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Handball Feminin/Masculins

Discussion dans 'Les sports collectifs' démarrée par Yankee84, 18 Décembre 2006.

  1. christof13

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    Préparation physique : quelles sont les spécificités du handball ?

    L'équipe de France est en finale de son Mondial. L'occasion pour nous de revenir sur les singularités de ce sport, qui réussit tant aux Bleus. Morphologie, vitesse, élasticité, etc. Quelles sont les caractéristiques d'un bon handballeur ?

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    Notre expert Jean-Philippe Véronique dissèque pour nous les spécificités physiques des Experts. (P. Lahalle/L'Equipe)

    Florent Manaudou est taillé pour le handball. C'est ce que l'on peut penser, en constatant que ses mensurations (1,99 m, 99 kg) sont proches de celles des stars françaises de la discipline que sont Nikola Karabatic (1,96 m, 107 kg) et Daniel Narcisse (1,89 m, 93 kg), par exemple. Mais la reconversion envisagée par le champion olympique 2012 du 50m nage libre, au Pays d'Aix Université Club, ne s'annonce pas si simple. Jérôme Fernandez, entraîneur-joueur au sein de la formation aixoise, le précisait d'ailleurs dans nos colonnes le 28 septembre dernier : « Il risque plus de se faire mal qu'autre chose. Il y a un gros travail physique à effectuer au niveau des membres inférieurs afin de protéger ses articulations ».

    La gestion du saut, facteur primordial
    Pour Jean-Philippe Véronique, ancien préparateur physique de Noisy-Le-Grand (D2 féminine) et coach sportif, le renforcement articulaire est l'une des quatre thématiques à travailler en priorité avec « la musculation spécifique, le développement de la qualité de pied et celui de la motricité ». Soit le «socle de base» qui permet aux handballeurs de pratiquer en toute sécurité, avant même de penser à élever leur niveau de performance. En plus de l'obtention de ces acquis auxquels elle est intimement liée, 'appréhension de l'espace, surtout lorsque les appuis sont décollés du sol, est l'une des clés du handball : « il faut réussir à se situer quand on est en l'air, apprendre à tomber aussi ».

    Cet apprentissage de la chute, qui peut s'effectuer via des exercices sur tapis, fait pleinement partie du processus de saut (course d'élan, impulsion, suspension, réception) que le joueur doit intégrer. Il est d'autant plus important que le handball présente la particularité d'autoriser les contacts aériens. La notion de dangerosité qui en découle peut susciter un blocage psychologique : « un joueur qui ne maîtrise pas ses réceptions, qui tombe souvent sur le dos, sera moins efficace au duel à cause de la peur de se faire mal ». Tenir compte de cet aspect mental est alors indispensable.

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    « Si un handballeur n'a pas de caisse... »
    Même si l'aire de jeu (40 mètres sur 20) et la durée du match (2 fois 30 minutes) sont inférieures à celles des sports collectifs de plein air que sont le rugby ou le football, la différence d'exigence en termes d'endurance est minime : « en rugby par exemple, il y a peut-être plus de séances de cardio, mais l'écart n'est pas énorme, parce que si un handballeur n'a pas de caisse, même sur un effort anaérobie, il va le ressentir. Cela va jouer sur sa récupération, donc il faut quand même réaliser un gros travail de fond en pré-saison. » Au-delà de ce noyau dur de compétences à emmagasiner, les aptitudes des joueurs peuvent varier selon leur poste.

    Des gardiens qui en imposent (1,91 m, 97 kg)*
    Dans les cages, l'importance du renforcement articulaire prend une autre dimension d'après notre spécialiste : « sur leurs parades, les gardiens sont toujours à la limite de l'hyper-extension lorsqu'ils arrêtent le ballon avec l'avant-bras. Cela nécessite de solidifier l'articulation du coude, d'insister sur la musculation du biceps ». Sur le bas du corps, la prévention des blessures et un bon échauffement sont indispensables « surtout au niveau des muscles adducteurs, abducteurs et ischio-jambiers, parce que les gardiens doivent réaliser des mouvement hyper rapides, très explosifs ». Enfin, la ceinture abdominale joue elle aussi un rôle non négligeable et les réflexes font partie de l'essence de ce poste, ainsi que la dimension d'intimidation.

    Des ailiers agiles et toniques, à l'image de Michaël Guigou (1,79 m, 79 kilos)

    Les ailiers (1,85 m, 86 kg *), souvent au duel face aux gardiens, ont eux également un travail d'explosivité à effectuer : « vélocité, fréquence, accélération, etc. Ils font beaucoup de pliométrie aussi, parce qu'ils ont souvent peu d'espace pour sauter ». Autre entraînement commun à tous les handballeurs mais sur lequel ils doivent passer plus de temps : le développement de la souplesse du poignet, pour avoir la plus large palette possible au moment de conclure, en partant du point de corner (chabala, roucoulette). Ils font majoritairement partie des plus petits de l'équipe, à l'image de Michaël Guiguou (1,79 m, 79 kg), seul membre de l'effectif français à mesurer moins d'1m80.
    Du lourd dans l'axe du terrain
    Plusieurs joueurs de l'équipe de France peuvent occuper le poste d'ailier tout comme la base arrière, où s'illustrent généralement des handballeurs un peu plus grands et lourds. Souvent amenés à défendre (certains en sont exemptés) face à des attaquants lancés, les arrières et les demi-centres (1,93 m, 97 kg)* ont un « travail de force et de volume un peu plus important à réaliser, notamment sur les épaules, parce que les chocs sont plus violents en défense centrale qu'à l'aile, toujours selon Jean-Philippe Véronique. Et en attaque, ils vont au charbon ». Les pivots ont un rôle défensif similaire et doivent être capables de tenir leur position offensive, de jouer de leur corps pour s'enrouler autour de l'adversaire et marquer. D'où leur morphologie plus massive (1,97 m, 106 kg)*. Le handball, parfois, est aussi une question de gabarit.
     
  2. christof13

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  3. christof13

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    Devenir professionnel



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    La Nationale 1 reprend ce week-end avec la première journée d’un long marathon en deux phases. Un socle de compétition où se construisent les ambitions de professionnalisme, qui devient un acquis lorsqu’on atteint le VAP (Voie d’Accès au Professionnalisme). Folschviller qui arrive cette saison est un excellent exemple de l’étape que constitue la N1.

    C’est un appel estival surprenant que celui de Tristan Atmania, vice-président de Folschviller et responsable du volet communication – entre autre. Un des membres d’une structure totalement renouvelée la saison passée, poussée par la réussite des joueurs, qui ont été chercher la première place de N2 au nez et à la barbe du Metz Handball. De là, le besoin d’une révolution est arrivé : « On sort d’un modèle associatif, où le club tenait sur deux-trois bénévoles qui faisaient tout, de la table marque aux déclarations à la fédération ! C’était assez ahurissant, quand on a commencé on s’est demandé comment le club avait pu faire 10 ans en N2. » Les nouveaux membres de la structure étonnent par leur provenance : Jérôme Bauer et Sylvain Didierjean sont deux cadres plus intéressés par les affaires du ballon rond au pied qu’à la main. Le nerf de la guerre étant tenu par Thomas Keller, qui s’occupe des finances et de l’administratif.

    Finances
    Les finances, le premier volet de tout projet de professionnalisation. La CNCG veille à ce que tout soit en règle, et le vice-président qui est passé par Villeurbanne dans leurs années noires en sait quelque chose. « Le trésor était déjà en N2 une source de sueur froide, ça l’est toujours voire plus pour la N1. Surtout qu’on a fait budget double : on était à 120.000 et des brouettes, on est passé à 240.000 ! » Pas tant que ça quand d’autres n’envisagent pas de monter sans une trésorerie à 400.000. Mais le club part de la base : « Je ne vais pas cacher qu’on a cravaché tout l’été pour aller chercher des partenaires privés. On a notamment un grand qui arrive… » À savoir le centre commercial B’Est, plus grand acteur économique du département.

    Surtout, les perspectives du bassin Est-mosellan sont grandes : « On a Metz handball qui fagocite sa région et Thionville, de l’autre côté on a Sarrebourg qui est isolé et va chercher en Alsace, et on cherche à représenter le gros pôle Moselle Est qui est tout de même un bassin de 200 à 300.000 habitants. On souhaite développer le territoire avec une vraie professionnalisation. » Le club a une feuille de route très claire à ce sujet : « Les perspectives sont claires : une embauche de 1 à 3 salariés sur l’année. On va aussi s’appuyer sur des services civiques en préparant des futures embauches. »

    Structurer

    Si l’arrière cour avance, il va falloir aussi s’attaquer à un problème d’envergure avant d’envisager toute nouvelle étape : les infrastructures. « Le gymnase a une capacité de 500 spectateurs, ce qui est déjà limite pour de la N1. […] C’est pour moi et pour le club une grosse interrogation : si d’aventure on atteint un certains niveau de jeu, où est-ce qu’on joue ? » Dans un premier temps, quitte à faire un bout de route, la délocalisation est envisagée : « Par contre une chose que je n’oublie pas, c’est qu’on a un territoire qui est à une heure du Luxembourg, à cinq minutes de l’Allemagne et 30 de Metz. En terme d’infrastructure c’est intéressant, notamment en Allemagne, il faut garder cette porte ouverte ! »

    L’Allemagne, une possibilité aussi dans un autre élément à développer : celui de la formation. « On a un paquet de français qui jouent de l’autre côté de la frontière. On peut quand même essayer d’avoir ce type d’attractivité pour les allemands. » D’autant que le club s’appuie déjà beaucoup sur sa propre formation. « Sur notre équipe première c’est deux tiers qui viennent du club, ce qui permet d’être à ce niveau avec des jeunes de 20-23 ans. Cela permet aussi d’éviter de recourir à des joueurs qui demanderaient des sommes que le club ne peut pas fournir pour le moment. » Les pôles de Pont-à-Mousson et de Strasbourg ont désormais aussi une nouvelle porte d’accès proche à un haut niveau de jeu.

    La question des finances publique

    En dehors de l’infrastructure, ce qui oblige le club à ne pas aller plus vite que la musique, c’est la question des financement publics. « On va arriver à réduire à 62% de financement public en début de saison. On sait très bien que les collectivités locales vont avoir de plus en plus de mal à nous soutenir… Elles ont fait de gros efforts pour notre montée, est-ce qu’elles vont pouvoir maintenir voire augmenter si on atteint la D2 on n’en sait rien. La ministre des sports a dit elle même : « L’Etat n’a pas à vocation à financer les sportifs sur la durée ». Donc ça pose question. » S’il est bien noté que les collectivité accompagnent la montée, il ne pourront pas suivre indéfiniment. « Il faut donc être offensif sur les partenariats, c’est ce qu’on a fait tout l’été et on a plutôt pas mal bossé, et il faudra pas s’arrêter pour assurer le budget et avoir des ambitions futures. »

    Pourquoi pas lier les deux questions et imaginer des salles pour des clubs de 2e et 3e division… Privées ? « Je n’y crois pas. D’une part car le niveau de jeu n’est pas attractif avant la LNH. Je vois mal la capacité de dire « on joue en national, on a un gros sponsor pour financer 1500 places ». C’est 8 à 10 millions ! Personne ne fera ça même pour un futur club de D2. » La question de la fiscalité est aussi à remettre en perspective si le souhait est de se caler sur le modèle américain. Le débat est lancé.

    Et le sport ?

    Et si le sportif va plus vite ? Ou, pire, stagne ? « L’objectif de la saison c’est de se stabiliser en N1. Après le partenaire nous incite pour viser au dessus. […] On n’a pas d’objectif annualisé de montée car on a tous trop vu de clubs avec ces objectifs, et qu’un pépin, un changement de stratégie finisse par retarder le club et que celui-ci se retrouve lynché. C’est pas l’idée d’avoir une dead line, mais plutôt d’avoir des objectifs de maintien et développement. »

    Si le changement en coulisse est massif, celui sur le terrain reste le même. Un effectif presque inchangé, avec trois recrues dont une en interne. Une préparation bien menée avec une seule défaite… Le maintien n’est pas une utopie pour un club qui fera office de petit poucet entre Besançon – son premier adversaire et VAP – Belfort, Epinal, Sarrebourg, St Gratien, la réserve de Chambéry et l’autre promu Boulogne Billancourt. Mais cette fois, les joueurs savent que le club peut avoir d’autres ambitions. « En 2012-2013, champion de France de N1 avec Villeurbanne retoquée par la CNCG, ça a marqué ma carrière de joueur et de dirigeant. […] J’en retiens que quand tu montes un projet, tu te dois de le monter avec patience. Si ça doit prendre 8 ou 10 ans, il faut le faire. » À suivre.



     
  4. christof13

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    #LNH - Olivier Girault : « il faudra choisir entre la visibilité ou gagner plus d’argent »

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    Lundi 3 septembre, lors de la conférence de presse de rentrée de la LNH, Olivier Girault s’est exprimé sur les principaux changements et les orientations futures du secteur professionnel.

    Selon vous, que faut-il retenir de cette conférence ?
    Ce n’est pas forcément ce qui sera retenu mais l’aménagement du calendrier du championnat est un fait important. Dès lors où la Lidl StarLigue est le premier championnat européen, la question primordiale est comment le rendre plus attractif encore ? Déjà la saison passée, nous avons tous fait des efforts afin que les équipes françaises arrivent dans le meilleur état possible dans les compétitions européennes. Nul doute que les Allemands, qui sont nos principaux concurrents, vont réagir. À nous d’anticiper.

    Vous avez aussi abordé la question de l’arbitrage…
    En Lidl StarLigue, nous avons des internationaux français et étrangers qui sont habitués à disputer la Ligue des Champions avec un arbitrage qui a évolué au niveau international. Il existe un décalage car nous avons mis un certain temps à réagir. Le dossier avait été pris à bras-le-corps bien avant certaines déclarations devant les caméras. Un consensus a été trouvé pour rattraper ce retard. Nous avons travaillé sur le contenu des tests physiques. Avec un groupe élite et un autre pré-élite, l’objectif est de percevoir et de former les futurs arbitres internationaux, voire aller vers la professionnalisation dans quelques années.

    Vous avez présenté une nouvelle formule - Final Four - pour la Proligue en fin de saison. Doit-on s’attendre aussi à une évolution du format de la Lidl StarLigue ?
    Avec la qualité et la densité de nos clubs, le format actuel du championnat de Lidl StarLigue est idéal au regard des équipes en concurrence. Chaque semaine nous avons à l’affiche une finale de Ligue des Champions.

    Le marketing et la communication sont des domaines que vous évoquez aussi régulièrement…
    Les clubs nous poussent à être innovants et performants. Cependant, tous ne sont pas bâtis sur le même modèle et ne disposent pas des mêmes moyens pour recruter des seniors dans ces domaines particuliers. À nous de créer des modèles utilisables par tous. La LNH doit être en capacité de développer des ressources internes afin de produire des outils de marketing et de communication. Créer un réel service pour les clubs est une priorité.

    Vous n’avez pas évoqué les droits TV des compétitions de la LNH... Pouvez-vous faire le point sur l’appel d’offres ?
    Concernant les droits TV, c’est simple, il faudra choisir entre la visibilité ou gagner plus d’argent. L’idéal serait d’avoir les deux mais quel choix effectuer si nous devions n’en choisir qu’un seul ? Je le répète, la LNH a une unique vocation : être au service des clubs. Et que manque t’il à nos clubs aujourd’hui ? Plus de moyens sur le terrain bien sûr mais aussi sur le plan extra-sportif car cela fait partie intégrante du sport spectacle, un mot que moi-même je n’aimais pas beaucoup il y a 10 ans. Le spectacle n’empêche pas la performance. Le choix du partenaire télévisuel sera effectué en ce sens.

    Les planètes sont plutôt bien alignées actuellement…
    Le Handball est l’un des sports les plus enviés et les plus demandés. Mais il y a celui que l’on pratique et celui que l’on vend. Apprendre à mieux se vendre n’est pas utopique. Avec les présidents, les entraineurs, avec la fédération, avec tous les acteurs, nous avançons avec humilité. Depuis maintenant près de 30 ans, l’équipe de France masculine est une vitrine grâce à ses résultats. C’est grâce à la fédération et au travail des clubs que le Handball a pu être médiatisé. Maintenant, il y a une mue à faire : remplir des salles de 20000 spectateurs pour les clubs. C’est la dernière étape qui nous manque.

    La LNH envisage t’elle de se positionner pour accueillir des finals Four européens organisés systématiquement en Allemagne ?
    C’est au cœur de nos réflexions. Jusqu’à présent, l’Allemagne possédait le meilleur système organisationnel avec ses équipements. Leur confier ces organisations relevait d’une logique implacable et incontestable. Si le système de gestion des salles est plus complexe en France, nous disposons d’équipements en capacité d’accueillir des événements équivalents et même de faire beaucoup mieux que notre voisin allemand.
     
  5. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    qui c'est qui va voir les bleus c'est bibi...........héhéhéhéhéhé........
     
  6. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    qui c'est qui va voir pauc-toulouse ...c'est bibi héhéhéhé.........
     
  7. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Quel scandale sur la dernière action du match PSG/Nantes.
     
  8. nasri88

    nasri88 Moderateur

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    Karabatic forfait pour le mondial
     
  9. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Il y a un superbe match France-Pays bas en demi finale de l'Euro ...

    Mi-temps la France mene de un point
     
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  10. kanna74

    kanna74 Well-Known Member

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    Quelle équipe de France!!!
    Vivement la revanche contre la Russie
     
  11. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Ce scandale arbitral !
     
    kanna74 et sacrum83 aiment cela.
  12. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Championnes d'Europe !
     
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  13. Loranais

    Loranais Well-Known Member

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    Quel match putain des filles et bravo au coach ....

    Grosse perf contre une grosse équipe de Russie.
     
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  14. sacrum83

    sacrum83 Well-Known Member

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    Bravo les meufs, voilà un sport co ou on roule sur la concurrence !
     
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  15. mistral gagnant

    mistral gagnant Dès que le vent soufflera....

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    Bravo les filles
    Bravo les gars
    Bravo le hand
    Le hand , le seul sport ou je fibre avec un match de fille que de garçon
     
    setonaikai, christof13 et kanna74 aiment votre message.
  16. anonymous_050120232

    anonymous_050120232 Well-Known Member

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    Elles ont maitrisé le match malgré une forte opposition!!! Bravo les filles!!! Championnes du monde et championnes d'Europe en titre!!!
    Et bravo à Olivier Krumboltz qui a su se remettre en question après sa mise à l'écart et qui multiplie les médailles depuis son retour!!!
     
  17. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    Les techniques de tir au handball

    C'est indéniable, le handball est un sport spectaculaire. D'autant plus lorsqu'il voit s'affronter des artistes. À l'instar de Luc Abalo, quel pratiquant n'a jamais tenté une «roucoulette» ou un tir dans le dos ? On vous présente dix façons de marquer, pour multiplier vos possibilités de tromper le gardien adverse.

    La Schwenker
    C'est un geste créé par un ailier gauche allemand qui lui a donné son nom. La “Schwenker” consiste à feinter le tir en suspension et à lâcher la balle toujours en étant en suspension. Une fois redescendu sur ses appuis, le joueur peut repartir en dribble et continuer son action. Généralement, les joueurs y ont recours lorsqu'ils font face à des défenses hautes qui cherchent à empêcher le tir lorsqu'ils sont lancés.



    Kung-fu
    Popularisé à l'origine par les nations asiatiques, le kung-fu est l'un des gestes les plus spectaculaires du handball. Le tireur reçoit la balle alors qu'il se trouve en suspension au-dessus de la zone adverse. De cette position acrobatique, il doit tirer en direction du but avant de toucher le sol.



    Double kung-fu
    Le but collectif par excellence. Le début de l'action se déroule de la même manière que pour un kung-fu simple. C'est après que cela se complique (encore). Le joueur qui reçoit la première passe au-dessus de la surface refait une passe à un joueur qui arrive lancé (et en suspension) et tire dans la cage. Pour arriver à un tel résultat, la coordination entre les joueurs doit être parfaite.



    La roucoulette
    Ce tir est souvent utilisé par les ailiers lorsque le gardien se positionne de manière à fermer l'angle de tir. Le joueur imprime un fort effet de rotation sur la balle avec un geste du poignet. La trajectoire de la balle est nettement modifiée au moment du rebond en direction de la cage. La balle contourne le gardien et s'oriente vers le deuxième poteau.


    Roucoulette inversée
    C'est le même principe que pour la roucoulette. La différence se fait au niveau de la trajectoire prise par la balle. Celle-ci contourne le gardien et s'oriente vers le premier poteau.



    Roucoulette spatiale ou roucoulob
    Le principe est identique à celui de la roucoulette. Sauf que le ballon ne touche pas le sol. Le joueur termine son geste avec le dessous de la main et la balle part de manière à lober le portier adverse. Ce geste est souvent tenté lorsque le gardien anticipe la roucoulette classique. La roucoulette spatiale est aussi connue sous le nom de «roucoulob».
    Le chabala
    Le chabala - également appelé le chab' par les puristes - est, en quelque sorte, l'équivalent de la panenka au handball. Le tireur feinte une frappe lourde puis, au dernier moment, il “casse” le poignet afin de le faire passer sous la balle et ainsi la glisser juste au-dessus de la tête du gardien.


    Le tir dans le dos
    Le tir dans le dos est une technique que l'on voit rarement en match. Les ailiers l'utilisent le plus souvent lorsqu'ils sont déséquilibrés suite à un contact avec l'adversaire.


    Le tir à la hanche
    Comme son nom l'indique, c'est un tir que le joueur déclenche au niveau de la hanche. La trajectoire du tir est très surprenante pour le gardien car la balle part à mi-hauteur. Ce tir est souvent utilisé pour marquer face à des défenses à plat.


    Le jet de sept mètres ou penalty
    Le jet de sept mètres est accordé lorsque l'adversaire a défendu en zone ou commis une faute sur la ligne des 6 mètres. Guerre psychologique, le duel entre le gardien et le tireur est parfois surprenant avec des tirs venant de nulle part. Un exemple avec ce penalty du Norvégien Havard Tvedten face à l'Égypte lors d'un match amical en janvier 2012.
     
    Dernière édition: 20 Décembre 2018
  18. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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  19. christof13

    christof13 A l'ancienne.

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    j'aurais gardé caucheteux et c'est un peu frileux côté arrière gauche
     
  20. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    N'Guessan est un peu sur courant alternatif mais Lagarde est capable de faire de drôles de trucs quand même et puis y'a Grebille aussi. Dinart a privilégié la polyvalence.

    Ce qui est fou c'est qu'il y a encore pas longtemps on galérait pour trouver des gauchers et maintenant on en a plein.
     

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