Faits divers et divers faits

6.8 planètes. A mon avis les voyages en avion pour le boulot m'ont plombé.

 

Et tu fais quoi de Francafrique ?

 

J'ai pas de bagnole, je fais au mieux pour consommer frais et local, je me déplace presque exclusivement à pieds et pourtant... J'ai besoin de 5,2 planètes . Put1 d'avion

 

Fenerbahce : Des chants en l'honneur de Poutine

Bon, je sais que la provocation c'est la marque de fabrique des supporters de foot, mais là quand même c'est abusé..

 

Pas d avion, pas de voiture, conso local quand c'est possible, très peu de viande pas de clim pas de piscine et pourtant 3.6 planètes y a un truc qui va pas avec ce site .

 

5.4

 

C'est pourtant le site officiel qui permet de calculer le jour de dépassement... https://www.footprintnetwork.org/

 

Facho...

 

Je vais souvent aux chiottes ça doit venir de ça j'utilise trop d'eau.

 

Tu peux toujours chier par la fenêtre...

 

Tu dis ça parce que tu te gauchise

 

Absolument pas. Je soutiens les gens de gauche uniquement parce que leur mode de vie de clochard me permet de vivre avec 6 planètes...

 

Pareil. J'ai pris comme référence l'année où j'ai fait plusieurs A/R vers Nouméa.

Si j'enlève l'avion, je passe de 6,4 à 3,7, donc pas si mal quand même avec une voiture qui fait du 10 l/100 de moyenne.

 

Je viens d'essayer de "baisser" ma consommation au minimum pour le test. Alors c'est simple : pour arriver à moins d'une planète, il ne faut ni l'eau courante ni l'électricité, peu importe la consommation de viande

 

Admirez l'anarcho-trotskisto-celentaniste.
Seulement 2 planètes (mon alimentation équilibrée me plombe apparemment, ils veulent peut être que je ne mange plus que des graines).

Au passage, ils semblent considérer le nucléaire comme renouvelable

 

L'utilisateur a limité l'accès à la vidéo.

 

3,3 Planètes Quand même !!!!!

 

C'est la corona ça

 

Pour fêter ça je viens d'acheter 3 kg de côté de bœuf et 5kg de poulet.
La planète je la baisse par devant et par derrière, c'est le touché nique ta mère.

 

Pendant ce temps là, la justice fait encore des siennes...

Peine réduite d'un an en appel pour l'agresseur d'une septuagénaire en Creuse
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Publié le 28/07/2022 à 09h55


Rond-point de la Gasne à Guéret, où ont été commis les faits © BARLIER Bruno

De six ans de prison ferme, la peine prononcée contre l'agresseur d'une septuagénaire à Guéret a été ramenée à cinq ans par la cour d'appel de Limoges.

Condamné à six ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Guéret, en mars dernier, un homme de 31 ans a vu sa peine réduite à 5 ans de prison ferme par la cour d’appel de Limoges, qui a rendu son délibéré ce mercredi 27 juillet.

Ikmatullah Anwary, Afghan de 31 ans, avait agressé une femme de 72 ans dans le centre de Guéret le 2 février dernier, alors que la victime rentrait chez elle à pied après avoir rendu visite à une amie.

Vers 19 h 45, elle traverse un parking proche du rond-point de la Gasne à Guéret lorsqu’un homme l’interpelle, la bâillonne, la fait tomber par terre, la traîne au sol sous un sapin du rond-point.

Là, selon les dires de la victime, l’homme la viole malgré un état physique diminué par l’alcool et les stupéfiants.

Passible des assises
La victime de 72 ans a accepté la correctionnalisation de son affaire, pourtant passible des assises.

L’avocat de l’agresseur, Me Jean-Christophe Romand, a insisté, lors de l’audience d’appel début juillet, sur l’absence de casier judiciaire de l’auteur des faits, demandant que la peine initialement décidée par le tribunal correctionnelle soit assortie du sursis.

L’avocat général lui-même a estimé que « six ans, c’est une peine sévère pour quelqu’un qui n’a pas d’antécédent judiciaire » tout en précisant que « si le quantum doit être réduit, il doit l’être a minima ».

La cour a donc suivi le parquet général en réduisant d’un an la peine pour la ramener à cinq ans de prison ferme.

Il y a trois semaines, lors de l’audience, Ikmatullah Anwary, qui avait pourtant reconnu les faits devant le tribunal correctionnel, a commencé à les contester par la voix de l’interprète. Finalement, il a dit « ne plus se souvenir de rien »…

« Pensez-vous parfois à la victime ? Aux répercussions de vos agissements sur elle ? », a alors questionné la présidente. « Si je pense à elle, cela me perturbe, alors non, je n’y pense pas. »