[OM 2 - 1 Lyon] - 10/11/19 - Ligue 1 - J13

C'était énorme à voir sur Canal
Le mec est vide, y a plus rien
Il est terminé le papy!!!

 

Viens de rentrer ! Quel bonheur, quel soulagement. Gagner un match important, battre incontestablement un concurrent direct.

Malgré des circonstances favorables on a déjà battus Lyon St Etienne Monaco Nice et Lille, on n'avait vraiment plus l'habitude.

Payet comme dirait mc Hardy, je mange mon chapeau : t'as ouvert ta bouche avant le match tu m'as soulé, t'as sorti un gros match, respect et merci !

Rentrer d'un Olympico heureux, je ne savais plus ce que ça faisait. C'est comme lorsque on battait le PSG dans les années 2000. C'est bon.

 

je vous aime tous les gars je vous embrasse tous sur le front

 

Je connais bien aussi.
Monsieur a bon goût!

 

j'essaye de privilégier la qualité , toujours poto

 

Cela fait un bien fou de gagner un match au sommet de cette manière là surtout face à Lyon, mais ce qui est important c'est d'être en LDC en fin de saison donc savourons la victoire mais n'oublions pas l'important. Le collectif a fait un gros match physiquement, cela fait des années que l'OM n'avait pas un tel match face à un gros du championnat. Kamara, Payet et Rongier ont fait un très gros match, espérons que cela se poursuive sur la durée. Si cette colonne vertébrale est constante, je pense qu'on pourra espérer une belle issue en fin de saison. On se rend compte que le travail de Zubi commence a payer, on voit que toutes ces recrues ont quand même apporté une grosse d'ose de caractère et d'efficacité pour le moment, franchement j'espère pour lui que son travail sera récompensé en fin de saison.

 

C'EST ÇA QUE NOUS VOULONS: DES LIONS SUR LE TERRAIN. VOUS VOUS ETES MIS A LA HAUTEUR DES SUPPS.
JOURNEE DE FOU, CORTEGE DE MALADE, AMBIANCE DE MALADE.

J'AIME TROP CE CLUB
MERCI AVB, 2 GROS GAGNÉS

 

Sertic.

Non je déconne, on sera contraint de mettre Kamara en charnière et Strootmann devant la défense

 

Il avait déjà eu un jaune 5/10 min avant

 

https://rmcsport.bfmtv.com/mediapla...sultent-rudi-garcia-a-l-aeroport-1200487.html

 

RIVALITÉ
Vincent Duluc

2 min


Vincent Duluc
L’atmosphère de cette soirée a rappelé, irrésistiblement, les temps où ces deux clubs avaient de grandes équipes. Il ne faut pas désespérer de la Ligue 1 quand elle est traversée par cette flamme, dans la foulée d’un tifo magnifique. Mais il faut s’inquiéter quand une aussi belle fête n’est pas fichue de rester dans les clous, s’indigner que le brouillard et les projectiles soient tombés, et pressentir que l’enchaînement des tribunes fermées et des ambiances déprimantes s’annonce à l’horizon. Les temps où l’OM et l’OL étaient des forces supérieures du Championnat de France sont des temps abolis. Mais l’accession de l’OM à la deuxième place, le soir d’une célébration pareille, est un symbole qui a de l’allure.

L’autre symbole, presque aussi fort, se trouve dans le camp d’en face. L’OL a continué de perdre, à Marseille, ces matches qu’il ne perdait pas, avant, et qui le confrontent à son déclassement. Cette saison, Lyon a déjà perdu contre le PSG (0-1), Saint-Étienne (0-1) et Marseille (1-2), qui sont exactement ses trois plus grands rivaux, qu’il maltraitait autrement, jusqu’à mai dernier. Le club lyonnais a dilué une grande partie de sa force et sa culture des sommets dans l’enchaînement de ses mauvais choix, depuis l’été dernier, et il peut bien contester son déclassement, il lui suffit d’observer sa position, après un tiers de l’un des Championnats de L1 les plus faibles de l’histoire : il est 14e avecle même nombre de points qu’Amiens. Le club lyonnais a également nié la culture de la rivalité en choisissant Rudi Garcia, qui entraînait encore l’OM en mai. La question n’est pas de lui reprocher ce choix, qui sera positif si l’OL accède aux huitièmes de finale de la Ligue des champions, ainsi qu’il en a la possibilité, et s’il finit par monter sur le podium, pareillement accessible. La question n’est pas non plus de stigmatiser le bilan de Rudi Garcia, qui ne gagne jamais ces matches-là, quel que soit le banc sur lequel il prenne place. La question, la vraie, est qu’en niant cette culture de la rivalité, l’OL a exactement préparé sa défaite d’hier soir. Tout un stade et toute une équipe ont joué contre leur ancien entraîneur, à commencer par Dimitri Payet, parce que les basculements aussi soudains enflamment la rivalité et son décor. Pour Rudi Garcia, il est possible que le très mauvais moment soit passé, même aussi mal, même aussi difficile à digérer après une demi-heure à onze contre dix et une seule occasion. Mais paradoxalement, et on y revient, il est possible que la soirée lui ait également rappelé de très bons moments.

 

MARSEILLE – Ce n’est pas tous les jours que l’OM bat un gros du Championnat chez lui, et surtout pas Lyon. Cela faisait même cinq ans que cela n’était plus arrivé en Ligue 1 face à l’OL, un club qui évoque à lui seul toutes les déceptions et les frustrations du club phocéen ces dernières années. Cette victoire (2-1), acquise d’abord avec l’assurance d’une grande équipe puis, à dix, avec l’abnégation des sans-grade, ne présage en rien d’un classement final qui sera sûrement de toute façon très serré. Mais elle fait le plus grand bien au moral des Olympiens, aujourd’hui deuxièmes de L 1, après des années de disette.

C’est peut-être ce qui explique l’énorme joie des Marseillais au coup de sifflet final et le vrombissement d’un Orange-Vélodrome incandescent. Il y avait aussi un peu plus que cela dans la rage des joueurs sur le terrain et après la rencontre, la satisfaction sûrement d’avoir joué un sale tour à un ennemi de toujours, l’OL, et à un compagnon d’hier, Rudi Garcia, qui n’était plus le bienvenu à Marseille et visiblement dans son ancien vestiaire.

Les déclarations de Dimitri Payet, pas tendre avec son ex-entraîneur, avaient fait causer vendredi dernier. Sur ce coup-là, l’international français s’était fait le porte-parole d’une grande partie de ses coéquipiers, usés la saison dernière par le management de celui qui est désormais sur le banc de l’OL.

Le Réunionnais a assumé sur le terrain, en marquant la première période de son talent, parfois intermittent dans sa carrière mais tellement précieux quand il est dans un jour comme celui-là. Payet a eu les nerfs solides pour transformer d’abord un penalty interminable, sifflé à la 12e minute et impeccablement tiré à la 18e après de multiples contestations et l’intervention du VAR (1-0). La main bizarre de Thiago Mendes était incontestable. Elle faisait suite à une autre main de Morgan Sanson mais totalement involontaire celle-là et l’arbitre, aidé par ses assistants, a pris la bonne décision. Ce n’est pas toujours le cas dans ce genre de match et il faut donc le souligner : M. Gautier a été impeccable sur cette action, calmant le jeu sur une petite tape de Benedetto à Dubois lors de cet arrêt de jeu interminable, et de bout en bout, d’ailleurs, en expulsant justement Alvaro un peu plus tard (64e).

Même à onze contre dix, l’OL a été trop timoré
Alors que l’OL avait eu la plus belle occasion du début de match, une frappe de Cornet à angle fermé sortie par Mandanda (3e), Payet a réalisé un doublé plein de classe et de sang-froid d’un tir croisé à ras de terre à l’entrée de la surface (2-0, 39e). Au final, l’OM a moins tiré au but, moins centré, moins eu le ballon, mais a été très réaliste et irréprochable dans le combat, ce qui a eu son importance à dix contre onze notamment.

Car en seconde période, tout a été plus difficile pour les Olympiens. La sortie d’Aouar, blessé (53e) après avoir été replacé en dix à la pause, a servi leur cause. Mais ils ont quand même encaissé un but dans le brouillard après une interruption due aux fumigènes, Dembélé reprenant de la tête un bon centre de Traoré (2-1, 59e). L’OL avait les conditions idéales pour revenir avec le carton rouge d’Alvaro (64e) mais, même à onze contre dix, les Lyonnais ont été trop timorés.

Le défenseur espagnol, déjà fautif sur le but de l’OL, a pris un rouge direct en empêchant Dembélé de filer au but. Il sera suspendu, comme Caleta-Car, pour le déplacement à Toulouse lors de la prochaine journée (24 novembre). Un beau casse-tête en perspective pour André Villas-Boas mais hier, l’heure était plus au soulagement côté marseillais, après une fin de match irrespirable, où Martin Terrier a eu la balle d’égalisation (90e), rappelant les fantômes de Memphis Depay, absent sur blessure hier, en 2018 (victoire lyonnaise 3-2). Le ballon a frôlé le poteau de Steve Mandanda et le coup de froid habituel n’est pas tombé cette fois sur le Vélodrome. Une chose n’a pas changé, en revanche : Rudi Garcia repart bredouille, encore, d’un match au sommet. Mais avec Lyon, cette fois. É


5/6 Dimitri Payet a transformé cinq de ses six derniers penalties en Ligue 1.

 

JEAN-MICHEL AULAS, PRÉSIDENT DE L’OL, AU MICRO DE CANAL + APRÈS LA RENCONTRE

À son arrivée sur la pelouse, vers 20 h 58, au moment où les trois tifos en 3D ont été déployés (Notre-Dame de la Garde virage sud, un blason de Marseille sur fond d’étoile de Champion d’Europe 1993 côté nord, et l’effigie du fondateur de l’OM, René Dufaure de Montmirail, en Ganay), il a été assailli par une nuée de photographes. Garcia est resté impassible, les mains dans les poches de son costume. Puis Dimitri Payet est venu se positionner sur le terrain, sur le côté gauche de l’attaque olympienne, à quelques mètres de sa zone. Plusieurs stadiers marseillais ont été disposés en bas de la tribune Jean-Bouin, pour éviter qu’il ne soit pas importuné pendant la rencontre, autrement que verbalement, en tout cas.

Les « Garcia, Garcia, on t’enc… » ont ensuite été scandés lors de ses premières apparitions sur les écrans géants du stade, notamment à la 4e minute, quand il s’est entretenu avec Léo Dubois, puis à chaque consigne donnée. Idem au début de la seconde période, quand les virages ont repris leurs classiques de la saison dernière, marquée par un climat délétère pendant toute sa deuxième partie. Puis les virages, alors que l’OM menait 2-0, ont sorti les pots de fumée, bleus et blancs, et une brume électrique à commencer à envelopper le stade. M. Gautier a arrêté un temps la rencontre, histoire que le brouillard se dissipe. Déjà, en première période, les deux buts de Payet avaient été marqués par des mouvements de foule en tribunes et l’allumage de fumigènes. Un pétard finit même sur Mandanda (18e) ! « C’est tout le stade qui va s’enflammer », promettent en chœur les groupes de supporters.

En l’absence des fans de Lyon, qui avaient été interdits de se déplacer, le cortège qui a emmené de 5 000 à 7 000 supporters marseillais vers le stade, en fin d’après-midi, et sur le parvis du Vélodrome, les chants anti-Aulas étaient de retour et notamment la promesse de « tout casser chez lui».

C’est le bus de l’OL qui a finalement été caillassé, et le premier vitrage (le bus en compte trois) a été brisé par les projectiles sur le flanc gauche. « Quand le bus est caillassé sur commande, pour impressionner les joueurs, c’est dommage, a lancé Aulas après le match au micro de Canal +. Bravo à Marseille d’avoir mis une pression fantastique et d’avoir conditionné les ramasseurs pour qu’ils ne donnent plus de ballons . Cela n’enlève rien à l’OM qui a fait un très bon match, mais il y a de grosses erreurs d’arbitrage et une pression trop grande. Si le VAR ne fonctionne pas et si on n’est plus dans un état de droit... On ne va rien demander du tout, mais le président de la LFP était là, le directeur technqiue de l’arbitrage était là. » « JMA » n’a pas précisé que la préfecture de police marseillaise avait recommandé à l’OL d’utiliser un véhicule banalisé, comme l’OM le fait à Paris pour se rendre au Parc des Princes. É

 

Problème avec les fumigènes risque de joué match sans supporter

 

Bonjour à tous, très heureux de cette belle victoire, je vais pas m’attarder sur le macht qui a était largement commenté par nos forumeurs, mais je pense que la direction de notre grand club devrait demander à Jean-Claude Gaudin notre maire de déposer plainte contre Aulas pour ses propos sur notre ville je le cite « une citée de non droit » il salit notre ville, se prend pour qui cette pleureuse.

 

salut ici j'espère que vous allez bien , ca fait un baille

Moi se que je retiens de se match s'est que l'effet Garcia s'est encore fait sentir

 

Dtc Aulas, dtc Garcia, dtc la ligue, un Payet qui assume, un stade survolté, une soirée de dingue, l'OM qui gagne enfin contre ce club de mort le soir de ses 120 ans, l'OM seul second, aujourd'hui c'est lundi férié. Putain que c'est bon!

 

enfin ! je dirais en espérant que ca continue comme ca

 

Quelqu un aurait des nouvelles de @Blacklagoon apparemment ,il a totalement disparu des radars