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Course à pied, running: les compétitions des Phocéens

Discussion dans 'Les dieux du stade' démarrée par Sébastien Volpe, 12 Octobre 2012.

  1. Emile de Marseille

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  2. Emile de Marseille

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    à Aubagne footing 1h 02 avec 15 accélérations courtes


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  3. Emile de Marseille

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    Ce matin 12 mn fixe , bon gainage ..


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  4. Emile de Marseille

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  5. Emile de Marseille

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    Dimanche 5 km 250 m dénivelé 27 mn 4eme v4

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  6. Emile de Marseille

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    Dimanche, c'est sacré
    Combien de km affiche votre montre 62 km pour moi en comptant dimanche matin ..


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  7. Emile de Marseille

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    Finalement ce samedi matin une sortie sympa chez décathlon Aubagne


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    Dernière édition: 23 Avril 2016
  8. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    Le 8 Mai , trail des eaux vives 23 et 13 km si tout va bien je devrais faire le 13 km ..

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  9. Emile de Marseille

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  10. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    Ce matin repos , un petit tour chez décathlon , pour un petit achat ..

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  11. Emile de Marseille

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    Magnifique mais technique parcours saint Marcel la Barasse

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  12. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    la vache y a de la lumière à trois heures du mat à la barasse...........
     
  13. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    Ce n'est pas ça j'ai oublié de mettre cette photo de mon entrainement et comme souvent je ne dors pas beaucoup je l'ai fait à 3h tu verras à 70 ans ...
     
  14. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    au fait roger nous a claqué un podium à peynier,
     
  15. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    Je sais je l'ai vu à une course prés de Marseille
     
  16. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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  17. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    [h=2]Courez plus efficacement… Avec vos bras ![/h]
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    Le rôle des bras dans la course est beaucoup plus important qu’on l’imagine. Il est même très différent selon le type de distance que l’on va pratiquer, économique qu la longue distance, énergique et actif sur les courses rapides. Conseils
    En pleine course, la principale fonction des membres supérieurs est d’assurer une bonne coordination avec les jambes afin d’améliorer l’équilibre. Ainsi à chaque balancement vers l’avant de l’avant-bras droit, un signal de type réflexe entraîne le déplacement de la jambe gauche vers l’avant. Dans le même temps l’avant-bras gauche se déplace vers l’arrière, tandis que le déplacement de la jambe droite s’effectue aussi vers l’arrière. Afin d’économiser votre énergie qui sera utile pour faire fonctionner au mieux vos jambes, il convient de faire prendre par votre corps des positions de moindre tension. Courez donc la paume des mains presque entièrement dirigées vers le sol, et pas vers le côté. Les poignets seront souples et détendus, les bras se balançant en cadence avec les jambes. Chez le marathonien, l’amplitude du déplacement est réduite, l’avant-bras se déplace juste un peu devant le plan de la poitrine à la manière d’un pendule. Celui-ci dessine un arc de cercle avec l’extrémité du membre supérieur (la main). Plus les distances raccourcissent (5 km ou 10 km) plus l’amplitude du déplacement augmente et plus l’arc de cercle s’allonge. Le rythme du déplacement est lié à la vitesse de course, il sera plus élevé si la distance est courte.
    Dans tous les cas, les coudes fléchissent de 60° à 90°. Tenez vos bras assez bas et près du corps tout en les balançant avec souplesse de sorte que vous n’aurez pas besoin de faire un effort important pour les déplacer. Mais si vous les laissez loin de votre corps, coudes écartés, vos bras et vos épaules se fatigueront plus vite, parfois des contractures pourront apparaître. A l’occasion d’un cross-country ou de toute autre course verte, vos bras doivent prendre le commandement pour franchir une difficulté (fossé, bosse, longue montée). La cadence du mouvement de vos bras s’accélère et vos jambes suivront le dit mouvement en rehaussant la fréquence de la foulée. Vos mains peuvent monter aussi haut que le milieu de votre poitrine et descendre aussi bas que l’ourlet de votre short (partie inférieure), mais plus la course est longue, plus la pesanteur entraînera vos bras vers le bas. En conséquence au cours d’un marathon, voire d’un 100 km, il convient de se décontracter les épaules en n’hésitant pas à laisser pendre les bras pendant quelques secondes. Il ne faut jamais hésiter à le faire lorsque le besoin de décontraction se fait sentir.
    En conclusion : grâce à un balancement des bras bien adapté, coordonné à votre foulée, vous pouvez améliorer votre style et rendre votre foulée plus efficace. En surveillant et en corrigeant son geste et particulièrement le jeu des membres supérieurs, le coureur de fond contribue en effet à dépenser le moins d’énergie possible. Et donc à être plus performant.

    7 erreurs à éviter
    1. Ne pas prendre la position du boxeur qui garde les poings très serrés et les bras trop élevés avec des coudes plaqués contre son corps.
    2. Ne pas courir, à l’inverse, la main ouverte et les doigts tendus. Cela augmente les tensions et consomme de l’énergie inutilement. Posez plutôt votre pouce sur l’index en gardant les doigts fléchis mais sans serrer le poing. La paume de la main se tourne vers le sol.
    3. Ne pas courir avec les épaules remontées car cela va augmenter la tension des trapèzes et provoquer des crampes sur les longues distances (marathon).
    4. Ne pas courir sans déplacer d’avant en arrière les coudes, les épaules restant bloquées par un manque de souplesse.
    5. Ne pas garder les mains et bras ballants le long du corps plus qu’il ne faut. Si les membres supérieurs pendent mollement à côté de vos cuisses, vous n’aurez aucune impulsion à donner aux mouvements de vos jambes qui seront moins dynamiques. De plus l’équilibre et la stabilité de votre corps sera perturbée.
    6. Éviter de gaspiller de l’énergie en effectuant de grands balancements latéraux avec les coudes qui s’écartent considérablement du corps dans un plan horizontal. Les mains ne doivent pas se rencontrer devant le buste. Il est inutile de faire des moulinets avec les épaules.
    7. Éviter la dissymétrie avec les membres supérieurs dans la réalisation du mouvement. Si le déplacement des membres supérieurs n’est pas identique des deux côtés, cela peut entraîner un déséquilibre, une mauvaise coordination et au final des blessures aux membres… inférieurs.



     
  18. manu_om_79

    manu_om_79 Well-Known Member

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    Plus que 4 semaines avant le 1er marathon. Toujours gêné par la pubalgie, impossible de faire plus d'un footing par semaine et dur de dépasser 10 km, ça s'annonce mal mais je garde espoir tout de même.

    Sinon je serai tenté par Marseille-Cassis l'année prochaine, est-ce que certains l'ont déjà fait ici ?
     
  19. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    Oui plus de 20 fois , maintenant je fais des distances plus courtes vu mon grand âge ..
     
  20. Emile de Marseille

    Emile de Marseille Well-Known Member

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    Comment soigner une pubalgie ?
    Cette fois le repos complet est indispensable. Il doit durer quelques jours ou quelques semaines. En effet, le pubis se situe à un carrefour mécanique du corps humain et cette zone est sollicité à la moindre activité. Seul le vélo peut être repris rapidement : le bassin, en appui sur la selle est relativement stable. En revanche le simple footing, en alternant les appuis sur les jambes droite et gauche, provoque un cisaillement du pubis et gène la cicatrisation. Les médicaments anti-inflammatoires et décontracturants musculaires diminuent l’irritation et les tiraillements locaux, ils contribuent à votre soulagement. A l’issu de cette première phase, le kiné entre action. La rééducation débute très doucement. Elle cherche à assouplir les adducteurs et guider leur cicatrisation. Il est également nécessaire de renforcer les abdominaux qui entourent le ventre pour mieux maintenir le bassin. Mais attention il ne faut pas aggraver les déchirures localisées à l’extrémité de ces muscles ! C’est alors que le talent et la compétence du kinésithérapeute jouent un rôle essentiel. Il connaît les exercices les mieux adaptés et il sait en doser la difficulté. Souvent, lorsque le pubis fonctionne mal l’articulation placée à l’arrière du bassin souffre également. C’est à ce niveau que la colonne vertébrale prend appui. Vous comprenez pourquoi, il est parfois utile d’effectuer quelques manipulations pour que cette zone retrouve une plus grande harmonie de mouvement. Lorsque les douleurs s’amenuisent, une reprise très progressive est envisageable : d’abord le jogging dans l’axe puis les déplacements latéraux. Enfin, on peut renouer avec le ballon en douceur. Conduite de balle puis des tirs de plus en puissants sont au programme. Si tout se passe bien, le retour à l’entraînement collectif est possible. Selon la gravité des lésions, le footballeur aura été absent des terrains de quelques jours à plusieurs mois !
     

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