Formule 1 : A fond, à fond, à fond et puis... j'ai fait gravier

What else ? ldwink:

 

C'était à prévoir en effet, mais que c'était affligeant la descente aux enfers des Merco. J'avais mal pour Hamilton.

 

Saison 2013 : le ras-le-bol de Pirelli !



Critiqué par certaines écuries, en premier lieu Red Bull, et une partie de la presse, Pirelli commence à être agacé de devoir sans cesse se justifier de respecter le cahier des charges qui lui a été imposé par les autorités de la Formule 1, à savoir dynamiser les Grands Prix en produisant des pneumatiques peu adhérents.


Le manufacturier italien a donc tenu à mettre une nouvelle fois les choses au point, sortant cette fois-ci la menace. Il est prêt à produire des pneus en ‘béton’ – comme les anciens Bridgestone – afin de rendre les courses processionnelles à souhait jusqu’à la fin de la saison, à la grande joie de Red Bull… mais au grand dam des fans !


"Que voulez-vous que nous fassions ? Il nous a été demandé de veiller à avoir des courses à deux voire trois arrêts, rappelle Paul Hembery, le directeur de Pirelli Motorsport. Je sais que certains d’entre vous aimeraient voir des courses se disputer en un seul arrêt et où les pneus ne joueraient pas un rôle dans le résultat final."


"Nous pouvons très bien revenir à des courses processionnelles où le classement serait déjà connu une fois les qualifications terminées, si c’est ce que vous voulez pour la Formule 1 ! Que voulez-vous que nous fassions ? Dites-le nous et nous le ferons."


En outre, des pneumatiques plus endurants reviendraient à offrir à Red Bull un quatrième titre sur un plateau d’argent.


"C’est franchement étrange car nous n’agissons pas différemment des deux dernières années. Nous ne comprenons pas le comportement des médias, a ajouté Hembery. C’est un peu bizarre, à moins que vous ne vouliez tous aider Red Bull à remporter le championnat, ce qui semble être le cas. Je pense que c’est très clair : il n’y a qu’une seule équipe qui bénéficierait d’un changement des pneus et ce sont eux."

 

[h=1]Ricciardo : La FIA a failli être "pathétique"[/h]

Daniel Ricciardo s’est félicité que les commissaires sportifs de la FIA aient classé sans suite l’incident ayant impliqué Fernando Alonso à la fin du Grand Prix d’Espagne.

La direction de course reprochait à l’Espagnol d’avoir pris un drapeau que lui avait tendu un commissaire de piste, après avoir franchi la ligne d’arrivée, ce qui est formellement interdit par le règlement.


"Je suis heureux de voir qu’Alonso n’ait pas été pénalisé pour avoir agité son drapeau national. Cela aurait été pathétique s’il avait été sanctionné", a écrit Ricciardo sur son compte Twitter.

 

[h=1]Grand Prix de Monaco : Mercedes favorite d’Alonso et Räikkönen en Principauté[/h]
Auteur de la pole position lors des trois derniers Grands Prix, Mercedes s’affiche comme l’une des grandes favorites pour l’étape monégasque du championnat du monde de Formule 1. Le circuit tracé dans les rues de la Principauté n’est pas trop exigeant avec les pneumatiques et, même si les Flèches d’argent viennent à s’effondrer durant la course, les dépassements restent rares.


"Ils ont réalisé la pole position lors des trois dernières courses et ils étaient en pole l’an dernier avec Michael [Schumacher]", a déclaré Fernando Alonso, vainqueur hier de son Grand Prix national. "Ce serait par conséquent une surprise s’ils n’étaient pas en pole position à Monaco. En outre, il est très difficile de dépasser en Principauté. Ils pourraient donc cette fois-ci rester plus longtemps en tête de la course."


Kimi Räikkönen, dauphin d’El Nano au Circuit de Catalunya, a ajouté : "Je pense que Mercedes sera malheureusement très rapide sur ce circuit, sans oublier qu’il est difficile d’y dépasser. Ils devraient être compétitifs."

 

[h=1]Red Bull en rajoute une couche sur les pneus…[/h]
Le team principal de Red Bull, Christian Horner, a une nouvelle fois critiqué les pneus Pirelli, au lendemain de la déroute des RB9 au Grand Prix d’Espagne.


Fernando Alonso a infligé une sévère correction aux triples Champions du monde en titre hier, reléguant la première Red Bull – celle de Sebastian Vettel – à près d’une quarantaine de secondes au drapeau à damier.


Horner a directement imputé cette contre-performance aux pneumatiques italiens qu’il juge trop peu endurants.


"La Formule 1 ressemble aux échecs à présent. Et les échecs ne sont pas un sport qui compte beaucoup de fans de par le monde", a lâché Horner.


Et Gerhard Berger, un proche de Red Bull, de renchérir : "Pirelli ne peut plus continuer de la sorte. Toutes les deux semaines, ils ne récoltent que de la publicité négative."


Le directeur de Pirelli Motorsport, Paul Hembery, a laissé entendre au Circuit de Catalunya que le manufacturier pourrait modifier ses pneumatiques à partir du Grand Prix de Grande-Bretagne, programmé le 30 juin prochain.

 

[h=1]F1 - FIA : Les pneus de la colère[/h]





La Fédération internationale de l'automobile (FIA), en s'appuyant sur le règlement technique, a demandé au manufacturier italien Pirelli de limiter au strict nécessaire, «pour raisons de sécurité», les changements qu'il prévoit à partir du GP du Canada (9 juin). Sous la pression de plusieurs écuries dont Red Bull Racing, Pirelli avait annoncé que ses gommes seraient modifiées à partir du GP du Canada, «pour combiner la durabilité des pneus de 2012 avec le niveau de performance des pneus 2013» et diminuer le nombre d'arrêts au stand pendant un GP.

Cette annonce avait suscité la colère de Ferrari et Lotus, dont les monoplaces usent moins leurs pneus que les Red Bull, ce qui leur a permis de remporter trois des cinq premières manches de 2013. «C'est comme si on modifiait la taille des cages de football en cours de saison, parce que certaines équipes n'arrivent pas à cadrer leurs tirs», avait regretté Eric Boullier, le patron de Lotus F1, mercredi sur Canal Plus.

Depuis, Ferrari, Lotus et Force India ont obtenu de la FIA qu'elle joue son rôle d'arbitre en limitant les changements qui seront apportés. Aucun changement important n'est permis sans l'unanimité des 11 écuries, ce qui est loin d'être le cas sur ce sujet.

Ces changements ne devront donc pas avoir pour conséquence une dégradation moindre des pneus ou un nombre moins élevé d'arrêts au stand, mais seulement éviter que la bande de roulement du pneu s'arrache d'un coup, comme c'est arrivé à l'Ecossais Paul di Resta lors des essais libres du GP d'Espagne. «C'est une situation dans laquelle on ne peut pas gagner, car si on modifie trop les pneus, on nous dira qu'on a offert le titre à Red Bull», avait ainsi Paul Hembery, le directeur de Pirelli Compétition.


AFP

 

[h=1]Mercedes regrette la décision de McLaren[/h]
Mercedes a déploré le choix de McLaren de s’engager avec un nouveau motoriste, Honda, à partir de la saison 2015 de Formule 1.


"Bien entendu que ce n’est jamais l’idéal de perdre un client, qui plus est quand il s’agit de quelqu’un comme McLaren, qui est avec Mercedes depuis très longtemps et avec qui nous avons connu de nombreux succès", a expliqué Toto Wolff, le responsable de la compétition de Mercedes-Benz, à Speed Week.


"Ce n’est pas agréable de perdre McLaren, mais ils ont pris leur décision. D’un autre côté, nous nous réjouissons d’accueillir Honda dans le sport. La compétition est toujours une bonne chose pour les affaires."


Wolff a par ailleurs confirmé que Mercedes cherchait à motoriser une troisième écurie en F1. Le constructeur de Stuttgart discuterait actuellement avec Williams, qui pourrait quitter Renault dès la saison prochaine.


"Pour nous, l’idéal est d’avoir entre trois et quatre équipes, et nous sommes convaincus que nous motoriserons au moins trois écuries en Formule 1 dans les années à venir", a précisé Wolff.

 

[h=1]Mercedes confirme la venue de Lowe[/h]
Mercedes a indiqué ce lundi matin que Paddy Lowe, l’ancien directeur technique de McLaren, rejoindrait Brackley à compter du 3 juin prochain.


Lowe deviendra le directeur exécutif (technique) et travaillera en étroite collaboration avec le team principal Ross Brawn, le directeur exécutif (business) Toto Wolff et le département technique de l’écurie.
"Je suis excité de rejoindre une organisation composée de personnes très talentueuses", s’est réjoui Lowe dans un communiqué.


Brawn a ajouté : "Je suis ravi d’accueillir Paddy au sein de l’écurie et il me tarde que nous commencions à travailler ensemble. Il dispose d’un palmarès impressionnant dans le sport et il serait un atout pour n’importe quelle équipe du plateau."

 

[h=1]Lopez qualifie de "stupide" la décision de Pirelli[/h]

Le copropriétaire de l’équipe Lotus, Gérard Lopez, a critiqué la décision de Pirelli de modifier ses pneumatiques à partir du Grand Prix du Canada.


Même si les changements apportés par le manufacturier devraient être minimes, l’homme d’affaires luxembourgeois a qualifié cette décision de "stupide".


"Donne-t-on toujours la priorité au sport ? Non. C’est totalement stupide car cette décision sanctionne les équipes ingénieuses et créatives et récompense les perdants", s’est insurgé Lopez dans les colonnes du journal allemand Welt am Sonntag.


Jackie Stewart, ambassadeur de Genii Capital, le fonds d’investissement possédant l’équipe Lotus, a également déploré la décision prise par Pirelli, critiquant au passage les pilotes Red Bull et Mercedes.
"Il faut aussi qu’un pilote de Formule 1 utilise son cerveau, a-t-il rappelé. Il ne s’agit pas seulement d’appuyer à fond sur la pédale d’accélérateur pour remporter un Grand Prix."

 

même si les pneus sont une aberration, ils ne faut clairement pas les changer fondamentalement car cela desaventagerait clairement ferrari et Lotus. Mais j espere que l année prochaine ils serons mieux et que le drs soit abandonné mais ça je peux toujours me toucher

 

[h=1]Pirelli prédit deux arrêts à Monaco[/h]
Le manufacturier unique de pneus de Formule 1, Pirelli, s’attend à ce que la plupart des pilotes observent deux arrêts au Grand Prix de Monaco.


"Nous nous attendons à deux arrêts en moyenne par voiture", a déclaré Paul Hembery, le responsable de la compétition de Pirelli.


"A l’inverse de la dernière course à Barcelone, la piste est beaucoup moins abrasive à Monaco et la dégradation est donc moins importante. Cela ne veut pas dire pour autant que la stratégie aura un rôle moins important, au contraire. Par le passé, nous avons vu des pilotes opter pour des stratégies différentes et terminer dans un mouchoir de poche à l’arrivée."


Toujours est-il que les qualifications joueront une nouvelle fois un rôle déterminant en Principauté. Depuis 2009, le vainqueur s'est toujours élancé depuis la première ligne de la grille de départ.

 

[h=1]BMW répond à Ecclestone[/h]
BMW n’a pas tardé à répondre à Bernie Ecclestone. Dans une interview accordée au journal britannique City A.M., le grand argentier de la Formule 1 avait laissé entendre que BMW pourrait suivre Honda et revenir dans le sport comme motoriste.


"Je ne sais pas avec qui Bernie a parlé. Pour l’instant, notre priorité est le DTM", a indiqué Jens Marquardt, le patron de la compétition de BMW.


"Nous obtenons d’excellents résultats avec nos voitures sportives sur la Nordschleife ainsi qu’en ALMS. Nous n’avons absolument pas l’intention de rejoindre d’autres championnats."


"Nous avons pris une décision murement réfléchie en nous retirant de la Formule 1. Nous nous sommes orientés vers des catégories où nos clients reconnaissent la marque BMW. Il n’y a aucune raison de changer ce concept. Il fonctionne très bien."

 

[h=1]Pirelli espère agir équitablement[/h]

Pirelli est sous le feu des critiques depuis qu’il a annoncé des changements dans sa gamme de pneumatiques à partir du Grand Prix du Canada, programmé le 9 juin prochain.


Le manufacturier italien espère que les modifications apportées à ses pneus n’avantageront pas certaines écuries, à savoir Red Bull et Mercedes, au détriment d’autres formations, en particulier Lotus, Ferrari et Force India.


"Certaines équipes ont consacré beaucoup de ressources cet hiver pour maximiser le package pneu-châssis et elles ne veulent pas être pénalisées par un changement radical", a déclaré Paul Hembery, le responsable de la compétition de Pirelli, à l’agence de presse Reuters.


"Nous essayons de trouver le juste équilibre, une solution équitable sportivement. Nous espérons y parvenir sans pénaliser qui que ce soit. De toute façon, les changements requis seront moins importants que prévu."

 

La qualité des pneus Pirelli est discutable, mais le choix de les modifier parce que Red Bull et ses pilotes n'arrivent pas à exploiter cette nouvelle donne aussi bien que Renault et Ferrari l'est encore plus...

 

[h=1]Rosberg double la mise[/h] Nico Rosberg est l'homme du jour à Monaco. Déjà dominateur des libres 1, le pilote Mercedes s'est également montré le plus rapide lors des libres 2, devant son coéquipier Lewis Hamilton et Fernando Alonso (Ferrari). Romain Grosjean (Lotus) a été victime d'une sortie de piste.


Nico Rosberg se pose en favori pour les qualifications samedi. (Reuters)






Les Mercedes aiment les deux premières journées d'un week-end de Grand Prix, c'est indéniable. Et Nico Rosberg est à l'aise en Principauté, où il a grandi et réside encore, c'est également un fait clairement établi. L'Allemand, qui avait déjà montré son potentiel lors des libres 1, a récidivé cet après-midi. Avec les pneus super-tendres, il a signé le meilleur chrono de la séance, en 1'14"759. Mais si ce matin, il avait été suivi par les deux Ferrari et la Lotus de Romain Grosjean, c'est cette fois son coéquipier Lewis Hamilton qui le suit de près, à 318 millièmes exactement. En imaginant que les deux voitures allemandes soient en première ligne sur la grille, cela risque fort de bouchonner derrière durant une bonne partie du GP, car leurs performances sont moins bonnes en course à cause d'une plus importante dégradation des pneus.

Les deux monoplaces italiennes ne sont pas loin non plus : Fernando Alonso est 3e à 437 millièmes, Felipe Massa 4e à 519 millièmes. Suivent la Red Bull de Mark Webber (+0"645) et les Lotus de Kimi Räikkönen (+0"752) et Romain Grosjean (+0"959). La séance du Français n'a cependant duré que 33 minutes : il a en effet heurté le rail de sécurité juste après le virage de Sainte-Dévote, et a copieusement abimé sa monoplace. Il aura donc une heure de roulage en moins que ses rivaux.

La fin du Top 10 est composée de Jenson Button (McLaren, +1"200), Sebastian Vettel (Red Bull, +1"255) et Paul di Resta (Force India, +1"287). Pour trouver la trace des trois autres Français, il faut descendre un peu plus bas : Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) est 17e et devancé par Daniel Ricciardo, Jules Bianchi (Marussia) est 19e et Charles Pic (Caterham) 20e.
F. B.

 

Tous les journalistes qui se branlent sur Monaco, plus beau circuit de l'année ... Je sens que Dimanche je vais m'endormir devant avec Rosberg ou Hamilton qui vont partir 1er et bouchonner tous le monde durant tous le grand prix pour finir par gagner ...

 

Un circuit sans dépassements c'est pas tellement plus débile qu'une course où les pilotes doivent aller le plus lentement possible.

 

[h=1]Red Bull répond à Alonso ![/h]
Le team principal de Red Bull, Christian Horner, n’a pas apprécié que Fernando Alonso critique ouvertement son équipe devant la presse mercredi à Monaco.


"Certains de nos adversaires prétendent posséder une excellente voiture mais les trois dernières pole positions ont été signées par une autre auto alors que tout le monde avait pourtant des pneus neufs. Quand vous gagnez si facilement depuis quelques années, c’est difficile d’accepter la défaite", avait indiqué l’Ibère, visant clairement Red Bull.


Interrogé sur les propos du pilote Ferrari hier en Principauté, Horner a lui aussi raillé son rival espagnol, lui reprochant de n’être qu’un mauvais perdant.


"Nous savons accepter la défaite. Dans n’importe quel sport, vous devez savoir gagner et savoir perdre. Et quand vous perdez, vous devez vous remettre en question et redoubler d’efforts et ne pas vous plaindre à propos des drapeaux jaunes…" a lâché le Britannique.


En faisant allusion aux drapeaux jaunes, Horner fait référence à la polémique qui avait éclaté au lendemain du Grand Prix du Brésil. La Scuderia Ferrari avait saisi la FIA pour savoir si Sebastian Vettel avait bien dépassé en toute légalité un concurrent durant la course.

 

[h=1]Grand Prix de Monaco : des caméra sur la Mercedes ?[/h]
On le sait, les Mercedes W04 de Lewis Hamilton et Nico Rosberg sont rapides comme des flèches, mais usent excessivement leurs pneumatiques, même à l’avant.


Bien qu’à Monaco la dégradation des gommes soit traditionnellement faible (la piste est même la moins abrasive de toute l’année), les ingénieurs de Brackley souhaitent mesurer avec précision la dégradation des Pirelli, afin d’affiner au mieux leur stratégie pour la course.


Pour ce faire, ils ont monté hier des caméras infrarouges sur l’aileron avant de la monoplace de Lewis Hamilton lors de la première séance d’essais libres.


La température des gommes peut être évaluée de plusieurs manières : par des capteurs infrarouges dirigés sur une zone précise du pneu ; par des senseurs montés à l’intérieur de l'enveloppe afin de mesurer la chaleur interne ; et, enfin, par des caméras miniatures qui filment toute la largeur de la bande de roulement.


Par rapport aux capteurs, la caméra, introduite par McLaren en 2003, présente l’avantage de pouvoir être placée relativement loin des pneumatiques (ainsi, à Barcelone, Force India avait monté ses caméras dans les rétroviseurs de la voiture). On n’arrête pas le progrès…