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Course à pied, running: les compétitions des Phocéens

Discussion dans 'Les dieux du stade' démarrée par Sébastien Volpe, 12 Octobre 2012.

  1. Etoile 3056

    Etoile 3056 Well-Known Member

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    Salut Max

    je suis arrivé pendant le briefing du 28 (j'étais sur le 14) je suis arrivé de ma course vers midi, suis resté pour la remise des trophées (quelle pagaille sur le 14) mais je ne t'ai point vue.

    Bravo pour ta course, mon ami (du MTC) finit juste derrière toi et le gars c'est du costaud alors bravo très belle perf...

    Autrement la nouvelle organisation pas encore au point.


    Voilà un récit du 28: http://www.kikourou.net/recits/recit-13762-trail_de_jouques_-_28_km-2012-par-clemafran.html

    et un du 14: http://www.kikourou.net/recits/recit-13755-trail_de_jouques_-_14_km-2012-par-gnoufee.html
     
    Dernière édition: 16 Octobre 2012
  2. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    Un philosophe réhabilite le jogging : « Je cours donc je suis »




    • Pour Guillaume Le Blanc, courir est une énigme profonde. Ce n’est pas juste le symptôme d’une société hyper mobile.


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    Le philosophe Guillaume Le Blanc publie chez Flammarion un livre passionnant sur la course : « Courir, méditations physiques ». Il part d’un postulat étonnant :

    « Les philosophes ne traitent jamais de la course à pied. Déjà les Grecs faisaient l’éloge de la tortue marcheuse, mais disqualifiaient le vaillant Achille pris dans la folie de ses enjambées... »
    Coureur lui-même, le philosophe revient sur les écrits de Descartes, de Rousseau, de Deleuze, de Walter Benjamin mais parle aussi d’Emile Zatopek ou de Marie-José Pérec.

    Les titres de ses chapitres sont autant de gourmandises pour qui aime courir. « Je cours, donc je suis », « Portrait du philosophe en coureur de fond », « Fuyards », « Le plaisir de souffrir », « Corps utopiques »...

    Le contenu du livre est tout aussi génial. Interview.
    Rue89 : Vous parlez des philosophes marcheurs. Il n’y a pas eu jusqu’à vous de philosophe coureur ? Le livre commence sur cette absence.
    Guillaume Le Blanc : Oui, effectivement, j’ai cherché des philosophes coureurs, en vain. Il y a des philosophes nageurs. Chez Bachelard, on lit de très beaux passages sur ce sujet. Dans « L’eau et les rêves », il parle du fait de nager comme une activité d’opposition contre le monde.
    Il y a aussi les philosophes marcheurs. Platon, Kant, Rousseau, Aristote. Et puis, il y a même des philosophes gymnastes. Chez Platon, par exemple, pour être philosophe, il faut commencer par faire de la gymnastique. Mais le coureur, lui, est discrédité.

    Comment expliquer cela ?
    Pendant longtemps, le philosophe s’est méfié de son état de corps. Il a cherché à l’apprivoiser. La marche, c’était une possibilité d’être dans son corps, sans trop l’être non plus. Dans la course, au contraire, le corps est prépondérant. Il peut ou il ne peut pas.

    Vous partez des « Méditations métaphysiques » de Descartes. Dans la première méditation, il parle de marche. Vous dites qu’il faut malmener cette scène originelle. Pourquoi ?
    Cette scène cartésienne est en rapport avec toute une idée de la philosophie. Chez Aristote, il est question d’un monde céleste immobile qui tire sa perfection de son immobilité. Et c’est un monde auquel doivent ressembler les idées. A ce monde est opposé le monde terrestre, que Platon décrivait déjà comme fuyant, évanescent, transformable.
    Ainsi donc, la philosophie a pris le parti de l’immobilité contre la mobilité et elle s’est employée à discréditer tout ce qui était mobile, fuyant, évanescent.

    Mais ce qu’il est intéressant de se dire aujourd’hui, c’est que le monde n’est plus le même. Il a changé. Nous sommes profondément dans un monde de vitesse, d’accélération. Les représentations que nous avons du monde ont aussi changé.
    Or, il me semble que l’un des rôles de la pensée est de comprendre comment elle est traversée par cette mobilité, ce flux, cette vitesse.
    L’ambition, c’est donc d’avoir une philosophie au monde ?
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    Le livre de Guillaume Le Blanc

    Je pense que la philosophie doit assumer qu’elle est dans le monde et non pas hors du monde. Le pari, c’est de se dire qu’au lieu de prendre la distance hyperbolique du doute d’un Descartes, on peut essayer de faire le pas inverse.
    On peut essayer de plonger dans le monde pour essayer de décrire cet entremêlement entre soi et le monde. Quitte à aller contre une certaine idée de la philosophie qui voudrait nous détacher du monde.

    Ce qui est intéressant avec le coureur, c’est qu’il nous rattache au monde, sans nous rendre propriétaire de celui-ci. Le coureur ne fait que passer. Et c’est sa manière d’être lié au monde, d’être lié aux paysages, aux odeurs, aux couleurs. De composer avec ces éléments une relation très intime.
    Mais cette dépréciation philosophique du corps a aussi été sociale pendant longtemps, non ?
    Oui, le corps qui court n’est pas le corps aristocratique de celui qui a le temps, qui a du loisir qu’il peut consacrer à des études, qui peut délibérer en étant à l’agora, en exerçant ses fonctions de citoyen.
    Ce corps, c’est d’abord celui de quelqu’un qui doit l’utiliser. C’est, dans l’Histoire, celui du travailleur, de l’artisan, de l’esclave qui ne peut que disposer de son corps pour vivre. Il y a donc ce double discrédit du corps dans l’Histoire, métaphysique et sociologique.
    Assumer une philosophie de la course, c’est affirmer qu’il y a des méditations qui commencent très sérieusement avec le corps, dans le corps et par le corps. Et c’est aussi affirmer que la figure du coureur est intéressante. Le coureur, c’est aussi celui qui, en danger, peut être acculé à la course, qui n’a d’autre choix que de courir. Cette idée du désir d’invisibilité du fuyard transparait dans l’événement de la course à pied.
    Vous parlez du coureur comme d’un personnage philosophique. Pourquoi ?
    Ce texte, je l’ai un peu voulu comme un hommage caché à Deleuze chez qui il y a cette idée que la philosophie invente des personnages conceptuels. Par exemple, le prétendant philosophe dans la Grèce antique, celui qui prétend être philosophe et qui sera départagé d’autres prétendants.

    Ce que je trouve fascinant dans la course, c’est que ces personnages conceptuels sont réels. Ils existent et ils inventent une fiction : celle de la course à pied. On court dans un espace qui n’est pas destiné à la course, initialement. La ville est faite pour les voitures. Pour les piétons éventuellement.
    C’est cela aussi qui m’intéresse dans les courses organisées, les marathons ou les semi-marathons. C’est qu’à un moment donné les voitures ne passent plus. La ville se voit réordonnée par cette hallucination collective qu’est la course. Une épreuve que chacun vient disputer, non pas pour la gagner, mais pour ressentir dans son corps ce que les autres à côté de soi ressentent.
    On est à la fois seul et avec d’autres. C’est ce que recherchent les coureurs pendant les courses, cette expérience de la meute.
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    Des marathoniens à Berlin en septembre 2012 (Johannes Eisele/ AFP)

    La course à pied est pourtant une activité controversée. On la présente souvent comme signe d’un monde qui va trop vite...
    Aujourd’hui, c’est certain que nous sommes dans une société de la mobilité. On a une norme de vitesse, de performance qui exige des sujets qu’ils soient vifs. Un bon travailleur, c’est quelqu’un qui répond vite à ses mails, qui se déplace rapidement.
    A tel point qu’on a l’impression que le coureur serait un symptôme de nos sociétés. Courir, ce serait la preuve qu’on est dans la normalité puisqu’on a rejoint la vitesse du monde.
    Il est certain qu’il y a une pression sociale à la course. On voit les grandes entreprises envoyer leurs cadres performants dans les marathons.
    Mais pour autant je crois que ce serait une erreur de considérer que le coureur n’est qu’un symptôme de son époque. Ce serait manquer la dimension d’expérience de la course. Pour moi, la course est un symptôme et une expérience. Le coureur est pris dans le symptôme mais il ne cesse de le déborder en faisant une expérience. Et ces expériences, même si elles sont petites, ne sont pas sans intérêt, au contraire.

    Moi, je crois beaucoup que les petites choses ont une grandeur. C’est une manière de réenchanter le monde de l’ordinaire dans lequel nous sommes plongés.
    Le coureur se situe dans la vitesse, dans les flux mais il essaye d’en faire quelque chose, quitte à ralentir le rythme de la vie aussi. Quand on court à douze kilomètres/heure, on est déjà dans une épreuve de lenteur paradoxale, par rapport aux voitures qui vous doublent. C’est donc pourquoi il serait absurde de penser la figure du coureur comme le décalque de ce monde hyper mobile.
    Vous évoquez aussi l’incertitude de la course. On ne sait jamais en la commençant si on va pouvoir la finir et dans quel état on va la finir. Pourquoi êtes vous intéressé par cette dimension ?
    C’est une leçon de contingence radicale. Je m’embarque dans quelque chose dont j’ignore l’issue. Je peux me la représenter mais ce qui se passe dans la course est toujours plus intéressant que ce que j’imaginais au départ. Ce peut être un détail, une parole échangée avec un coureur, le surgissement d’une fanfare dans un virage. Il y a toujours de l’imprévisible qui surgit et qui ramène à cette dimension de la contingence.
    Ce que j’ai voulu explorer au fond, c’est la figure du coureur qui se hasarde à courir. Tout le contraire du programmateur de son corps que certains essayent de vouloir penser aujourd’hui, comme si le coureur était un ingénieur de son corps, maître de tous ces mouvements. Cette dimension d’automate, certes présente dans la course, ne va jamais très loin. La contingence de la vie reprend ses droits.
     
  3. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    C’est vrai qu’il y a ces gens qui font leurs tours de pistes aussi.

    Mais, ça, pour moi, ce n’est pas du tout contradictoire. Moi, dans ma pratique, j’ai deux, trois circuits, que je répète de façon obsessionnelle mais ce n’est pas en contradiction avec la possibilité d’explorer d’autres espaces, que ce soit dans son chez soi, prendre une rue plutôt qu’une autre, par exemple. Ou que ce soit en voyage parce qu’on prend un paire de baskets avec soi.
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    Un coureur à Rio (Digo_Souza/Flickr/CC)

    De l’addiction à la course, vous dites que c’est une manière positive de prendre conscience de son corps.
    Il y a un état de manque quand on cesse de courir pendant un certain nombre de jours. Pour des raisons hormonales, l’addiction est très présente dans la course. Mais je crois que cette expérience est primordiale. Pendant longtemps, il y a eu un tabou autour de l’addiction.
    On l’a pensée à travers ce qui détruit un sujet et non à travers ce qui l’aide à se construire. Les problématiques de la drogue, des stupéfiants ont absorbé la question générale de l’addiction. Je pense pourtant que l’addiction est un vrai problème métaphysique, au sens fort du terme.
    Peut-on exister uniquement en soi-même et par soi-même ou est-ce qu’il ne faut pas se brancher sur des énergies extérieures ou sur des rythmes pour se sentir exister ? Oui, il y a une addiction qui se construit. Mais l’addiction peut aider à vivre.
    Vivre, c’est sentir toutes les dépendances qui permettent cette vie. Et la question éthique, ce serait au fond la suivante : quelles sont les bonnes dépendances pour moi ? Quelles sont les dépendances qui augmentent ma puissance d’être et celles qui la diminuent ? C’est ce que Spinoza avait déjà formulé. Quelles sont les dépendances qui me rendent heureux ? Quelles sont celles qui me rendent triste ?
    Et vous, depuis quand courez-vous ?
    Je cours depuis que j’ai 13-14 ans. Par hasard. Un des meilleurs amis de mes parents faisait des marathons. Il allait dans d’autres pays et il s’était mis en tête de nous faire courir avec mon frère. Il nous prenait pour aller courir avec lui.
    C’était toujours une épreuve redoutée. Non seulement on courait, mais dans le Lot où nous étions, ça grimpe. Dans les montées, il nous parlait de ce qu’on avait lu, de qu’on voulait faire plus tard. On a repris le même exercice quand on est devenus étudiants à Toulouse, où il habitait. On allait courir dans le coteaux. Aujourd’hui, mon frère et moi, nous courons tous les deux.
    L’été, je cours quasiment tous les jours. Là, j’essaye de maintenir trois, quatre sorties par semaine, dont une plus longue.
    Qu’est-ce qui vous attire dans la course ?
    Il y a quelque chose d’un peu masochiste dans la course. On cherche un type de bien-être, lié à une expérience de douleur. Il y a aussi cette dimension du passé-composé dans la course. « J’ai couru. »
    Parce qu’après, il y a une forme de sérénité que je vois comme une forme de médecine.
    Mais après quoi courez-vous ?
    Alors ça c’est la grande question (rires). Il me semble qu’on court toujours après une certaine idée de la course. Elle se jouerait dans la course mais elle n’arrive sûrement jamais.
    Je cours après quelque chose que je n’arrive jamais à rejoindre. C’est ça qui donne envie d’y retourner. C’est une énigme. C’est important de reconnaître que c’est une énigme profonde. Parce qu’on ne peut pas dire qu’on court après un type de plaisir. Il y a du plaisir mais c’est un plaisir très étrange. Il y a de la douleur aussi.
    Moi je crois que courir, c’est se créer une petite figure pour soi que l’on emporte dans l’espace extérieur. Peut-être qu’on court pour éprouver cette transition continue entre le dedans et l’extérieur. Si je savais vraiment après quoi je cours, peut-être que j’arrêterais de courir.
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    Guillaume Le Blanc (Philippe Matsas/Flammarion)

    Vous parlez de la course comme d’un appel au néant. Est-ce à dire que la course confronte à la mort ?
    Je crois qu’à un certain moment quand on court, on est au bord de quelque chose comme le néant. Je ne dirais même pas que c’est la mort, mais c’est une expérience très troublante du rien.
    Dans le marathon, en tout cas, il y a un moment où l’énergie qu’on a en soi n’existe plus. Quand on a commence à courir, on est optimiste. On pense qu’on pourra disposer de son corps, qu’on pourra faire appel à sa volonté. Et puis cette provision disparaît progressivement.
    Tous les marathoniens racontent que vers le trentième kilomètre, cette énergie disparaît. Il n y’a plus rien. C’est le moment où l’on voit des gens qui s’arrêtent au bord de la route, qui pleurent, qui vomissent, qui sont dans des états seconds.
    Et c’est très étonnant de se rendre compte que sa vie repose sur un stock énergétique qui n’est pas disponible à l’infini. Il y a là une finitude radicale. Alors, oui, on peut dire que courir, c’est sentir que l’on est mortel. Notre énergie n’est pas disponible à l’infini.
    Est-ce pour cela que vous dites que la course est un vœu de pauvreté ?
    Pour courir, il faut un peu faire vœu de pauvreté. Comprendre qu’on ne fait que passer. Quand on court, on comprend ce que ça veut dire qu’être de passage. Au sens propre du terme.
     
  4. Suix

    Suix Guest

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    En attendant ça se bouscule pas au portillon pour le faire ce Marseille-Cassis. J'ai toujours que 5 inscrits, j'crois ...
     
  5. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    moi tu m'as pas compté, tu m'as peut être pas pris au sérieux, mais je serais bien boulevard michelet dimanche ( pour courir of course).
     
  6. Suix

    Suix Guest

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    C'est fait, tu es le 6e.
     
  7. Etoile 3056

    Etoile 3056 Well-Known Member

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    Le RDV tient toujours????
     
  8. Etoile 3056

    Etoile 3056 Well-Known Member

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    Résultat du Grand Raid De La Réunion (La diagonale des fous) 170 km


    Le TOP 20...

    1° KIlian Jornet 26h33
    2° Antoine Guillon 27h44
    3° Arnaud Lejeune 29h39
    4° Erik Clavery 30h06
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]5° Christophe Le Saux 31h15[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]6° Mico Clain 31h31[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]7° David Pasquio 31h56[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]8° Yannick Perrin 31h57[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]9° Erik Nirlo Georges 31h57[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]10° Emilie Lecomte 33h03 (1ère féminine)[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]11° Mathieu Bourguignon 34h04[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]12° Frédéric Crocquevieille 34h07[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]13° Jean Hugo Hoarau 34h19[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]14° Dany Payet 35h04[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]15° Pierrot Myrthe 35h19[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]16° Néréa Martinez 35h27 (2ème féminine)[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]17° Sébastien Tholozan 35h40[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]18° Brice Dijoux 35h45[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]19° Jean Claude Guiton 35h59[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]20° Philippe Verdier 36h02[/FONT]
    [FONT=lucida grande, tahoma, verdana, arial, sans-serif]Bravo à tous ![/FONT]

    [h=1]Chute mortelle sur le Grand Raid[/h]


    [​IMG]
    [FONT=Trebuchet MS, sans-serif]Triste nouvelle ce matin. [/FONT]

    [FONT=Trebuchet MS, sans-serif]Un compétiteur de ce 20ème Grand Raid a trouvé la mort. D'après Réunion Première, un coureur a fait une chute mortelle d'une trentaine de mètres au niveau du Col des Fourches, cette nuit, entre 2h et 3h30 du matin, entre le cirque de Mafate et de Salazie. [/FONT]"Le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne est intervenu dès le lever du jour",[FONT=Trebuchet MS, sans-serif] précise Réunion Première.[/FONT]
     
  9. Olympiqmax

    Olympiqmax Rédacteur

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    Putain, j'ai deux amis qui y participent... fait chiier ces accidents de merde !
     
  10. Etoile 3056

    Etoile 3056 Well-Known Member

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    En plus la rumeur veut que ce soit un marseillais.

    un Marseillais âgé de 53 ans, a glissé dans un sentier très boueux à cause de la pluie. Malgré l’intervention des secours, la victime n’a pas survécu à ses blessures


    http://reunion.orange.fr/news/reunion/la-course-endeuillee,634274.html
     
    Dernière édition: 20 Octobre 2012
  11. René Malleville

    René Malleville La partie est OPEN , quoi ? aux pennes mirabeau ??

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    Bon, je pense que je vous attendrez à Cassis si Alexandre ne joue pas!
    Mais ou c'est "la Tortue"?
     
  12. Olympiqmax

    Olympiqmax Rédacteur

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    Ouaif mes amis sont plus jeunes... mais c'est super triste quand même...
     
    Dernière édition: 20 Octobre 2012
  13. Baron

    Baron Well-Known Member

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    C'est vrai que c'est fort regrettable ce genre d'évènement. RIP !
     
  14. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    ce kilian quel extra terrestre, je préfère rester naif et me dire, qu'il boit de l'isostar, tellement c'est beau et fort ce qu'il fait. Ce con il m'a fait acheter des habits salomon, j'ai son dvd, j'ai craqué.....
     
  15. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    pour moi les amis coureurs du marseille cassis, je pense qu'il vaut mieux se voir à l'arrivée ( ça vous obligera à m'attendre), car qui dit rassemblement avant, il faut y être hyper de tôt, et avec l'effervescence du matin, la foule, le stress, on a pas l'assurance de se voir, cela risque d'en faire attendre du monde sans avoir la certitude de pouvoir se voir, de plus si on se voit, ça va être 30 secondes, et il va vite falloir filer sur le boulevard michelet, et si on veut prendre une photo, moi perso, je cours sans mon portable et sans mon appareil photo.

    A mon humble avis, il vaudrait mieux se voir à l'arrivée de la course ( si j'y arrive ), sur la place au ravito après l'arrivée, afin de pouvoir tranquillement autour d'un verre d'eau faire une photo, là à l'arrivée j'aurais un appareil photo.

    Après si vous insistez on peu prendre la douche ensemble.

    René prend le micro et met un peu de l'ambiance à l'arrivée tu te met sur le podium, tu nous dynamite tout ça, on en aura bien besoin....

    a vous de me donner votre avis...
     
  16. Etoile 3056

    Etoile 3056 Well-Known Member

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    Demain la "St-Tropez classic" pour bien préparer MarsK6 16km dans les rues et autour de St-Trop.
    http://www.sainttropezclassic.com/

    Bonnes coures à celles et ceux qui courent du coté de Cabriès
    la "CABRO D'OR" https://sites.google.com/site/lacabrodorcabries/


    Et une grosse pensée à notre ami Thierry du Marseille Trail Club qui a perdu la vie cette nuit Sur le Grand Raid de la Réunion victime de sa passion, et sincère condoléances à sa famille et ses amis.
     
  17. Massalia Patria Nostra.

    Massalia Patria Nostra. Marseille Trop Puissant

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    Pastis Cassis 20 km

    L'archi favori est René Maleville(33 éditions à son actif) mais l'archi vainqueur semble donner des signes de fatigue.Je me permets donc d'avancer quelques outsiders ,tout d'abord Ebola dit le"Poulidor des 20km du Pastis Cassis" 33 fois deuxième ça pourrait enfin être son heure.Il y a aussi Giancana qui lui aussi a la particularité de descendre le pastaga à sec sans eau vainqueur en 2011 du trophée Marijuana il prouve que la nouvelle génération a aussi son mot à dire.Impossible d'avancer des noms d'éventuels vainqueurs sans citer Paf le Chien longtemps banni des circuits traditionnels il a connu un exil plutôt prolixe en titres! Sept fois vainqueur de la Rhum cul sec de Cayenne et six fois vainqueur de l'Alcoolic Amazone Cup (où ça tourne à l'alcool d'autochtone!) Paf le Chien en impose et se pose en favori en cas de défaillance de l'archi champion Rebé Maleville. L'inévitable JC 13 fois vainqueur du mondial de l'ectasy s'essaye au Pastis Cassis après un essai fructueux à la coupe du Pinard il peut avoir son mot à dire.Enfin Rootseb après deux années de sevrage a lui aussi des titres à faire valoir (élu ivrogne de l'année en 2009 par le journal l'équipe et surtout vainqueur de la fète de la bière à Munich en 2007 2008 et 2009 un fabuleux triplé qui égale le record du baron Von de kronenbourg)

    Bonne 34ème édition à tous!
     
    Dernière édition: 21 Octobre 2012
  18. giancana

    giancana Guest

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    EEExxxcceelllleeeennnttttttttt , je l'avais pas vu , bien ouej ouej le mass , je reconnais la ta plume !!
    je vais au dentiste , j'ai un truc a faire et ce soir je contre attaque sur le topic des mots !!
    ch'allah !!;)
     
  19. René Malleville

    René Malleville La partie est OPEN , quoi ? aux pennes mirabeau ??

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    Te fais pas de soucis Massalia, je viens de m'entrainer en participant à la course des garçons de cafés nouvelle formule:
    "Faire quatre fois le tour du vieux port avec obligation de s'arrêter aux stands de ravitaillements, distants de 50 mètres chacun, et obligation de boire deux pastis glaçons sans eau chaque fois!"
    Il va sans dire que j'ai gagné haut la main!
    Disons que ta course est une excellente mise en bouche pour la course des çarçons de cafés de l'année prochaine ou il est en projet de tripler la distance!
    Ils veulent m'avoir les batards, mais ils ne soupçonnent pas mes capacités!:mdr:
     
  20. Massalia Patria Nostra.

    Massalia Patria Nostra. Marseille Trop Puissant

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    :mdr:Je mise tout sur toi!!! :mdr:

    Attention don néné de ne pas finir comme Armstrong j'espère que tu ne te fais pas des injections au pastis pour mieux supporter !!

    Tu gagnes trop! Y a des soupçons de dopage...
     

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