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[Cyclisme] Tour de France, Giro, Vuelta,...

Discussion dans 'La petite reine' démarrée par Mr Pouet Pouet, 5 Juillet 2008.

  1. Mr Pouet Pouet

    Mr Pouet Pouet vrai ou forumeur ?

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    tranquille Cancellara.
     
  2. Mr Pouet Pouet

    Mr Pouet Pouet vrai ou forumeur ?

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    pourquoi ils foutent pas des barrières dans le Carrefour de l'Arbre ? deux OPQS perdent la course là à cause du public !
     
  3. bumpa

    bumpa Le capitaine, l'aboyeur

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    Cancellara il tombe pas il bouge pas, le mec c'est un cyborg
     
  4. Mr Pouet Pouet

    Mr Pouet Pouet vrai ou forumeur ?

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    bon bah Cancellara...
     
  5. bibouhr

    bibouhr Well-Known Member

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    y' a pas a dire on sent tout de suite que sans Armstrong les gars sont plus chargé, bravo a cancellara , le symbole du cyclisme propre en moto
     
  6. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

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    Il a un look ce gaudin sur son vélo...pas esthétique du tout on dirait un crapaud :mrgreen:, cependant il a fait une belle course !
     
  7. anonymous_050120232

    anonymous_050120232 Well-Known Member

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    J'avoue que concernant Cancellara, je doute qu'il ne tourne qu'à l'eau claire, celui-là...
     
  8. moriturio

    moriturio Well-Known Member

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    Ben, si, cette semaine, il s'est mangé 2 fois la gueule...

    Mais bon, s'il ne chute ni ne crève, en ce moment, il est imbattable sur ce genre d'épreuve...

    C'est Yohann Offredo qui s'est mangé un panneau, il parait? :lol:

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  9. bumpa

    bumpa Le capitaine, l'aboyeur

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    Joue pas sur les mots tu as très bien compris
     
  10. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Fracture du sternum pour Offredo[/h]



    Victime d'une lourde chute dimanche lors de Paris-Roubaix, Yoann Offredo a passé des examens. Ils ont révélé une fracture du sternum et des côtes fêlées, précise-t-il sur son compte Twitter mardi. Le coureur de la FDJ, âgé de 26 ans, passera un scanner cérébral mercredi.
     
  11. moriturio

    moriturio Well-Known Member

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    J'espère que ça ne sera pas plus grave que ça mais bon, comême.... C'est une faute professionnelle de se bouffer un panneau sur un îlot central à ce niveau-là...
     
  12. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Cyclisme-Europcar : Bernaudeau cherche 2 millions[/h] Manager d'Europcar, Jean-René Bernaudeau n'a pas encore l'assurance de voir son sponsor rester en fin de saison. «Nous avons sept millions de budget, il nous en faudrait neuf pour faire ce que nous avons envie de faire.»


    Jean-René Bernaudeau écoute Thomas Voeckler, le leader de son équipe et meilleur argument pour un sponsor. (L'Equipe)

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    Jean-René Bernaudeau ne veut pas revivre la fin d'année 2010 si stressante quand il avait trouvé in extremis un sponsor pour succéder au groupe Bouygues Telecom : «Ça m'a coûté trop cher sur le plan de la santé.» Alors que le contrat de partenariat avec Europcar s'arrête en fin de saison, le manager s'est déjà fixé une limite : «Je veux savoir avant le départ du Tour.» Car Europcar n'est pas sûr de rester dans le peloton, malgré l'impact de Thomas Voeckler, l'émergence de Pierre Rolland ou le beau Paris-Roubaix de Damien Gaudin (5e). «Europcar est touché par la crise... Difficile pour eux en ce moment d'augmenter le budget, donc on discute, raconte Bernaudeau ce mercredi dans notre quotidien. On cherche un cosponsor. Europcar, c'est soixante pour cent de mon budget. Et j'ai besoin de faire grandir l'équipe.»



    Pour Bernaudeau, l'objectif est clair : «BMC a vingt millions (d'euros. Nous en avons sept, il nous en faudrait sept pour faire ce qu'on a envie de faire. (...) On a des idées, manquent les moyens. (...) Moi, j'ai besoin d'un budget supérieur, pas pour rallier le World Tour, mais pour pouvoir payer mes coureurs qui voient leur valeur marchande augmenter au fil de leur succès, pour affiner Gaudin, lui apporter un soutien technique, un préparateur mental...» Il le dit avec une pointe d'envie face aux grosses écuries du peloton : «C'est évident que le patron de Sky pourrait lui faire gagner Paris-Roubaix plus vie que moi...»
     
  13. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Cyclisme - Fl. Brabançonne : Sagan s'offre Gilbert[/h]




    Grand favori, même en isolé dans le final, Peter Sagan a remporté la Flèche Brabançonne mercredi, classique de transition vers le triptyque ardennais. En s'imposant au sprint devant le champion du monde Philippe Gilbert, le Slovaque de Cannondale a confirmé qu'il serait l'homme à battre dimanche lors de l'Amstel Gold Race. Présent dans la bonne échappée, Sylvain Chavanel (OP-QS) prend la 4e place.
     
  14. Mr Pouet Pouet

    Mr Pouet Pouet vrai ou forumeur ?

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    Sagan, Gilbert, je sens qu'on va entendre que eux sur les ardennaises.
     
  15. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Le parcours de l’Amstel Gold Race[/h]
    [HR][/HR] [​IMG]

    Dix ans après avoir déplacé la ligne d’arrivée du centre-ville de Maastricht au sommet du Cauberg, l’Amstel Gold Race a de nouveau décidé de relifter son parcours en 2013.

    C’est toujours à Valkenburg que la décision se fera, mais la ligne a été reculée au même niveau que lors des derniers Championnats du monde : c’est 1 800 mètres plus loin que ces dix dernières années, et si l’on se souvient que la précédente arrivée était déjà en faux-plat sur les derniers hectomètres, cela signifie que le vrai sommet du Cauberg est désormais à environ deux bornes du but.

    C’est peu et beaucoup à la fois : a priori, rien n’empêchera les puncheurs de continuer à utiliser le tremplin de Valkenburg pour faire la différence, mais le temps du sprint sur le Cauberg est terminé. Désormais, ce sera deux kilomètres plus loin, sur le plat, ce qui change en partie l’approche tactique et même l’identité des coureurs concernés, probablement.


    L’autre grande nouveauté du parcours, dont on parle moins mais qui est sans doute aussi importante, c’est l’introduction d’une nouvelle boucle dans le final de l’épreuve. Le Cauberg est ainsi gravi quatre fois, et non plus trois, l’avant-dernier passage étant à vingt bornes de l’arrivée.

    Entre ces deux ascensions, deux bosses : le Geulhemmerberg et le Bemelerberg. Le Keutenberg, lui, se retrouve relégué dans l’avant-dernière boucle. Or si l’Amstel Gold Race compte toujours une trentaine de côtes – 34 cette année – c’est bien ce Keutenberg, l’une des plus difficiles, qui faisait tous les ans la sélection majeure dans le peloton. Jusqu’à l’an dernier, c’était la dernière difficulté avant le dernier passage du Cauberg, à une douzaine de kilomètres de l’arrivée.

    Cette fois, ce sera vingt bornes plus tôt, ce qui devrait largement réduire son importance. Et le Bemelerberg, avec sa pente maximale à 6%, aura du mal à le remplacer efficacement.
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    [h=3]Maastricht – Valkenburg (251,8 km)[/h] [​IMG]
    [h=3]Les 34 côtes du parcours[/h] [TABLE]
    [TR]
    [TD="align: center"]1 – Slingerberg (KM 9,4)[/TD]
    [TD="align: center"]13 – Gemmenich (KM 113,3)[/TD]
    [TD="align: center"]25 – Loorberg (KM 195,6)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]2 – Adsteeg (KM 14,1)[/TD]
    [TD="align: center"]14 – Vijlenerbos (KM 117,8)[/TD]
    [TD="align: center"]26 – Gulperberg (KM 205,1)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]3 – Lange Raarberg (KM 22,3)[/TD]
    [TD="align: center"]15 – Eperheide (KM 126,5)[/TD]
    [TD="align: center"]27 – Kruisberg (KM 210,5)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]4 – Bergseweg (KM 38)[/TD]
    [TD="align: center"]16 – Gulperberg (KM 135,1)[/TD]
    [TD="align: center"]28 – Eyserbosweg (KM 212,4)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]5 – Sibbergrubbe (KM 49,7)[/TD]
    [TD="align: center"]17 – Plettenberg (KM 138,6)[/TD]
    [TD="align: center"]29 – Fromberg (KM 216,2)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]6 – Cauberg (KM 54,1)[/TD]
    [TD="align: center"]18 – Eyserweg (KM 140,7)[/TD]
    [TD="align: center"]30 – Keutenberg (KM 220,7)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]7 – Geulhemmerberg (KM 58,6)[/TD]
    [TD="align: center"]19 – Huls (KM 145,2)[/TD]
    [TD="align: center"]31 – Cauberg (KM 230,7)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]8 – Wolfsberg (KM 78,1)[/TD]
    [TD="align: center"]20 – Vrakelberg (KM 150,5)[/TD]
    [TD="align: center"]32 – Geulhemmerberg (KM 235,3)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]9 – Loorberg (KM 81,2)[/TD]
    [TD="align: center"]21 – Sibbergrubbe (KM 158,2)[/TD]
    [TD="align: center"]33 – Bemelerberg (KM 244)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]10 – Schweibergerweg (KM 92,5)[/TD]
    [TD="align: center"]22 – Cauberg (KM 162,6)[/TD]
    [TD="align: center"]34 – Cauberg (KM 249,2)[/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]11 – Camerig (KM 98,9)[/TD]
    [TD="align: center"]23 – Geulhemmerberg (KM 167,2)[/TD]
    [TD="align: center"][/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"]12 – Drielandenpunt (KM 109,5)[/TD]
    [TD="align: center"]24 – Bemelerberg (KM 180,3)[/TD]
    [TD="align: center"][/TD]
    [/TR]
    [TR]
    [TD="align: center"][/TD]
    [TD="align: center"][/TD]
    [TD="align: center"][/TD]
    [/TR]
    [/TABLE]
     
  16. Suix

    Suix Guest

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    L’Amstel Gold Race a changé son fusil d’épaule : fini l’arrivée au sommet du Cauberg, il faut désormais parcourir 1 800 mètres de plus pour espérer l’emporter. Comme aux Mondiaux 2012. Comme sur le Tour de France 2006. Velochrono épluche ces deux courses pour tenter de comprendre comment l’édition 2013 de la classique néerlandaise peut se finir.

    Ce que nous ont appris les Mondiaux de 2012

    Le Cauberg, c’est quoi ? Une approche rapide malgré l’accumulation de bosses depuis le départ de la course : les spécialistes arrivent toujours à déborder d’énergie au moment où il faut aborder cette montée finale, comme si tout ce qui précède n’avait servi à rien. Mais dès que la route s’élève, c’est à un sprint que se livrent les coureurs et ce n’est quand même pas une partie de plaisir. La pente s’endurcit au fur et à mesure que l’on se rapproche du sommet pour favoriser, peu à peu, les meilleurs puncheurs. Non pas en plaçant une attaque franche et inattendue – pas de place pour le bluff – mais en augmentant son allure dans le but de s’offrir ces quelques mètres d’avance, pas plus, qui peuvent faire la différence.

    Le coup de boost peut parfois être impressionnant, comme avec Philippe Gilbert l’an passé aux Mondiaux, mais c’est un cas particulier : l’enchaînement des difficultés était plus usant, puisqu’il s’agissait d’un circuit, et le kilométrage plus élevé. Les coureurs en avaient moins sous la pédale que lorsqu’il s’agit de l’Amstel Gold Race. Même dans ces conditions, le Belge n’avait pu prendre que trois ou quatre secondes d’avance : c’est en parvenant à maintenir l’intensité de son effort qu’il a pu résister jusqu’à la ligne située à 1 800 mètres du terme du Cauberg, tout en profitant aussi de l’inévitable moment de tergiversation qui touche les poursuivants à la fin d’une ascension qui précède une arrivée. Celui qui se sait incapable de revenir sur l’homme de tête pense à la place d’honneur, compte ses coups de pédale : c’est un « classique des classiques ».
    Il reste alors à serrer les fesses pour le fuyard et à livrer toutes ses forces dans la bataille, pour une attaque en deux temps où il s’agit de ne surtout pas négliger le second.

    Ce que nous a appris l’étape du Tour 2006


    Six ans avant les Mondiaux de Valkenburg, le Tour de France faisait étape dans la cité du Limbourg. Pour une arrivée identique et déjà, Philippe Gilbert était dans le coup. Le Belge livrait son effort quasi au même endroit de la montée, mais pas seul : il suivait Matthias Kessler, le premier à parvenir à prendre quelques longueurs d’avance après l’habituelle neutralisation du début d’ascension, faute de pente. Au sommet, l’Allemand avait fait un écart de deux secondes qui s’était transformé, quelques hectomètres plus loin, en un avantage décisif.

    C’est une autre illustration de ce qui fait vraiment la différence dans une configuration où l’arrivée est un peu après le Cauberg : celui qui franchira le sommet en tête devra avoir bien géré son effort pour le prolonger et ainsi ne pas s’effondrer.

    Mais il est évident qu’entamer le replat en première position, seul, c’est déjà une bonne partie du boulot accompli. La menace d’un retour n’est pas aussi grande que sur un Milan-Sanremo, où le Poggio réclame plus d’énergie que le Cauberg car il est plus long, où la distance totale est plus grande, où la ligne d’arrivée est située bien plus loin de l’ultime difficulté, et où la descente finale est autrement plus compliquée à gérer.

    En Ligurie, on dévale à tombeau ouvert et connaître parfaitement le terrain est un atout indéniable. Aux Pays-Bas, c’est quasiment tout droit et presque tout plat jusqu’à la ligne : il n’est question que d’appuyer sur les pédales le plus fort possible. Ce qu’avait bien fait Kessler en 2006, réussissant non sans bénéficier de l’aide de quelques motos à s’imposer avec une belle marge. À ne pas oublier toutefois : c’était une étape du Tour et elle n’était longue « que » de 216 kilomètres.

    Tout bon pour Sagan ?


    Le camp Cannondale est persuadé que cette modification de parcours avantage Peter Sagan, comme l’explique son directeur sportif Alberto Volpi, interrogé à ce sujet par La Dernière Heure : « Le déplacement de l’arrivée est une bonne chose pour Peter qui disposera ainsi de plusieurs cartes dans son jeu. Il peut très bien démarrer dans le Cauberg, à l’endroit où la pente est la plus raide, faire la différence ensuite dans le faux plat montant ou bien encore miser sur sa pointe de vitesse et attendre le sprint. » Les filles du podium sont prévenues.

    Mais attention quand même, car comme sur Milan-Sanremo, le Slovaque aura la pancarte et ça peut se retourner contre lui. Imaginons qu’il soit le plus fort dans le Cauberg : si l’arrivée se trouve encore à son sommet, il gagne, mais avec ces 1 800 mètres de bonus, rien n’est sûr. Dans le cas contraire, si un adversaire lui prends quelques mètres dans la montée, ce sera également compliqué car personne ne voudra l’aider à revenir sur ce fuyard.

    Dans tous les cas, Peter Sagan sera le coureur le plus surveillé dans les trois derniers kilomètres, et chaque initiative sera prise en fonction de lui, de sa position, de son faciès. C’est un avantage énorme pour un Philippe Gilbert ou toute autre coureur capable d’être dans la position de celui qui basculera en tête en haut du Cauberg.

    Les sprinteurs dans tout ça ?

    On l’a dit : l’Amstel, ça se joue toujours dans un mouchoir de poche. Ainsi l’édition 2013, aussi chamboulée soit elle, ne peut se résumer à un duel « Sagan vs x » : il est tout à fait possible que personne n’arrive à basculer seul en tête et que ce soit un petit groupe qui s’engage dans les deux derniers kilomètres pour la gagne.

    L’an dernier, aux Mondiaux, Edvald Boasson Hagen avait été l’un des plus à l’aise derrière Philippe Gilbert ; il a clairement les moyens d’être présent pour exploiter sa pointe de vitesse et jouer la gagne. Toujours en septembre dernier, John Degenkolb avait pris la quatrième place : il ne sera pas là dimanche, mais ceux de son profil peuvent y croire alors qu’ils n’auraient même pas été cités comme outsiders sur l’ancien parcours.

    Peter Sagan entre bien sûr dans cette caste de coureurs aptes à tirer les marrons du feu en cas de neutralisation, mais il y en a beaucoup d’autres et c’est ce qui rend cette édition new look imprévisible. Francesco Gavazzi, Paul Martens, Giovanni Visconti, Simon Gerrans ou encore Nacer Bouhanni sont autant de coureurs avantagés par cette modification du parcours, car ils peuvent, en cas de circonstances de course très favorables, sortir de nulle part et rafler la mise.

    L’Amstel Gold Race y gagne-t-elle ?


    Reste cette grande question : est-ce mieux ainsi ? Les classiques ne sont pas immuables mais les changements ne sont pas forcément positifs, ce que l’organisation du Tour des Flandres a appris à ses dépends avec deux dernières éditions peu excitantes, même si ses recettes ont augmenté grâce aux immenses tentes VIP.

    Pour l’Amstel Gold Race, le risque est moindre, tout simplement parce que cette épreuve s’est rarement jouée de loin : la victoire s’obtient chaque année dans les toutes dernières minutes, voire secondes, et le lauréat est presque toujours un coureur qui s’est caché jusqu’au dernier moment. Cette course célèbre rarement le panache et ça ne devrait pas changer, car ce ne sont pas 1 800 mètres supplémentaires qui vont inciter les coureurs à anticiper les débats.

    Ce qui est dommage, cependant, c’est que l’Amstel Gold Race était quasiment la seule course à pouvoir, annuellement, mettre aux prises les spécialistes des arrivées en montée sur un terrain ouvert à beaucoup de monde, car bien moins difficile qu’un Mur de Huy par exemple. C’était une sorte de Championnat du monde du punch, cette course étant chaque année la classique réunissant le plateau le plus important si l’on fait le cumul des points UCI de tous les participants. En 2013, cela reste une compétition de très, très haut-niveau, mais le fait établi selon lequel le plus explosif s’impose forcément n’existe plus.

     
    Dernière édition par un modérateur: 13 Avril 2013
  17. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Cyclisme - Amstel : Les principaux engagés[/h] Dimanche, Sagan et Gilbert seront les favoris de l'Amstel Gold Race ; Gerrans, Rodriguez, Boasson Hagen, Vanendert et Voeckler les principaux outsiders. Par qui seront-ils épaulés ?





    Cannondale : Peter Sagan (SLO), Moreno Moser (ITA), Stefano Agostini (ITA), Damiano Caruso (ITA), Alessandro De Marchi (ITA), Michel Koch (ALL), Maciej Paterski (POL), Daniele Ratto (ITA)

    BMC : Philippe Gilbert (BEL), Greg Van Avermaet (BEL), Martin Kohler (SUI), Klaas Lodewyck (BEL), Amaël Moinard (FRA), Daniel Oss (ITA), Michael Schär (SUI), Marcus Burghardt (ALL)

    Orica-GreenEDGE : Simon Gerrans (AUS), Michael Albasini (SUI), Simon Clarke (AUS), Daryl Impey (AFS), Sebastian Langeveld (HOL), Christian Meier (CAN), Wesley Sulzberger (AUS), Pieter Weening (HOL)

    Katusha : Joaquim Rodriguez (ESP), Alexandr Kolobnev (RUS), Dani Moreno (ESP), Angel Vicioso (ESP), Giampaolo Caruso (ITA), Alberto Losada (ESP), Yury Trofimov (RUS), Eduard Vorganov (RUS)

    Sky : Edvald Boasson Hagen (NOR), Vasili Kiryienka (BLR), Jonathan Tiernan-Locke (GBR), Rigoberto Uran (COL), Sergio Henao (COL), Mathew Hayman (AUS), Salvatore Puccio (ITA), Josh Edmonson (GBR)

    Lotto-Belisol : Jelle Vanendert (BEL), Bart De Clercq (BEL), Dirk Bellemakers (HOL), Gaetan Bille (BEL), Brian Bulgac (HOL), Jurgen Van De Walle (BEL), Tosh Van Der Sande (BEL), Dennis Vanendert (BEL)

    Europcar : Thomas Voeckler (Fra), Vincent Jérôme (FRA), Davide Malacarne (ITA), Kevin Reza (FRA), Yukiya Arashiro (JAP), Björn Thurau (ALL), Tony Hurel (FRA), Angelo Tulik (FRA)

    Les autres principaux engagés : Alejandro Valverde (ESP/Movistar), Enrico Gasparotto (ITA/Astana), Bauke Mollema et Tom Slagter (HOL/Blanco), Bjorn Leukemans (BEL/Vacansoleil)

    Les autres Français engagés : Romain Bardet, Julien Berard, Steve Chainel, Mickaël Chérel et Blel Kadri (AG2R-La Mondiale), William Bonnet, Nacer Bouhanni, Mickael Delage, Dominique Rollin, Geoffrey Soupe, Benoït Vaugrenard, Arthur Vichot (FDJ), Thomas Damuseau (Argos), Tony Gallopin (RadioShack), Jérôme Pineau (Omega Pharma-quick Step), Romain Sicard (Euskaltel), Nicolas Vogondy (Accent Jobs-Wanty)
     
  18. Mr Pouet Pouet

    Mr Pouet Pouet vrai ou forumeur ?

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    ils auraient dû laisser l'arrivée en haut de la côte, là c'est du velours pour Sagan.
     
  19. moriturio

    moriturio Well-Known Member

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    Effectivement. Comme les victoires de Cancellara étaient annoncées sur les pavés, là Sagan devrait gagner les doigts dans le nez. Sauf crevaison ou chute évidemment...
     
  20. Mr Pouet Pouet

    Mr Pouet Pouet vrai ou forumeur ?

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    Voeckler pris dans une chute et transporté à l'hôpital.
     

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