Cinéma, DVD et Blu-Ray

ya le nouveau kingsman, j'espère qu'il est aussi drole que le 1er

 

J'ai bien aimé, un petit peu différent, un peu plus de morts mais il est bien quand même

 

t'as raison c'est vraiment différent. j'ai pas du tout rigoler, c'est dommage, ca faisait un bon mélange dans le 1.

 

J'ai vu Dallas Buyers Club hier, il déchire ce film, et McConaughey est monstrueux, impressionnant ce garçon !

 

Énorme ce film, le casting est impressionnant. Jared Leto méconnaissable.

 

«In Gora» : un film authentique et inspirant vers l'Europe de l'Est

Présenté en avant-première au High Five Festival, le film In Gora nous embarque pour un voyage haut en couleur et émouvant à travers l'Europe centrale. Un film de ski atypique et percutant qui a séduit petits et grands à Annecy. Nous y avons rencontré Mathias Joubert, producteur et dramaturge de cette épopée vers l'Est.

Certains s'envolent à l'autre bout du monde en quête de pentes vierges, de grands espaces, de volupté et de solitude. D'autres, au contraire, ne s'éloignent pas trop, avancent au rythme des rencontres et s'émerveillent du quotidien. C'est l'histoire de Val et Tim, deux amoureux de la nature, trop gourmands pour se contenter du même horizon chaque matin. Ils ont décidé de vivre sur la route, sans adresse fixe, pour partager des moments inoubliables sur fond de montagne avec les voyageurs du monde entier à bord de leur «Nomads Bus».

Un mode de vie, un état d'esprit et une rencontre à l'origine du film, nous explique Mathias. « J'ai été séduit par le style de vie très atypique de cette petite famille, très inspirant sur de nombreux sujets. J'ai alors imaginé un voyage d'un mois à travers l'Europe où nos riders iraient à la rencontre de cette famille et voyageraient en immersion dans ce style de vie hors du commun. »


Val, Tim, leur fille Fenna, le Nomads Bus et la Picture Family. (Louis Garnier/D.R)
In Gora, c'est une conquête de l'Est des temps modernes, un long périple vers un éveil des consciences à l'heure où tout s'accélère, où le ciel se quadrille sous le jet des avions et la terre s'assombrit à l'ombre des villes. Mathias Joubert nous offre une virée authentique et émouvante. On s'attache aux personnages, on se laisse bercer par le folklore du voyage, une once du Kusturica, un air de Bob Dylan, des accents d'ailleurs, des éclats de rire et des couleurs enivrantes. « L'idée était de montrer du beau ski et du beau snowboard dans les plus belles montagnes d'Europe mais de le coupler à une histoire. De ne pas montrer un film classique comme on peut en trouver tous les jours maintenant. »

Du beau ski en effet et un casting qui a de la gueule : les Français Léo Taillefer, Thomas Delfino, Jules Bonnaire et Coline Ballet-Baz, le Québécois Emile Bergeron mais aussi les snowboardeurs Janne Lipsanen, Mat Schaer, Luka Podologar et Thomas Feurstein. On les connaissait, chacun dans leur univers, on les redécouvre dans l'intimité, sous l'oeil complice du réalisateur Andy Collet, un ami parmi les amis. Une grande famille aux côtés de la petite famille de Val & Tim, tous réunis pour cette aventure jusqu'aux confins de l'Europe.


Léo Taillefer et les choucas, en Autriche. (Louis Garnier/D.R)
De la Belgique au Monténégro, le Nomads Bus et la famille Picture ont traversé 13 pays au total. Les Alpes ne s'arrêtent pas aux frontières orientales de la Suisse, à l'Est les sommets alpins et d'autres massifs regorgent de merveilles. « Il y a tout un tas d'endroits incroyables en Europe mais qui sont beaucoup moins bien connus. C'est notamment le cas des Balkans.»

Après les Alpes juliennes en Slovénie, l'équipe a mis le cap sur la Bulgarie, la Macédoine et le Monténégro, des pays objets de nombreuses problématiques environnementales. On s'interroge alors sur le ski de demain... Comment vivre et partager cette passion sans empiéter sur la nature ? Comment dessiner le domaine skiable de demain pour trouver le juste équilibre et une certaine harmonie avec la nature, un précepte cher à la marque Picture. « Je pense aussi qu'il faut arrêter de vouloir en faire toujours plus. Les projets de station qui tournent 24h/24 ou les stations qui proposent de plus en plus de ski l'été. Un moment donné, il faut savoir faire la part des choses et arrêter d'en vouloir toujours plus... »

De leur home spot, aux frontières de l'Europe, les riders ont découvert un terrain de jeu infini, un territoire précieux à préserver pour les générations futures. A bord du Nomads Bus avec Val et Tim, ils se sont engagés au quotidien à réduire leur impact sur la planète. « J'ai vraiment été séduit par le style de vie de cette famille. Il est très inspirant et j'avais envie de montrer à tous leur vision des choses, l'éducation qu'ils donnent à leur fille, leurs valeurs... »

Une rencontre marquante pour toute la famille Picture, des rencontres aussi avec les locaux via le ski, celui de l'enfance, du jeu et du partage et dorénavant une rencontre avec le public à travers ce film. Comme un écho de la célèbre réplique du film Into the wild « Happiness only real when shared » (le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé) et un clin d'oeil au bus 142 de Christopher McCandless.


Toit terrasse avec vue ! (Louis Garnier/D.R)
In Gora sera disponible prochainement en VOD. En attendant, vous pouvez le voir dans de nombreux festivals européens et nord américains.

 

dans gold, il m'a fait kiffé moi et merci pour le film, je suis passé à coté

 

Detroit, je vais faire court. Pitainnnnnn, quel film. Surpuissant.
Le chapitre du motel est l'une choses les plus intenses que j'aie pu voir au cinéma depuis longtemps.


http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=244774.html

 

j'espère que c'est pas une c'est une histoire vraie

 

https://www.biography.com/news/detroit-movie-true-story

 

​

 

J'ai pas trouvé qu'il était mauvais non plus. Sympa quand même. Et je pensais au départ que c'était un sosie d'Elton

 

ouais moi aussi j'ai eu du mal
ils ont remplacé la comédie par les effets spéciaux, c'est dommage, c'est juste un bon film à aller voir au cinéma avec 1kg de pop corn

 

vu blade runner. Esthétiquement éblouissant (et effrayant), bon scénario aussi.
Après, qq longueurs (2h45). Mais j'avais peur que ce film soit un recyclage d'un univers existant sans apport (star wars 7 par ex, une sorte de "faisons blade runner avec ryan gosling cette fois) ou pire un film qui nuirait à l'univers originel (indiana jones et les cranes de cristal) mais finalement ce film apporte un peu plus de profondeur au film original en montrant l'envers du décor (le film original était totalement urbain) avec son environnement apocalyptique (pou le coup, exit la fin "shining" avec ses vertes vallées). Pleins les yeux (et les oreilles).

Spoileur

juste la fin qui me laisse un peu du genre : "bon... et alors ?" il retrouve sa fille et quoi ?

vu Detroit. Ils avaient de "l'or" entre les mains niveau scénario (le nom de l'hotel algiers me disait qqchose). Je ne sais pas s'ils ont assez insisté au début du film sur le contexte général. Mais bon, j'imagine que le public cible du film est étatsunien, donc n'a pas besoin de ça. Là aussi j'ai trouvé qq longueurs (les scènes avec les filles dans l'hotel). Mais sinon, là aussi un bon moment de ciné.

 

J'ai regardé Alien Covenant hier soir...

 

Alors que le nouveau film de Ridley Scott Tout l’argent du monde est attendu dans les salles de cinéma le 27 décembre 2017, Sony décide de retourner les scènes de Kevin Spacey.
le réalisateur est déterminé à garder sa date de sortie, avec l’aide des acteurs principaux Mark Wahlberg et Michelle Williams qui se rendent disponibles pour tourner à nouveau leurs scènes avec le personnage, comme le précise Deadline.

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18668619.html

je savais pas que c'était envisageable mais tant mieux, pour une fois qu'hollywood ne peut pas étouffer une affaire, tout le monde le lache et bien fait pour sa pomme.

 

Baruto
Si tu peux remettre le lien de ta théorie sur Star Wars, je t'en remercie bien
je n'arrive pas à remette la main dessus et j'avais pas tout lu la dernière fois et du coup, je ne suis plus sûr de ce que j'avais compris
Là, je n'arrive pas à remettre la main dessus et j'ai remonté pas mal de pages...

Edit J'ai confondu avec ArturoBandini...

 

Si tu cherches une théorie de Baruto, tu vas galérer un moment.

 

D'accord avec toi sur Blade Runner, j'ai, je crois, jamais été aussi bluffé au niveau visuel et sonore.
Et effectivement, en plus de ça, le scénario est loin d'être dégueu. Au risque de choquer les puristes j'ose affirmer que je préfère le 2049 à la vieille version.