hérissées de cols sur plus de 200 km, où les favoris se retrouvent seul à seul dans la dernière heure de course.

    D’où des étapes d’anthologie renvoyant aux mythes des années d’après-guerre, comme celle par laquelle Christopher Froome a renversé le Giro l’an passé. La météo, plus imprévisible en mai qu’en juillet, surtout au-dessus des 2 000 m, est aussi de nature à perturber le bon ordre des choses.

    Par ailleurs, la tendance du Tour de France à réduire le kilométrage du contre-la-montre pour contrecarrer les plans britanniques a poussé les organisateurs du Giro à faire l’inverse. Cette année, trois contre-la-montre vallonnés, pour un total de 60 km, ont fait changer d’avis Tom Dumoulin, qui pensait initialement prioriser la Grande Boucle. Même si c’est bien la difficulté des étapes de montagne et de ses cols, comme le Mortirolo ou le Zoncolan, qui a écrit la légende de la course.

    • La passion et la tranquillité
    « Au Tour, vous avez l’impression d’être dans un zoo : le coureur est l’animal auquel on jette des cacahuètes. Sur le Giro, on a plutôt l’impression d’être dans un musée : les gens viennent regarder les tableaux. » En Italie, comme le formule le Suisse Steve Morabito (Groupama-FDJ), les coureurs ont le sentiment d’être mieux respectés qu’en France où ils croisent un public venu essentiellement pour le spectacle de la caravane publicitaire, et plus sensible à la question du dopage.

    Celui du Giro, dans les cols, est le plus souvent venu lui-même à vélo, mû par l’opportunité de voir de près les champions qu’il regarde à la télévision. Christopher Froome, acclamé en Italie l’an dernier alors que pesait sur lui la menace d’une suspension, puis sifflé en France alors qu’il venait d’être blanchi, a le mieux ressenti cette différence.
    Ce respect s’accompagne d’un climat différent. La pression des sponsors, donc des manageurs d’équipe, est moindre, et les sollicitations médiatiques plus rares. L’organisation de la course est moins militaire que sur le Tour de France et le Giro s’est débarrassé de l’amateurisme qui a longtemps prévalu dans la conception des parcours.

    « Les coureurs aiment cet équilibre, cette simplicité du Giro qui n’est pas, non plus, la foire d’antan, explique le journaliste Pierre Carrey, auteur du premier livre en français consacré à la course (Giro, Hugo Sport, 334 pages, 19,95 €). Mais le Giro est en train de grandir et il n’est pas sûr que, dans dix ans, on n’ait pas perdu ce charme-là. »

    De sa première expérience en 2017, le Français Thibaut Pinot se souvient de « la simplicité, l’authenticité, la beauté des décors, la passion », comme il l’écrit dans la postface de Giro. « Le coureur est au centre d’un univers. Nous sommes choyés chaque soir dans les hôtels et les restaurants. (…) J’ai toujours bien dormi au Giro, d’un sommeil réparateur, sans mauvaises pensées. » Hubert Dupont, onze Tours d’Italie au compteur, souligne aussi « la qualité de la table, quel que soit l’hôtel. On n’a jamais de surprise sur les pâtes, or c’est notre carburant principal ». Un élément moins anodin qu’il n’y paraît pour garder le moral sur une course de trois semaines, où les temps de récupération sont plus réduits que sur le Tour de France.

    • L’argent
    Mauro Vegni, organisateur du Tour d’Italie, niera autant qu’il le peut avoir versé « la moindre lire » pour attirer un coureur. Pourtant, cette pratique a toujours eu cours, instituée par Vincenzo Torriani, l’élégant directeur de l’épreuve de 1949 à 1989, qui ne s’en cachait pas. Le Tour de France s’y est toujours refusé.

    Cette prime de participation, secret de polichinelle du peloton professionnel, peut passer par un gonflement des frais remboursés aux équipes, à condition qu’elles alignent leurs meilleurs coureurs. Selon la presse spécialisée, le montant a grimpé à sept chiffres pour s’assurer des présences de Lance Armstrong, en 2009, et de Christopher Froome, neuf ans plus tard.

    L’équipe Sunweb de Tom Dumoulin aurait même signé il y a deux ans un contrat pluriannuel l’incitant à aligner chaque année son meilleur coureur. Des fois que la cuisson des pâtes et le charme des piazze médiévales ne suffisent pas.

    Nota bene : une première version de cet article situait en Colombie l’accident à l’entraînement de Egan Bernal. Il a en réalité eu lieu en Andorre.
     
  20. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    prologue assez original pour débuter , avec arrivée au sommet:
    [​IMG]
     

Partager cette page