J'espère que si on va en finale, ça sera mandanda qui sera aux cages, il le meriterait.... Comme ça aurait du être le cas pour Pelé en 2018
paok c les plus nul ca devrait le faire. Demi aussi ca devrait. Apres en finale j'espere qu'on va enfinonverser la tendance. Ca sera plus facile ca sera pas le Parme stratospherique, le valence de Benitez ni le Madrid de Grizou et Lucas.......
La finale pourrait se jouer à Athènes au lieu de Tirana ! Source : https://insidefutbol.com/2022/03/20...opa-conference-league-final-to-greece/552912/
On a qu'à la faire directement au Vél (bon, je dis ça mais ce serait triste si on y était finalement pas)
Oui c'est les plus nuls mon Kévin... T'as certainement du regardé plusieurs matchs du PAOK, du Slavia ou de Feyenoord pour dire ça footix que tu es !!!!
Avec nos amis de L'AEK pour faire la loi dans la rue avant et après le match... Sérieusement cette C4 me tient vraiment à cœur, d'ailleurs à choisir entre être le premier club à la soulever et un podium je choisi clairement cette nouvelle Coupe d'Europe qui n'a pas moins de valeur que la Coupe des Coupes des Parisiens... Le PAOK je connais pas mais les clubs Grecs ne sont jamais facile à jouer surtout dans un stade aussi chaud que celui de Thessalonique ! Feyenoord je les ai vu jouer dimanche contre l'Ajax pour le classico Hollandais et ça joue au ballon ! Et puis jouer au stade de Kuip n'est jamais une mince affaire, d'ailleurs on en avait fait les frais en 1999 lors de la phase de poule de Ligue des Champions... Slavia bonne petite équipe apparemment avec un stade assez chaud aussi... Bref c'est loin d'être un parcours de santé même si on a clairement une belle opportunité d'aller en finale ! Une finale contre la Roma niveau ferveur ça serai le must !!!!
Je ferai un rapport complet en 5 parties sur le PAOK . (La saison du club, le coach, les joueurs, le style de jeu et la conclusion).
On a déjà pas pu terminer le métro de Thessalonique parce qu'on a trouvé tout un tas de vestiges archéologiques. Du coup, ils ont modifié le tracé, déplacé les antiquités et il sera opérationnel en partie en 2024 (lien ici). Pour le stade, c'est pareil. Il va falloir empiéter sur le terrain vague derrière où les bagnoles se garent (y'a une bonne vue sur ce lien) et il va y avoir le même genre de souci donc encore des années de retard à prévoir. Attendu qu'il doit faire 45,000 places et que presque tout est à refaire, on peut imaginer, en étant optimistes, qu'il sera terminé en 2030
Oui et mes amis footix des paris en ligne sont d'accord. Ils ont pour habitudes de perdre de la tunes d'ailleurs.
Bon ben par souci d'honnêteté, comme j'ai fait un rapport détaillé sur l'OM, voilà celui du PAOK : PS : J'ai employé la même méthode pour les deux. Je ne fais pas d'historique du club ni de résumé détaillé de saison. -Les joueurs : El Kaddouri ou Vieirinha, capitaine et légende du club, sont connus de la plupart et aucune introduction nécessaire. Le gardien Alexandros Paschalakis débutera dans les cages. En défense, le PAOK devrait aligner son trio Lyratzis-Crespo-Ingason aux côtés du Portugais. Le latéral droit Grec est la révélation cette saison. S'il pêche en phase offensive, il a en revanche acquis une belle maturité défensive et est très rapide sur son flanc droit. Jasmin Kurtic, milieu de terrain technique et excellent sur coup-francs est également une pièce maîtresse de Lucescu tout comme Theocharis Tsiggaras, le jeune milieu défensif qui s'est également révélé cette saison. Le Roumain pourra également s'appuyer sur Biseswar, Stefan Schwab ou le virevoltant Andrija Zivkovic, revenu en grâce en équipe Nationale Serbe. L'autre brésilien de l'équipe avec Sidcley, Douglas Augusto, souvent utilisé faute d'alternatives, est un joueur particulièrement médiocre qui ralentit le jeu. En attaque, le départ du jeune Tzolis, meilleur joueur la saison dernière, n'a pas été remplacé. Alexandru Mitrita, l'ailier compatriote de Razvan a montré quelques belles choses mais a été malchanceux d'un point de vue des blessures tout comme El-Kaddouri qui n'a plus le rythme. Enfin, ni Akpom ni Colak n'ont donné satisfaction sur le long terme. -La tactique : Lucescu jouera quoi qu'il arrive avec son 4-2-3-1 traditionnel. En apparence rigide sur le schéma et les principes, il laisse néanmoins la liberté aux joueurs de permuter en cours de match. Le fils de Mircea reste fidèle à sa philosopie : "personne n'est indispensable, mais tout le monde est essentiel" et il y a toujours une rotation dans l'équipe. Le PAOK a souffert d'un gros trou d'air à la fin de l'année 2021 avec 3 défaites consécutives carrément honteuses en Super League et deux performances décevantes face au Slovan Bratislava et au FC Copenhague. Lors de l'année du titre, l'équipe offrait un mélange de l'école Roumaine du Steaua Bucarest (le football façon Gheorge Hagi) et, pour citer mon collègue, d'une équipe "à l'italienne" (je mets bien les guillemets hein ) très bien organisée tactiquement avec une excellente assise défensive sans pour autant être ennuyeuse. Si les résultats sont toujours là et que la magie opère encore parfois, le poids des ans se fait sentir sur un groupe qui a gardé la même colonne vertébrale depuis 2019 à l'exception du milieu de terrain. On notera que la possession, si elle est parfois recherchée face aux adversaires faibles, n'est pas une priorité absolue. À titre d'exemple, le PAOK peut terminer un match avec 35% de possession mais.... 12 tirs cadrés et à contrario garder trop la balle et devenir totalement improductif. Le style de Lucescu, tout comme celui de son père, est très adaptif. Lorsque l'équipe domine, elle est capable d'offrir des constructions offensives magistrales. Lorsque ce n'est pas le cas, le Dikéfalo laisse la balle à l'adversaire et joue en contre-attaques rapides. Lorsque la machine est bien huilée, elle semble inarrêtable, et a enchaîné 18 matchs sans défaite avec une moyenne atteignant les 2 buts par match. Ce qui constitue une très belle performance dans l'un des championnats les plus défensifs d'Europe (l'Olympiakos, leader, a marqué moins de buts que le PAOK). L'OM, qui sera privé de plusieurs défenseurs, devra trouver un moyen de stopper les contres. Notons aussi que le PAOK est une des meilleures défenses de la Conférence League avec seulement 10 buts encaissés depuis le début de la campagne, barrages inclus. Le club de Thessalonique est également dans le top 3 Européen des clubs qui marquent le plus sur coups de pieds arrêtés avec notamment le défenseur Islandais Ingason, quart de finaliste de l'Euro 2016, qui a un sens du but proprement incroyable que ce soit pour marquer ou faire des déviations dans la surface (c'était déjà le cas lorsqu'il jouait en Russie). -Les faiblesses: À la lecture des matchs du Dikéfalo, la faiblesse principale se situe sur à la pointe de l'attaque et sur le flanc gauche. Vieirinha est vieillissant, Sidcley, arrivé cet été, n'a jamais donné satisfaction et ni El-Kaddouri ni Mitrita (comme mentionné au-dessus) n'ont pu être fiables sur le long terme. Notons aussi l'absence de Giannis Michailidis, meilleur défenseur de l'équipe suivi par l'Inter et le PSV, qui sera éloigné des terrains jusqu'en septembre à cause d'une blessure aux ligaments croisés, laissant le vétéran Crespo occuper la position de central gauche. Ce dernier n'est pas l'assurance tous risques tout comme le gardien Paschalakis, auteur de quelques cagades mémorables cette saison. Si Crespo ne joue pas, ce sera probablement Mihaj, jeune défenseur international albanais. Enfin, Akpom tout comme Colak n'ont pas su s'imposer et l'équipe a souvent pêché, tout comme l'OM, dans la finition. Le PAOK n'est pas non plus à l'abri d'une explosion comme face à Copenhague, à l'Atromitos ou encore lors du match aller face à Midtjylland par manque de précision dans le dernier geste. L'équipe de l'OM aura également pour elle l'avantage de la fraîcheur et de la jeunesse face à une équipe du PAOK vieillissante avec 29 ans de moyenne d'âge et plusieurs vétérans qui ont dépassé 33 ans. L'équipe n'est également pas à l'abri d'une faute de concentration ou d'un relâchement en fin de match à cause de la fatigue. -Que peut faire l'OM ? Le PAOK aura quoi qu'il arrive la tâche très difficile face à une équipe qui est, soyons honnêtes, sur le papier supérieure dans tous les domaines, à l'exception peut-être du couloir droit. L'OM peut faire très mal en insistant à gauche. Le duo Lyratzis-Zivkovic devra être surveillé tout comme la présence du duo Tsiggaras-Kurtic qui tentera de stopper les mouvements Gerson-Guendouzi-Kamara . On peut également imaginer que Lucescu pourrait aligner Kurtic en 10 et Schwab aux côtés de Tsiggaras pour densifier un peu plus le milieu. Si Biseswar débute pour le PAOK, il ne sera pas un problème pour Kamara. Chercher à garder la balle pour imposer une domination stérile comme ce fut parfois le cas cette saison ne servira à rien face au PAOK, qui commet très peu d'erreurs défensives et exploitera à fond chaque perte de balle. Face à cette défense, Gerson et Guendouzi auront un rôle essentiel à jouer dans la transmission. La présence sur les ailes de Dieng et Under serait souhaitable afin de dynamiter l'arrière-garde. Mon avis personnel : il ne faudra aligner ni Kolasinac (qui risque de salement morfler face au Serbe) ni Lirola ni Payet à gauche qui aura -potentiellement- du mal face à la vitesse de Lyratzis. Il faudra également éviter de commettre des fautes. Comme je l'ai indiqué au dessus, les Noirs et Blancs sont redoutables que ce soit sur coup-franc ou sur corner. L'équipe obtient également de nombreux penaltys grâce au même Zivkovic qui percute sans arrêt dans son couloir (6 pénos obtenus à lui seul cette saison). -Conclusion: Bien d'avantage qu'à une confrontation déséquilibrée entre deux équipes qui, reconnaissons-le, ne jouent pas (ou plutôt ne jouent plus par rapport à 2019) dans la même catégorie, je m'attends à une véritable bataille de coachs ce jeudi tout comme au match retour. Deux coachs au profil différents mais finalement similaires dans leur approche rigoureuse et leur perception du football. L'un plus flamboyant, l'autre plus pragmatique mais tous deux passionnés et excellents tacticiens. La moindre erreur jeudi soir sera selon moi fatale. L'OM a toutes les cartes en main pour réussir ce match et s'en sortir facilement en appuyant là où ça fait mal. Mais attention ! Face à la fougue de l'OM, Lucescu voudra également montrer à l'Europe entière ce dont son collectif expérimenté, qui avait du PAOK une équipe extraordinaire il y a 3 ans, est capable. Celui qui a su rivaliser avec l'Ajax de 2019, demi-finaliste de Ligue des Champions lors des barrages en se faisant voler par l'arbitre. C'est ce PAOK là que j'attends. Peut-être pas au match aller où Lucescu cherchera à faire déjouer Sampaoli, mais au match retour au Toumba. Spoileur: Mon sentiment personnel C'est un match que je n'aurais jamais voulu vivre. Simplement car on ne peut pas, comme disait Nikos Kazantzakis "essayer de séparer son être de son âme". Pour la première fois de ma vie, je regarderai donc un match de l'OM et du PAOK comme un simple spectateur amoureux. Je n'espère voir que du beau football et deux ambiances de dingues à l'aller comme au retour avec deux équipes à 200% et des joueurs prêts à crever sur le terrain. Et ceux qui veulent me pourrir, ça sera de bonne guerre, vous privez pas . Mais d'avance, je vous dis MAIRDE ! Bon bah voilà pour l'essentiel. N'hésitez pas si vous avez des questions ou que vous voulez des précisions
