[Europe] Autres championnats : Portugal, Grèce, Turquie, PaysBas, Belgique, Suisse,...

tiens ben le nouveau coach du PSV a mis mitroglou titulaire, c'est qu'un match de coupe contre un petit club mais le reste du 11 est quasi celui habituel, donc c'est un test reel pour celui qui prend les commandes de l'equipe

 

C'est vraiment à ch*er ce que propose le PSV. Aussi dégueulasse qu'avec Van Bommel. Je les vois même pas être européens l'année prochaine si ils continuent comme ça. Surtout quand tu vois ce que Willem et l'AZ produisent.

 

et mitro ouvre la marque, du droit, sur un centre en retrait

 

https://twitter.com/alainb_/status/1207397658362548225

 

Interview de Mitroglou pour Sport24 (donnée avec l'accord de l'OM). Voilà en exclusivité sa traduction.

PS : j'ai mis entre en italique les passages ou les mots intraduisibles. et j'ai mis en gras les passages où il parle.

Partie 1:

Sport24.gr s'est rendu à Eindhoven et a discuté exclusivement avec attaquant grec le plus prolifique de la dernière décennie. Il s'agit de la première grande interview de Kostas Mitroglou en Grèce depuis le Mondial 2014.

Ses parents ont immigré en Allemagne alors qu'il n'avait que 18 mois. Georgios, Anastasia et leur autre fils, Babis, se sont installés à Neukirchen-Flynn, une ville de 30 000 habitants, près de Duisburg, pour un avenir meilleur. Dès lors, pour Kostas, il avait été prédit qu'il passerait par le sport qui le rendait plus heureux qu'autre chose. Depuis tout-petit avec une balle dans ses pieds.

À bientôt 32 ans, il a atteint un objectif que de nombreux footballeurs aimeraient suivre: titres, distinctions, et succès, derrière lesquels il n'a jamais couru. La starification n'a jamais été son but. C'est pourquoi il a souvent été décrit comme distant et renfermé. Il a rarement donné des interviews. Et quand il l'a fait, cela ne n'est principalement produit qu'à l'étranger. Sans même ressentir le moindre besoin de parler publiquement, Kostas Mitroglou a répondu positivement à la proposition de SPORT24 . Et c'est la première fois qu'il le fait ouvertement depuis le Mondial 2014.

Entretien avec Dimitris Samolis / Eindhoven

La vie, la famille, la carrière, des moments qui l'ont chassé du football, qui l'ont frustré et l'ont marqué, de manière positive ou négative. Un voyage à Eindhoven, aux Pays-Bas, où est prêté par Marseille cette année, et une conversation intéressante. Meilleur buteur grec de la Super League grecque au cours des dix dernières années avec 82 buts. Attaquant qui a marqué 227 buts au cours de sa carrière, il a disputé des championnats d'Europe, la Coupe du monde, la Ligue des champions et même la finale Europa League et a remporté des championnats en Grèce, au Portugal et en Turquie.

Ayant grandi en Allemagne, la première équipe dans laquelle il a joué au ballon était Duisburg. Dans son académie, bien sûr. C'était une période glorieuse, mais quand il était plus jeune, il préférait le tennis.

"Gamin, je portais le n ° 10, je jouais derrière l'attaquant, parce que mon idole était Zidane. Dès mon plus jeune âge, je me suis souvenu de moi avec un ballon. Mes parents voulaient combiner l'école et le football. Mon père m'a principalement encouragé à faire ce que je voulais vraiment Il m'a aimé et m'a soutenu autant qu'il le pouvait pour m'aider à coupler école et football. Il m'a emmené m'entraîner dans des conditions difficiles à l'époque pour la Diaspora immigrée en Allemagne. Quand il a vu que ça n'allait pas, il a trouvé un moyen de m'encourager, de m'expliquer que je devais me battre et que cela me marquerait pour le reste de ma vie. Mon père adorait le football, tant au stade qu'à la maison".

En 2005, il a quitté Duisburg et a joué pendant deux ans à Gladbach où il occupait le poste d'ailier gauche. Membre de l'U19 et plus tard de l'équipe B. Un but derrière l'autre pour Mitroglou, alors âgé de 17 ans. En Grèce, ils savaient qu'en Allemagne, il y avait un jeune attaquant naturellement porté vers le but. Ils l'ont appelé pour le championnat d'Europe espoirs, lors duquel il a été un membre clé. Il a été le premier buteur de la compétition (trois buts), disputé tous les cinq matchs, tandis que la Grèce a perdu contre l'Espagne 1-0 en finale. La prochaine fois que Mitroglou est revenu dans notre pays, c'est lorsque l'Olympiakos l'a fait signer.

«Nous avions alors une excellente équipe de jeunes avec l'Ethniki Omada. Tous les enfants étaient une famille. Plusieurs équipes nous ont contactés à l'époque, mais nous avons choisi l'Olympiakos quand il discutait avec nous, alors j'ai signé un contrat de cinq ans. L'Olympiakos est une équipe avec le métal du champion qui est gravé dans l'ADN du club. Il a joué un rôle énorme dans ma vie et ma carrière. J'ai eu des moments inoubliables, il a et aura une place à part dans mes souvenirs. "

Mitroglu a porté le maillot rouge en 185 matchs et a marqué 82 buts. Mais sa route vers l' Olympiacos n'a pas été pavée de pétales de rose depuis le début. Le 11 janvier 2011, il a été prêté au Panionios et, à l'été de la même année, il est allé à l'Atromitos pendant un an. Beaucoup le citent comme exemple, qu'il est devenu ... provincialet qu'il est retourné à l'Olympiacos en tant que cargo. "À ce moment de ma carrière, c'était la décision la plus appropriée que j'avais à prendre pour évoluer. Et c'était certainement la bonne, car les deux prêts m'ont beaucoup aidé depuis lors. Je suis vraiment reconnaissant envers l'Atromitos et le Panionios pour leur contribution. "

Ernesto Valverde a été l'entraîneur de l'Olympiacos pendant ses deux années de prêt. Il a ensuite été dit que l'entraîneur actuel de Barcelone ne se comportait pas correctement avec Mitroglou. Qu'il a mal fait. Mais quel est son point de vue? "J'ai la meilleure opinion possible de lui. Je le considère comme un grand entraîneur. Si j'avais eu la maturité que j'ai maintenant, je jouerais avec Ernesto Valverde en tant qu'entraîneur. Je n'ai rien à lui reprocher et j'aurai toujours les meilleurs mots pour lui et sa valeur ".

Le 31 janvier 2014, il a été annoncé comme transféré à l'Anglais Fulham après une formidable période de six mois avec 17 buts en 19 matchs avec l'Olympiakos. Quelle était l'attitude du club et comment s'est-il vécu à cette époque?

"A cette époque, Dortmund m'avait également contacté de manière officielle, et c'était aussi la première fois que Benfica me voulait. Je pense que c'était le bon moment pour franchir la prochaine étape de ma carrière, aller dans le plus grand championnat du monde. Je voulais attendre la fin de la saison et après la Coupe du Monde, car j'étais blessé. Mais avec le Président, Vangelis Marinakis, nous avons toujours eu une excellente relation, c'est un homme qui respecte les souhaits du joueur et essaie toujours de faire de son mieux pour lui et l'équipe donc j'ai accepté de partir à ce moment là.

Et je suis arrivé à Fulham avec une blessure au genou. Malheureusement, au début, j'ai eu une rechute. Mon genou a commencé à gonfler après chaque séance d'entraînement. Cela m'a nécessairement repris après huit semaines de récupération. Je suis rentré à Londres à la mi-avril. Puis diverses bêtises ont été dites. La vérité, c'est que pendant deux mois, je n'ai même pas été à l'entraînement et puis il a été très difficile d'entrer dans la logique de l'équipe avec la gestion incroyable de l'entraîneur de l'époque (Magath). En ce qui me concerne, j'ai choisi de ne plus jamais jouer dans cette ligue. "

Tout cela alors que son transfert à Fulham a coûté 15,2 millions d'euros. C'était - à l'époque - le transfert le plus cher de tous les temps pour un footballeur grec. Qu'est-ce que cela a signifié pour Mitroglou ? " Je m'en fiche. L'important n'est pas l'argent, mais la santé. C'est ainsi que vous pouvez jouer à un niveau élevé. dans un très grand club. Et j'ai joué dans trois clubs qui ont remporté la Ligue des champions et au total dans quatre qui ont un titre européen dans leur palmarès. "

En août 2014, Mitroglou est retourné en prêt à l'Olympiakos. En 34 apparitions, 19 buts. À la fin de la saison, un nouveau prêt a suivi, cette fois à Benfica. Dans l'équipe qui allait lui faire connaître ses meilleures années loin de l'Olympiakos. "De ma carrière à l'étranger, Benfica a été le plus adapté pour moi. Le plan du club, les fans, le style de vie à Lisbonne, c'était le meilleur qui puisse m'arriver. Et ça va vraiment être inoubliable pour moi ces années." Avec l'équipe portugaise en deux ans, il a marqué 52 buts en 88 matchs. À l'été 2017, Marseille l'acheter le dernier jour du mercato. Et à Marseille, il a beaucoup pris dans la figure.

Des commentaires incroyables, flirtant parfois avec le racisme, de la part des journalistes et des footballeurs retraités comme Dugarry. Une critique intense, qu'il a souvent ignoré. Comment a-t-il vécu cette situation lui-même? "Marseille est la plus grande équipe de France. La seule Française à avoir remporté la Ligue des Champions. La pression est à la fois forte et naturelle. De même que la critique. Et lors de ma première année à Marseille, j'ai marqué 13 buts en 30 matchs malgré ma blessure. L'équipe a atteint la finale de la Ligue Europa. Tout le monde peut toujours critiquer, c'est leur droit, mais je ne suis pas touché. Je ne connais pas du tout ces personnes donc ça ne m'atteint pas. C'est surtout triste pour eux."

 

Toute cette critique au sujet de Mitroglou était-elle juste ? A-t-il été influencé chaque fois qu'il a vu son nom devenir une première page pour des choses négatives ? Il y a eu des moments où il s'est manifesté pour répondre via les réseaux sociaux. Qu'a-t-il à dire à leur sujet ? "Quand vous jouez dans des équipes de haut niveau et que tout le monde a des demandes de votre part, il est naturel d'avoir des critiques. Peu importe. Au final, tout se passe sur le terrain"

Comme je l'ai déjà dit, lorsqu'un attaquant ne marque pas pour un ou deux ou trois matchs, tout le monde a le droit de critiquer. La critique est toujours la bienvenue, tant qu'elle ne dépasse pas les limites. Ça fait malheureusement partie du jeu et du monde du football. En ce qui concerne les réseaux sociaux, les 2-3 fois où j'ai choisi d'y répondre n'avaient rien à voir avec la critique de mon jeu, mais avec le fait que certains médias mentaient et je voulais y répondre moi-même. "

Il y en a cependant quelques-uns qui éprouvent des difficultés. Peut-être parce qu'il ne parle pas à la presse. Il n'aime pas ça. Que dirait-il de lui, de son personnage ? Il s'intéresse à ce qu'ils disent de lui ou est indifférent ? «Je suis juste un homme qui fait son travail. Je ne sais pas s'il en sort que je suis fermé ou non.


De nos jours avec les réseaux sociaux, être vrai et ne pas chercher de visibilité et de communication à travers eux, peut-être une fausse visibilité, peut être interprétécomme révélateur du fait que vous êtes un personnage difficile et une personne distante.C'est comme ça que j'ai grandi. Et les gens qui me connaissent vraiment, qui vivent en dehors du football et sur le terrain, savent qui je suis. Et c'est ce qui m'intéresse. "

Mitroglou a honoré la chemise des armoiries. Certains souvenirs sont très, très spéciaux."Je ne peux pas oublier les barrages contre la Roumanie pour une place en Coupe du monde 2014 au Brésil. Je me souviens très bien des deux matchs. J'ai marqué deux buts en Grèce et un à Bucarest." Il a connu de grands succès, mais aussi des échecs.

Certains d'entre eux étaient entraînés par Claudio Ranieri, qui a quitté l'Ethniki Omada avec un bilan épouvantable. Quelque temps plus tard, l'Italien a remporté la Premier League avec Leicester. Qu'est-ce que Ranieri n'a pas bien fait ? Quelles étaient les raisons de cet échec ? "Le timing était très mauvais. Claudio était un homme et un entraîneur spécial. Il l'a prouvé quand même. À l'époque, il avait besoin de temps et de confiance, mais il ne l'avait pas."

Récemment, Angelos Anastasiadis a déclaré publiquement que lui et Torosidis le bachaient en interne parce qu'il ne les avait pas appelés avec l'Ethniki. Est-ce vrai? "Je réponds simplement parce que vous me le demandez. Et sans plus. Ceux qui me connaissent en tant qu'être humain savent que je n'aurais jamais fait ça au sélectionneur national. Je respecte tout le monde." À l'ère John Van Schip, Mitroglou n'a pas sa place. Du moins jusqu'à aujourd'hui. Pas appelé. "L'équipe nationale est un honneur. Pour tous ceux qui sont appelés, concourent et participent. Nous avons joué la Coupe du Monde, l'Euro et je serai toujours là quand si on a besoin de moi. Sinon, je prendrai ma retraite internationale et je soutiendrai et serai heureux pour le progrès et la renaissance de l'équipe."

En 65 apparitions, 17 buts. Nikos Anastopoulos est le meilleur buteur de l'histoire nationale avec 29. A-t-il jamais pensé qu'il pourrait être en tête de liste? Est-ce faisable? "Je n'ai jamais été intéressé par les records. Je veux juste rester en bonne santé, ce qui est dur. C'est tout ce qui est possible. Mais je n'ai jamais été obsédé par les records ou les nombres. Je veux juste participer aux équipes auxquelles j'appartiens et les aider à réussir."

 

En regardant le passé dans une carrière aussi importante, pense-t-il avoir fait des erreurs? "Je me sens béni de ce que j'ai accompli et honnêtement, je dirais que rien ne changera. J'ai ma santé et cela signifie beaucoup pour moi. Merci au football, c'est ma vie." "Je n'ai pas pensé à ma vie post-carrière. C'est quelque chose que je n'ai pas en tête en ce moment. En ce moment, je pense à la manière de relever de nouveaux défis et de réussir en tant que footballeur."

Mitroglou, ayant travaillé avec des entraîneurs importants, dit simplement: "J'ai quelque chose de bien à garder de tout le monde. De Nioplias, Donis et aussi Michel. Ils m'ont tous apporté quelque chose m" Argent, famille, belle carrière et tout cela à 32 ans. Faut-il tout sacrifier pour l'obtenir? "Nous ne pouvons pas parler de sacrifices. Si nous parlons de sacrifices, les chômeurs, le père de famille qui a des problèmes au travail, qui essaie de sortir et d'entretenir sa maison, tous ceux qui ont de vrais problèmes dans leur vie quotidienne, ça serait indécent. Nous, les footballeurs, avons la chance d'avoir fait de notre passe-temps une profession. On a dit que je faisais des dons aux gens pendant la crise. Je ne peux pas vous dire si c'est vrai ou non. Je n'irai pas dans le processus de publicité pour me promouvoir en me donnant bonne conscience. Je déteste ça. "

A-t-il des amis dans le football ? "Oui bons amis que je garde encore aujourd'hui, qui sont amis depuis de nombreuses années, je les connais depuis les premières années de ma carrière. J'ai rencontré beaucoup de gens grâce au football et j'ai de la chance pour cela, mais mes amis sont comptés sur les doigts d'une main". Dans ses temps libres." Je travaille avec mon fils et je fais diverses choses pour ma famille, en consacrant autant de temps que possible. J'aime aussi regarder le football à la télévision, mais d'autres choses attirent mon attention et mon intérêt. "

"La chose la plus importante dans la vie est ma famille. C'est humain de voir la vie différemment quand on a une famille. Je considère que c'est une bénédiction du Seigneur d'avoir une famille. Nous attendons notre deuxième enfant maintenant, donc je ne pourrais pas être plus heureux. C'est la plus belle chose pour tout être humain. "


Voilà voilà ! Je laisse les amis @kiriyama et @marcus_M se délecter et un modo comme @Rosickydevitry éventuellement le poster sur son topic .

Edit : mon collègue qui l'a interviewé m'a bien précisé que le joueur étant encore sous contrat avec l'OM, il n'a pas pu parler de Garcia ni de sa blessure de façon plus précise.

 

merci, dommage concernant garcia et sa blessure, c'était les sujets les plus intéressants pour nous.
Sinon, tu confirmes qu'il n'a toujours pas été opéré pour sa cuisse ? Il continue d'être régulièrement blessé dans ce secteur ?

 

"Nous attendons notre deuxième enfant maintenant, donc je ne pourrais pas être plus heureux."

merci pour l'interview, on lui souhaite le meilleur !

 

Oui, ça je confirme. J'ai encore demandé à un des collègues qui l'a interviewé. Bon c'est du off mais tant pis . Depuis avril 2017 il a eu une "cassure" musculaire au fémoral gauche interne et il y a eu 7 rechutes au total dont 4 à l'OM, 2 avec Galatasaray (dont la fameuse où il est sorti en plein match avec l'Equipe Nationale) + une autre avec le PSV. Et Rui Vitoria voulait bien l'envoyer se faire opérer et garder le joueur à Benfica mais le président en a décidé autrement.

Edit : on peut quand même voir quelques allusions quand il parle plusieurs fois de "sa santé"...

 

Ça confirme ce que je pressentais : il n'a jamais été en pleine possession de ses moyens chez nous, Benfica le savait mais nous avions le couteau sous la gorge du fait de sa venue en panic buy. Et après, la préparation à la Rongoni n'a pas dû aider.

 

Quand on regarde l'historique du bonhomme (je parle pas de Mitroglou), on ne peut que constater les dégâts qu'il fait aux joueurs... Je serais curieux de connaître le nombre total de joueurs passés à l'infirmerie alors qu'ils avaient Rongoni comme préparateur physique.

 

J’aimerai bien lire ce qu’il a pensé de son passage chez nous, du traitement que lui a réservé Garcia et son staff, de son avis sur les journalistes français et sur la ligue 1.

C’est un bon gars mais il a jamais été apte à 100% de ses moyens physiques chez nous. C’est dommage, il gardera malheureusement l’image d’un running gag d’idiots comme Menez, Cazarre, Riolo ou Mohamed Henni.

 

Pour les journalistes, il a déjà répondu en partie en disant qu'il ne "connaissait pas ces personnes" et pour l'OM il a dit une banalité. Moi aussi j'aurais préféré qu'il dise en dise plus sur le club et ce qu'il pense de Garcia comme pour Magath ou Valverde, mais pour ça il faudra attendre qu'il ne soit plus sous contrat. Quant à la L1, je pense que ça doit lui passer au dessus de la tête...

 

Officiel : Julian Weigl à Benfica (20M)

 

Tiens @cedouu13 une autre stat pour toi : https://twitter.com/eredivisie/status/1216739582827470855

Pavlidis, j'aime beaucoup ! Même si en terme de talent brut, c'est moins fort que Koulouris.

 

C'est vraiment affreux le PSV cette saison. Dire qu'ils ont tout pour bien faire et tout ce qu'ils font c'est de l'anti-football.

 

je regarde pas y avait un match de PL que j'attendais avec impatience et qui me decoit pas, par contre par rapport a ce que je t'ai dit tout a l'heure j'avais pas fait gaffe que c'etait aussi le retour de lammers et... ca change pas mal la donne pour le temps de jeu et la nécessité au poste, celui ci est entré a la mt d'ailleurs

défaite et élimination à breda (d2), seulement 3 tirs cadrés sur 14

 

- comme on pouvait s'y attendre, lammers titu et pas du tout dans le rythme... mitro vient d'entrer a sa place (55e) mais le PSV a perdu la domination depuis le retour des vestiaires (sont passés de 65% de possession a 40)
- et but ! dumfries, frappe aux 18 apres corner mal repoussée par le goal
- en 10 minutes il a donné une keypass et cadré un tir en pivot (grosse occaz qu'on dira manquée mais qu'il cree en grande partie)
- affelay qui se prend un rouge alors que son equipe tient enfin une victoire... et l'egalisation ne tarde pas! magnifique ceci dit

 

@VinnieJones : C'est quoi encore cette histoire de dingo avec Zagorakis et cette magouille anti PAOK ????