Formule 1 : A fond, à fond, à fond et puis... j'ai fait gravier

[h=1]Gilette avec McLaren ?[/h]
Alors que de nombreux projets circulent, comme ce design imaginant Telmex en partenaire de McLaren la saison prochaine, un nouveau nom est apparu dans la liste des sponsors potentiels de l'écurie britannique en 2014 : Gilette.


La célèbre marque de rasoir, qui était associée à Bruno Senna l'an passé chez Williams, serait en pourparlers pour devenir le sponsor-titre du team de Woking.


Dans son histoire, McLaren n'a connu que trois sponsors majeurs : après la livrée orange originelle, le rouge et blanc de Marlboro (1974 à 1996) a été suivi par le gris de West (1997 à 2006) et enfin le chrome et rouge fluo de Vodafone (2007 à 2012). A quoi ressembleront les McLaren l'an prochain ? Les paris sont ouverts...

 

[h=1]Marussia et Caterham ont discuté d'une fusion[/h]
Marussia a révélé dans le paddock de Sepang, ce jeudi, qu’elle avait tenu des discussions avec sa rivale Caterham durant l’hiver afin de joindre leurs forces pour cette saison 2013 de Formule 1.

Les deux plus petites écuries du plateau n’ont toutefois pas trouvé un terrain d’entente qui aurait permis cette fusion.


"Je peux confirmer que des discussions ont eu lieu. Je n’ai pas été impliqué directement dans ces discussions et, de ce que j’ai compris, les conditions étaient inacceptables aux yeux de nos actionnaires. Rien ne s’est donc produit", a indiqué Graeme Lowdon, le président de l'équipe Marussia, à la chaîne britannique Sky Sports.


Caterham n’a pas souhaité commenter cette information, qui remet clairement en question la volonté de Tony Fernandes d’investir dans son écurie de Formule 1.

 

[h=1]Gutiérrez espère avoir Hülkenberg comme repère en Malaisie[/h]
Seul pilote Sauber à avoir pris le départ du Grand Prix d’Australie, Esteban Gutiérrez espère cette fois-ci avoir un point de référence avec son équipier Nico Hülkenberg, à Sepang, ce week-end.


L’Allemand n’avait en effet pas pu prendre le départ de la course à Melbourne suite à un problème d’alimentation en essence survenu sur sa C32. De son côté, Gutiérrez avait terminé au 13ème rang, sans avoir de véritable point de comparaison pour juger de sa performance australienne.


"Je pense qu’il est bon d’avoir une bonne référence, surtout en sachant que Nico est un pilote constant et très rapide, a déclaré Gutiérrez. Ce serait bien d’avoir ce point de repère pour la prochaine course. J’espère que j’aurai cette référence à Sepang pour pouvoir avancer."


Le jeune protégé de l’Escudéria Telmex, le programme de jeunes pilotes du milliardaire Carlos Slim, est cependant très content de son premier week-end à Melbourne. Il est parvenu à boucler l’ensemble des tours alors qu’il s’agissait de sa première course.


"Pour moi, l’expérience australienne fut très importante, a-t-il indiqué. Pouvoir dire que j’ai rallié l’arrivée de ma première course de Formule 1 est déjà un bon accomplissement. Dès lors, en prenant en compte cette expérience, j’essayerai de m’améliorer et d’inscrire des points pour ce prochain défi en Malaisie. Les conditions seront différentes, mais je pense que ce sera passionnant."


Théâtre de la révélation de son compatriote Sergio Pérez l’an passé, la Malaisie n’ajoute pas pour autant de pression supplémentaire sur les épaules de Gutiérrez, qui juge la situation bien différente.


"Évidemment, c’est quelque chose qui reste en tête, mais je ne vais pas y penser parce que les circonstances sont différentes. La météo varie beaucoup ici et elle joue un grand rôle sur le déroulement de la course. Je vais essayer de faire de mon mieux, en allant à mon propre rythme, étape par étape", a-t-il conclu.

 

[h=1]Button s’en remet à la pluie[/h]
Jenson Button estime que seule la pluie, qui est par ailleurs annoncée ce week-end à Sepang, pourra lui permettre de quitter la Malaisie sur une bonne performance.


"Je préférerais qu’il ne fasse pas sec, mais avoir des conditions changeantes. J’aurais alors plus de chance d’inscrire des points", a indiqué l’ancien Champion du monde ce jeudi.


"Nous étions très bons en pneus intermédiaires le week-end dernier, en Australie, avec la troisième place à l’issue de la deuxième partie des qualifications. Quand vous possédez une voiture performante, vous espérez qu’il fasse sec, mais quand votre monoplace n’est pas rapide, vous espérez avoir une course chaotique afin de saisir votre chance."


Button ne se fait aucune illusion si la course vient à se disputer sur le sec, même si la piste malaise devrait mieux convenir à la MP4-28.


"Nous allons encore avoir du mal ce week-end, mais nous sommes un peu plus chanceux avec ce circuit. La piste n’est pas aussi bosselée que celle de l’Albert Park, ce qui devrait nous aider un peu", a-t-il ajouté.
"Dans les portions où la piste est moins bosselée, surtout dans les virages lents, cela devrait réellement nous aider. Nous ne nous battrons pas pour les premières places, mais nous serons au moins en mesure d’extraire le maximum de potentiel de notre monoplace."

 

Les ouvertures sont de retour !


Chaleur malaise oblige, les ouïes de refroidissement et d’aération ont refait leur apparition aujourd’hui à Sepang, alors qu’elles avaient été obturées étant donné les fraîches températures de Melbourne. Comme on le voit ci-dessus, un cache a été ôté à Sepang (voir la flèche jaune dans l'image arrondie), qui avait été maintenu en Australie (flèche blanche).


A Kuala Lumpur, les pilotes supportent des températures autour de 50°C dans leur cockpit (et 31,7°C pour l’air ambiant). Une bonne ventilation est donc capitale non seulement pour le pilote, mais également pour refroidir la mécanique. Un V8 de F1 fonctionne aujourd’hui à une température de 125°C (limitée par la FIA qui a imposé une soupape de contrôle), qui est souvent maintenue la nuit – comme le permet le règlement –, car ces moteurs ne peuvent pas être démarrés à froid, sous peine d’être endommagés. Bien sûr, ces caractéristiques varient d’un bloc à l’autre : Adrian Newey, par exemple, apprécie particulièrement les faibles contraintes thermiques du V8 Renault.

Aérodynamique pénalisée



Outre la chaleur, la caractéristique principale de Sepang est l’humidité ambiante : “Même s’il ne pleut pas, le degré d’hygrométrie modifie les propriétés de l’oxygène et ralentit le processus de combustion et, par conséquent, la puissance du moteur, explique Rémi Taffin, le directeur des opérations piste de Renault. S’il pleut, comme chaque année jusqu’ici, le défi est d’établir des paramètres pour limiter cette perte de puissance en conservant suffisamment d’adhérence. Les ingénieurs de Renault Sport F1 vont proposer une cartographie spécifique pour la pluie afin que le pilote puisse s’aider du couple. Nous surveillerons les données fournies par les capteurs pour vérifier que le couple réellement délivré est en adéquation avec celui demandé par le pilote. C’est particulièrement important dans les virages rapides, principalement entre les 9 et 13.”



En matière de températures, il y a toutefois des limites à ne pas dépasser, non seulement pour le moteur, mais également pour les batteries et le boîtier du KERS. Des orifices sont donc pratiqués pour capter ou évacuer (comme sur la Mercedes à Sepang, ci-dessous à droite) la quantité d’air strictement nécessaire… mais pas plus ! Car l’air dévié pour rafraîchir est de l’air qui n’est pas exploité à des fins aérodynamiques et coûte donc quelques points d’appui.


“La gestion du refroidissement conditionne en effet l’efficacité aérodynamique, confirme le directeur technique de Marussia, Pat Symonds. En gros, la mission des ingénieurs est de trouver le meilleur équilibre entre le refroidissement optimal et la performance de la monoplace. Le problème est que plus on achemine d’air vers les radiateurs, moins l’aérodynamique est efficace. La vitesse de l’air qui s’engouffre dans les conduites du radiateur n’atteint que 10 à 15% de celle de la voiture. Même si la monoplace roule à 300 km/h, l’air ne dépasse jamais 30 ou 35 km/h. Sur le plan comptable, entre un refroidissement minimal et maximal, la différence d’appuis peut atteindre 5%. Cette différence peut se traduire par un handicap de 0,4 seconde au temps au tour.”



C’est sans doute pour ces raisons que Ferrai n’a pas conservé l’ouverture située dans la partie inférieure du nez, que l’on avait vue lors des essais préliminaires. Cette mince fente – qui n’était pas présente à Melbourne, contrairement à ce que l’on a pu entendre çà et là – ne mène pas à un conduit interne, comme sur la Red Bull ou la Sauber, mais dans la monocoque, au niveau des pieds du pilote.

Le secret de la Lotus ?


D’un circuit à l’autre, les Grands Prix présentent des conditions de piste très contrastées : de Melbourne à Kuala Lumpur, les écuries passeront de 18°C (le jour de la course) à un maximum prévu de 32°C pour dimanche. Du coup, les monoplaces utilisent une dizaine de configurations de refroidissement spécifiques pour s’adapter aux différentes conditions de piste rencontrées durant la saison. Pour chaque circuit, le choix est fonction de la température ambiante, des particularités du tracé (par exemple le pourcentage en plein régime) et des températures de fonctionnement du moteur.


La gestion thermique des monoplaces prend un relief insoupçonné, spécialement dans l’exploitation des Pirelli. Ainsi, en Australie, Red Bull utilisait des tambours de frein pleins à l’avant, alors que Lotus avait monté sur la E21 des tambours ajourés, afin de transmettre aux pneumatiques la chaleur dégagée par les disques. Si Kimi Räikkönen s’est qualifié à 1,3 seconde de Sebastian Vettel, il a mieux géré ses gommes, en partie grâce à cette astuce (imaginée par McLaren en 2012). La gestion de la température des pneus avant est un domaine où les ingénieurs d’Enstone excellaient l’an passé, grâce à ces tambours ajourés (parfois même de manière asymétrique entre le gauche et le droit, selon les circuits).

 

Essais libres/1re séance: Webber le plus rapide



L'Australien Mark Webber (Red Bull-Renault) a réalisé le meilleur temps de la 1ère séance d'essais libres du Grand Prix de Malaisie, 2e manche (sur 19) du Championnat du monde de Formule 1, vendredi matin sur le circuit de Sepang, près de Kuala Lumpur:

. 1re séance d'essais libres:

1. Mark Webber (AUS/Red Bull-Renault) 1:36.935 (moyenne: 205,858 km/h)
2. Kimi Räikkönen (FIN/Lotus-Renault) 1:37.003
3. Sebastian Vettel (GER/Red Bull-Renault) 1:37.104
4. Fernando Alonso (ESP/Ferrari) 1:37.319
5. Nico Rosberg (GER/Mercedes) 1:37.588
6. Adrian Sutil (GER/Force India-Mercedes) 1:37.769
7. Felipe Massa (BRA/Ferrari) 1:37.771
8. Paul di Resta (GBR/Force India-Mercedes) 1:37.773
9. Lewis Hamilton (GBR/Mercedes) 1:37.840
10. Romain Grosjean (FRA/Lotus-Renault) 1:37.915
11. Jenson Button (GBR/McLaren-Mercedes) 1:38.173
12. Pastor Maldonado (VEN/Williams-Renault) 1:38.673
13. Sergio Pérez (MEX/McLaren-Mercedes) 1:38.830
14. Nico Hülkenberg (GER/Sauber-Ferrari) 1:39.054
15. Esteban Gutierrez (MEX/Sauber-Ferrari) 1:39.204
16. Valtteri Bottas (FIN/Williams-Renault) 1:39.208
17. Jean-Eric Vergne (FRA/Toro Rosso-Ferrari) 1:39.284
18. Daniel Ricciardo (AUS/Toro Rosso-Ferrari) 1:39.567
19. Giedo van der Garde (NED/Caterham-Renault) 1:40.728
20. Jules Bianchi (FRA/Marussia-Cosworth) 1:40.996
21. Charles Pic (FRA/Caterham-Renault) 1:41.163
22. Max Chilton (GBR/Marussia-Cosworth) 1:41.513

 

C'est parti pour les essais libres 2e séance.

 

Raikkonen, ça a l'air très très fort. Les Ferrari et les Red Bull à moins de 5 dixièmes.

 

[h=1]Mercedes modifie son organigramme[/h]
Nick Fry est le premier haut dirigeant de l’écurie Mercedes à faire les frais de l’arrivée de Toto Wolff, le nouveau directeur exécutif de l’équipe allemande.


Le Britannique, qui occupe actuellement le poste de CEO au sein du team basé à Brackley, quittera ses fonctions à la fin du mois. Il restera toutefois consultant pour l’écurie.


Le poste sera repris en grande partie par Wolff, qui est également le nouveau responsable de la compétition de Mercedes-Benz.


Fry avait rejoint Mercedes quand l’équipe s’appelait encore BAR. Il a joué un rôle essentiel aux côtés de Ross Brawn dans le maintien de l’écurie en Formule 1 après le retrait de Honda.

 

[h=1]EL2 : Räikkönen un souffle devant Vettel[/h]

[h=2][/h]
Kimi Räikkönen a signé le meilleur temps de la deuxième et dernière séance d’essais libres de ce vendredi au Grand Prix de Malaisie.


Le Finlandais, victorieux le week-end dernier à Melbourne, confirme qu’il faudra de nouveau compter sur lui pour la victoire ce dimanche. Lotus est arrivée à Sepang avec quelques nouveautés et les fortes températures ont plutôt tendance jouer en faveur de la E21.


Räikkönen a devancé de 19 millièmes le triple Champion du monde en titre Sebastian Vettel et de 92 millièmes Felipe Massa. A la lumière de cette première journée d’essais, la victoire devrait se disputer entre Lotus, Red Bull et Ferrari ce dimanche, ces trois équipes se tenant actuellement dans un mouchoir de poche.


Quatrième, Fernando Alonso a concédé quatre dixièmes au Champion du monde 2007. Le pilote espagnol a devancé Mark Webber et Romain Grosjean, qui semble avoir retrouvé un rythme plus normal après ses déboires australiens. Le top 10 est complété par Nico Rosberg, Paul di Resta, Lewis Hamilton et Adrian Sutil.


McLaren est toujours autant en difficulté. Sergio Pérez et Jenson Button ont terminé à plus d’une seconde du meilleur temps du jour, incapables d’accéder au top 10. A l’heure actuelle, même inscrire un point dimanche s’apparente à une gageure pour les pilotes de Woking.

Du côté des trois autres mousquetaires, Jean-Eric Vergne (15ème) a devancé d’un bon dixième son équipier Daniel Ricciardo. Jules Bianchi, 18ème devant Valtteri Bottas, a relégué Max Chilton à plus de deux secondes. Finalement, Charles Pic, 20ème, a précédé Giedo van der Garde de 11 millièmes.

Retrouvez ci-dessous le classement complet de la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix de Malaisie :

Pos | Pilotes | Equipes | Temps | Ecart | Tours|
01 | K. Räikkönen | Lotus | 1:36.569 | | 28|
02 | S. Vettel | Red Bull Racing | 1:36.588 | + 0.019 | 27|
03 | F. Massa | Ferrari | 1:36.661 | + 0.092 | 33|
04 | F. Alonso | Ferrari | 1:36.985 | + 0.416 | 23|
05 | M. Webber | Red Bull Racing | 1:37.026 | + 0.457 | 29|
06 | R. Grosjean | Lotus | 1:37.206 | + 0.637 | 26|
07 | N. Rosberg | Mercedes | 1:37.448 | + 0.879 | 32|
08 | P. di Resta | Force India | 1:37.571 | + 1.002 | 30|
09 | L. Hamilton | Mercedes | 1:37.574 | + 1.005 | 32|
10 | A. Sutil | Force India | 1:37.788 | + 1.219 | 10|
11 | S. Perez | McLaren | 1:37.838 | + 1.269 | 21|
12 | J. Button | McLaren | 1:37.865 | + 1.296 | 29|
13 | N. Hulkenberg | Sauber | 1:38.068 | + 1.499 | 31|
14 | E. Gutierrez | Sauber | 1:38.645 | + 2.076 | 23|
15 | J. Vergne | Toro Rosso | 1:38.738 | + 2.169 | 31|
16 | P. Maldonado | Williams | 1:38.801 | + 2.232 | 27|
17 | D. Ricciardo | Toro Rosso | 1:38.904 | + 2.335 | 31|
18 | J. Bianchi | Marussia | 1:39.508 | + 2.939 | 30|
19 | V. Bottas | Williams | 1:39.660 | + 3.091 | 28|
20 | C. Pic | Caterham | 1:40.757 | + 4.188 | 29|
21 | G. van der Garde | Caterham | 1:40.768 | + 4.199 | 32|
22 | M. Chilton | Marussia | 1:41.438 | + 4.869 | 23|

 

[h=1]Webber et Vettel dégomment les Pirelli ![/h]
Mark Webber déplore que la Formule 1 soit désormais régie par les pneus, reléguant au second plan l’importance de disposer de la monoplace la plus performante et d’un très bon coup de volant.

Kimi Räikkönen est parvenu à remporter le Grand Prix d’Australie, le week-end dernier, en effectuant un arrêt de moins que ses rivaux. A pitstops égaux, c’est probablement la Ferrari de Fernando Alonso qui l’aurait emporté.


Pour le Grand Prix de Malaisie de ce week-end, tout semble indiquer que les pneumatiques joueront une nouvelle fois un rôle prépondérant dans le résultat final de la course, au grand dam de Webber.
"Toute la grille est régie par les pneus à l’heure actuelle. On ne parle que des pneus. Pneus par-ci, pneus par-là… Pour être franc, ces pneus slicks fonctionnaient mieux aujourd’hui sur une piste détrempée que sèche…" a déclaré Webber.


Un avis partagé par son équipier Sebastian Vettel : "Les pneumatiques ne tiennent pas. J’espère que j’en aurai assez pour pouvoir disputer l’entièreté de la course. Je pense que tout le monde a souffert d’une usure particulièrement importante des pneus aujourd’hui, ce qui vous empêche évidemment d’exploiter le plein potentiel de votre monoplace. Il n’est pas possible de prendre du plaisir dans de telles conditions, c’est la stricte vérité."

 

comment ils ragent chez RB c'est marrant :lol: fernando a félicité raiko lui ...

 

Oui, c'est assez drôle. Mais ils seront quand même à la lutte

[h=1]Fry mis au placard[/h]



Les modifications de l'organigramme de Mercedes se poursuivent. Nick Fry, qui était jusqu'alors PDG de l'écurie, va quitter cette fonction en avril et s'occupera désormais des opérations commerciales jusqu'à la fin 2014. Il devra trouver des nouveaux partenariats et attirer des sponsors. C'est Toto Wolff qui va récupérer ses prérogatives. Déjà directeur exécutif et copropriétaire de l’écurie, l'Autrichien va prendre encore plus de poids dans l'écurie. «Je me sens très privilégié d'avoir eu l'opportunité de travailler avec cette écurie lors des 11 dernières années et je reste extrêmement fier de la première victoire de l'écurie et de son doublé en 2009», a commenté le Britannique.

 

[h=1]McLaren reprend (un peu) confiance[/h] L'écurie McLaren, grosse déception de ce début de saison, cherche intensément les solutions à ses problèmes. Et peut compter sur le soutien indéfectible de ses pilotes.


Sergio Perez a fini les essais libres à environ 1"5 des meilleurs. (Reuters)






Après un premier Grand Prix assez désastreux en Australie (9e place pour Jenson Button, 11e pour Sergio Perez), McLaren a montré de légers signes de mieux lors des premiers essais libres, à Sepang, vendredi, accusant moins d'1"5 de retard sur les meilleurs. Tout est pourtant loin d'être réglé au sein de l'écurie anglaise et la MP4-28 est toujours moins compétitive que la concurrence.

«Pour être honnête, nous regardons un peu partout en ce moment, afin de trouver des réponses à nos questions, a confié Sam Michael, le directeur sportif. Nous avons une idée assez précise de l'origine des problèmes, et nous devrions pouvoir tout régler à l'usine. Nous sommes assez confiants, mais il faut savoir garder l'esprit ouvert et ne pas rester camper sur certaines de nos positions si nous voulons revenir dans la course.»



S. Perez : «Je préfère être chez McLaren dans cette position que dans une autre écurie et gagner»
A la question de savoir si l'écurie pourrait abandonner la monoplace 2013 pour revenir à celle de 2012, Michael refuse de trancher nettement : «Pour le moment, nous nous concentrons uniquement sur la MP4-28, en essayant d'arranger ça le plus vite possible. Si jamais on décidait de revenir à la MP4-27, il faudrait tenir compte des quelques changements du réglement à l'intersaison, comme les ailerons avant par exemple. Ce ne serait pas des gros soucis, mais nous ne voulons penser qu'à la monoplace actuelle, car nous pensons que son potentiel est plus important que celui de la 27.»

Du côté des pilotes, Sergio Perez tient à affirmer que les problèmes rencontrés depuis le début de saison ne lui font pas regretter son départ de Sauber. «Je ne regrette rien, a expliqué le Mexicain. Si on m'avait dit avant de signer que je me retrouverais dans cette position, j'aurais signé quand même, car je sais que je suis avec la meilleure équipe. Je préfère être chez McLaren dans cette position que dans une autre écurie et gagner. Je prends beaucoup de plaisir, et je sais que nous avons les personnes qu'il faut pour rétablir la situation. C'est impressionnant comment ils arrivent à gérer ces moments : personne n'accuse personne, tout le monde est uni derrière le même objectif. Nous sommes tous coupables. Nous perdons en équipe, et nous gagnerons en équipe.»

Rédaction

 

En meme temps, c'est vrai que les pirelli sont pas terrible.

Tu fais un blocage de roue et tu es bon pour les stands.

 

[h=1]«Il faut rester prudent»[/h] Enchanté par le résultat de son écurie en Australie, Stefano Domenicali a néanmoins conscience qu'il sera sûrement difficile de faire aussi bien en Malaisie.


Ferrari est en tête du championnat des constructeurs avec 30 points. (Reuters)







En un an, l'ambiance a totalement changé chez Ferrari. En mars 2012, après de mauvais essais hivernaux, tout le monde savait au sein de la Scuderia que la monoplace était mal née et que la saison serait compliquée. Douze mois plus tard, les sourires sont revenus, en même temps que les ambitions. Après le premier Grand Prix, l'écurie italienne est en tête du championnat, grâce notamment à une meilleure gestion des pneus que sa grande rivale Red Bull. Mais pour Stefano Domenicali, la vérité d'une course n'est pas nécessairement celle d'une saison.


«C'était important de concrétiser sur la piste ce que nous espérions après les essais, a expliqué le patron de la Scuderia à Sepang. Nous avons vu une voiture fiable et rapide en course, mais en qualifications, notre performance n'a pas été à la hauteur de nos ambitions. L'écart avec les Red Bull était encore important, même si difficile à déterminer avec précision étant donné les conditions assez particulières de la séance. Les Red Bull sont encore très fortes, et nos autres rivaux étaient au niveau qu'on attendait. Quelle conclusion tirer de tout cela ? Que la saison va encore être très intense.»

«Sur la gestion des pneus il faut rester prudent, a-t-il ajouté. En Australie, dans des conditions spécifiques, ça s'est bien passé pour nous. Mais il est impossible de faire des prédictions pour la suite de la saison. En Malaisie, nous allons rencontrer des conditions totalement différentes et on verra bien comment la voiture se comporte. On devrait avoir une idée plus précise des possibilités de chacun après quatre ou cinq courses, pas avant.»

Quel sera donc l'objectif de Ferrari à Sepang ? «Mon objectif pour ce week-end est clair : étant donné que le samedi on ne marque pas de points, je préfère en marquer le dimanche, si possible en plus grand nombre que Red Bull. Nous voulons tout de même réussir de bonnes qualifications. Et ensuite on verra bien au petit jeu de la gestion des pneus qui sera le meilleur.»


Rédaction

 

[h=1]Pic s’attend à se faire battre par Bianchi à Sepang[/h]
Relégué à une bonne seconde de Jules Bianchi ce vendredi à Sepang, Charles Pic ne se fait aucune illusion pour la suite de son week-end en Malaisie.


Le natif de Montélimar s’attend à être distancé, tant en qualifications qu’en course, par la Marussia de son compatriote.


"Les Marussia ont toujours un avantage sur nous. On s’y attendait parce que l’on n’a pas de nouvelles pièces pour cette course, a confié Pic à RMC. On va essayer d’optimiser la voiture que l’on a et en extraire le maximum pour demain. Tout le monde va avoir beaucoup de dégradation, l’objectif c’est d’en avoir moins que les autres."


Bianchi, qui était le seul pilote du plateau à découvrir le circuit de Sepang ce vendredi, estime que Marussia a progressé d'une seconde et demie depuis l’année dernière.


"Forcément on regarde devant nous puisqu’on n’est pas très loin du groupe de devant, mais il reste encore beaucoup de travail. La voiture a beaucoup progressé puisqu’on est déjà 1,5 seconde plus rapide que l’an dernier", a-t-il déclaré.

 

[h=1]Grosjean évoque sa relation avec Räikkönen[/h]

Romain Grosjean a vaguement évoqué ses relations avec son équipier Kimi Räikkönen en marge du Grand Prix de Malaisie de ce week-end.


Le Français est heureux de travailler aux côtés d'un Champion du monde, même si Iceman est peu loquace.


"Il ne change pas beaucoup. Il gagne donc on ne lui dit rien. De temps en temps, il sourit", a-t-il commenté à nos confrères de RMC.


"Il s’est un peu ouvert. Maintenant, on rigole bien. C’est un bon équipier. Il ne change pas d’attitude au fil de la saison. C’est une bonne chose de bosser ensemble."


Victorieux dimanche dernier à Melbourne, Räikkönen a réalisé le meilleur temps de ces deux séances d’essais libres ce vendredi en Malaisie. L’ancien Champion du monde sera l’un des favoris des qualifications demain. S’il parvient à décrocher la pole position, ce sera une première depuis le Grand Prix de France 2008.

 

J'étais en bagnole pendant son interview au moscato show.

J'ai trouvé qu'il se chercher beaucoup d'excuse pour expliquer son GP en Australie. Déjà, comme lui a fait remarqué Moscato, des le départ il fait une erreur et se fait enfermer.

Il doit arrêter de parler et se concentrer. Prendre exemple sur son coéquipier en faite.

 

Au départ en Australie, il évite d'aller à la faute. Et c'est normal vu l'accumulation des bourdes l'an dernier. Donc y a rien à dire, parce que s'il va au charbon et que ça tape, il en prend plein la gueule.