[Cyclisme] Tour de France, Giro, Vuelta,...

Sutout parce que les coureurs sont devenu de gros moutons incapables d'initiatives...
Les coureurs qu'est ce qu'ils s'en battaient il y a dix ans de tout savoir???Je vois pas pourquoi ça aurait changé,faut arrêter de dire que les oreillettes ça sert à éviter les chutes,ça sert uniquement à la tactique d'équipe des directeurs sportifs...
Quand aux 15 fameuses équipes,tu regarderas c'est lesquelles...Et quelles sont les deux à l'origine de la fameus pétitions...et tu verras pourquoi ils ont peur de la disparition de l'oreillette...

 

[gros beauf] Bah en même temps l'EPO ça te bouffe le cerveau, du coup les mecs ils savent plus réfléchir et ils ont besoin de la reillette, ces cons
[/gros beauf]

 

Y a dix ans, y avait pas plus de chutes. Prétexte en bois utilisé par les équipes pour faire pleurer les foules et justifier leur position.

ça me fait penser au coup de la tolérance 0 pour les radars sur l'autel de la sécurité,a lors que le but est de faire rentrer un max de fric...

 

Bon je t'aurais bien mis de la réput' mais je t'en ai déjà mis alors ça veut pas, putain ça veut pas tipi suix

 

Pas important.

Moi, c'est pareil, j'en ai trop mis (de Ray p*ute), je suis bloqué pour 24 h....

 

tu prend trop de risque di donc!

 

j'en ai mi a suix comme ça c'est bon

Scandaleuse cette étape, plus pourrie que ça tu meurs.... ça faisait pas 2 minutes que j'avias allumé la tv que déja je m'etais endormi

 

Merci Nandal.

2 pintes....

 

il va gagner Cavendish


oh la chutes, c'est la fautes au oreillettes sa

putain les escargots énorme

 

Comme il est soulant Thierry Adan!!

 

Ben déjà qu'il est saoulant quand c'est animé...
Alors là que les coureurs font leur caca nerveux...
Non sérieux,ils font chier à pas vouloir jouer le jeu...Mais bon,je serais les organisateurs,ce soir pas de vainqueurs pas de classement comme ça ça leur ferait les jambes...200 bornes pour rien.

Edit:tu regardes le tour ami corse???
Tu viens donc d'entendre comment les oreillettes évitent bien les chutes,et dans le cas précis la mort d'un cycliste...

 

Ce ne sont pas les coureurs, ce sont les Directeurs d'équipes. 14 équipes étaient pour les oreillettes. 6 contre, dont 3 françaises.

Donc, ils vont tout faire pour que ce ne soit pas un français qui gagne. Et IGNITIAEV n'a pas le droit de rouler.

C'est n'importe quoi, ce ne sont pas les équipes qui font le règlement. En plus, je ne vois pas ce que 2 étapes sans oreillettes changent au film...ça me gonfle, ça.

 

Surtout que le vrai cyclisme, c'est sans oreillettes. Pour moi, les oreillettes ont tué le cyclisme car on ne court plus à l'instinct, on n'a plus à se demander si un coup va partir... Non, il faut attendre que le directeur sportif parle dans l'oreillette et on fait comme un gentil toutou ce qu'il dit. A se demander si les gars attendent que leur directeur sportif leur dise dans l'oreillette quand ils peuvent aller pisser.

 

Le seul qui fait iech tout le monde c'est CHAVANEL...il écoute rien....

 

Quelle étape passionnante...Les équipes ont décidé de boycotter l'étape sans oreillettes on dirait...

 

juste respect !

 

Kilécon......

 

Bon, Cavendish encore... dommage que les échappées n'aient pas pu résister, il ne leur manquait pas tant que cela, et cela aurait fait le pied aux chialeuses et à leur grève ridicule!!! Mais je persiste : la course serait vraiment plus intéressante sans les oreillettes, et ne me parlez pas de l'étape d'aujourd'hui et de l'attitude pitoyable du peloton, là on ne peut pas tirer d'enseignements...

 

Quand je vois que c'est cavendish qui gagne au sprint, je me dis que ça serait bien que ROOL fasse du vélo...Il en gagnerait moins le Cavendish, j'te l'dis...

 

Concernant l'oreillette, voici une réaction de la part d'un ancien champion, Greg Lemond (source : Le Monde)

Mardi, l'oreillette est interdite sur la route du Tour, entre Limoges et Issoudun. La polémique qui fait rage sur son utilisation me laisse perplexe. La question aurait dû être tranchée il y a des années. Les oreillettes contribuent à une meilleure transmission de l'information - via les liaisons radio - entre le coureur et le directeur sportif. Elles peuvent être utiles pour éviter de perdre du temps à cause d'un boyau à plat ou pour éviter la déshydratation lors d'une étape caniculaire.


Mises à part ces circonstances, je ne vois pas l'utilité de leur généralisation. L'argument selon lequel la course est plus sécurisée depuis qu'elles sont employées ne se vérifie pas dans les faits. Il y a plus de chutes que jamais. Je me demande même si le port de l'oreillette n'apporte pas au coureur un excès de confiance, qui fait qu'il accélère plutôt qu'il ne ralentit dans les virages serrés.


Reste que, d'après ce que j'ai pu observer, les oreillettes ont totalement modifié l'essence de la course. L'esprit tactique, le bluff, la stratégie magnifient la beauté du cyclisme. Or, cette beauté ne tient pas à une personne qui dicte ses choix du fond d'une voiture. Avec l'oreillette, le coureur n'est plus libre de prendre une décision au vu de ses seules sensations. Et le cyclisme risque de se perdre totalement s'il tombe définitivement entre les mains d'un médecin d'un côté, et d'un directeur sportif de l'autre.


La pharmacopée et les oreillettes transforment les coureurs en robots. Or, un champion est une combinaison savante de puissance, d'intelligence, de tactique et d'instinct. Quand à la course, elle est à la fois un marathon et un jeu d'échecs. Il faut savoir duper son adversaire, faire en sorte qu'il pense qu'on est serein, le regard impassible quand il vous dévisage, alors qu'on souffre mille morts. C'est du un contre un. Si une aide extérieure lui rapporte que je roule des épaules quand il ne me regarde pas, que je m'arc-boute sur le bec de selle pour suivre le tempo, alors la voix de l'oreillette lui dira de placer un équipier en tête pour augmenter la cadence.


La science de la course s'apprend et fait partie intégrante des aptitudes d'un champion. Mais ce que le milieu ne semble pas comprendre est qu'un Tour propre et des coureurs livrés à leurs seuls sens décupleraient l'intensité et la dramaturgie de l'événement. Les courses cyclistes ont traversé quatre-vingts ans d'exploits sans avoir recours aux oreillettes ou aux produits qui métamorphosent les organismes, et j'ai l'audace de penser qu'elles étaient aussi palpitantes qu'aujourd'hui, sinon plus. A-t-on plus de plaisir à regarder des visages impavides du début à la fin d'une étape ? Qu'on revienne à une course où le coureur a son mot à dire sur son destin et où la souffrance se lit sur les visages.