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Course à pied, running: les compétitions des Phocéens

Discussion dans 'Les dieux du stade' démarrée par Sébastien Volpe, 12 Octobre 2012.

  1. zaza13

    zaza13 Well-Known Member

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    Le problème des grandes courses... Organisation par des assos donc a but non lucratif, mais des fois on se pose vraiment des questions...
    Principe des inscriptions :
    Les participants de l'édition précédente peuvent se réinscrire prioritairement avant l'ouverture des inscriptions ''au public''. Entre temps les groupes dont je parlais prennent des dossards (je dirais meme pillent mais bon).
    Et donc pour les réelles inscriptions du jour j qui dure quelques heures il reste plus beaucoup de dossards effectivement.

    En + il y a de plus en plus de groupes qui demandent des dossards et le nombre de participants n'augmente pas pour autant (15 000), alors que les demandeurs sont de plus en plus nombreux.
    Pour le ''jour j'' des inscriptions il ne doit y avoir que 5 000 dossards dispos grand max
     
  2. Valinski

    Valinski Well-Known Member

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    Je connais un club de running sur Bdx, ils l'ont fait l'année dernière, je pense que je pourrais avoir un dossard sans trop de problème.
     
  3. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    [​IMG] menu du week end prochain.......
     
  4. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    [h=1]J'ai fait 33 ironman en 33 jours: c'était dur, voire violent mais je me suis fait plaisir[/h]


    [​IMG]



    [h=2]LE PLUS. Réaliser l’équivalent de 33 ironman en 33 jours, c’est le record un peu fou réalisé par Didier Woloszyn, entre le 25 juin et le 27 juillet dernier. Pourquoi s’est-il lancé un tel défi ? Dans quel état physique a-t-il terminé cette performance ? Ce Français de 42 ans, installé à Laval au Québec, revient pour Le Plus sur cette expérience.[/h]

    0​

    [​IMG]
    Didier Woloszyn a réalisé l'équivalent de 33 Ironman en 33 jours (D.WOLOSZYN).

    3,8 kilomètres de natation, 180 kilomètres de vélo et 42,195 kilomètres de course à pied, voilà le rythme auquel je me suis astreint quotidiennement pendant 33 jours. Au total, j’ai donc parcouru 125 kilomètres à la nage, 5.940 kilomètres à vélo et 1.392 kilomètres à pied en un peu plus d’un mois !



    C’est un rythme qui peut paraître fou, excessif, mais dont je suis parvenu à tirer un vrai plaisir. Malgré la douleur, la fatigue physique et nerveuse, j’ai l’impression d’avoir consommé du bonheur à l’état pur pendant ces 33 jours, d’avoir vécu un moment magique.



    Je mangeais des purées sur le vélo

    Chaque journée obéissait au même rituel.



    - 5h45 : je me lève et je commence ma journée par de longs exercices d’étirements et d’assouplissements. Je m'enfile un petit-déjeuner fait de pain, de miel, de confiture et de protéines avant de partir pour la session natation.



    - 7h : j'arrive à la piscine pour une heure d’effort dans l’eau.



    Entre la séance de natation et celle de vélo, je profite d’une transition d’une vingtaine de minutes pour me doucher et m’alimenter à nouveau, avec cette fois des œufs brouillés et du sirop d’érable pour "menu".



    - 8h30 : je débute la "session" vélo. Les 180 kilomètres de vélo, soit près de 6 heures d’effort, représentent l’exercice souvent le plus complexe et éprouvant tant je dois lutter contre la douleur mais aussi et surtout contre le vent.



    Je ne prends pas de pause, je m’alimente donc sur le vélo en mangeant viandes, poissons et féculents sous forme de purée, avec une cuillère. D’une manière générale, pour ce type d’efforts, il faut éviter autant que possible de manger des aliments sous forme solide.



    [​IMG]
    Didier Woloszyn s'alimentait en mangeant viandes, poissons et féculents sous forme de purée (B.BEAUCHAMP).

    - 15h30 : après une nouvelle transition d’une vingtaine de minutes, j’enchaine et je termine ma journée par un marathon.



    Après un tel programme, la douche du soir devient alors très vite votre récompense quotidienne, un vrai moment de bonheur.



    Le 20e jour, après 100 km à vélo, je me suis effondré



    Pendant ces 33 jours, je n’ai jamais pensé à l’abandon. Mais des moments difficiles, oui, il y a en eu. Je me souviens avoir régulièrement pleuré certains matins en allant à la piscine. Il s’agissait plus de larmes de fatigue que de larmes de tristesse.



    Mais c’est le 20e jour que j’ai vraiment connu une alerte sérieuse, un gros coup de fatigue sans doute lié à la chaleur qui régnait alors sur la ville.



    Après 100 kilomètres à vélo, et alors qu’il m’en restait 80 à parcourir, plus le marathon, je me suis arrêté net, déshydraté, dépourvu totalement d’énergies. Je me suis allongé dans l’herbe, hagard, je suis resté comme ça pendant 30 minutes. Je pleurais, ma vision était altérée, et ma respiration difficile.



    Des spectateurs qui me suivaient m’ont apporté à manger et à boire. Après un long moment de pause, j’ai retrouvé mes esprits et j’ai pu repartir. Ce sont des moments difficiles que tous les pratiquants de triathlon ont éprouvé un jour. Il ne faut pas s’affoler, et attendre.



    Mise à part cette "alerte", physiquement, je ne ressors pas de cette épreuve cassé. Je ne ressens aucune courbature, je sens seulement que mes genoux sont fatigués et quelques ampoules au pied se sont infectées. Sur la fin de l’épreuve, j’ai été obligé de découper le dessus du bout de mes baskets afin d’éviter le frottement de la chaussure sur les orteils. La douleur était trop forte.



    J'ai perdu 3 kilos et de la masse graisseuse



    Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce sont les premiers jours qui ont été les plus difficiles, pas les derniers – ma deuxième meilleure performance, c’est d’ailleurs le dernier jour que je l’ai réalisée.



    Mais le temps que mon organisme s’adapte à ces 12 à 13 heures d’efforts physiques quotidiens, les premiers soirs, je n’éprouvais aucun appétit malgré la dépense d’énergie. Je ressentais une sensation d’écœurement.



    Une semaine après le début de ce défi, la faim est revenue et il m’arrivait parfois de terminer la journée par une petit crème glacée, un truc bien gras mais tellement bon !



    Le corps est une machine complexe et fascinante, qui nécessite en fait un temps d’adaptation. Mais une fois lancé, je me suis rendu compte que peu de choses pouvaient l’arrêter. Je me suis arrêté à 33 parce que je m’étais fixé cette limite mais j’étais en mesure de continuer.



    Mon corps, je l’ai vu se transformer peu à peu, j’ai perdu du poids, de la masse graisseuse surtout au niveau du ventre et des jambes. De 83 kilos, je suis passé à 80. Tout au long de l’épreuve, j’étais surveillé par mon médecin, qui contrôlait mon état de santé par des prises de sang régulières.



    J’étais dans une sorte de transe

    Pour réaliser cette performance, je m’étais soumis à un rythme d’entrainement d’une vingtaine d’heures par semaine, six jours sur sept. Mais, au final, le moment le plus difficile à gérer fut le 34e jour. Le jour d’après.



    Je me suis réveillé fatigué et sans envie, sans motivation. Le mental se relâche, le corps aussi, c’est une sensation terrible. Un sentiment de vide. Cela fait trois jours que j’en ai terminé et je sens que je vais devoir reprendre la course au plus vite pour ne pas tergiverser.



    Car pendant 33 jours, j'étais coupé du monde, d’une certaine façon. J'étais en permanence entouré par mes proches, et par de nombreux spectateurs, mais j’étais focalisé sur ma performance, concentré, dans une sorte de transe.



    Impossible, par exemple, de me souvenir de ce à quoi j’ai bien pu penser pendant ces nombreuses heures d’efforts physiques. La notion du temps est différente. Alors le retour à la vie normale surprend, déstabilise.



    Ce fut un moment dur, parfois violent, pas toujours simple à vivre, pour moi comme pour mon entourage, et notamment ma femme qui devait s’occuper de mes repas, de mes lessives et de nos enfants. Mais quel bonheur de réussir un tel défi ! De conclure 33 jours d’efforts entourés par près de 200 personnes, d’avoir le sentiment, rien qu’une fois, de vivre un moment extraordinaire au milieu d’une vie ordinaire.
     
  5. Mac'sous

    Mac'sous Mafia normande

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    Je te raconte pas l'état du transit... Chapeau même si c'est complètement fou de faire ça!
     
  6. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    Soudain, dans le col de l'Izoard, ils parviendront au sommet de dénivelé positif. Là, ils se diront certainement qu'une bonne partie est faite. Mais non, ils le savent. Ils seront encore - et pour un moment - en plein coeur de l'effort. Quand, vers le km 100 du vélo, ils atteindront les quelque 2 361 mètres d'altitude de ce mythique sommet du Queyras, il leur restera quasiment autant à avaler en deux-roues. Avant, ils auront déjà nagé 3,8 km. Et, après ces 188 bornes cyclistes, ils devront courir l'équivalent d'un marathon, avec 42,195 km au menu.
    Bienvenue à l'Embrunman, communément qualifié et salué comme le triathlon "le plus dur du monde". À 6h, ce matin, ils étaient 1 500 à se jeter dans l'eau du lac de Serre-Ponçon, qui devait avoisiner les 18-20ºC. C'est le début du défi. De leur défi. Car si quelques-uns peuvent prétendre à passer sous l'arche finale les bras levés, exténués par l'effort mais "homme d'Embrun", l'écrasante majorité a avant tout un fil directeur en tête : être finisher. Pour cela, il faudra réaliser ce monstrueux triple effort en un temps maximum de 16 heures et 30 minutes.
    "Le triathlon d'Embrun, c'est une atmosphère, souligne l'organisateur Gérald Iacono. Il y a une véritable communion entre les spectateurs, les bénévoles et les sportifs. On peut même parler d'affection, de lien dans ce triptyque. Sur l'Embrunman, il y a une ambiance qu'on ne retrouve pas ailleurs."
    Le dépassement de soi par excellence
    L'Embrunman, l'un des fleurons du sport alpin, qui fête cette année son 30e anniversaire, c'est le dépassement de soi par excellence. C'est le combiné de trois disciplines en une seule course gigantesque. Ce sont des images, aussi et surtout : ces forçats du sport qui sortent trempés de l'eau ; qui enfourchent le vélo pour s'attaquer aux mythes des Hautes-Alpes, les visages émaciés, le dos courbé, sous la chaleur ; et, comme si le plaisir n'était pas encore total, ils en remettent une couche, avec des foulées qui n'ont rien à envier à celles effectuées sur les plus beaux marathons du monde. Car Embrun et les Hautes-Alpes offrent ce cadre unique, en pleine nature, là où depuis des décennies se sont dressés des champions. "Il y a une admiration générale pour ces triathlètes qui s'impliquent tellement pour être prêts pour la compétition", poursuit Gérald Iacono.
    Ils sont des milliers au bord des routes - très tôt ce matin et pour certains jusqu'à tard ce soir - pour pousser ces 1 500 triathlètes vers les sommets. Les sommets montagneux et les sommets de performance. "C'est un ensemble de difficultés qui fait le tout. Le vélo, c'est 188 km, l'équivalent d'une étape du Tour de France, avec 5 000 mètres de dénivelé global. Après, il y a le marathon ; c'est un choc."
    Les favoris sont dans les starting-blocks. Parmi eux, on retrouvera les deux derniers vainqueurs, chacun trois fois lauréats de l'épreuve, Marcel Zamora (2009, 2010 et 2012) et Hervé Faure (2006, 2007 et 2011), qui se livreront un duel qui sent déjà la sueur et le souffre des sommets sportifs. Le record (9h34'10"), établi par Faure il y a deux ans, tombera-t-il cette année ? Ce sera l'un des enjeux de cette journée dans les plus hautes sphères du triathlon.
    Mais, pour tous, la victoire sera au rendez-vous. Car l'Embrunman, c'est avant tout un triple effort face à soi.
    [HR][/HR]- Embrunman : le départ a été donné ce matin à 6h. Pour intégrer le classement, les concurrents ont un temps de 16h30 maximum pour conclure la course.

    - Triathlon Sprint :
    le départ a été donné à 8h30. Il s'agit de la dernière épreuve des cinq journées de compétition autour de l'Embrunman depuis dimanche.

    Site officiel de l'Embrunman : www.embrunman.com
    Arnaud Vitalis
     
  7. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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  8. Baron

    Baron Well-Known Member

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    J'ai fait mon premier semi (sur piste) en 1h52m40s, sous un léger soleil (nuageux la plupart du temps), de 16h30 à 18h30.

    Vers la fin, j'avais l'impression que mes os allaient se casser, c'est normal ??? (faut dire, j'ai pas des chaussures adaptés ^^)

    Et si je recours en montagne 5km (chemin cailloteux "sympa" comme tout ^^) demain matin, c'est bon aussi ou faut éviter ?
     
  9. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    t'as fait des tours de piste de 400 pendant 2 heures, t'es un grand malade, t'avais perdu un pari où bien???

    tu peux courir quand tu veux pas de temps de récup précis, après faut voir, ta pratique, si tu ne cours jamais, et que tu t'y met d'un coup, écoutes kanmême ton corps, parce que là c'est la blessure assurée. La course à pied est un sport très exigeant et très traumatisant pour le corps, donc faut pas trop jouer avec.

    Moi samedi j'ai couru 3 heures en colline avec environ 800 mètres de dénivelé positif et ce matin, j'ai fais la course de 14.5 bornes de l'affiche au dessus, sans problème ni douleur en particulier, mais j'ai l'habitude, ce n'est pas pareil pour toi si tu débutes, où coures très occasionnellement. De toute façon, écoutes et respectes ton corps, c'est la seule façon de te ménager et de faire de la course à pied la distance et le temps que tu veux.
     
  10. Baron

    Baron Well-Known Member

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    Ca fait un peu plus de 3 ans que je cours plus ou moins régulièrement.

    Mais sinon, oui, 52 tours et demi de piste, faut avoir envie je sais (on me l'a dit), mais avec de la musique, ça passe et ça me permet de connaître mon rythme à l'instant t. J'ai commencé à 10,3 km/h pour finir à 11,5 km/h, le dernier tour se faisant à 18,5 km/h, histoire de me donner l'impression d'avoir tout donné, malgré ce faible temps... Je suis ni sprinteur, ni coureur de fond (dans les grandes largeurs, il parait que c'est génétique), c'est chiant pour le moral donc j'évite d'y penser car c'est pour la perf que je cours XD

    Bref, de toute manière, je n'ai pas pu courir, mes jambes disaient NON ! ^^

    Mais je prends note des remarques. Et effectivement, je suis très loin de ton niveau. :p
     
  11. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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  12. Valinski

    Valinski Well-Known Member

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    Dernière semaine avant début de la préparation en vue du Marathon de La Rochelle du 26 Novembre 2013.
    Ça sera le 1er marathon pour moi. Des experts dans la salle ?
     
  13. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    euh moi.... j'ai attaqué ma prépa il y a un mois pour le marathon de new york le 03 novembre, j'ai engrangé pas mal de bornes, mais c'était dur avec la chaleur au mois d aout, j'en ai chié, sur des sorties longues, j'ai réussi à perdre 4 litres d'eau. Mais après un mois de prépa, je sens mieux mes jambes, même si je ne vais pas plus vite, j'ai quand même de meilleures sensations.
    le dimanche je me fais les courses des patelins du coin, pour casser un peu la monotonie et voir du monde, car ç'est chiant de courir des heures tout seul.

    le mois prochain, je fais le semi du luberon, y a le marathon en même temps..

    sinon pur moi ce sera aussi mon premier marathon, mais bon, je ne vais pas en faire des millions, non plus c'est trop astreignant comme prépa, le semi c'est nikel, tu t'entraines un peu et si tu rates des entrainements c'est pas trop grave, ça passe.......
     
  14. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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  15. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    valls, dernier message après j'arrête de raconter ma vie sexuelle je me suis inscrit à un trail blanc sous la neige à serre chevalier, au mois de janvier, je ne connais pas du tout, je n'ai jamais couru sur la neige......
     
  16. Baruto

    Baruto Poulpe fiction

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  17. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    il reste des dossards dispos pour le marseille cassis... pour ceux qui veulent se casser les pates. Moi j'ai craqué j'en ai pris un, sur un coup de nerf hier après midi.
     
  18. Tiflo

    Tiflo Aéroport Marignane F.C

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    Oh, j'en cherche justement.
    Mais je sais pas où les prendre..

    Enfin, je vais voir à ma fac. Parait qu'ils en distribuaient 100. A voir s'il en reste...
     
  19. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    va sur le site kms, il en propose en page d accueil......

    http://www.kms.fr/kms_www/index.php
     
    Dernière édition: 25 Septembre 2013
  20. Tiflo

    Tiflo Aéroport Marignane F.C

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    Merci !
    Mais ils nous prennent pour des pigeons les organisateurs. Je croyais pas que c'était si cher...
    45 Balles. Le prix d'un marathon.

    Je suis étudiant, j'ai beau m'entrainer régulièrement depuis plusieurs mois, faut pas pousser... Mon père l'avait fait y'a 5 ans, pour 10-15 euros.....

    Je me fout royalement de la télé, et compagnie.
    A ce titre, je me prends une matinée, et je le fait tout seul leur Marseille Cassis, la vielle.

    Au pire, y'a quoi ? Je ferais pas coucou à une caméra de FR3 Provence, et j'aurais pas mon nom à la 7431ème place dans les journaux ? J'en ferais pas un drame.....
     

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