Formule 1 : A fond, à fond, à fond et puis... j'ai fait gravier

Sauf que Saint Marin n'est plus la depuis quelques années...
Pour moi mon top 3 est Monza-Suzuka-Spa
Par contre kje deteste Monaco... Trop jet Set et en ville

 

[h=1]Grosjean : “Je me sens plus à l’aise que l’an dernier”[/h]

Romain Grosjean est impatient de disputer son second Grand Prix d’Australie avec l’écurie Lotus, après des essais de pré-saison prometteurs avec la E21. "J’ai vraiment hâte que cela commence, a-t-il confié. L’hiver s’est bien passé pour nous, nous avons accompli une bonne partie de ce que nous voulions faire, même si les conditions n’étaient pas toujours favorables."

A la surprise générale, Grosjean avait en effet hissé sa Lotus sur la troisième place de la grille de départ l’an dernier à Melbourne. Il avait toutefois connu moins de réussite le lendemain en course, contraint à l’abandon dès le premier tour après un contact avec Pastor Maldonado. "J’ai beaucoup plus d’expérience que l’an dernier et je suis impatient avant cette saison, a ajouté le pilote tricolore. Je vais essayer de rassembler tout le travail fait avec l’équipe et de le transformer en bonnes performances en piste. Je me sens beaucoup plus à l’aise en abordant la saison 2013."
Le Français est également revenu sur sa première saison en F1, "L’année passée a été faite de hauts et de bas, alors l’idée est de garder le niveau de performance dont je suis capable et d’y ajouter la constance nécessaire toute l’année. Nous savons ce que nous voulons, nous avons beaucoup parlé cet hiver. Aussi, nous cherchons tous à démarrer la saison avec une ligne directrice précise."
Les douze journées d’essais hivernaux n’ont pas permis de dégager une hiérarchie précise entre les meilleures formations du plateau. Grosjean est également dans l’expectative à quelques jours de limer le bitume australien. "J’y réfléchis beaucoup ces temps-ci, mais je n’aurai vraiment de réponse qu’aux qualifications à Melbourne. Evidemment, nous espérons comme toujours être devant. C’est l’objectif et nous ferons tout pour tirer le maximum de la voiture. En ce qui me concerne, si je donne le meilleur de moi-même, je serai content", a-t-il conclu.

 

Formule 1 : léger changement pour les qualifications




Si le règlement technique demeure quasiment inchangé cette saison en F1 par rapport à la campagne précédente, les changements sont en revanche plus nombreux sur le plan sportif


Les qualifications seront légèrement modifiées pour cette nouvelle saison de Formule 1 en raison du retrait de la modeste écurie espagnole HRT, contrainte de mettre la clé sous la porte fin 2012.
Ces trois dernières années, sept pilotes étaient éliminés en Q1 et Q2. Ils ne seront désormais plus que six. Aucun changement en Q3 en revanche, la dernière partie de la séance qualificative sera toujours composée de dix voitures.

 

[h=1]Ferrari critique "l’esclavagisme" de Newey ![/h]

La saison 2013 de Formule 1 n’a pas encore débuté en Australie que Ferrari a déjà entamé la guerre des mots avec sa grande rivale Red Bull, lauréate des trois dernières campagnes.


Le designer de la Scuderia, Nicholas Tombazis, a indiqué que son équipe ne copierait jamais le style d’Adrian Newey, le directeur technique de Red Bull, qu’il juge proche de "l’esclavagisme".
"Sans rentrer dans les détails, je pense que nous sommes organisés différemment de Red Bull. Nous n’avons pas une personne qui fait tout, qui prétend tout savoir, alors que ses employés sont des esclaves", a lâché Tombazis dans les colonnes du magazine italien Autosprint.


"Nous disposons d’une solide équipe à Maranello que nous avons certes dû remanier au cours des dernières années en raison de notre manque de succès. D’un point de vue purement technique, j’estime qu’il est difficile de ne pas avoir de l’admiration pour Adrian Newey. Mais d’un point de vue humain, je connais d’autres personnes [qui sont meilleures que lui]."

 

[h=1]Coughlan assure l’intérim chez Williams[/h] Le directeur technique de Williams, Mike Coughlan, endossera la fonction de team principal de l’équipe pour le Grand Prix d’Australie de ce week-end.
Le patron de l’écurie de Grove, Sir Frank Williams, n’a pas effectué le déplacement à Melbourne suite au décès de son épouse Ginny.
La femme du co-fondateur de la célèbre formation britannique est décédée le week-end dernier dès suites d'un cancer.
En hommage à Ginny Williams, qui était très appréciée à Grove, les employés de l’écurie porteront un brassard noir dimanche.

 

[h=1]Le bal des prétendants[/h] Parmi les 22 pilotes engagés cette année, ils sont quatre à se démarquer et se poser en favoris pour le titre mondial. Etat des lieux des forces, et faiblesses, en présence.


Sebastian Vettel va-t-il passer de triple à quadruple champion du monde ? (Reuters)






[h=2]Sebastian Vettel (ALL/Red Bull)[/h] A tout seigneur tout honneur. Sebastian Vettel est fort logiquement le favori à sa propre succession. Triple champion du monde en titre, l'Allemand va encore débuter la saison avec le n°1 sur sa nouvelle Red Bull. Une RB9 qui devrait, a priori, être aussi compétitive que ses devancières, même si le peu de changements dans le réglement devrait encore resserrer les écarts. Quant au pilote, il n'a pas l'intention de se reposer sur ses lauriers. «Je n'ai aucune baisse de motivation, même après trois titres consécutifs, fort heureusement. Ce que nous avons accompli est génial et nous rend très fier, mais je regarde encore devant moi, j'ai encore des objectifs à atteindre.»
[h=2]Fernando Alonso (ESP/Ferrari)[/h]
Deuxième en 2010 et 2012, quatrième en 2011, Fernando Alonso court toujours après son troisième titre mondial. Mais il a le malheur d'être tombé sur un duo Red Bull-Vettel imbattable. A 31 ans, pour sa 12e saison en F1, l'Espagnol va donc repartir à l'attaque, avec toujours la même détermination qu'on lui connaît depuis ses débuts. Au volant d'une F138 qui semble mieux armée que sa devancière, Alonso devrait avoir des arguments à faire valoir. Dans la course au titre jusqu'au dernier Grand Prix la saison dernière, il compte bien faire juste un tout petit mieux en 2013.
[h=2]Jenson Button (GBR/McLaren)[/h]
Après une saison 2012 en demi-teinte (5e, 3 victoires mais 6 Grands Prix hors des points), difficile de savoir à quel Jenson Button nous aurons droit en 2013. Sur le papier, le pilote anglais possède une science de la course qui en fait un potentiel champion du monde, ce qu'il fut déjà en 2009. Il est également doué pour gérer les pneus, et les gommes Pirelli sont très complexes à comprendre. Cela peut être un avantage non négligeable. Mais Button manque parfois de la gnac et de la vista qui font les grands champions, et à 33 ans, il n'a plus beaucoup de temps pour grossir son palmarès.
[h=2]Kimi Räikkönen (FIN/Lotus)[/h]
Après deux ans d'absence , Kimi Räikkönen a surpris pas mal de monde, sauf lui-même, en terminant 3e du championnat 2012. Le Finlandais découvrait une nouvelle écurie, reprenait contact avec le monde de la F1, et pourtant, grâce à une grande régularité, plus une victoire à Abu Dhabi, il a damé le pion à Lewis Hamilton, Jenson Button et Mark Webber. Il n'y a donc aucune raison, à condition que sa monoplace soit au moins aussi performante, qu'il ne fasse pas mieux en 2013. Iceman sera néanmoins beaucoup plus attendu, et surveillé, que la saison dernière. Mais il sait plutôt bien gérer la pression.

 

F1 - GP d'Australie : Ce qu'il faut savoir...

La saison 2013 débute dans la nuit de jeudi à vendredi avec les premiers essais libres à Melbourne. Ce qu'il faut savoir avant d'entrer dans le grand bain de la F1.


Comme chaque année, le coup d'envoi de la saison est donné à Melbourne. (L'Equipe)







L'Australie en ouverture

Comme chaque année, ou presque, la saison va débuter aux antipodes, à Melbourne. Un Grand Prix matinal pour les Français (départ dimanche à 7h00) mais assez souvent passionnant. Un circuit en ville, une chaleur importante, une dégradation des pneus encore assez peu maîtrisée, autant d'éléments pour rendre cette première manche passionnante. Et si Bernie Ecclestone a annoncé vouloir 22 Grands Prix à l'avenir, il devra bien se contenter de 19 cette saison. Le Portugal, la Turquie ou l'Autriche ne sont pas parvenus à hériter de la date laissée libre par le report du GP du New Jersey.

Pas de grand favori

Sebastian Vettel va-t-il réussir la passe de quatre ? Rien n'est moins sûr, tant l'incertitude règne à l'aube de cette première course. En 2012, l'Allemand avait dû attendre le dernier Grand Prix, au Brésil, pour être sacré devant Fernando Alonso. Le suspense devrait également être de la partie cette saison. Vettel et Alonso donc, mais aussi Kimi Räikkönen, Mark Webber, Jenson Button, voire Felipe Massa ou Lewis Hamilton et Nico Rosberg, voici autant de pilotes capables de gagner une ou plusieurs courses.

Les Français en force


Jules Bianchi, auquel Force India a préféré Adrian Sutil, a finalement trouvé refuge chez Marussia. Romain Grosjean (Lotus), Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) et Charles Pic (Caterham) étant toujours là, il y aura donc quatre Français sur la grille en 2013. La France, qui n'organise en revanche toujours pas de Grand Prix, est le pays le plus représenté avec la Grande-Bretagne (Button, Hamilton, Di Resta et Chilton) et l'Allemagne (Vettel, Rosberg, Hülkenberg et Sutil).

Cinq rookies sur la ligne

Esteban Gutierrez (Sauber), Valtteri Bottas (Williams), Giedo van der Garde (Caterham), Jules Bianchi (Marussia) et Max Chilton (Marussia) vont faire leurs débuts cette saison. Ils sont plusieurs à avoir déjà roulé en essais libres mais jamais en course. Si certains vont galérer en fond de grille, Bottas, et plus encore Gutierrez, ont une belle carte à jouer, en espérant pour eux que cette première saison en F1 ne sera pas aussi la dernière.

Peu de changements

Avant la révolution 2014 (arrivée du moteur V6 turbo), le règlement 2013 n'a quasiment pas évolué, ce qui devrait entraîner un resserrement de la hiérarchie. Le système de double DRS actif, qu'avait introduit Mercedes en 2012, a été interdit ; la rigidité de l'aileron avant a été augmentée ; le poids minimum de la voiture (avec pilote) est passé de 640 à 642 kg. Et l'utilisation du DRS a été limitée durant les essais et les qualifications.

Rédaction

 

Libres 1 : Vettel (Red Bull) le plus rapide


Sebastian Vettel (Red Bull) a réalisé le tour le plus rapide des essais libres 1 à Melbourne, en 1'27"211, devant Felipe Massa (Ferrari) à 0"078 et Fernando Alonso (Ferrari) à 0"336. Le Top 7 en une seconde.

1ère séance d'essais libres:

1. Sebastian Vettel (GER/Red Bull-Renault) 1:27.211
2. Felipe Massa (BRA/Ferrari) 1:27.289
3. Fernando Alonso (ESP/Ferrari) 1:27.547
4. Lewis Hamilton (GBR/Mercedes) 1:27.552
5. Mark Webber (AUS/Red Bull-Renault) 1:27.668
6. Kimi Räikkönen (FIN/Lotus-Renault) 1:27.877
7. Nico Rosberg (GER/Mercedes) 1:28.013
8. Adrian Sutil (GER/Force India-Mercedes) 1:28.426
9. Jenson Button (GBR/McLaren-Mercedes) 1:28.440
10. Romain Grosjean (FRA/Lotus-Renault) 1:28.520
11. Sergio Pérez (MEX/McLaren-Mercedes) 1:28.597
12. Nico Hülkenberg (GER/Sauber-Ferrari) 1:28.786
13. Paul di Resta (GBR/Force India-Mercedes) 1:28.910
14. Pastor Maldonado (VEN/Williams-Renault) 1:29.443
15. Valtteri Bottas (FIN/Williams-Renault) 1:29.928
16. Esteban Gutierrez (MEX/Sauber-Ferrari) 1:30.203
17. Jean-Eric Vergne (FRA/Toro Rosso-Ferrari) 1:30.729
18. Daniel Ricciardo (AUS/Toro Rosso-Ferrari) 1:30.969
19. Jules Bianchi (FRA/Marussia-Cosworth) 1:31.263
20. Max Chilton (GBR/Marussia-Cosworth) 1:32.176
21. Charles Pic (FRA/Caterham-Renault) 1:32.274
22. Giedo van der Garde (NED/Caterham-Renault) 1:32.388

 

Essais libres 2: 4 écuries et donc 8 pilotes en moins d'1 seconde. Chaud cacao ...

 

Canal nous refait bouffer du Grosjean à toutes les sauces :angry:

 

Je n'ai pas vu d'annonce mais le GP sera diffusé en crypté j'imagine ?

 

Evidemment

 

[h=1]Les rookies douchés[/h] Les conditions difficiles de la séance de qualifications, samedi à Melbourne, n'ont pas vraiment aidé les pilotes débutants. Ils ont souffert et ne le cachent pas.


Les rookies, à l'image de Gutierrez, ont souffert lors de cette séance de qualifications disputée sous la pluie. (Reuters)







Le baptème du feu s'est transformé en baptème de la pluie. Quatre des cinq rookies ont été éliminés dès Q1, samedi à Melbourne, lors d'une séance de qualifications fortement perturbée par les averses et qui se terminera dimanche matin (11h00 heure locale, 1h00 HF). Seul Valtteri Bottas (Williams) fait partie des 16 rescapés, avec son 15e temps, et le Finlandais a même réussi à faire mieux que son coéquipier, Pastor Maldonado, 17e et premier éliminé.

Les débutants ont donc reconnu avoir eu un peu de mal à gérer cette situation difficile. «Lorsque vous êtes assis dans la voiture et coincé dans les stands pendant une demi-heure, la tension commence à monter, a déclaré Max Chilton, 20e avec sa Marussia, juste derrière son coéquipier Jules Bianchi, lui aussi rookie. Mais une fois sur la piste, la monoplace était vraiment agréable à piloter.»

«Ce n'était pas l'idéal pour débuter, a confirmé Esteban Gutierrez, 18e, qui a crashé sa Sauber dans les dernières minutes de la séance, détruisant l'aileron avant. Je suis désolé pour toute l'équipe, mais j'ai encore une course demain, et je dois me concentrer dessus, garder mon calme et contrôler mes émotions. J'ai commis une erreur que je ne devrais pas reproduire dans le futur.» Heureusement pour eux, ils devraient rouler sur une piste sèche dimanche, ce qui fera un peu baisser la pression.


Rédaction

 

«La bonne décision»

Selon les directeurs d'écurie et les pilotes, la FIA a eu raison de reporter la séance de qualifications à dimanche matin : la piste était bien trop dangereuse.


Jenson Button, comme tous ses camarades qualifiés en Q2, devra revenir dimanche matin, (L'Equipe)






Pour la première de la saison, ce fut assez catastrophique. La pluie, qui a fortement perturbé la séance de qualifications à Melbourne, samedi, a obligé les organisateurs à plusieurs reports, avant qu'ils ne décident finalement de l'annuler, la nuit pointant le bout de son nez, et de presque tout recommencer dimanche, à 11h00 heure locale, soit 1h00 du matin en France. En effet, Q1 a pu se dérouler entre les reports, et les six pilotes éliminés le seront toujours dimanche matin. La séance reprendra donc directement en Q2 avec les seize rescapés.

Du côté des écuries, on a fait le choix d'être solidaire de la décision de la FIA. «C'est vraiment dommage que la séance n'ait pas pu avoir lieu en entier, mais c'était absolument la bonne décision à prendre, a commenté Christian Horner, le patron de Red Bull. Les conditions devenaient de plus en plus mauvaises, avec la lumière qui diminuait et la pluie qui continuait à tomber.»



J. «C'était trop mouillé et la visibilité était trop mauvaise, a ajouté Sam Michael, le directeur sportif de McLaren. Quand Q1 a débuté, on était déjà à la limite au niveau de l'aquaplaning. Et puis ça s'est calmé, les pilotes ont pu chausser les pneus intermédiaires. Mais tout à coup, bang, à nouveau une grosse averse. La fenêtre de tir était courte, et on a pu s'intégrer dedans pour finir Q1.»

Jenson Button espère lui que la F1 ne sera pas trop critiquée pour cette décision : «Dans beaucoup de sports on arrête tout quand il pleut, pas seulement dans les sports mécaniques. Nous avons une voiture et des pneus qui marchent très bien dans certaines conditions, mais parfois c'est juste impossible, et le spectacle ne doit plus être la priorité. C'était bien trop dangereux. J'espère que les fans comprendront et nous soutiendront demain.» - Rédaction



Charlie Whiting, directeur de course de la FIA, justifie sa décision : «Je n'ai eu aucune plainte. Étant donné que d'autres fortes averses étaient prévues et que la luminosité faiblissait, les commissaires ont décidé de reporter les qualifications et de sortir tout le monde de la détresse.»

 

[h=1]Grosjean : «En progrès»[/h] Romain Grosjean, qui a signé le troisième temps en Q1 sous la pluie samedi, apprécie le comportement de sa Lotus dans ces conditions difficiles, bien meilleur que l'an dernier.


Romain Grosjean a dominé les essais libres 3 avant de bien figurer en Q1. (L'Equipe)






Romain Grosjean (Lotus - 3e) : «Nous avons pris une direction différente pour les réglages et, à l’évidence, nous avons fait le bon choix. Le report de la suite des qualifications est frustrant, mais nous pouvons tirer pas mal de choses positives de Q1. Ce n’est pas un secret, les conditions humides n’avantageaient pas notre voiture l’an dernier. D’après ce que nous avons vu aujourd’hui, nous avons définitivement fait des progrès. Je suis désolé pour le public parce qu’il a été fantastique toute la semaine et il est resté sur le circuit malgré le mauvais temps. La journée de demain s’annonce chargée et apparemment, elle devrait rester sèche. Alors j’espère que nous pourrons faire une belle prestation pour les fans.»

Kimi Räikkönen (Lotus - 11e) : «Ce n’était pas facile avec ce trafic, les voitures qui sortaient de la piste et les drapeaux jaunes. Mais j’ai pu passer en deuxième phase de qualifications, alors ce n’est pas si mauvais. La voiture n’est pas trop mal sur le mouillé, c’est un progrès par rapport à l’an dernier, mais la difficulté aujourd’hui consistait à trouver un peu d’espace clair sur la piste. C’est dommage d’avoir repoussé les qualifications à demain, mais c’est pareil pour tout le monde.»


Jules Bianchi (Marussia - 19e) : «Les conditions n'étaient pas évidentes pour ma première séance de qualifications. De plus je n'avais pas encore roulé sous la pluie avec la Marussia. Pour tout vous dire je suis un peu déçu. Hier, sur le sec, les séances avaient été prometteuses, c'est dommage de ne pas avoir pu en profiter aujourd'hui. Au final, je suis tout de même satisfait de ce que nous avons réalisé. Nous n'avons pas pu démontrer tout notre potentiel et nous sommes tout de même devant les Caterham. J'ai donc hâte que le soleil revienne pour mon premier Grand Prix. Mais quel que soit le temps, ce sera un moment très excitant et important pour moi.»

Charles Pic (Caterham - 22e) : «Nous ne sommes évidemment pas à la position que nous souhaitions, mais tout ne s'est pas si mal passé. Lorsque je suis reparti en intermédiaires, c'était vraiment piégeux et quasiment impossible de garder la voiture sur la piste. Mais peu à peu la piste a séché et je commençais à attaquer. Malheureusement, j'ai roulé sur une bande blanche et je suis parti en tête à queue. J'ai heurté un muret et j'ai dû rentrer aux stands. Notre rythme était plutôt bon mais c'est primordial de finir nos tours rapides. Ça n'a pas été le cas aujourd'hui, mais je reste positif.»


Rédaction

 

[h=1]Malaise chez McLaren...[/h] On sait que Vodafone a mis fin à son association avec McLaren en ne renouvelant pas le contrat de sponsoring liant les deux entreprises jusqu'au terme de cette saison 2013.
Malgré les beaux discours d'auto-satisfaction du communiqué officiel, il apparaît que la véritable raison du retrait du géant britannique des télécoms remonte au dernier Grand Prix de Bahreïn.


Le sponsor avait souhaité ne pas apparaître sur les monoplaces lors de cette course disputée malgré les fortes tensions politiques dans le royaume. Toutefois, aucune clause du contrat ne permettait à Vodafone de renoncer spontanément et l'absence de logo sur les McLaren aurait fait jaser... Rappelons que le principal actionnaire du team anglais n'est autre que le fonds souverain de Bahreïn !


Le printemps arabe a causé d'autres ennuis à Vodafone, dont le réseau a été suspendu en Egypte par exemple, et au moment de prolonger le contrat avec McLaren, les responsables ont décidé de tirer les leçons de la douloureuse expérience vécue à Bahreïn, quand leur point de vue n'avait pas été pris en compte.


Pour succéder à Vodafone sur les MP4-29 en 2014, les regards se tournent vers Telmex, le sponsor de Sergio Pérez, puisqu'il semble que le deal ait été négocié au moment de la signature du jeune Mexicain. La date pour annoncer le nouveau sponsoring a déjà été précisée (2 décembre 2013). Mais d'autres candidats se seraient manifestés, dont GlaxoSmithKline (GSK), Emirates et Rolex. D'ici là, il faut espérer que les MP4-28 reprennent quelque peu des couleurs.

 

[h=1]Sauber à vendre ?[/h] On sait que la santé financière des équipes du milieu de tableau n'est guère florissante. Ainsi, l'écurie Sauber a été contrainte de promouvoir son pilote de réserve Esteban Gutiérrez pour conserver les faveurs de ses partenaires mexicains.


Mais si Telmex suivait Sergio Pérez chez McLaren l'an prochain, le team suisse pourrait être confronté à un gros problème, surtout s'il recule dans la hiérarchie des constructeurs après la belle et très rémunératrice sixième place décrochée en 2012.


Les rumeurs de vente de Sauber reviennent régulièrement à la surface, relayée par le Blick, journal suisse proche de l'écurie de Hinwil. On sait que Peter Sauber a cédé les rênes de son équipe à Monisha Kaltenborn, qui a hérité au passage de 33% des actions.


La team principal s'est contentée de commenter : "La revente n'est pas d'actualité, mais si nous devons accueillir de nouveaux investisseurs pour renforcer la situation de l'entreprise, nous y réfléchirons. C'est une option qui n'est pas à exclure dans l'avenir."


Un discours semblable à celui tenu par Gérard Lopez, le copropriétaire du Lotus F1 Team, dont la viabilité à moyen terme reste à démontrer, surtout en tenant compte des budgets exigés par le développement des châssis et surtout des nouveaux moteurs de la réglementation 2014.

 

Mme Button (Japonaise)

 

Mme Alonso (Russe)

 

Faut attendre 1.00 pour le séance de qualif' et ensuite départ à 7.00 ... On dormira lundi.