[Rennes 0 - 1 OM] - 10/01/20 - Ligue 1 - J20

C'était voulu la pelouse aussi dégueu AVB avait même appelé un dirigeant de Rennes pour lui parler de la pelouse avant la trêve et ils ne l'ont pas changé pour autant.

Non ce match a été pensé par Rennes comme l'antithèse de ce que devrait être le foot. Un terrain pourrie pour des tribunes en mode Disney, une équipe à domicile qui a plus peur de laisser de l'espace à l'autre équipe que de développer son jeu pour marquer. Ils étaient je pense persuadés qu'on allait tout faire pour gagner et faire le jeu mais quand AVB a vu le terrain, l'arbitre et l'équipe en face, il a préféré fermer la boutique du coup ils ont dû faire le jeu sur ce terrain de patate et ils sont deg. On a gagné avec beaucoup de chance et grâce au karma Même en deuxième mi temps alors qu'on leur a laissé le ballon ils ont pas été capable d'être dangereux... alors leur terrain ils ont qu'à le bouffer.

 

c'est le karma des grandes équipes

 

Pitain que c'est bon de se reveiller après une telle victoire !!!
Même pas un petit mal de tête suite aux nombreux mélanges ingurgités...
Ça me donne même envie d'aller au taf.

 

t'arrives a me faire rire au réveil chapeau

 

dans lequipe

Spoileur

Strootman, le dur au mal fait du bien
MATHIEU GRÉGOIRE

2 min

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À la suite d’un coup franc de Dimitri Payet, Kevin Strootman trompe Édouard Mendy (1-0, 84 e ).
Franck Faugère/ L’Équipe
Poussé vers la sortie à chaque mercato par sa direction, le Néerlandais ne s’est pas laissé envahir par le doute.
Hier soir, l’OM a été à son image, lui qui est si souvent laborieux sur le terrain, mais qui ne démissionne jamais. Entré à la place de Rongier, Kevin Strootman a inscrit le seul but de la rencontre en y croyant, comme à son habitude, en suivant un coup franc de Payet qui a terminé sur le poteau droit de Mendy (84e). S’il est parfois oublié sur les photos de groupe dans le vestiaire après les victoires, ce qui le fait plutôt marrer, il a été le premier à poster le cliché sur les réseaux sociaux hier, et on l’aperçoit, radieux, aux côtés de Mandanda, l’autre grand bonhomme de la rencontre. La carrière olympienne de Strootman ressemble un peu à cela, depuis quelques mois : on veut le dégager du tableau, la direction ne peut plus voir son colossal salaire en peinture, mais il revient toujours, l’air de rien, professionnel exemplaire, apprécié par le staff.

Au micro de Canal +, il a délivré un discours qui lui ressemble : « Bien sûr, tu veux être important pour ton équipe, mais je dois le dire, notre équipe a travaillé dur, a fait tout à 100 % sur ce match, moi j’ai joué seulement dix minutes et j’ai apporté ma contribution. Déjà au Vélodrome, cela avait été compliqué contre eux. Ils sont forts, mais le coach a bien préparé l’équipe pour ce match, peut-être a-t-on eu aussi un peu de chance. »

Villas-Boas lui fait confiance
Depuis sa grave blessure au genou de mars 2014, qui l’a changé à jamais, Strootman a moins de qualités, mais il a hérité d’une foi inébranlable. Une foi qui le fait s’échauffer deux fois plus longtemps que les autres avant les séances d’entraînement, et s’étirer deux fois plus longtemps que les autres après. Sans cela, on entendrait son corps grincer à des kilomètres à la ronde. Les critiques sur ses performances, il les conçoit sans qu’elles le blessent. Les incessantes péripéties du mercato, elles, lui passent au-dessus.

En juin, il a compris la volonté du président Eyraud de l’exfiltrer, moins d’un an après une arrivée en grande pompe, pour 25 millions d’euros et trois de bonus. Il n’avait pourtant pas forcé le dirigeant à lui donner un contrat pharaonique sur cinq ans. Mais il avait aussi prévenu son monde : il s’accrocherait, il n’a pas donné son corps à la science pour être placardisé à l’aube de ses 30 ans.

Le départ de Luiz Gustavo et la confiance de Villas-Boas, qui en a fait sa sentinelle attitrée en début de Championnat, lui ont redonné une place dans l’équipe et un statut. Il a tiré la langue au cœur de l’automne, a vu Kamara le relayer, mais il est toujours resté précieux pour son entraîneur. Hier, il le lui a rendu d’une façon inespérée, et pourtant peu surprenante : au forceps.

 

ca ira encore mieux quand Lille et Nantes auront perdu et que Lyon ne gagne pas

 

dans lequipe

Spoileur

L’OM TIENT LES RÊNES
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL,VINCENT GARCIA

4 min


Dans un petit sommet de L1, les Marseillais ont battu leur premier poursuivant, Rennes, et prennent le large à la deuxième place.
La joie de Dimitri Payet et des Marseillais après le but de Kevin Strootman (à gauche) en fin de match (84 e ).
Pierre Lahalle/ L’Équipe

RENNES – L’OM a des héros inattendus cette saison et c’est peut-être le signe que tout va tourner dans le bon sens. Alors que Nemanja Radonjic, décisif à chaque match ou presque en fin d’année, est redevenu depuis deux rencontres un joueur ordinaire, voilà qu’a surgi du banc Kevin Strootman, hier, dans les dernières minutes au Roazhon Park. Le Néerlandais s’est retrouvé seul pour reprendre dans un angle fermé un coup franc de Dimitri Payet et donner une victoire capitale aux Marseillais dans la course au podium (84e).

Dans ce sommet fermé et engagé, pour être gentil, ce sont eux qui ont fait la très bonne affaire de la soirée en s’imposant devant leur premier poursuivant au classement. Avec 41 points, ils prennent leurs aises à la deuxième place et distancent Rennes, qui a un match en retard, de huit points. Lille, qui se rendra à Dijon demain, est aussi loin derrière. En fait, c’est le PSG, à la première place, qui est le plus proche du club phocéen ce matin, ce qui veut tout dire de la saison marseillaise, qui est en train de prendre une très bonne tournure.

Il y a une logique à voir les hommes d’André Villas-Boas aussi haut au classement car ils ne tremblent jamais, ou presque, cette saison face à leurs concurrents directs, et ça aussi, cela veut dire quelque chose. Saint-Étienne, le LOSC, Lyon, Bordeaux, Monaco et Rennes, hier, sont tous tombés face à l’OM. Il reste encore du chemin et quelques étapes à franchir d’ici à mi-février, avec des déplacements périlleux chez les Girondins, chez les Verts ou encore à Lille. Mais les Marseillais semblent armés pour voir venir. Un résultat nul aurait largement satisfait l’entraîneur portugais, comme il l’avait avoué cette semaine. Et c’est vers un 0-0 que l’on se dirigeait effectivement quand Strootman, entré trois minutes plus tôt (82e), a délivré son équipe.

Payet, Sarr et Kamara suspendus contre Angers
Puisque Dario Benedetto ne veut plus marquer en ce moment (2 buts sur ses 11 derniers matches toutes compétitions confondues), tout est parti une nouvelle fois de Payet, qui a trouvé le poteau sur coup franc. Même quand il n’est pas dans un grand soir, le Réunionnais est là pour faire la différence. Comme lui, à défaut d’être géniaux, ses coéquipiers ont été solides, surtout en défense et dans l’entrejeu, où Boubacar Kamara, entre autres, a éteint Éduardo Camavinga, pas toujours de manière licite d’ailleurs. Le prodige breton a pris beaucoup de coups et n’a jamais réussi à se projeter ballon au pied comme il sait le faire sauf à la 73e minute, ce qui était un peu tard.

Pour une grosse semelle sur lui, Kamara a d’ailleurs reçu un carton jaune (50e), qui le privera de la réception d’Angers dans deux semaines. Ce n’est pas la seule mauvaise nouvelle de la soirée pour l’OM car il ne sera pas le seul à être suspendu pour ce match-là. Averti bêtement pour contestation (79e), Payet ne sera pas de la partie non plus, tout comme Bouna Sarr, tout près de concéder un penalty que n’a finalement pas accordé le VAR (30e).

Cela fait un peu beaucoup mais le match en Bretagne a été engagé à l’image de ce tacle absolument pas maîtrisé de Duje Caleta-Car sur Romain Del Castillo (35e), qui lui a valu un jaune très gentil. Comme l’a été encore M. Millot, l’arbitre, et ses assistants au VAR, sur un tacle épouvantable de Damien Da Silva, simplement averti, après avoir séché Maxime Lopez aux abords de la surface (82e).

Mais les Marseillais ne se plaindront pas. C’est sur cette action qu’est arrivé le coup franc de Payet et le but vainqueur de Strootman. Au bout d’un sommet qui n’a pas été une très bonne publicité pour la L1 donc, la victoire olympienne n’est finalement pas illogique.

Dans une première période encore plus fermée, ce sont les Marseillais qui avaient eu la meilleure occasion, une reprise sur le poteau d’Alvaro Gonzalez (27e) sur un corner obtenu grâce à… une boulette de papier qui avait surpris le gardien rennais, Édouard Mendy. Les Marseillais ont eu chaud parfois (16e, 42e, 66e, 72e) et aussi sur quelques coups de pied arrêtés en fin de match. Mais ils font un solide dauphin du Paris-SG.


41
C’est la troisième fois lors des 6 dernières saisons que l’OM compte 41 points après 20 matches de Ligue 1.

Le club marseillais avait à chaque fois terminé 4e.

Opta

Réaction
Damien Da Silva, défenseur rennais (au micro de Canal + Sport) : « On a des regrets par rapport à la deuxième péridoe. En première, on n’était pas sur les deuxièmes ballons. Mais quand on regarde les efforts que l’on a fournis en deuxième mi-temps, c’est rageant. Nous, on a manqué d’efficacité. Et puis, il y a eu cette faute maladroite et ce but. Ils ont bien tenu, félicitations à eux. Nous, il faut qu’on continue. On n’a pas regardé le classement avant de jouer le match. Marseille fait son Championnat, nous, on fait le nôtre. On ne manque pas d’ambition mais on ne regarde pas le classement. »

tops
Bo. Kamara 7/10

Le taulier au milieu de terrain, en soutien de ses centraux à la perte du ballon, ou plus haut quand les Phocéens l’avaient. Toujours bien placé, il a même tenté sa chance (23e). Une semelle sur Camavinga qui aurait pu lui valoir plus qu’un jaune (50e).

S. Mandanda 6/10

Pour son retour à la compétition, il n’a pas trop été embêté en terre bretonne : attentif pour gérer la profondeur, serein sur un coup franc de Bourigeaud (31e), il se montre décisif sur deux autres essais du milieu rennais (42e, 60e). Une bonne sortie devant Raphinha (72e).

Léa-Siliki 6/10

Sur la lancée de ses derniers matches, il a encore livré une prestation solide. À la fois présent à la récupération, intéressant dans la projection avec le ballon et solide dans les duels, il a été le meilleur joueur de son équipe. Pas loin d’obtenir un penalty (28e).

flops
M. Niang 3/10

Encore un match très décevant pour lui. En plus de ne s’être créé aucune occasion et d’avoir été dominé dans les duels par la paire Caleta-Çar-Alvaro, il a fourni peu d’efforts dans le pressing. Ses partenaires ne l’ont pas aidé en lui envoyant souvent de longs ballons.

Camavinga 4/10

Il n’avait pas déçu depuis longtemps, mais cette fois, le jeune milieu est passé à côté. Le pressing marseillais l’a beaucoup gêné dans l’utilisation du ballon. Ce qui lui en fait perdre beaucoup. Il a reçu un gros coup de Kamara sur une cheville avant de sortir, remplacé par Tait (84e).

Benedetto 3/10

Au retour des vestiaires, sur une relance de Morel contrée par Sanson, il tente une tête mollassonne et sans conviction à l’image de son match. Remplacé par Lopez (77e) qui obtient le coup franc à l’origine du but. H. S., Y. H.

 

Très sympa cet article.

 

lequipe

Spoileur

Ces jeunes sont des cas
BAPTISTE CHAUMIER

2 min


Secondé par Morgan Sanson (à gauche), Boubacar Kamara essaie d’arrêter Eduardo Camavinga.
Pierre Lahalle/ L’Équipe
Eduardo Camavinga et Boubacar Kamara se sont livré un combat âpre jusqu’au bout hier soir. Le Marseillais a gagné aux points.
André Villas-Boas n’a pas manqué de complimenter les Rennais, avant la rencontre, saluant leur redoutable efficacité ou leur impressionnante puissance physique dans les couloirs. Beau joueur, un brin flatteur aussi, l’entraîneur marseillais n’en a pas rajouté, en revanche, sur le phénomène dont toute la Bretagne parle, et même au-delà des frontières régionales : Eduardo Camavinga.

Le jeune prodige du club breton (17 ans) était pourtant attendu pour ce choc de la 20e journée et le technicien portugais lui avait réservé une petite surprise en titularisant Boubacar Kamara au milieu, comme souvent lors des grands rendez-vous. Les deux internationaux Espoirs se sont livré un combat âpre jusqu’au bout et jusqu’au remplacement du Rennais par Flavien Tait (86e). Et le Marseillais a dominé son adversaire du soir, notamment au cours d’une première période où Camavinga a semblé chercher sa juste position, un peu d’air et plus d’espaces sur la pelouse du Roazhon Park.

Le milieu rennais a longtemps été cantonné dans un rôle défensif grâce au pressing très agressif exercé à la fois par Kamara mais aussi par Valentin Rongier et Morgan Sanson, inépuisables dans cet exercice. Ses statistiques s’en sont ressenties, à l’image de ces 13 ballons perdus ou du nombre de duels qu’il a disputés (20). Kamara a évolué dans le même registre mais c’était l’idée d’AVB dans le milieu à trois de l’OM. Il a d’ailleurs récupéré plus du double de ballons (10 contre 4) que son vis-à-vis et il a su lui imposer une confrontation permanente qui a semblé contrarier Camavinga, saoulé de coups.

Kamara, la loi au milieu
Le Rennais a été la cible de nombreuses fautes de la part des Marseillais, qui l’ont empêché de se projeter vers l’avant, balle au pied, une de ses qualités. Kamara a d’ailleurs récolté un carton jaune pour une semelle sur le milieu de terrain breton (50e). Un avertissement qui devrait priver le Marseillais de la réception d’Angers dans deux semaines. Mais sa mission était claire : éteindre Camavinga, qui a été beaucoup moins rayonnant que lors des grands matches contre le Paris-SG ou Lyon, où il avait été l’un des joueurs les plus en vue. Malgré ses difficultés initiales, le Rennais a été un peu plus efficace en seconde période (trois quarts de duels gagnés sur l’ensemble du match), mais les joueurs de Julien Stéphan ont buté sur le bloc compact marseillais, où le rôle de Kamara a été capital pour réduire au minimum l’espace entre les lignes.

Encore une fois, dans une rencontre au sommet, le Marseillais s’est montré sous son meilleur visage. Encore une fois, il a évolué au milieu de terrain. Signe que son avenir au plus haut niveau se situe peut-être dans l’entrejeu. É

48
Eduardo Camavinga a subi 48 fautes en L1 depuis le début de la saison.

C’est le joueur du Championnat qui en a subi le plus.

Opta

 

je croyais que s'était j'en Neymar ?

 

Strootman il parle mieux francais que moi le saligaud

 

45 - Paris (-1)
44
43
42
41 - OM
40
39
38
37
36
35
34
33 - Rennes (-1)
32
31 - Lille
30
29 - Nantes
28 - Reims (-1), ASM (-1), Angers
27 - Strasbourg, Montpellier, Nice
26 - Lyon, Bordeaux
25 - St Etienne
24
23
22 - Brest
21
20
19
18 - Dijon
17 - Amiens (-1), Metz
16
15
14
13
12 - Nimes (-1), Toulouse

 

bien vu..

 

il y a tout de même un peu plus de (-1) que ça dans ton classement. Mais ça fait plaisir quand même.

 

On a fait un joli trou. Au pire, Rennes reviendrait à 5pts avec son match en retard, et Lille à 7pts

 

Voilà un week end qui commence très très bien
Sinon pour ceux qui pensaient qu'on allait s'écrouler aprés la trève de Noël comme souvent...
Bein non on gagne en coupe et en championnat à l'extérieur qui plus est.
A l'arrache certe mais on gagne quand même.
Ca sent bon cette année

 

perso , un nul entre les 2 m'irait aussi...je ne veux pas que le pinard prenne de la confiance.... vu qu'on les joue en premier

 

putain tu es toujours au taff toi.....tu es quoi? fonctionnaire? ou gilet jaune?

 

On commence à avoir une bonne base, à défaut de ne pas gagner de titre, si on pouvait terminer second chaque saison ça m'irait, il n'y a rien de honteux d'etre deuxième encore moins si on est un fort deuxième en nombre de Pts.Et à force d'etre deuxième en faisant mieux chaque saison ça nous reprocherait encore plus du QSG en nombre de Pts et pourquoi ne pas rêver par la suite : cool;

Voila ma vision d'un second incontestable.